Promenons Nous Dans Les Bois.........

-- ATTENTION HISTOIRE FICTIVE POUR LECTEURS AVERTIS --

Par une belle après midi d’automne je décidais d’aller me promener dans les bois chercher quelques châtaignes et peut – être quelques champignons. En effet j’eu vite rempli mon sac de châtaignes et d’une dizaine de petits cépes. Le bois était agréable et je suivais les grands sentiers pur éviter de me perdre. J’entendis des pas venant sur le côté, et vis surgir devant moi un jeune et grand gaillard bien bâti, beau gosse.
- bonjour madame, la cueillette est bonne ?
- oui un peu
- et çà ne vous fait rien de voler dans mon bois ?
- euh j en suis désolée mais je n’ai vu aucun panneau propriété privée !
- ce n’est pas bien grave on va s’arranger, venez je vous offre un café dans ma palombière
Je le suivis donc tut en discutant de choses et d’autres. J’avais une petite idée sur l’arrangement mais me disais on verra bien, après tout pourquoi ne pas prendre un peu de bon temps. Nous sommes rentrés dans la partie basse de la palombiére où bien que sommaire c’était assez bien emménagé. Le café dans le thermo était bien chaud. Je vis le jeune homme qui c’était présenté comme s’appelant Thomas envoyer quelques textos.
- bon alors ma petite dame, si tu veux partir avec les champignons, faut être gentille maintenant
il s’approcha de moi , tout en sortant sa queue de son pantalon, et me la fourra dans la bouche. Je m appliquais à sucer ce beau membre bien tendu, long et épais, à l’aspirer, jouant avec ma langue sur son gland, ses boules. Il m’agrippa par les cheveux pour faire faire des va et vient à ma tête, baisant ainsi ma bouche sans ménagement.
- ben oui tu suces bien salope et je suis sur que t es une grosse cochonne, on va bien s’amuser et au même moment il m’éjacula sur mon visage
Je voulus m’essuyer mais il m attrapa les deux mains et les maintiens derrière mon dos. Je vis alors rentrer son double, qu’il me présenta, c’était son jumeau, pour moi rien ne les distinguait
- cette grosse cochonne elle volait dans notre bois, alors je me fais payer, et une petite correction lui fera du bien aussi
Je commençais à être un peu effrayée, seule avec ses deux gaillards au fond du bois.

Mais je n’ai pas eu le temps de réfléchir. Ils m’allongérent sur la table, la tête en arriére pendante, mes poignets attachés à chaque pied de table. L’un deux souleva mon tee shirt, dévoilant mes seins sans soutien gorge, tandis que l’autre ôtait mon pantalon, découvrant un sexe lisse et trempe.
- putain çà t excite de te faire prendre par 2 jeunes, tu ne vas pas le regretter, salope
chacun pris un sein dans sa main, le malaxa, tira, pinça les tétons, les mordit, les frappa. Puis l’un deux vint me fourrer son chibre dans ma bouche pour m’empêcher de crier, tout en continuant à maltraiter mes seins ils commençaient à être douloureux
Le second se plaça devant ma chatte dégoulinante, releva mes jambes jusqu a ma poitrine, et d’un coup sec me défonça mon anus tout en fouillant ma chatte avec ses doigts. Il me pilonnérent à grand coups de rein, l un ma bouche l autre mon cul. Je sentais tous mes orifices se distendre sous leur gros membre. J’ai joui avant eux, aspergeant le ventre de celui qui m’enculait de ma cyprine
- oh la salope elle est fontaine, excellent
Ils ne tardèrent pas à jouir sur moi , étalant leur sperm. Ils me relevèrent et je du nettoyer correctement leur queue ce qui les fit bander de plus belle.
- on va prendre l’air allez suis grosse cochonne
Et c’est entièrement nue que je suis sortie de la cabane. Le sperm collait à ma peau. Ils avaient chacun des ficelles et des lanières dans les mains. Ils me mirent de dos appuyé à l’échelle pour monter en haut de la palombière. Ils commencèrent par me bonder les seins, laissant de la ficelle pendre de chaque côté. Je dus gravir quelques barreau de l’échelle, arrivée à la hauteur qu’ils souhaitaient, ils attachèrent les ficelles pendantes derrière l’échelle, ce qui tendit mes seins et mes tétons bien en avant. L’un deux attacha un collier de chien autour de mon cou, passa une ficelle dans l’anneau pour l’attacher également à l’échelle, je ne pouvais plus bouger la tête.
Une laniére entoura mon ventre pour bien me bloquer contre l’échelle. Ils avaient trouvé des pinces qui vinrent mordre mes tétons, et je poussais un grand cri de douleur

- ta gueule chienne et on me fourra un chiffon crasseux dans ma bouche en guise de baillon
J’eu un haut le cœur car il n avait pas vraiment bon gout
Ils me laissérent ainsi un moment, toute seule. J’angoissais que quelqu’un passe, j’avais honte d’être ainsi exposée, mais sentais ma chatte humide, cela m’excitait malgré tout.
Quand ils revinrent, ils avaient chacun une cravache à la main, je frissonnais de peur, cela devait faire mal et laisser des traces.
- tu vas recevoir autant de coups que de champignons et de châtaignes ramassées, et tu vas aimer grosse chienne
Les premiers coups s’abattirent sur mes seins, faisant tressailler les pinces, et avivant la douleur. Ils alternaient les coups, ou frappaient en même temps, descendant sur mon ventre. Je dus relever les jambes et les écarter pour qu’ils puissent atteindre ma chatte avec les cravaches. Je sentais la morsure du cuir sur toute ma peau, l’air frais appaisait un peu. Les derniers coups portés sur mon sexe me firent jouir, honteuse d’avoir pris du plaisir dans la douleur.
- t’es vraiment une grosse salope, qui t’a dit de jouir !
L’un deux enfonça le manche de la cravache dans ma chatte et fis de grand va et vient avec, j’ai cru être transpercée. Il n’arrêta que lorsque j’ai eu lancé mes jets de cyprine à répatition.
- plus salope que toi on en connaît pas
Puis ils placèrent chacun une de mes jambes sur leur épaule, écartant bien ainsi ma chatte. Ils approchèrent leur gland et dans une syncronisation parfaite s’enfoncèrent en même temps dans ma chatte, donnant de grands coups de rein. Je sentais ma chatte complétement distendue accueillir ses deux sexes identiques, et sentir leur tressaillement au moment ou ils jouirent tous les deux dans un grand cri. Ils se retirérent, et je sentais leur foutre dégoulinait le long de mes cuisses, ma chatte béante ne pouvant le retenir.

Je fus libérer de mes liens, des pinces, j’avais mal partout, j’étais fourbue, je me sentais sale, et rabaissée.
Je ne fus pas autorisée à me nettoyer, et je me rhabillais gardant sur moi les traces de leur semence,
- t as mérité tes champignons salope, et dégustes les bien en pensant à nous. Reviens quand tu veux on s’occupera de toi, t’aimes çà
Je ne demandais pas mon reste, et retournais vite fait à ma voiture.
Je les mangeais le soir même, tout en pensant que je les avais mérités. Je sentis ma chatte mouillée et me masturbais devant mon assiette hurlant de plaisir.










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