Terma 84 : Les Aventures Du Jeune Said En Prisons(2) :

Effectivement, quelques jours plus tard, muni d’un laisser passer, je suis sorti avec Si Tayeb pour une permission, de deux jours et trois nuits. Sortis dès le matin, à 8h, SiTayeb m’expliqua qu’il a un problème pour ne pas m’amener directement chez lui. En réalité, il voulait d’abord jouir de ma Terma, en plein jour et librement dans une chambre d’hôtel, avant de m’amener à la fête chez lui. Donc, il m’a amené dans un petit hôtel particulier dont il connaissait le patron, et on nous a donné une chambre au premier, avec petite salle de bain. Et sans attendre, nous étions à poil sur le grand lit. A genoux, la tête sur les draps et le cul en l’air, cuisses écartées, il m’a léché les fesses puis l’anus et a même réussi à y introduire un bout de langue pour me lubrifier l’intérieur. Tout de suite, j’ai été excité et demandé la grosse queue et Si Tayeb me pénétra en vitesse. Sa bite s’enfonça en vitesses dans mon cul, jusqu’aux fond, jusqu’aux couilles et tenant fermement mes fesses et hanches, l’homme démarra ses vas et viens avec des hans s à chaque coup de reins de sa queue. Rapidement le plaisir m’envahit et je gémissais et même hurlait à certains de ses coups de reins puissants. Nous étions hors de prison et en plein jour, je pouvais donc donner libre cours et à haute voix, à mon plaisir et mes jouissances. Il me niqua sans arrêt pendant au moins une demi-heure et éjacula par trois fois au fond de mes entrailles. C’était puissant, chaud et assez agréable. Il se retira vite et me demanda de lui nettoyer la bite. Ce que je fis avec plaisir, essayant aussi d’avaler les restes de sperme encore dans sa bite. Puis on s’est mieux nettoyé dans la salle de bain et, rhabillés, on est descendu à la reception. Il m’expliqua de nouveau que les conditions de la fête et ses nombreux beaux parents ne lui permettent pas de me loger chez lui. Alors, il m’a loué cette chambre, dans l’hôtel de son ami, où il était décidé de me niquer durant tout le long des deux jours.

On peut même me servir à manger dans la chambre, à ma demande et je n’avais rien à payer.
Ensuite, on est parti chez lui , une grande maison classique, en banlieue. La fête, classique avait amené beaucoup de sa famille. On a chanté, mangé et bu toute la journée et ce n’est que vers 17h qu’il m’a libéré, me promettant de me rejoindre le soir. Et rapidement, j’ai rejoins mon hôtel. J’ai pris une douche, demandé un café par phone et, nu, je me suis allongé sur le lit. A peine cinq minutes, on toqua à la porte, enveloppé avec un drap à la ceinture, j’ai ouvert à un jeune garçon qui a posé le plateau du café et deux croissants sur la table. Entre temps, il me reluquait avec insistance. Pour le provoquer et avant qu’il ne sorte, j’ai oté le drap et lui tournant le dos, je lui ai offert le beau spectacle de mon derrière, de ma Terma avec ses larges fesses. Il a opiné de la tête et en se léchant les lèvres il est parti en fermant la porte. Bien sur je n’avais aucune envie de faire l’amour avec ce gosse mais j’ai eu du plaisir en montrant ma Terma et même en la secouer un peu, pour provoquer et faire gonfler les bites. Assis sur le lit, et à poil, je buvais mon café quant on toqua de nouveau à ma porte. Et toujours avec mon drap autour de la ceinture, j’ai ouvert. Cette fois, c’etait un homme en bras de chemise, de courte taille et large de poitrine qui se présentait m’affirmant que c’était son tour. Je n’avais pas compris, mais comme je restais debout et sans voix, il me repoussa facilement, ouvrit la porte et pénétra dans la chambre. Puis, sans hésiter, il ouvrit sa braguette et sortit sa queue pour me la présenter, me disant que si elle ne me convenait pas, il laissera sa place à un autre. Là, j’ai commencé à deviner ce qui se passait. Je pense que j’étais comme qui dirait, dans une chambre de pute avec des clients dehors et cet homme en était le premier. J’allais me fâcher mais l’attitude de cet homme semblait naturelle et qu’il était persuadé d’être dans une situation très claire.
Je revois l’attitude et le regard du garçon d’étage tout à l’heure, c’était explicite, alors j’ai décidé d’accepter la situation. Si Tayeb ne sera là que vers 20h, et ma Terma est toujours prête pour les grosses bites, alors et comme je dis toujours, une queue vaut bien une autre et celle la était large et longue, très acceptable. Alors, rejetant le drap et tout nu, je me suis mis à genoux et j’ai empoigné à pleines mains la grosse bite. J’ai commencé par lui lécher sa large tête gonflée, puis tout le long de sa hampe. Ensuite je l’ai enfourée, difficilement certes à cause de son épaisseur, dans ma bouche pour la sucer à mon aise. Elle était dure et chaude, follement excitante et elle m’a plu tout de suite, le signal de ma Terma me chatouillait le bas ventre et le cul. C’était peut-être parce que je n’ai pas été niqué depuis ce matin. Mais l’homme grogna en me poussant et je compris qu’il était préssé de gouter à mon cul. Tenant toujours sa bite je me suis redresé et je l’ai entrainé, par sa queue, vers le lit, il heletait déjà et envoya sa main pour me caresser et peloter les fesses.
