Cinq Fruits Et Legumes Par Jour

Les rencontres fortuites existent aussi, en voici la preuve dans ce texte.
Nous avions décidé en ce dimanche matin d’aller faire un des plus beaux marchés de France à quelques kilomètres de chez nous : Montbrison dans la Loire.
Nous avons donc pris la voiture il était à peine 8h30, 9h10 nous étions garés et parcourions déjà ce marché très vaste.
Nous nous sommes arrêtés de nombreuses fois aux étals, dégustant et achetant les productions locales. Notre panier commençait à se remplir, je portais déjà des sacs supplémentaires qui me tiraient sur les bras.
Nous nous sommes arrêtés devant le stand du maraîcher local, son étal était parcouru de mille couleurs, toutes plus belles les unes que les autres. Celui qui semblait être le patron était un gars à la peau burinée par le soleil, de grosses mains qui semblaient douces tout de même, un beau visage et il ne devait pas dépasser la quarantaine.
Ma femme choisissait ses fruits et ses légumes avec lui au service, derrière mes lunettes noires je voyais qu’il louchait dans le décolleté profond de la robe légère qui ne cachait pas grand chose des ses atouts, soyons clair.
La robe dégrafé sur plusieurs boutons, lorsqu’elle se penchait il regardais avidement le creux de sa poitrine. Il ne s’en cachait pas trop, elle passa dans un rayon de soleil et je compris à son regard qui s'agrandit que par effet de transparence il pouvait parfaitement voir ses formes cachées et ses jambes. Il prit alors une cagette pour placer la commande, ma femme paya le tout avec une belle remise d’ailleurs, il ajouta
“Le marché va bientôt fermé, les clients deviennent plus rares, et puis j’avais envie de faire plaisir à madame, elle a un si beau sourire”.
Je pensais seulement quel tchatcheur celui ci. Ma femme lui répondit
“C’est très gentil, monsieur, maintenant je ne sais pas comment on va aller jusqu’à la voiture avec tout ce que nous venons d’acheter ?”
Il regarda autour de lui et ajouta
“Si vous n’êtes pas garé à l'opposé je veux bien prendre quelques minutes pour vous portez tous cela jusqu’à la voiture”
“Quelle gentillesse de votre part, je ne voudrais pas que cela soit gênant” dit-elle, elle se tourné vers moi et me fit un clin d’oeil, je venais de comprendre qu’elle le trouvait bien à son goût et que ca semblait être réciproque.

J’ajoutais donc
“C’est gentil mais je ne voudrais pas payer la livraison en plus”
Il rajouta, beau gosse
“le sourire de madame me paiera largement le déplacement, sans soucis”
Je ne pouvais que penser que si elle lui offrait sa bouche ou son cul il préférerais davantage, mais bien entendu je ne dis rien de plus.
Ma femme devant nous guidant au travers des différents étals, elle connaissait bien ce marché, lui sur ses talons et moi encore plus loin derrière avec mes sacs. Je suis certain qu’il matait son cul a cet instant.
Il hâta le pas et se porta à ses côtés dès que la foule et le bruit le lui permis.
Mes sacs me coupaient les doigts et je dus m’y reprendre à plusieurs fois, je perdais du terrain sur eux. Pas grave je les laissais discuter entre eux.
Arrivé près de la voiture , j’ouvris le coffre nous déposons le tout, panier, sacs et cagette.
Ma femme qui avait toujours une idée en tête et cela commencait à me plaire en fait, s’éleva sur la pointe des pieds et l’embrassa sur la joue.
“Voila un peu plus que mon sourire pour avoir accepter de nous accompagner jusque là”
Il rougit un peu, même au travers de sa peau halée par le soleil et mes lunettes noires c’était perceptible.
Il pris son portefeuille dans la poche de son pantalon, et un stylo dans sa chemise. Il griffonne quelque chose et lui tendis le papier.
C’était une carte de visite. Il ajouta à notre attention
“Si jamais vous voulez venir chercher vos fruits et légumes en direct chez moi pas de soucis, j’habite a seulement quelques minutes d’ici et le samedi par exemple je suis sur l’exploitation, mes employés font le marché. J’ai une grande maison et les terres sont autour de la propriété… j’ai écrit mon numéro de portable personnel au dos... et j’habite seul”
La dernière partie avait été rajoutée longuement après le début, si l’on avait pas compris le message il fallait être assez stupide en plus. Plus je le regardais et plus je trouvais qu’il ressemblait à Cary Grant au même age bien sur, c’est vrai qu’il était plutôt mignon et ces manières ne faisaient pas penser a un maraicher traditionnel.

Nous sommes rentrés et pendant presque quinze jours nous n’avons pas acheté de légumes. Ma femme fit remarquer cela et dit alors
“demain nous sommes samedi, et si nous allions chercher nos légumes chez le producteur qui nous a donné sa carte la dernière fois”
Je ne pus que dire a cette question
“Toi tu as une idée en tête et ne me fais pas croire que c’est juste pour acheter des légumes à 50 kilomètres de la maison”.
Elle me confirma qu’elle avait bien une idée en tête mais qu’elle ne développerais pas bien plus le sujet et ce n’étais pas seulement baiser avec Franck, puisque tel était son prénom.
Elle saisit son téléphone, pris la carte et pianota le numéro inscrit.
Elle attendait un instant et l’on décrocha à l’autre bout, j'entendais le son de sa voix et le bonjour franck à l’appareil.
