Devenir Femme

De Nunuche à libertine

Ma petite fille, 16 ans vient de rentrer d’un séjour dans une ville jumelée avec son lycée ; si elle est revenue enchantée d’avoir passé des vacances sans ses parents, ses récits, très sages ,de son séjours ont réveillé un souvenir de l’un de ce style de voyage, il y a très longtemps ; c’était dans les années 80, j’avais à l’époque 168 ans, mais je reconnais que je passais pour la gourde auprès de mes copines ; pas de d’amoureux, toujours très sage, ce qui n’était plus dans les mœurs des jeunes , même mes parents me disaient d’être plus sociable.
C’est peut-être ce qui les a décidé à m’inscrire à un échange avec les élèves d’une ville d’Espagne ; dire que cela m’enchantait serait très hasardeux, mais je n’avais pas le choix. Le séjour était organisé autour de deux thèmes, l’un en séjour chez l’habitant, l’autre le dernier en un camps un peu sauvage, où nous étions obligés, français comme espagnol de nous subvenir ; pas de cuisinière, seulement nos deux adultes responsables ce pour 14jeunes.
Au premier, chez l’habitant, j’ai partagé la chambre de la jeune fille, un peu plus âgée que moi ; si l’accueil a été superbe, le soir ou plutôt la nuit, j’avais perdu un peu mes repères ; cependant dès la première nuit, j’ai perçu de petits couinements venant du lit de ma voisine, sans en établir l’origine ; j’étais vraiment nunuche, car très rapidement j’ai compris qu’elle devait se faire plaisir ; une autre nouveauté pour moi. Malgré mes16 ans, je n’avais aucune pulsion ; certes j’étais réglée ,mais à aucun moment je n’avais senti le besoin de me caresser le minou. Comprenant ce qu’elle faisait, j’ai essayé, mais maladroite, je n’ai eu aucun plaisir.
Elle s’est très rapidement rendue compte de ce que je faisais, et sans un mot elle est venue se coucher avec moi ; quelques minutes plus tard, la chemise de nuit ayant volée au sol, deux mains me caressaient ; je n’osais pas bouger mais quand sa bouche s’est posée sur la mienne, un frison m’a traversé le corps, frison qui s’est reproduit quand sa main s’est posée sur mon minou ; tétanisée, je l’ai laissé faire et pour la première fois des doigts sont venus titiller mon petit bouton, avant de s’infiltrer entre mes petites lèvres ; sous l’impulsion de ses doigts, un onde de chaleur a traversé mon corps et je n’ai pas pu retenir un sourd gémissement qui s’est vite transformé en un cri, non de douleur mais de plaisir ; je venais d’avoir mon premier orgasme avec une fille.


Pendant les six jours qui ont suivi, elle m’a déniaisée, m’apprenant les gestes pour lui donner à elle aussi du plaisir, mais le plus souvent, c’est elle qui me procurer la, plus exactement, les jouissances à répétition. Ma bouche, mes seins, qui d’ailleurs l’attiraient beaucoup, car plus importants que les siens, mes tétons, étaient prétexte à caresses et sucions, et que dire quand sa bouche s’est posée pour la première fois sur mon abricot ; ce premier cuni ( je ne connaissais pas le mot) a été révélateur, et il est toujours un moment favori dans les relations avec une femme. Plusieurs fois, elle avait touché mon hymen, mais sans jamais vouloir le percer
« Il faut que ce soit un homme qui te dépucelle »
Rien que le mot me subjuguait ; par contre , très coquine, plusieurs fois ,elle avait investi mon petit trou, réussissant à faire pénétrer trois doigts et surtout à me faire jouir, déclenchant des flots de cyprine (therme aussi nouveau que la sensation). A la fin du séjour, j’étais devenue sa compagne de jeux, active, mais aimant surtout me livrer à ses envies et elles étaient nombreuses.
Bien évidement , lors de notre départ pour le camp, elle s’est arrangée pour que je sois avec elle sous la tente ; si nos jeux se reproduisaient, le plus discrètement possible, j’ai vite remarqué qu’elle s’éclissait régulièrement ; curieuse, mais peut-être un peu jalouse, car j’ai vite compris qu’elle rejoignait une tente de garçons. Il ne m’a pas été difficile de la suivre et cachée derrière la tente, je l’ai épié, mon ventre se serrant lors de l’écoute de ses jouissance ; si je n’étais pas très avertie, cependant j’ai vite compris qu’elle venait se faire prendre, mais en dehors de l’envie que mon ventre me transmettait, ce qui me choquait c’est que la tente contenait deux males. A un moment, j’ai du marcher sur une branche et les bruits se sont vites arrêtés ; regagnant mon abri, j’ai fait celle qui dormait quand elle est revenue, presqu’aussitôt d’ailleurs ; me secouant, :
« C’était toi derrière la tente,
Difficile de nier car mon visage rouge d’émotion me trahissait ; je lui ai avoué que je l’avais entendu jouir, mais que le fait qu’il y ai deux garçons me surprenait.