Ensuite, à genoux sur le lit, tête sur le drap et le derrière bien soulevé, avec mes cuisses largement écartées, je lui ai offert ma Terma. Immédiatement il glissa sa bite sur mes fesses. Il les écarta doucement et frotta sa lourde queue dans leur sillon et trouva mon anus. Et avec un grognement bruyant, il était préssé, il me pénétra en force et s’enfonça dans mon cul jusqu’aux couilles. Il prit une seconde d’arrêt pour son plaisir et se caler à l’intérieur de mon cul, puis il démarra une longue série de vas et viens hargneux et accélérés. Après une dizaine de frottements, ma Terma commença à me faire gouter son plaisir et ma respiration s’acceléra. L’épaisseur de sa bite frottait bien mon intérieur et provoquaient rapidement mes jouissances et je suivais son rythme en cadence. Et il me niqua sans s’arrêter et même sans freiner sa cadence pendant plus d’un quart d’heure avant d’arriver à son top.
S’aggrippant de ses grosses mains à mes hanches, il éjacula par quatre fois dans mes entrailles. J’ai bien senti qu’il en avait dans les couilles et il hurlait à chaque sailli, chaque jet avec un coup de reins. Puis, il se retira et restait assis, presque hébété. Je me suis retourné et voyant sa grosse bite qui s’ammolissait, brillante de sperme, je l’ai saisie, et néttoyé avec mes lèvres et mes sussions. Après l’homme s’est relevé et a réintègré sa queue dans son pantalon et je l’ai repoussé hors de ma chambre. Ensuite, je me suis vidé le cul dans le bidet de la salle de bain et nettoyé un peu. Je voulais prendre une douche, mais on a encore toqué à la porte de ma chambre. Encore tout nu, je suis allé jeté un coup d’œil dehors, sans ouvrir complètement. C’était un autre monsieur, assez grand que le premier et en bras de chemise. Il me dit que c’était son tour et j’ai tout de suite compris. J’allais refuser mais j’ai pensé que, comme j’avais accepté l’autre, cela pourrait causer un problème ou un scandale, alors je l’ai laisé entrer. Puisque je suis la pute dans cette chambre, l’attitude de ces clients était normale et ma Terma ne me dirait pas non. J’ai toutefois jeté un coup d’œil dehors où il n’y avait personne d’autre et j’ai posé la question au gars s’il y avait d’autres clients mais il m’a rassuré qu’ils n’étaient que deux acceptés par la direction. Ainsi, tout était combiné avec le patron.
Alors, lui aussi a ouvert sa braguette et j’ai vu sa bite pas très épaisse mais plus longue comme un gourdin de chair. Je l’ai appréciée avec ma langue et branlé un peu et elle est devenu dure comme une tige de fer.Il regardait ma Terma avec des yeux ronds et sa langue, hors de sa bouche, se léchait les lèvres mouillées de salive de désir. Il était subjugué, excité à fond, alors il fallait faire vite. Je l’ai tiré, comme l’autre, par sa queue vers le lit, il avançait, haletant bruyamment, la queue en avant, prisonnière de ma main. J’étais moi aussi assez excité, surtout par cette situation de pute au service de clients devant ma porte, et ça me démangeait à fond par derrière.
Et rapidement, sur le lit, je me suis positionné, le cul en l’air. Mon anus frétillait, impatient de gouter cette longue courgette de chair, inédite par sa minceur et qui étrangement commençait à me faire haleter de désir nouveau. Quant elle me pénétra, j’ai eu une sensation de doux glisements follement délicieux. Elle s’enfonça dans mes entrailles et j’entendais mon compagon hurler de jouissances. Il devait attendre cette pénétration et cette jouissance depuis un moment, devant ma porte et sa lidération le faisait hurler de plaisir. Sa longue queue m’a pénétrée assez loin et ma Terma l’a serrée tout naturellement, ce qui fait qu’elle semblait me remplir délicieusement les entrailles, jusqu’au fin fond de mon cul. Mais il démarra très vite, et ses couilles battaient déjà les miennes de leur rythme endiablé, ce qui fait iqu’il n’a pas été long. Une quinzaine de vas et viens et il se bloqua pour éjaculer deux ou trois jets moyens. Malgré son caractère inédit et sa profonde pénétration, je n’étais pas satisfait ni rassasié, alors, refusant une autre sodomie, rapidement, je l’ai chassé pour fermer ma porte. Puis je suis allé me nettoyer et même me doucher. Ensuite, j’ai fini mon lunch et but mon café. Ces deux gars ne m’avaient même pas laissé le temps de déguster mon lunch. Ma Terma n’était pas entièrement satisfaite avec ces deux amateurs mais j’attendais la nuit, espérant que Si Tayeb viendrait me voir pour une bonne niquée. Vers 21h, et comme mon ami ne venait pas, j’étais inquiet, alors je suis descendu à la reception et j’ai vu le patron pour lui exprimer mon problème. Il s’est excusé de ne pas m’avoir parlé avant, mais il avait reçu un message de Si Tahar pour moi, vers 18h, me confirmant qu’il était retenu et qu’il ne me verra que demain matin vers 8h. J’étais fâché et courroussé contre SiTahar et contre le patron. Quant je me suis un peu calmé, il m’a demandé ce qui me génait le plus, ne pas avoir été informé à temps où la non présence de SiTayeb. J’ai expliqué que c’était surtout l’absence de Si Tayeb, pour la nuit, qui me chagrinait.
