Promenons-Nous Dans Les Bois....04.

Notre petit couple est à moins de 50 m de nous et notre position n’a rien d’équivoque, la situation est claire, Nicolas et moi taillons des pipes, le garçon fait demi-tour essayant d’entraîner sa compagne mais celle-ci résiste et nous regarde fixement. Je crois que la chose l’intéresse mais elle n’ose pas avancer et dit quelques mots à ce qui semble être son petit ami: c’est un garçon blond, cheveux mi-long, de taille moyenne, en tenue de randonnée, il est beau comme un cœur.
Elle, c’est une jolie blackette, mélampyge comme Hercule, d’un noir d’ebene, de même taille que lui et habillée d’une robe multicolore qui tranche avec la couleur de sa peau et ses cheveux, Elle porte des Dread Locks qui tombent jusqu’à ses épaules, et elle a des lèvres pulpeuses qui m’attire tout de suite, j’aimerais les goûter, et si j’étais un garçon, je pense que que je désirerais introduire ma bite entre car cela doit être un délice de la coulisser à travers ses ourlets charnus, un ami dirait qu’elle a des lèvres en rebord de pot de chambre.

D’un geste de la main, je les invite à avancer vers nous et et c’est elle qui s’approche embarquant le garçon à sa suite.
Dès qu’ils furent à portée de voix sans crier trop fort, je les encourage à venir encore plus près et je vois des paillettes qui brillent dans les yeux de la fille.

- Tu aimes ? Lui fais-je en m’arrêtant une seconde.

- Oui, me répond-elle timidement.

- vous ne l’avez jamais fait tous les deux ? me renseigné-je.

- Oh non jamais, et c’est même la première fois que je vois une bite en chair et en os comme ça, avoue-t-elle, nous regardons des films x parfois ensemble mais sans aller trop loin et je vois bien que ça lui met la trique dans son pantalon.

- Et tu veux dire que d’aventure il n’a jamais demandé si tu voulais voir la sienne à ce moment là ?

- Non pas une fois.

- Et toi tu ne l’as pas sollicité ?

- J’ose pas, me fait-elle.



- eh bien c’est peut-être le moment, lui déclaré-je.

Mais tous les deux, main dans la main, ne bougent pas, ils sont d’une extrême pudeur.

- Viens avec lui, proposé-je en lâchant la bite d’Alexandre, si tu veux je vais t’aider, tu t’appelles comment ?

- moi c’est Anne et mon copain Luc.

Je prends la main libre d’Anne et je l’invite à se mettre à genoux comme moi, elle se laisse faire et Luc lâche l’autre main premiers signes de consentement, j’en profite pour m’approcher de lui et saisissant l’élastique qui maintient son short, je descend celui-ci à ses pieds, il a un petit slip qui fait déjà une bosse.

- À toi l’honneur, fais-je à Anne, démasque nous son petit oiseau !

Je crois qu’Anne a vaincu son inhibition, car elle saisit fermement et prestement chaque côté du cache sexe et le fait coulisser le long de ses jambes, lui aussi me paraît moins effarouché et il est fier de mettre au jour une belle bite qui se redresse déjà convenablement.

- Je te montre, fais-je à Anne en prenant la bite en bouche et la suçant.

Tout en m’appliquant, je lui explique les rudiments indispensables pour bien tailler une pipe à un garçon et je crois qu’elle a hate d’essayer, et alors je lui laisse ma place à regrets car elle est délicieuse.

- c’est ta première fois ? Demandé-je à Luc.

- oui, me répond-t-il faiblement.

- Va doucement alors, conseillé-je à Anne.


Mais la garce se débrouille très bien, elle a vite assimilé l’art millénaire de bien sucer une queue, peut-être est-ce dans les gènes d’une fille et que notre instinct nous guide pour bien donner du plaisir aux garçons. Mais déjà Luc nous averti qu’il va larguer les amarres. Quel dommage Anne ne va pas profiter très longtemps du bonheur de sucer une bite, je m’en doutais la première fois un garçon est tellement excité qu’il décharge souvent en une ou deux minutes.


- tu veux tout pour toi ou nous partageons, demandé-je à Anne.

- J’aimerais mieux le faire avec toi, me dit-elle en lâchant le zob.

j’en profite pour lui faire un bisou sur les lèvres, et quel délice, j’espérais bien qu’elle me propose ce deal car j’ai très envie de goûter la semence de Luc, je la prends par le cou et je nous positionne idéalement pour recevoir ensemble une belle faciale, nous sommes joue contre joue et je branle le chibre turgescent qui va se libérer d'un moment à l’autre d’une charge de luxure.