Elle dit alors
“Bonjour Franck, c’est Florence à l’appareil nous nous sommes vu dernièrement sur le marché de Montbrison et vous nous avez mon mari et moi à transporter nos courses jusqu’à notre voiture”
Je ne distinguais pas la réponse qu’il lui dit alors, elle reprenais
“C’est très gentil à vous. Nous serions passé si possible demain vous acheter un peu de votre production et visiter votre exploitation, dites moi juste une heure qui vous conviendrait”
Il répondit à nouveau mais je ne distinguais pas les mots. Elle écouta silencieusement.
“Je crois que nous sommes d’accord, je n’en parle pas à mon mari il me fait confiance et je sais que demain rien n'est prévu dans son agenda, alors c’est entendu à demain 10h donc, bonne journée”
Il dit à nouveau quelques phrases de son côté, elle écoutait et me fit un petit clin d’oeil.
Elle raccrocha sans mot dire.
“Alors que t’a donc dit ce beau Franck”
“Il était heureux de notre appel, il serait ravi de nous faire visiter son exploitation, il nous invite pour le déjeuner chez lui”
“C’est tout et bien il a pas froid aux yeux celui ci”
“Tu ne crois pas si bien dire, je crois que lui aussi a une petite idée en tête, il m’a demandé de porter la même tenue que la dernière fois, il se soiuvenai parfaitement de ma robe blanche.
Je suppose même et surtout qu’il se souvien encore mieux de ce qu’il y avait dessous”
Nous éclatons de rire en même temps.
Samedi 8h30 nous étions déjà prêt à partir, me femme pris son petit sac à dos, quelques affaires et enfourna une boite de 12 préservatifs dans son sac.
“Et doucement ma belle, je te rappelle juste qu’il est tout seul” Elle rit en me décochant
“Oui tout seul au milieu des ses fruits et légumes”
La distance fut parcourue encore plus rapidement qu'à l'accoutumée. 9h20 nous étions déjà à sonner à la propriété.
Il arrivait à la grille, seulement vétu d’un short long, bourré de poches, des crocs aux pieds.
“Mais il est déjà dix heures” dit-il
“Non mais nous étions en avance ce matin alors nous sommes arrivés plus tôt, comme cela nous profiterons plus des lieux” Elle avait pas froid aux yeux ma chérie, il suffisait de lui dire on aura plus de temps pour baiser que l'effet aurait été le même.
Il nous devança prenant soin de bien fermer la grille de l’entrée, nous avancions jusqu’à la terrasse, il venait de se préparer son second café, il était debout depuis 5 heures ce matin comme tous les autres jours et encore aujourd'hui c’était plus tard qu'à son habitude.
Il nous proposa une tasse et de profiter du pain frais apporté par un employé le matin même avant de partir sur la marché.
Nous prenions place face au soleil, sur la terrasse surplombant le reste du domaine.
Au bout de quelques minutes il nous proposa d’aller visiter un peu les lieux.
Nous sommes tous montés dans le 4x4 disposé au pied de la butte, pour aller voir dans un premier temps les champs, à perte de vue, plantés de légumes, d’arbres fruitiers . Sans nous arrêter plus que cela nous sommes passés près des serres. Il proposa une visite rapide des lieux gigantesques. Trois dômes de plus de 20 m de large sur 100 m de long nus faisaient face, nous pénétrons dans la première. une chaleur moite et déjà étouffante en ce mois de Juillet nous écrasa littéralement, il parlait bien, expliquant chaque chose avec précision, pédagogue sans être pédant.
je commençais a vraiment moi aussi apprécier sa compagnie.
Nous transpirions tous déjà, Florence avec sa robe de coton légère, celle ci commençait à lui coller à la peau, on voyait la couleur changé légèrement au niveau des parties les plus humides. On voyait aussi parfaitement au travers du tissu collant ses mamelons durs et pointés en avant. Cela n’échappa pas à notre hôte. Il dit que l’humidité ici est de près de 90% et la chaleur supérieur de 10 a 20° par rapport à l’extérieur.
Nous ne restions pas plus que nécessaire, il nous entraîna alors vers les immenses frigos, la porte du plus grand laissait passer allègrement un semi remorque.
Il ouvrit un plus petit et nous entrions, changement total de température, ici au contraire la température ne montait jamais au dessus de 6°.
Par peur d’attr froid nous sortions au bout de seulement quelques minutes, juste le temps de voir les rangées de caisses numérotées placées sur une hauteur de plus de 5 m.
Puis vient le moment du magasin. L’étal était aussi fourni que sur le marché, la présentation en moins.
Les légumes se succédaient, Florence commença alors à faire son choix, elle rempli deux cageots de d‘aubergine, une botte de belles carottes, trois concombres, au moins cinq courgettes de tailles très différentes, tomates puis quelques fruits comme des cerises, mirabelle et prunes.
Elle s’arrêta a coté de la caisse et Franck dit alors
“On regardera cela après le repas j’ai une balance et un grand frigo à la maison, il est temps d’y aller”
Il était 10h30 au clocher de l’église lointaine.
“Il est temps de préparer le repas de ce midi, concombres à la crème d’estragon en entrée et souris d’agneau et ratatouille maison ca vous convient”
“Pas de soucis, voulez vous un peu d’aide en cuisine ?” dit alors ma femme.
“C’est très gentil a vous de me le proposez nous avancerons plus vite a 3 que moi tout seul”
Chacun pris son rôle au sérieux, je lavais et coupais les tomates dans un premier temps, Franck s'affairait au four déjà chaud et l’agneau placé à 200° dedans. Florence éplucha le premier concombre. Elle le tenait droit, s'activant a retirer la peau avec un éplucheur, Elle coupa la base et il tint tout seul sur la table.
Chacun rit de ce tour, mais elle avait une autre idée. Elle le saisit et tout en soulevant légèrement sa jupe elle le coince entre ses cuisses. La le doute n’était plus permis quant à la suite à donner à la journée.
