Marianne, La Femme Que Tu Me Fais Devenir...

Bonjour Mariane, vous êtes ravissante, je vous en prie asseyez vous, je vous attendais.
Voici comment Laurent m’accueillit lorsque je suis descendue de sa salle de bain.
J’étais habillée de ce qu’il avait choisit pour moi : des bas noirs avec jartières auto fixantes, un shorty string en dentelle noir, le soutien balconet assorti, une blouse noir légère et transparante avec un décolté en V et une jupe près du corps.
Je m’approchai de lui avec ce léger stress face à l’inconnu, à une situation que je ne métrisais pas entièrement. Laurent, malgré son age était un bel homme, souriant.
Sa situation aisée que je pouvais imaginer vu sa maison, lui a donné la possibilité de trouver du temps, de l’argent pour s’entretenir le corps que je vois habillé d’un pantalon d’une chemise et d’une veste. Classe et détendu, les cheveux gris, je me suis crue Julia Roberts (rire). Son visage et son sourire me rassura, mets toi dans la peau de Marianne, me dis-je.

J’avance vers lui, sans un mot mais souriante. Près de lui je lui dis juste : Bonjour Laurent et j’avancai mes lèvres pour lui déposer un baiser sur les siennes, et m’assis à coté de lui, dans le fond du fauteuille très confortable de la manière la plus appropriée, jambes croisée assez haute, l’une audessus de l’autre. Lui, assis sur le bord juste à coté de moi, me regarda longuement, détaillant mon visage, mon corps. Ce moment qui me parrut long, une éternité me donna une boule dans le ventre. Comment me trouve t’il ? Il me refixa dans les yeux, son sourrir réaparut approchat son visage et me dit : “vous êtes vraiment ravissante Marianne” Il déposa sa main sur ma cuisse, rapprocha encore son visage “et désirable” me dit il avant de déposer un baiser sur mes lèvres.
Mais lui, appuya ce baiser et sa bouche s’ouvrant sa langue vint caresser mes lèvres avant de les ouvir pour venir tournoyer autour de la mienne. Sa main monta dans mon dos, ma nuque pour m’enlasser et m’embrasser.