- ouvre un peu la bouche, conseillé-je, et redresse le visage.

Juste au-dessus je continue d’agiter l’andouille à col roulé et le temps se gâte, un crachin s’abat sur nos bouilles réjouies, j’ai réservé le premier jet pour Anne, c’est souvent le meilleur et elle en reçoit une estampille sur le nez et les lèvres le reste dans sa bouche, je la laisse reprendre ses esprits et je dirige la lance vers moi qui m’envoie une réplique de magnitude huit sur l’échelle de Richter, principalement dans ma bouche, étant très satisfaite j’oriente le tromblon vers Anne, elle a déjà avalé la cargaison qu’elle a reçu dans la bouche et passe sa langue sur ses lèvres pour récupérer d’autres amas qui voudrait bien couler vers sa gorge. Voyant arriver d’autres éruptions, elle ouvre au maximum à s’en décrocher la mâchoire, rien de plus facile pour moi de viser juste et déverser tout le reliquat sur sa langue, le sympathique liquide ruisselle et disparaît à jamais au fond de son gosier.

- Suce, lui fais-je présentant le sucre d’orge.

Et elle serre les lèvres sur la bite et l’éponge jusqu’à la dernière goutte. Quelle suceuse! pour sa première pipe elle a déjà un talent fou. Bienvenue au club des buveuses de sperme.

- c’est bon apparemment ? questionné-je.

- oui délicieux.

- Tu en veux encore ?

- Je peux ? Interroge-t-elle Luc.

- Si tu veux ma chérie fais toi plaisir, je ne peux rien te refuser après ce moment mémorable.


- Viens, fais-je alors, prends Alexandre, moi je vais m’occuper de Richard, car Nicolas bichonne toujours Lucas malgré un petit intermède le temps d’apprécier notre prestation.

Le pauvre Alexandre que j’ai lécher choir comme une vieille chaussette mais qui a gardé la même vigueur durant notre sérénade et se réjouit déjà de passer dans une deuxième bouche. Richard lui aussi a hissé le dau sur un mât droit comme un I.

- Nous allons les garder dans la bouche tout le temps de la fellation, et tu verras la sensation quand la bite décharge à l’intérieur de la bouche.

- D’accord, me fait-elle avec enthousiasme.

Et l’une à côté de l’autre, nous entamons un hymne à la joie qui n’est pas de Beethoven. Nous nous regardons de temps en temps et échangeons des sourires tronqués par le lézard qui ne quitte plus notre cavité buccale.

Alexandre, qui a subi un premier raid commence à donner des signes de fatigue, et je vois ses grimaces afin de prolonger ce délicieux moment. Richard un peu plus expérimentés n’en est pas à ce stade, et je dois accélérer le mouvement pour accompagner Anne, et avec mon savoir et ma pratique et je n’ai aucun mal à utiliser quelques secrets qui le rapproche lui aussi de l’extase.

- Anne, ma sœur Anne, ne vois-tu rien venir?

- Si, me fait-elle rapidement pour ne rien manquer.

Je remarque qu’elle ferme les yeux et Alexandre regarde le ciel pendant qu’il commence à envoyer la sauce, Anne comme une pro le garde bien dans la bouche et le branle en même temps pour qu’il évacue le maximum de la production de ses couilles.
Richard, sous l’action du double effet Kisscool m’envoies des jets puissants que je canalise contre ma joue droite pour ne pas m’, une virtuose de la technique je le vide complètement.

Toutes les deux nous conservons quelques instants cette potion magique, j’agite le pouce pour un, et le pouce et l’index pour deux et enfin le pouce l'index le majeur pour trois et nous déglutissons ensemble et escamotons les perles nacrées qui remplissent notre bouche.


- Alors tes impressions ?

- c’était surprenant, mais les jets sur ma langue m’ont procurés des frissons inconnus, ce philtre qui passe de la partie la plus noble d’un garçon à mon humble passage vers les profondeurs intimes de mon corps sonne comme un échange bouleversant qui scelle un lien à jamais entre nous. La chaleur de ce breuvage me réchauffe le cœur et nous entrons en communion télépathique d’une intensité si fulgurante qui unit nos esprits en éludant tout trouble inopportun.

Et bien dis donc, elle parle comme dans un livre pour intellectuels, je m’empresse de la ramener sur terre.

- Anne, cela ne t’a pas donné envie de te faire gamahucher le kounounou ?

A suivre.

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