Franck rit et dit alors
“Et bien à ce rythme on est à pas prêt de déjeuner, mais est ce le plus important ?”
Il s’avance vers Florence, la plaqua contre les éléments bas de la cuisine, elle serrait les cuisses, il souleva légèrement sa robe et pris le concombre fraîchement épluché. Il souleva un peu plus haut la robe avec son extrémité. Dévoilant alors une culotte blanche ornée de fine dentelles. Il posa le concombre sur le plan de travail et souleva FLorence à par les hanches pour la poser à côté du légume. Celui ci était long, brillant de fraîcheur, il fixa ma femme dans les yeux et dai alors
“C’est bien ce que tu désire là maintenant ? Tu ne connais pas le maraîcher et la belle variété de légume qu’il possèdes ?”
Sa seule réponse fut de poser un pied sur le plan de travail, laissant l’autre jambe dans le vide. Ainsi posé elle dévoilait un peu plus sa culotte, Florence baissa la main et empoigna le coté du tissu, dévoilant enfin ce qu’il attendait tant en tirant sa culotte de coté. Elle exposait son sexe glabre, on voyait ses fines lèvres ourlées, elle passa ses doigts dessus, les écartant au passage pour faire admirer son sexe tel un papillon.
Il se mit à genoux, approchant son visage au plus près, il respirait bruyamment ses effluves et darda sa langue pour effleurer chaque recoin de son sexe. Il prenait son temps pour humidifier savamment ce bel écrin. Florence s'avança un peu plus dans le vide, elle posa son second pied sur son épaule, ainsi elle lui donnait un accès plus libre.
Il lécha longuement son sexe, pénétrant de la langue entre ses lèvres effilées. Puis il prit le concombre à ses côtés, en éprouva la consistance, il mordis un côté et macha le tout calmement. Il remonta son regard, il croisait à présent celui de Florence qui attendait son bon vouloir, il sourit puis fit pénétrer doucement le légume vert.
Elle soutenu le regard un long moment, juste assez longtemps pour voir disparaître les vingt premiers centimètres en elle. Puis elle bascula la tête en arrière, les deux mains posées derrière elle pour garder l’équilibre. Il prit son temps pour manoeuvrer l’objet plus profondément encore, puis le retirait à un rythme lent. Il poussa un peu plus loin encore, surpris qu’il était de voir la longueur qu’il gardait en main. Peut-être que 30 centimètres étaient déja en elle et elle ne disait rien, on entendis seulement sa repiration qui devenait plus profonde. Il poussa encore cinq centimètres, sa main touchant à présent son sexe il gardait encore 10 centimètres dans sa main.
Il se tourna vers mloi et un un regard interrogateur du style et maintenant je fais quoi ?
Je ne dit rien, juste un geste dans la direction de Florence qui le regardais à nouveau.
“Et bien qu’attends tu donc, mon grand. Penses tu que tu as ici quelque chose qui me fasse peur ? … Vas y…. encore”
Il posa le bout de ses doigts sur la partie coupée du concombre et appuya encore dessus, cinq centimètres supplémentaires la pénétrait maintenant. il stoppa et lâcha ce bel objet, il reculait Florence perdit presque l’équilibre alors. Elle se retenait en appui sur les mains les fesses décollées du plan de travail, elle recula légèrement. Le concombre était maintenant posé sur la surface. C’est l’instant qu’elle choisit pour se pénétrer profondément avec. Elle posa ses fesses et le regard de Franck ne lachait pas ce beau légume sui disparaissait presque entièrement maintenant. Elle pris un grand plaisir, sonore, bruyant et ne retenais pas les contractions de son sexe.
Elle resta aisni quelques dizaines de seconde, puis elle descendit avec d’infinies précautions, posant ces pieds sur les cuisses de notre hote toujours a genoux. Elle se mit sur la pointe des pieds jambes légèrement fléchies, cuisses ouvertes. Sans un mot sans une aide elle expulsa le légume par petites contractions musculaires.
Il sortit totalement et tomba dans les mains de Franck.
Elle dit alors
“Et ce n’est que l’entrée je crois, dans tous les sens du terme.”
Je regardais autour de moi, inspectait le frigo. J’avais trouvé son bonheur, des carottes fines et longues en botte d’une vingtaine dans le compartiment du réfrigérateur. Sur le plan de travail face a moi je ne cherchais même plus, ratatouille c’est courgettes et aubergines. Toutes avaient une taille différente les plus gros légumes étaient énormes.
Je pris le tout, les lava soigneusement et les posa a nouveau sur le plan de travail.
Franck a du nous prendre à cet instant pour des extraterrestres, il me regardais et dit alors
“Ne me dites pas que tout cela va être utilisé ici et maintenant”
Florence riait aux éclats, le jeux de mots était facile à faire, elle l’avait compris avant que je ne le dise
“Si ici et maintenant il est juste question de savoir si il passe directement dans la casserole ou d’abord par mon épouse, c’est la seule question à se poser.”
J’avais moi aussi parfaitement saisi son envie de légumes saisonnier et ce n’était pas que pour leurs capacités gustatives.
Elle se leva vers moi et prit la botte de carottes, elle enleva l’élastique qui les retenaient et les disposaient face à elle dans un ordre précis, elle prenait d’abord les plus grosses pour terminer par les plus petites, la taille était plus aléatoire. J’écartais un peu les légumes nosn sélectionnés et les mettaient de coté.
