Promenons-Nous Dans Les Bois...05.

- Lucas, ne veux-tu pas me baisser ma culotte, lui fais-je en remontant ma robe et découvrant ma petite culotte blanche, pas tout à fait, car une petite tache indique l’emplacement caractéristique qui prouve que je suis bien une fille.

- Nicolas, toi qui a de l’habileté dans ce domaine ( j’en ai eu une superbe expérience ) tu vas faire reluire l’abricot d’Anne, moi je vais guider Luc pour lui apprendre les rudiments indispensables pour satisfaire une demoiselle. Lucas, si tu veux continuer et voir la différence avec un garçon, ma bouche est libre.

Nicolas s’est bien occupé de son chibre sans le brusquer, il est d’une belle vigueur et la perspective de m’enlever ma culotte de nymphe et de visiter ma bouche, le ravigote encore plus.

L’une à côté de l’autre, soulevant notre robe, nous attendons que Nicolas et Lucas nous retirent l’ultime rempart qui protège notre château fort.

Je trouve toujours émouvant ce moment aussi bien pour les garçons que pour les filles et je sens qu’à chaque fois ma fontaine libère une pluie fine qui ruisselle dans mon sillon.

Pour Anne cela doit être encore pire, et se faire baisser la culotte devant plusieurs garçons sans doute pour la première fois j’imagine le branle-bas qui bouleverse son esprit et la surexcitation qui doit être la sienne.

En même temps et lentement, ils abaissent nos petites culottes et découvrent nos fraises des bois. Anne porte une culotte rose avec une belle licorne imprimée au milieu, Quelle symbolique allusion veux-elle apporter à ce sympathique dessous, surtout à cet endroit ?

L’attribut phallique par excellence, pour moi la corne de cette animal la fait fantasmer sur la biroute d’un beau garçon.
Serait-elle comme moi une belle petite cochonne ?

J’ai un œil sur les ados qui découvrent ma brèche glabre et l’autre sur le bonnet à poil d’Anne , c’est tout frisé comme un mouton et cela me donne envie de tester ses lèvres aussi attirantes que celle du haut.



Lucas me soulève les pieds un par un pour faire passer ma culotte et il la jette dans une boussée d’épines le plus loin qu’il peut me rendant impossible de la récupérer. Nicolas, lui replies celle d’Anne et il la met dans son sac à dos.

- Puis-je la garder en souvenir de cette mémorable journée ? Lui demandes-t-il.

- Je veux bien te la donner, si tu me procures le plus bel émoi de ma vie.

Hummm, elle aussi va repartir la motte à l’air, Nicolas est convaincu de ses capacités à contenter la belle et il est ravi de pouvoir conserver un trophée aussi précieux. Il sort de son sac deux petits coussins qu’il met sur les couvertures et nous fait allonger pour mieux profiter de ses minutes à venir avec un minimum de confort.

Les jambes légèrement écartées, nous accueillons nos policheurs de losange, qui débutent par une langue au chat des plus exquise. Juste quelques conseils ont suffi à Luc pour bien connaître les différentes parties d’une chatte de fille et leurs fonctions.

Il a une attirance particulière pour mon petit clito qui lui fait coucou, avant mes explications il n’avait aucune idée où le petit malin se cachait.

Prenant modèle sur Nicolas il m’astique plutôt agréablement l’entre jambes et je peux me consacrer à lustrer la bite de Lucas.
Je le fais asseoir sur mes petits seins et je lèche son bazar, je passe partout, une revue de paquetage comme à l’armée, rien n’est laissé au hasard pas même la corvée de chiottes, et cela fait du bien à notre soldat qui peut ainsi retarder la salve de sa mitraillette prête à faire feu, mais auparavant je veux que Luc me fasse marcher sur l’eau, et ce candide, bien intentionné et attentionné, a la langue agile et n’a pas peur de la noyer dans un flot de mouille qui recouvre mes lèvres.

Il doit aimer cela car elle navigue sur l’onde et je lui fais grimper des échelons en un clin d’œil, il passe de moussaillon à capitaine, à caboter ainsi le long des rives de ma chatte, elle me rapproche dangereusement du bonheur suprême et ce n’est pas les plaintes puis les cris de ma voisine qui m’apaisent bien au contraire ils me galvanisent et je crois qu’il est temps d’accueillir de nouveau le membre intumescent de Lucas dans ma bouche et de saisir les gourdins de ses deux copains, un dans chaque main, ils sont toujours tendus et c’est un plaisir de les manier sans précaution particulière et leur faire subir
un traitement de choc.