« Et cela t’a donné des envies ? si tu le veux , tu peux venir avec moi, ils seront très heureux de te faire l’amour ( tien encore une nouveauté) et je suis sûr que tu y prendras beaucoup de plaisir. »
Je m’attendais à me faire reprendre pour ma curiosité, et je me trouvais avec une proposition inattendue ; je n’avais jamais vu un garçon nu, le mieux était en slip de bain et cette possibilité de satisfaire ma curiosité grandissante depuis ma découverte du sexe de femme, m’a fait accepter sans réfléchir. La nuit suivante, j’ai finalement compris que les quatre filles étaient dans le même protocole, à savoir rejoindre les garçons et oh stupeur en changeant régulièrement de tente ; subitement l’appréhension, mais m’entrainant au cours de la nuit, ma copine ne m’a pas laissée le temps de réagir.
J’ai alors découvert deux males, le bâton tendu devant moi, moi à peine recouverte d’un teeshirt, les fesses et le sexe à la vue de tous. Il n’a pas fallu longtemps pour que l’un d’eux m’allonge sur sa couche et retirant le tees short, dévoilant mes seins dont la pointe était saillante. Moi la pucelle 10 jours plus tôt, je me suis retrouvée avec un sexe entre les cuisses, alors que le deuxième me donnait sa queue a sucer et que Karina, me léchait les tétons, les mordillant ; sans ménagement, il s’est enfoncé en moi, me déchirant l’hymen ,alors qu’une bouche m’empêchait de crier sous la déchirure ; j’étais devenue femme ; finalement la douleur a diminué et il a commencé à me besogner, sans grand plaisir pour moi, je dois le reconnaitre, avant de se répandre en moi ; lorsque j’ai senti ses jets frapper le fond de ma matrice, une jouissance a explosé en moi, me mordant la lèvres ; je venais de me faire féconder et le plaisir avait déferlé ; c’est d’ailleurs le meilleur souvenir de cette nuit, car le deuxième s’est lui aussi fait plaisir, en jutant en moi, avec le même résultat ; c’est Karina qui de retour dans notre tente, m’a rassurée :
« c’est toujours ainsi la première fois, tu verras demain, cela sera sans doute très différent, crois moi, je l’ai vécue et je sais que tu sera une bonne petite femelle aimant se faire prendre.
»
Soirée de découverte qui s’est prolongé par un amour partagé avec elle, où à nouveau je pris mon pied lorsqu’elle m’a fait jouir en me doigtant et lapant la chatte, léchant mes sécrétions et le sperme de mes deux pourfendeurs. En effet le lendemain et les trois jours suivants, j’ai découvert le plaisir de m’offrir , à la jouissance avec de belles et jeunes queues dans mon ventre, mais aussi le dernier jour, avec douleur mon deuxième dépucelage, celui de mon petit trou, où après deux enculades viriles, je me suis fait emplir mes entrailles de leurs semences. Ce n’est pas mon meilleurs souvenir,, mais cette sodomie avait le mérite de me faire découvrir la totale panoplie de ce que ^peut faire une femme avec un homme, ……ou deux.
C’est une fille totalement différente que mes parents ont retrouvé, mon père heureux du changement, ma mère , beaucoup plus réaliste, m’emmenant chez le docteur pour me faire prescrire la pilule ; elle avait compris que sa fille était devenue une femme pendant le séjour et elle avait raison de me protéger, car à dater de ce jour, je suis devenue une sacrée coquine et encore maintenant, si je suis aussi libertine, c’est sans aucun doute un des résultats de ce séjour.

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