Sur l’ilot central, Florence monta avec l’aide de Franck, elle se pencha vers moi et m’embrassa tendrement
“Alors tu as donc compris rapidement ma subite envie de légumes frais, en fait tout c’est passé lors de notre visite au marché quand j’ai saisi les concombres qu’ils me tendaient. Je t’avoue maintenant que notre dernier repas avec ceux ci avait une saveur particulière pour moi…”
Je compris qu’elle s’était au préalable introduis ceux ci avant que nous les dégustions au déjeuner peu après.
“Tu es sacrément coquine dit donc maintenant, mais tu sais que tu me plais encore davantage”
Je l’embrassais fougueusement, pendant qu’elle se positionne à genoux sur l'îlot.
Elle écarta légèrement les cuisses et demanda à Franck des coussins car la surface était dure et froide. Il partit au salon et revint avec quatre ou cinq coussins, il positionna les deux plus petits sous ses genoux et fit une pile sur laquelle elle posa sa poitrine. J’avais profité de cet instant pour enlever sa robe, elle était donc nu au milieu de la cuisine, offerte à nos désirs et prête pour son plaisir.
Les carottes alignées avaient été réparti en deux paquets a sa droite et a sa gauche.
Je pris le première donc l’une des plus grosses, je m'approchais de son sexe et l'introduit avec facilité. Un signe de tête a Franck pour qu’il fasse pareil. Il se saisit de sa première carotte et celle ci rentre encore aisément. Nos deuxièmes et troisièmes prirent le même chemin avec la même facilité.
Dans ma main la quatrième il en restait 17 sur le plan de travail. Je choisis un emplacement facile encore une fois elle se perdit avec les autres. Franck fit de même en approchant la sienne par le bas. Voici donc 8 légumes insérés dans son sexe. Les fanes donnaient le coté amusant d’être planté dans un jardin vertical, elles retombent cachant le mont de vénus.
Ma cinquième entra encore sans grande difficulté, Franck tourna autour quelques secondes pour faire de même avec la sienne.
La bouteille d’huile d’olive était ouverte, j’en versais dans un bol à proximité et je place celui ci entre les cuisses de Florence.
Je trempe alors ma sixième carotte dedans et la badigeonna avec les doigts sur la longueur, son sexe commençait a se remplir certes, mais l’huile faisait son effet en faisant disparaître rapidement les trois quarts de ce légume.
S’en est poursuivi un jeu de Tétris sexuel, ou le but ultime était de placer son légume sans que celui ci ne tombe.
Il nous restait deux carottes chacun, donc nous étions déjà à vingt au dans son sexe.
Elle remuait de plus en plus à chaque nouvelle introduction, son sexe s'élargissant peu à peu, elle travaillait sa respiration et essayait de se décontracter au maximum. La mienne trouva place au milieu de la botte en poussant un peu deux autres de plus belles tailles.
Franck compris le jeu et chercha une ouverture semblable, il essaya à plusieurs reprises des emplacements mais n’y parvint pas, allait il s'avouer vaincu. je l’aidais en lui indiquant une petite place au beau milieu des plus gros de ces légumes, il essaya et y parvint dans une nouvelle contraction de Florence. Il ne nous restait qu’un légume moins épais qu’un petit doigt. Mais cela devenait fort complexe, son sexe élargi à l’extrème ne laissait plus beaucoup d’espace de jeu. Je fis comme au tour précédent, poussant légèrement de côté une des plus grosses, je trouvais alors un chemin fort étroit mais encore praticable. C'était difficile, Franck pris le bol et le vida au milieu des carottes fichées dans sons sexe, il remis le bol entre les cuisses récupérant l’huile avant d’inonder la table. Ca y est, il me regardas et compris que le défi était grand, il chercha et essaye plusieurs options et n’en trouva pas, en bon joueur je l’aidais, nous nous sommes penchés un peu tous les deux et nous avons aperçu un espace minuscule juste eu dessus de son clitoris, je guidais sa main et il enfonce doucement sa dernière carte.
“La partie est terminée nous avons épuisé toutes nos munitions” dit il heureux.
Florence ne bougeait pas s’abandonnant au plaisir de la dilatation extrêmement lente. Elle ondulait maintenant le bassin de gauche à droite, puis se cambra davantage, les carottes bougeaient dangereusement. Elle ne pouvait pas les expulser d’un coup, je proposais alors a Franck de prendre dans sa main les fanes et de tirer très doucement à chaque contraction du corps de Florence. Je retenais d’une main les carottes pour que celles ci ne soient pas expulsés d’un coup sec. Il comprit rapidement lorsqu’il devait tirer et lorsqu’il devait s'arrêter.
Elle mis de longues minutes a expulser le tout, Elle s’affala sur les coussins les genoux toujours posés sur les autres petits coussins. Nous étions derrière observant ce qu’était l’intérieur d’un sexe féminin, ses lèvres étaient très grandes bien sur, mais ce qui est toujours le plus impressionnant c’est le fond de ce magnifique orifice.
Je saisis mon téléphone et activa la lampe torche, nous éclairons au mieux pour apercevoir l’entrée de son utérus étroit. Franck ouvrit un tiroir et sortit une mine maglite, étroite avec un faisceau extrêmement puissant, il me la tendis. Je lui dit simplement alors ;
“C’est à toi de voir ce bel emplacement à ton tour d’être le premier aujourd’hui à observer la profondeur de cette caverne magique”
Il approcha et posa la lampe au bord de cette grotte, Florence contrôlait parfaitement ses contractions et ne ferma pas la porte. Il ne détachait pas son regard ouvrant des yeux comme s’il venait de voir le plus bel objet du monde.
J’eu une subite et étrange idée, je me tournais et chercha dans un tiroir. J’avais vu quelque chose tout à l’heure et je le cherchais, ca y est je l’ai, je le pris et me retournait vers Franck.