Je me laissa complètement emporter par se baiser. Se baiser était magnifique, passionné, il me rendait vivante et attirante comme je ne l’avais jamais été. Une de ses mains caressant mon dos, ma nuque, son autre main caressant ma, mes jambes que je gardais fermée malgré mon excitation. Pour ma part je déposa aussi ma main sur sa cuisse et je la caressai.
Il me lacha et me dit : “n’allons pas trop vite, nous avons tout notre temps. Ca ne vous dérange pas si je vous vouvoie” Non, bien sûre, je peux faire de même si vous voulez.
“Non, je suis Laurent, vous êtes mon trésor” Le sol s’est dérobé sous moi, à ce moment.
“Je peux vous offrir une verre” Oui lui dis-je. Sans me demander quoi que ce soit, il revint très rapidement avec une bouteille de champagne et deux coupes. Il ouvrit la bouteille, nous servit une coupe et m’en donna une en venant trinquer “à vous Marianne”
Toute intimidée, nous discutames un moment de tout, de rien mais aussi de nos vies passées et présentes tout en sirotant notre verre, puis un deuxième.
Il se leva, pris mon verre et alla mettre de la musique. Il s’avança près de moi et m’invita comme une princesse “vous voulez m’accompagner” Il me prit dans ses bras pour me serrer contre lui et échanger quelques pas de danse après avoir retiré sa veste. A ce moment, le champagne aidant, je me sentit Marianne, sa petite femme désirable. Collée contre lui, je sentais sa respiration dans mon cou. Ses mains se sont mise à parcourir mon corps, je chavirais. Je me suis mise à l’embrasser dans le cou et à rejoindre ses lèvres pour l’embrasser amoureusement comme pour le remercier pour ce moment qu’il me faisait vivre. Ses mains se sont faites de plus en plus pressantes, sur mes fesses, l’une s’est avanturée sous ma blouse pour caresser ma peau. Son baiser était passionné, quittant ma bouche pour mon cou pour y revenir. A moi de découvrir ton corps, je me suis dite. Une main est venue lui caresser le torse et défaire les boutons de sa chemise.
Il était un peu poilu mais quel corps wouaouw, pas de ventre. Je veux te goûter. Ma bouche quitta la sienne pour m’écarter quelque peut et descendre de son cou à son torse tout en lui titillant ses tétons dressés. Je pris l’un deux en bouche. Il défit les manches de sa chemise et la retira. Ma main maintenant descendait sur son pantalon, ses cuisses et… son sexe…. Dure. Je descendi encore pour m’agenouiller devant lui. Tout en le regardant dans les yeux, une main sur son sexe de l’autre je défis sa ceinture, puis son pantalon. Son pantalon tomba et avec ma bouche je commenca à lui lècher le sexe par dessus un calçon moulant. Il se mit à gémir. Une main sur ses fesses, l’autre sur son sexe ou ses testicules je le caressais en lui mangeant le sexe. Je m’écartai pour lui enlever son calçon et vit apparaitre un sexe long et de bon diamaitre. Moi qui était craintive quant à son age et à son érection… Ma bouche commença à le lècher les testicules pendant que mes mains le caressaient, son ventre son sexe, ses fesses. Hummm qu’il sentait bon et qu’il était bon. Lui gémissait en me disant “Oh Marianne, que me faites vous” Sentant son excitation monter, je me relevai pour de nouveau l’embrasser et me coller à lui. Mon sexe à moi était à exploser, à mouiller coincé dans mon shorty.
Tout en continuant à l’embrasser je le poussa vers le canapé où il se laissa tomber.
Intérieurement ravie de l’effet que je lui faisais, je vint m’assoir sur lui tout en le regardant dans les yeux. Je sentais a présent son sexe en érection contre ma peau laissée apparante par mes bas et sur mon shorty. Quelle sensation !!! A le voir, je pense que la sensation ressentie était identique pour lui. Je vint embrasser son visage, sa bouche tout en ondulant du bassin. Ses mains étaient à présent sur mon ventre et me seins pour rejoindre ensuite me fesses. Il me retroussa ma jupe. Je n’était qu’un volcan. Il me fit basculer sur le dos et vint sur moi, comme pour me dire je reprends le controle maintenant.
Sa bouche vint parcourir mon visage et descendit vers mes seins après avoir relevé ma blouse. Il tira sur mon soutien pour titiller mes tétons l’un après l’autre.
Son autre main caressait maintenant mon shorti, mon sexe, mes testiculles, mes cuisses. Il descendit encore son visage pour le déposer sur mon sexe et venir me lècher celui-ci par dessus mon shorty. Il me l’enleva enfin et d’un coup me pris le sexe tout entier dans la bouche pour le garder et faire tournoyer la langue autour. Moi je gémissais : “mange moi” “Mange moi Laurent” “Mange moi, mon amour”.
Sa main vint me faire relever le bassin pour me titiller mon petit trou. J’étais au paradis.
Il me fit me retourner, j’étais à présent à 4 pattes, lui la bouche me mangeant le petit trou, hummm, sa langue me pénétrait.
Je n’en pouvait plus, je le voulais en moi, je l’encourageait en lui demandant, prends moi, je te veux en moi, mais lui il me dégustait litéralement et y prenait du plaisir et moi aussi. Mais je le voulais. Je voulu reprendre le dessus en glissant du canapé. Debout devant lui, il se rassit son sexe en érection, qu’il était beau mon homme. Je retirai ma blouse, ma jupe et vint sur lui. Par dessous, je pris son sexe et vint le plasser sur mon petit trou tout ouvert et humide. Le regardant dans les yeux, je lui dit : “Fais de moi une femme, fais de moi ta femme” et me laissant descendre je senti son sexe entrer en moi.
Les yeux révulsé, gémissant, je sentais son sexe m’investir centimetre par centimetre jusqu’à le retrouver entièrement en moi. A ce moment, je le regarda amoureusement et vint l’embrasser. Tout en ne quittant pas des yeux, ma bouche contre la sienne je me mit à monter et descendre lentement sur son sexe. Je n’avais jamais senti une sensation pareille. A un certain moment il me bloqua les fesses et vint me donner quelques coup de bassin qui me firent comprendre qu’il allait me mener à l’extase. Je commençait à sentir une chaleur dans les joues, une boule dans le ventre je vint le stoper dans ses mouvements et reprendre les miens.
Je me mis à le chevaucher tout en gémissant, une main sur sa cuisse, les ongles lui rentrant dans la peau, l’autre bras autour de sa nuque. Je me suis déchainée et je l’ai senti se contracter très fort se tendre et moi basculer en arrière tout en continuant de me déchainer sur lui. Un orgasme comme jamais m’a parcouru, sans qu’il touche mon sexe celui-ci a sorti une quantité de sirop comme jamais. Au même moment je l’ai senti se vider dans mon cul. Je me suis bloti dans ses bras tout en sueur. Nous étions tout deux essouflés, je l’ai regardé les larmes aux yeux et lui ai dit merci avant de l’embrasser. Je m’apelle Marianne

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