Tout est réuni pour m’apporter un instant inoubliable. Le déclic initiateur du déluge, se produit quand Anne se crispe et hurle si fort que nous sursautons tous à l’exception de Nicolas qui tient la barre avec fermeté pour compenser le roulis et le tangage qui agite Anne et qui finit par se calmer que très lentement.

Je suis la première à suivre et une violente tempête de force 11 sur l’échelle de beaufort me parcourt la chair, avec un effet domino, Lucas se déverse dans ma bouche, un torrent de foutre emplit celle-ci, Alexandre et Richard à leur tour s’épanchent sur mes joues et mes lèvres, une écume blanche au-dessus des vagues de bonheur qui nous agitent tous.

Il nous faut quelques minutes avant que l’ouragan se calme, mes deux branleurs complètement asséchés essuient les dernières gouttes sur mon visage pendant que ma langue époussette les ultimes restes de l’offrande de Lucas.

Nicolas se redresse et relève Anne, la place de mon côté droit et lui en vis-à-vis, il passe sa langue sur ma joue et de sa main attire Anne vers mon autre joue.

Elle accepte volontiers de recueillir le fluide ruisselant jusqu’à mon menton, tous les deux ont tôt fait de récolter les belles coulées qui maquillent mon visage.

Nicolas s’approche de Lucas, je crois qu’il a un faible pour lui, c’est la deuxième fois qui lui propose de goûter du sperme avec en prime un baiser de mec et cette fois il ne refuse pas, Nicolas et Lucas unissent leurs lèvres et leurs langues s’échangent un baiser au milieu de spumosités diverses

Moi, je veux goûter les lèvres d’Anne et je m’avance avant qu’elle n’avale ce précieux contenu, elle comprend mes intentions et devance mes désirs en venant accoler ses lèvres aux miennes et le velouté et le moelleux de celles-ci m’enchantent et l’échange qui suit m’émerveille, nos lèvres s’enduisent d’une brave blanchâtre qui tour à tour disparaît et repartirait avant que nous l’avalions définitivement.


Il me reste une dernière tentation que je n’ai pas assouvie: c’est déguster les autres lèvres d’Anne. Avec pour cerise sur
le gâteau qui doit être à la crème, je demande à Nicolas, s’il a encore un peu de celle d’un garçon, car cela fait un petit
moment qu’il n’a pas joui, de recouvrir le baba d’Anne de son nectar.

Il s’active immédiatement au-dessus d’elle qui s’est rapidement rallongé et présente son fourreau à napper de mousse onctueuse.
Nicolas n’est pas cuisinier, mais son chinois saupoudre sa mandoline d’un gratin des plus appétissant.
Je ne laisse pas ma part aux chiens et j’étale avec ma langue la purée sur la chatte poilue d’Anne, c’est la première fois que je déguste ce met sur un porte-monnaie à moustache mais je vous le conseille, c’est divin, ma pucelle reprend sa sérénade, le refrain est assez monotone puisque c’est toujours la même voyelle qu’elle prononce, mais sur des tons différents, parfois elle ajoute même des harmoniques. Ma langue virevolte sur un agglomérat de salive de cyprine et de sperme qui voyagent sur le poilu d’Anne, elle change d’octave et les notes devenant si aiguës, je titille de plus en plus vite le petit clito enduit de liqueur de banane et l’orgasme d’Anne est si fort qu’elle tremble de tout son corps et me rentre ses ongles dans mon bras qu’elle maintient avec ses mains fermement.

J’aspire alors tout le jus qui se trouve à portée de bouche et je finis par partager avec elle cette ratatouille dans un baiser endiablé et nous engloutissons ensemble cette soupe au lait.

Fourbus mais tous satisfaits de notre après-midi, nous nous séparons malheureusement avec regrets de nos partenaires.
N’ayant plus de culotte, tout le long du chemin, je ne peux m’empêcher de soulever ma jupe des que nous doublons des routiers, pour leur montrer ma fente, cela fait bien rire Nicolas, et j’espère apporte du bonheur aux chauffeurs.


Mais bien sûr, je rentre à la maison avec humilité comme une petite fille bien sage à son papa, et lui incrédule à toute confiance en moi, le pauvre papounet !

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