“Alors tenté ou pas ?”
Je trempa l’extrémité dans le bol encore à moitié plein d’huile, je me plaçais au plus près du sexe encore ouvert de ma femme. Il s’agissait d’une grande cuillère a soupe en acier inoxydable, le manche était très fin 5 mme tout au plus, seul l’emplacement de la main offrait un diamètre de moins de 15 mm sur une longueur de 7 à 8 cm, aucunes aspérités, parfaitement lisse.
Je glissais ce manche à coté de la lampe torche qui éclairait encore parfaitement cette caverne, Florence ne dit rien, elle n’avait pas vu l’objet non plus, je m’emparais du gel lubrifiant qui ne quittais pas ma poche. J’appuie et envoi une belle rasade sur l’orifice tout au fond. Je poursuis mon exploration, ma femme sent tout à coup quelque chose et ferme l’entrée de son sexe.
“Détends toi encore un instant stp nous n’en avons pas fini encore ici”
Elle accepta de bonne grâce et se décontracta de nouveau, on pinçait chacun une de ses grandes lèvres pour avoir à nouveau l’image de sa cavité. Le manche était au bord de l’utérus, je le poussais d’un coup sec sachant que je n’aurais pas une seconde chance, Florence sa cabra et referma sa grotte magique, on devinait encore le faisceau lumineux dans son sexe.
“Décontracte toi encore chérie le plus dur est fait”
Elle accepta une nouvelle fois en sachant très bien notre jeu pervers, je laissa le manche à Franck qui prenait un grand plaisir à manoeuvrer la cuillère de métal. Il pénétrait sur quelques centimètres son utérus et regardait ensuite le résultat en enlevant le manche, il dû le faire au moins une dizaine de fois sans lâcher ce spectacle deux yeux, Florence haletait maintenant criant une nouvelle fois une jouissance inédite et extrêmement puissante.
Elle referma son sexe à notre regard et se laissa choir sur le ventre au milieu de l'îlot de sa grande cuisine. Deux orgasmes aussi proches il n’en fallait pas plus.
Franck nous invita a nous mettre au salon, davantage de confort serait bienvenue.
les deux canapés sont couverts d’énormes coussins, il y en a partout.
Franck nous quitte quelques secondes, juste le temps d’aller récupérer les couettes des 3 lits de la maison, il repart et revient avec les pleins bras de coussins de toutes tailles et de toutes formes, il porte accroché a chacune de ses mains des fauteuils poires ou l’on se trouve si bien.
Il dispose tout cela au milieu du salon, ayant pris soin d’enlever la table et de reculer les deux canapés. Il crée ainsi un espace de carré de 3m de côté environ.
Il propose a Florence de s’y poser, elle accepte et s’enroule dans une couette, elle ferme les yeux, je sais qu’elle a cette capacité incroyable de s’endormir en moins d'une minute à peu près n’importe ou.
Midi approchait, je crois que la ratatouille sera pour une autre fois. On se lève la laissant alors et direction la cuisine. Changement de légumes, courgettes à la crème et riz pilaf devrait faire l’affaire, les hommes en cuisine et en moins d’une demi-heure tout était presque prêt. Nous nous mettons alors sur la terrasse sirotant un verre d’une boisson anisée très connu, rempli de glaçons, c’était ce qu”il fallait. La température devait atteindre les plus de 30° à l’ombre. Nous étions torse nu simplement vêtu de nos short.
La discussion débuta alors
“avec mon travail sur les marchés, c’est souvent que je rencontre des femmes seules ou esseulées, et ca me va très bien ainsi. Mais jamais je n’ai trouvé un mari joueur et preteur comme toi .”
“En quelques mois Florence a beaucoup changé coté sexe et possibilités, elle s’est ouverte à de nouvelles pratiques et maintenant j’ai l’impression qu’elle ne pourrait plus s’en passer”
“Cela veut donc dire que ce n’est pas une première fois alors”
“Non ce n’est pas sa première expérience libidineuse, nous avons déjà essayé ensemble plusieurs alternatives au plaisir, toutes couronnées de succès”
“Et bien c’est vraiment bien de s’entendre à ce point”
“Oui en effet”
Et je commençais à lui parler de la première fois avec notre pote black Sammy, de son expérience entre filles, de sa soirée SM, de notre week-end Drômois.... il ouvrait grands les yeux, il ne perdait pas une miette du récit.
“Et bien je comprends un peu mieux maintenant, ces incroyables envies”
“alors les garçons on parle de moi ?” Florence s'était réveillé, son visage respirait à nouveau la tranquillité, elle n’avait enfilé que sa robe boutonnée que vers le bas, je percevais quelle n’avait pas cherché sa culotte, elle s’assit sur mes genoux et demanda une boisson à Franck, Martini blanc sirop de fraise si possible. Il avait et partit donc chercher cela au salon.
Elle me dit alors au creux de l’oreille
“merci de m’avoir laissée me reposer un peu je suis en grande forme maintenant, elle saisi ma main et la porta sous sa robe, au creux de ses cuisses, et je sent que la journée n’est pas encore fini”
Je la caressais ici et portais une main dans le creux de ses reins, sa langue saisissant la mienne dans un baiser passionné.
Franck refis surface, le verre tintant de glaçons.
Le repas fut délicieux, nous avons souris ensemble au moment de manger l’entrée, repensant sans rien dire, au parcours de ce légume avant celui de nos assiettes.
