Leslie Nr57

Leslie NR57 – Nouveaux récits
Rencontres insolites – Cindy

Je viens ici, grâce à Leslie, vous raconter mon histoire.
Leslie est une véritable amie que j’ai rencontré un jour aux détours de mes aventures, je me suis confiée à elle en tant que Cindy et je l’ai autorisé à publier ce que je lui ai confié.

« Depuis toujours, je ne me suis pas sentie à l’aise dans mon corps de garçon, j’aurais voulu être une fille, ou même vivre et être considérée comme, mais mon appartenance à la catégorie des garçons m’en empêchait, alors je me disais que dès que les occasions se présenteraient je remédierais à cela.
Petit à petit les années passant je faisais tout pour ressembler le plus à une fille et espérais pouvoir un jour sortir habiller en fille…
En avance dans ma scolarité, j’ai intégré le lycée lors de la rentrée de mes quatorze ans, bien sûr je détonnais un peu compte tenue de mon apparence, mais je restais le plus souvent à l’écart de tous.
Le début de cette année de ma seconde se passa dans la solitude et les moments où j’étais seule dans la maison, je m’habillais en femme et me regardais dans les miroirs et c’est à ce moment-là que j'ai pris conscience que j'étais sexy et que j'avais la possibilité de séduire des garçons en m’habillant en fille.
Puis au printemps, après mes quinze ans, j’ai vraiment commencé à m’habiller et à sortir en fille dans la nuit quand ma mère était de sortie ou à son travail, en essayant de ne pas me faire repérer par le voisinage ou bien croiser des connaissances.
J’ai pris confiance et j’ai su que je ne pourrais plus vivre dans un habit de garçon.

En première, j’ai commencé, avec mon argent de poche, à m’acheter des fringues de femme, y compris des sous-vêtements, le complexe de ma petite bite s’était transformé en avantage pour moi, je pouvais ranger mon petit attirail dans de jolis strings sexy.
A la rentrée de printemps après mes seize ans, j’avais une petite garde-robe sympa.

Il y avait dans ma classe au lycée, un beau garçon qui avait découvert mon secret, d’autant plus qu’il m’avait surprise un soir me baladant en fille dans les rues.
Discrètement, il a réussi à me passer un petit mot dans lequel il me disait que je lui plaisais. J’avais remarqué qu’il me regardait souvent à la dérobée en classe et son regard bien-sûr me troublait et c’est sans problème que je cédais à son avance et lui donnais rendez-vous le soir même dans un petit parc près de la maison.
On s’est retrouvés vers vingt et une heure et dès qu’il fût près de moi, il m’attira à lui et m'embrassa aussitôt à pleine bouche avec la langue. Je me laissais faire trop heureuse de recevoir mon premier baiser de fille. Il souleva ma petite jupe et me caressa les fesses en continuant de m'embrasser.
A sa façon de m’aborder et de faire je fus convaincue qu’il avait de l’expérience et que j’allais me découvrir femme entre ses bras.
Ma petite bite était en érection et je tentais de la cacher avec mes mains en lui avouant ma honte, alors il me dit à l'oreille que je ne devais pas avoir honte car il la trouvait très mignonne, comme un gros clitoris et qu'il adorait cela.
Comme pour me prouver sa sincérité, il commença à caresser mon gland décalotté et frémissante de plaisir, je posais ma main libre sur son entrecuisse pour sentir son sexe dur et long à travers son jeans.
Je le caressais un instant, puis ouvris sa braguette pour le libérer. Il était magnifique, tout rose et tendu vers moi.
- Tu sais, tu es tellement sensuelle et féminine et tu m'excites terriblement,
- J'ai envie que tu jouisses pour moi la première fois.
- Alors branle-moi et je vais jouir sur toi, me dit-il.
Je l’ai branlé jusqu’à ce qu’il jouisse sur mon ventre et je me suis sentie femme et heureuse…
- Tu veux que nous recommencions ?
- Ohhh oui, tous les jours si tu veux, tu me fais trop bander.
- Alors à demain ?
- Même heure au même endroit.
- Ok, à demain.

Les jours suivants dans ses bras je suis devenue un peu plus femme, au bout de quelques soirs lors de notre rencontre, je le suçais, puis un soir je lui ai dit :
- Je veux que tu jouisses dans ma bouche.
- Tu es sûre ?
- Oui, et je veux t'avaler
Sa bite entre mes lèvres tremblait de plaisir. Il déchargea au fond de ma gorge en plusieurs saccades que je gardais le plus longtemps possible en bouche avant de tout avaler, puis le regardais et lui dis :
- Merci de me faire femme.
Il me releva gentiment, me pris dans ses bras et me répondis :
- Je suis amoureux de toi, tu veux bien être ma petite amie ?
- Ohhh oui, je suis à toi, je veux être ton amante.
Tout en lui disant ça, je réalisais que pour devenir son amante, je devais de lui donner ma virginité anale, un frisson parcouru mon corps…
Lors des vacances d’été, alors que ma mère était partie pour quinze jours, nous nous sommes retrouvés dès le premier soir à la maison. J’avais envie de me donner et de finir la nuit entre ses bras. Avec la permission de ses parents il est venu dormir chez moi.
On s’est retrouvés rapidement nus dans mon lit, après de longs préliminaires et l’avoir sucé, je me suis retournée pour lui présenter mes fesses et lui ai demandé de frotter son sexe contre mes fesses.
Il se colla à moi et commença à masser mon sillon fessier tandis que je me cambrais pour m’offrir d’avantage, je gémissais de plaisir sans me rendre compte tout de suite que mes gémissements étaient très féminins. Son souffle sur ma nuque décuplait mon désir, alors il murmura à mon oreille.
- Tu es certaine de vouloir ?
- Sodomise-moi et fait de moi ton amante, lui dis-je.
Pour lui prouver ma détermination j’ouvris mes fesses des deux mains et lui présentais ma petite rondelle plissée encore vierge de toutes pénétrations.
Il me doigta l’anus pour l’ouvrir un peu, puis me l’enduit avec du gel, j’ai senti son gland se poser sur mon anus, puis en me tenant par les hanches il a doucement mon anneau et s’est enfoncé en moi. Après une courte douleur, j’ai senti son merveilleux membre vibrer en moi. Son sexe raide dans mon ventre me rendait femme, j’étais possédée et me donnais complètement à lui.

Mais la relation n’a duré qu’un moment et je me suis retrouvée seule, par suite du départ en fin d’année de mon jeune amant, ses parents ayant été mutés.

Les semaines suivantes, j’ai déprimé et le soir venu, après mettre mise nue, seule dans mon lit souvent je craquais, les souvenirs me revenaient et ma solitude me pesait, alors ma tablette sur les cuisses et mes oreillettes branchées, je me connectais sur des sites où je pouvais voir des transsexuelles se faire ou parfois.
D’autres fois habillée en femme avec ma petite jupe retroussée sur mes hanches, je me branlais en rêvant de membres qui me sodomisaient, à ces instants je réalisais combien je m'étais senti femme en me faisant sodomiser par mon premier amant et espérait que cela se reproduirait le plus rapidement possible…
C’était la première fois que l’on m’avait appelé "ma chérie".
Alors un jour, avec mes économies, je me suis acheté un rosebud et un gode pour mes plaisirs solitaires. Je me suis mise à porter mon rosebud, plug anal, le plus souvent possible et le soir je me suis mise à me sodomiser en regardant des films…

A suivre…