Il était temps de se poser langoureusement au milieu du monticule de coussins disposés au milieu du salon. Florence fut la première à s’allonger à nouveau, elle ouvrit les bras et chacun de nous deux se posait à ses côtés. Nous avions adopté la même posture allongé sur le côté, la tête relevé. Ma main libre commença à dégrafer les boutons restants de sa robe. J’en écartais les pans lorsque Franck bascula sa bouche pour happer un mamelon tendu. Il le mordis légèrement et le fit ensuite rouler entre ses lèvres.
Il posa sa main à la naissance du pubis lisse. Il regardais Florence dans les yeux tout en descendant sa main sur son sexe. Il entrouvrit celui ci d’un doigt rapide.
Elle susurra alors brutalement “baise moi s’il te plait, là maintenant, donne moi encore du plaisir”
Il sourit à nouveau et s'exécuta, il quittait son short et laissait apparaître pour la première fois un sexe déjà dur. Son gland était apparent et luisant, il était bien pourvu par la nature, pas foncièrement très grand mais très épais.
Florence le vit et le saisi, elle s’appliquait à le rigidifier davantage, sa main fermé dessus, ses doigts ne le fermait pas laissant un espace de 2 cm entre le pouce et l’index. Elle en appréciait la texture dans sa main, moi je fouillais mes poches à la recherche d’un préservatif. Trouvé.
Franck le prit déchira l’emballage avec les dents et le déroula sur son membre.
Florence avait écarté les jambes, son sexe n’avait pas encore repris des proportions normales, mais elle devait se dire alors que la pénétration de ce bel engin n’en sera que plus facile.
Il se mit en appui sur ses genoux et les mains de part et d’autre du corps allongé.
Florence prit soin de le guider jusqu’à la porte et donna un premier coup de rein, seul le gland toucha ses grandes lèvres. Il était aligné et me regardais.
“C’est le moment elle attends cela avec impatience semble t-il”
Elle remuait d’avant en arrière, il appuya et le sexe pénétra dans son sexe offert. Il progressa lentement tout de même, il est vrai que l’élasticité c’était en partie refaite et que ses dimensions hors normes imposait des précautions. Il buta contre les cuisses qu’elle avait relévés, passant ses jambes au niveau des épaules larges de Franck.
Ainsi ouverte il entrepris de grands va et vients, de ma position d’observateur je voyais les grandes lèvres de Florence frottées contre son membre dur.
Je pinça son clitoris entre le pouce et l’index assez fort pour qu’elle gémisse, puis plantait mes ongles et reprenais la pression, elle gémissait de plus en plus fort, je tirais sur ce petit morceau de chair, l'étirant et le lachant maintes et maintes fois. Lui imprimait à son sexe de larges mouvements, il prenait appui bien au fond pour ressortir son gland l’instant d’après, il la pourfendait agréablement. Je le savais à la respiration de Florence qui s’accélérait.
Il prit son temps, lentement puis plus vite, il savait alterner arrachant un plaisir de plus à mon épouse.
Il se cala au fond et dans un râle rauque il éjacula, tout son corps se tendait et se secouait. Il resta bien au fond quelques instants et roula sur le côté juste après. Florence fermait encore les yeux, profitant un peu plus de ce nouvel instant. Elle se retourna et lui dit merci en posant un baiser sur la joue, elle fit demi tour et fit de même avec moi.
Elle se releva lentement et pris la direction de la cuisine, elle revint avec trois verres, une grande bouteille d’eau et des glaçons, production direct du frigo américain.
Elle but un grand verre d’eau très fraîche, les quatre glaçons tintaient dans le verre.
Elle les renversa sur le coussin face à elle, en pris un et le passa sur la pointe de ses seins, le froid rendit très dures ses mamelons sensibles.
Elle descendit le long de son ventre, le glaçon fondait dans sa main, mais laissait sa trace sur sa peau. Elle le prit du bout des doigts et le glissa dans son sexe, elle le poussait le plus loin possible, les autres prirent le même chemin, elle sentait la morsure du froid dans son sexe, mais cela faisait du bien.
Je partais à la cuisine et revenais avec une cagette pleine de fruits et de légumes.
Je devinais parfaitement ses pensées et à son sourire elle me fit comprendre que c’est bien ce qu’elle voulait, là et maintenant.
Je me saisit alors d’une courgette, taille respectable mais pas monstrueuse. Je l’approchais après l’avoir enduite de gel. Franck regardais le spectacle. Je la mit entre ses jamnbes faisant mine d’hésiter entre les deux orifices, elle souleva un peu ses fesses, elle avait fait le choix. Le légume se plaqua sur son anus et écarta le sphincter d’une première pression, la course se poursuivais jusqu’à ce que seulement 5 cm dépasse alors, elle reposa les fesses sur le coussin, le légume était maintenant bloqué entre ses fesses.
Le second était long de forme oblong un côté assez large et l’autre beaucoup plus fin, il prit sa douche au gel aussi, pour celui ci le choix n’étais plus possible. C’est Florence qui décida du coté, elle le pris en insérant la plus grosse partie dans son sexe. Elle le poussa lui aussi, sa forme était parfaite, car dès l’absorption de la partie la plus épaisse le reste rentra sans souci.
Elle remuait légèrement. Franck posa ses mains sur le légume et entrepris de lui faire faire quelques mouvements. Elle accepta et nous regardait alternativement, en appui sur ses coudes. Elle regardait dans le panier de légumes et souris à nouveau. le choix du troisième était plus difficile, il restait un trop gros et deux autres plus petits mais aux formes différentes, l’un était légèrement courbé mais peu large, le second plus large était lui parfaitement aligné. Florence indiqua du regard le premier.
Nouvelle douche et nouvelle approche pour celui choisi.
Je le calais juste entre le clitoris et l’entrée de son vagin. Il luisait de gel, les premiers centimètres furent difficile tant les deux autres occupaient leur place dans ces cavités. Une fois que la première partie la pénétra ce fut un peu plus facile.
Nos mains hors de son corps notre position nous permettait de voir une fois de plus l’extraordinaire élasticité d’un sexe féminin. les deux courgettes occupaient tout l’espace.
Je saisis la plus grosse par l’extrémité et Franck fit de même avec la seconde, délicatement nous les avons fait tourner sur eux-mêmes, ma femme appréciait cette opération, elle gémissait une fois de plus. Puis nous avons tenté de changer leur position d’arrimage, cette fois ci c’était plus difficile de les faire tourner ensemble dans son sexe. Le second se déplacait sur le coté droit, les deux courgettes étaient maintenant en travers. Florence cria un peu. Elle souleva les fesses et expulsa le légume de ces fesses
“Pardon les garçons mais la ça devenait douloureux avec celui ci.”
Elle se posa à nouveau, nous avions fait le tour les deux courgettes avait maintenant inversé leur position.
Je décidais de remuer la mienne dans son sexe, imprimant de légers retraits poiur se renfoncer à nouveau, Franck fit de même et Florence jouit une nouvelle fois en inondant les coussins d'un jet mélangé de cyprine, de gel et liquide jaune.
Elle se cambra et serra son sexe sur les légumes, l'instant d’après elle expulsait à la seule force de ses muqueuses les deux courgettes. Son sexe palpitait les lèvres distendues retombantes sur les côtés de de son sexe une nouvelle fois ouvert à notre regard.
Elle haletait, son corps couvert de sueur, brillant sous cette lumière, elle respirait fort.
Puis elle ferma les yeux et on entendis sa respiration ralentir peu à peu, il lui fallu quelques minutes pour refaire surface, souriante et détendu à nouveau.
Elle nous regarda l’un puis l’autre et ajouta
“Je crois qu’il reste un légume que je n’ai pas goûté aujourd’hui avant les fruits du dessert”
Nous regardions, en effet il ne restait qu’un seul légume dans le panier oui mais quel légume !
Couleur violacée, d’une taille incroyable, l’aubergine était posé au fond.
“Cela me semble difficile ne crois tu pas”
“Au contraire je sens aujourd’hui que c’est parfaitement possible”
Nous regardions, cette aubergine.
“Franck aurait tu un mètre souple stp” demandais je alors.
“Oui dans la cuisine, je vais le checher
Mesure prise de la longueur, un peu plus de 25 cm, mais la circonférence dépassait les 31.5 cm, pas besoin d’être mathématicien, cela faisait un diamètre de plus de 10 cm tout rond.
“Non je crois que ce n’est pas physiologiquement possible”
“Laisse moi au moins essayer, s’il te plait” dit-elle.
“Tu te connais mieux que quiconque alors si tel est ton plaisir, vas-y”
Elle mit du temps à tendre la main vers cet énorme légume.
Nous nous sommes assis face à elle et regardions.
Elle en éprouvait la texture douce et tendre, pas la dureté d’un légume ordinaire.
Elle tira la petite table de salon vers elle, et s’assit dessus les pieds au sol de chaque côté.
“A vous messieurs de le préparer, je me chargerais seul du reste, st pouvais, mon chérie, m’enduire de gel ce serait bien je crois”
Franck se redressa et aller cherche un couteau dans la cuisine, il taille net le légume pour qu’il repose seul droit sur la table, petit côté posé”
“Voila une bien belle idée, ce sera certainement plus facile” dit-elle
il prit le gel et caressa longuement le légume ainsi posé.
Elle avait décollé les fesses de la table et toujours dans la même position m’offrait son sexe que je peignais intérieur et extérieur d’une grosse quantité de lubrifiant. Chose faite nous nous asseyons face à elle. Assis au sol nous avions une vue imprenable sur ses cuisses st sur ce légume violacée.
Elle avala une grande quantité d’air et se détendit au maximum, elle se plaça a la verticale et posa son sexe. Elle appuyait doucement sans efforts particuliers. Elle essaya à plusieurs reprises, puis dit alors :
“Je crois que je vais avoir besoin d’un peu d’aide, car mes grandes lèvres ne veulent pas suffisamment s’écarter elle me géne”
Je tendis alors ma main sur le côté droit de son sexe et prenait dans mes doigts ses lèvres et les tiraient vers sa cuisse, Franck fit de même de l’autre côté.
Elle reprit une grande goulée d’air et se posa a nouveau, nous faisions notre possible pour ne pas lâcher, Le dessus du légume avait disparu, mais sa forme ronde ne facilitait pas le début de l’introduction.
Elle se reprit et appuya un peu plus, il progresse très lentement, seulement quelques millimètres étaient maintenant rentrés.
Elle se posa sur la pointe des pieds, posant ses mains sur la table juste derrière ses fesses.
Elle essaya à nouveau, l’objet était vraiment hors normes par sa taille.
Elle quitta le sol de ses pieds, elle pesait de tout son poids en appui sur ses mains et sur le légume collé à son sexe.
Cela ne suffisait pas encore.
Elle inspira a nouveau et dit alors
“Je sais que je peux le faire. Viens derrière moi, assis toi aussi sur la table et attends mes instructions”
Je me levais donc et laissais Franck s’occuper de mon poste aussi.
Je me collais au plus près de son dos, elle était en sueur, sa respiration rapide.
Elle me demanda de poser mes mains sur ses hanches et d’attendre.
Elle releva les pieds du sol toujours dans cette position d’équilibre instable.
“vas y maintenant, aide moi appuie sur mes hanches, fort aussi fort que tu le peux”
Je m'exécute, appuyant comme elle me l’avait indiqué.
L’objet la pénétrais un peu plus maintenant. Mais cela n’était pas suffisant.
“ Tu ne m’appuie pas assez dessus dans cette position, pose tes mains sur mes épaules ce sera plus facile”
Je me levais donc et fit ce qu’elle indiquait, elle reprit une énième grande inspiration et d’un signe de sa tête je savais que c’était le moment.
Je forçais sur ses épaules, elle avait la pointe des pieds sur le sol. Elle soufflait, haletais mais je savais que c’était maintenant ou jamais. Elle cria et d’un coup ses épaules se sont baissés, elle hurla quand l’aubergine fit céder la résistance de son sexe. Franck avait les mains autour du légume et coinçait la fin de cette pénétration gigantesque. Elle cria de plaisir en disant que ca faisait mal mais qu’en même temps elle jouissait comme jamais.
Elle se posa en reprenant un peu son souffle. Maintenant que la plus grosse partie est passée le plus dur est fait di-elle.
Elle regarda Franck et lui demanda d'ôter ses mains maintenant. Elle descendit encore un peu plus sans aide extérieur. L'aubergine emplissant alors son sexe entièrement, plus le moindre espace entre ce légume et sa peau. Elle se laissait admirer, le sexe défoncée par cet énorme légume.
Elle s’allongea sur le dos avec d’infinis précautions. Elle nous offrait alors un spectacle en tout points ahurissants, je n’aurais pas parié sa réussite
Elle réussi à me sourire et dit
“Alors qui avoir raison une fois de plus, j’ai réussi quelque choses d’incroyable ou même;moi j’avais des doutes, mais je suis très satisfaite et merveilleusement comblée, et toi qu’en penses tu ?
“Si tel est ton plaisir alors c’est aussi le mien, je t’aime pour tout ce que tu fais pour moi, pour toi, pour nous”
Je l’embrassais tendrement au milieu des larmes qui mouillaient son visage.
Elle resta ainsi prostrée dans cette position, immobile et offerte une fois de plus.
Puis elle dit
“Le chemin inverse me semble encore plus compliqué, je ne sent plus assez de contractions pour pouvoir le ressortir maintenant”
Franck eut alors une idée, il se précipita dans la cuisine et revint avec un petit objet dans la main.
“La seule solution est de vider l’intérieur de l’aubergine de façon a en diminuer la taille après sa peau et sa chair son suffisamment élastique et lisse pour le chemin inverse’
Il tendit vers nous un petit objet qui sert habituellement a tailler des petites boules dans les melons.
Il s’affaira donc à vider le légume par petites boules, il prenait d’infinies précautions pour ne pas le faire bouger davantage et encore moins toucher la peau fine.
J’étais à coté du visage de Florence qui me regardais tendrement serrant ma main dans la sienne. Il oeuvrait pendant de longues minutes, quand une grande partie de la chair tendre du légume était découpé il nous fis signe.
Il avait la position du gynécologiste lors d’un accouchement, Florence lui dit remarquer et il rit de bon coeur.
“Bien et maintenant il va falloir pousser un peu madame, je vois la tête”
Nous sourions tous à cette phrase. Serrant un peu plus ma main et en fermant les yeux Florence poussa donc plusieurs fois, Franck essayant de prendre au mieux le légume pour l’aider, puis ce fut la délivrance brutale comme un accouchement ou presque. Elle reposa sa tête et fermas les yeux. Elle était épuisée d’un tel effort.
Elle bascula dans les profonds coussins, et se posa en chien de fusil, elle ne bougeait plus, je prenais une couette toute proche et couvrait son corps nu, elle se rendormit ainsi en moins d’une minute.
Nous en avons profité pour ranger la table, faire la vaisselle, remettre les coussins et laver ce qui devait être lavé. Il dit alors
“je crois que je vais garder cette aubergine pour ma ratatouille de demain, elle auras certainement un goût plus spécial encore”
Un sourire lui a fait comprendre que c’était une excellente idée.
Elle est restée ainsi une trentaine de minutes, nous étions presque silencieux dans nos canapés de part et d’autre de son corps.
Elle a rouvert les yeux, à nouveau fraîche comme si rien ne s'était encore passée. Elle a tiré la couette et nous a invités à ses côtés. Franck collé a son dos et moi collée à son ventre, nous l’avons calinée une fois de plus. Et pour nous remercier de tout cela elle a offert son cul a Franck dont le sexe grossissait contre ses fesses. Moi j’ai eu le droit à une merveilleuse fellation dont elle a le secret.
Nous nous sommes vidés en elle. Elle a tremblé un peu puis a déposé un baiser sur chacune de nos bouches.
Elle a demandé à prendre une douche et s’est enfui en direction de la salle de bains.
Seuls tous les deux nous nous sommes rhabillées et avons finis le rangement. Elle revenait déjà, souriante dans sa robe blanche.
“il est peut être temps de prendre congé maintenant nous n’avons que trop profité de l’hospitalité de notre hôte, juste payer aussi les légumes avant”
“Il n’en ai pas question, le plaisir de cette journée est bien plus important que les quelques euros de ces courses. Vous pouvez revenir quand vous voulez, vous savez ?”
C’est ainsi que s’achève notre journée extraordinaire à tant de points de vue.
Incroyable pour ma part et inoubliable c’est un fait certain.
Comme toujours nous n’avons jamais rappelé Franck et ne sommes pas encore retourné sur son marché, peut être un jour, mais ce ne sont pas nos habitudes ni notre volonté actuelle.






































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