Alors le patron, magnanime, me tapota l’épaule et me rassura qu’il allait m’offrir au moins trois gars bien fourni dans le pantalon pour cette nuit, et gratuitement. J’ai fait semblant d’être etonné et même ofusqué qu’il me onsidère cmme une pute affamée de bites, mais au fond, il avait raison. Et il le savait, puisqu’il m’a déjà envoyé deux queue affamées cet après midi, et que j’avais acceptés sans gêne, j’étais vraiment une pute de cul. Alors, deux ou trois bites pour la nuit, c’était interessant. Il m’a souri et tapoté gentiment les fesses et, lui rendant son sourire, je l’ai remetcié en lui donnant, discrètement un baiser sur sa barbe. Sa main s’est apesantie un peu plus sur ma Terma, j’étais sur que lui aussi en avait envie, mais je n’ai pas pu apercevoir la bosse de sa braguette. Puis je suis retourné dans ma chambre où , dix minutes plus tard, on m’a apporté mon diner et des boissons fraiches et du café.
J’avais fini de manger et me suis lavé, puis je me suis allongé, nu sur les draps, rêvant à ces gras qui allaient me niquer, l’un après l’autre, quant on toqua à ma porte. Et nu cette fois, sans gène, je suis allé ouvrir, il était 22h. C’était le patron lui-même qui est entré pour me dire qu’il allait inaugurer la fête de ma Terma. Me souriant comme tout à l’heure, il se déshabilla rapidement. Ma foi, il n’était pas si vieux que ça, son corps était encore svelte et dur, et sa queue était longue, épaisse et surtout déjà bandée, gonflée à l’horizontale. Sans hésiter j’ai empoigné sa bite et tout en léchant et suçant, je l’ai branlée quoique elle n’en avait pas besoin, mais j’avais plaisir de sentir sa dureté et sa douceur sur toute sa longueur. Ma Terma frissonnait déjà et mon anus palpitait. J’ai décidé qu’il me nique face à face, comme une femme, pour le remercier. Donc, allongé sur le dos, j’ai levé mes jambes et cuisses hauts et bien écartées, et soulevant mes couilles, je lui ai offert ma Terma et la bouche de mon cul. Il me chatouilla un peu l’anus avec ses doigt, faisant pénétrer un puis deux doigts et me dit que mon cul mouillait déjà, j’approuvais et demandais l’urgence. Alors il pointa sa queue et me l’enfonça brutalement jusqu’au fond, jusqu’à ce que ses couilles me battent les fesses et son ventre claque sur le mien. Ce fut extra et délicieusement excitant et j’en ai hurlé de jouissance, en serrant mes jambes autour de ses reins pour l’enfoncer encore plus en moi, si possible. Puis il démarra ses vas et viens, parfois lentement et avec insistance, en expert de la nique, et parfois rapidement et avec violence. Il se chargea aussi de mes seins et de leurs bouts qui bandaient de plaisir. Il m’embrassait sur le cou et sur les seins qu’il suçait parfois sans s’arrêter de me pilonner le cul. Cet homme, que je croyais trop vieux, m’a donné beaucoup de plaisirs agréables et de jouissances et j’avoue qu’il savait s’y faire. Il m’a niqué longuement et caressé longuement. Et enfin, il se bloqua et éjacula par trois fois, avec puissance et coups de reins appuyés et hurlements de plaisir. Cet homme s’est bien emparé de mon corps et m’a amené à suivre son rythme. Il me possédait et savait tellement bien le faire que je m’abandonnais à lui avec une sorte de plaisir presque féminin. Je suivais son rythme et quant il a éjaculé il m’a entrainé avec lui dans les hurlements de jouissances communes. Ensuite, il resta un moment bien installé dans mon cul, immobile pour vider au maximum son sperme, puis il se redressa et passa rapidement dans la salle de bain. Je l’y ai suivi pour me vider le cul et me nettoyer. En revenant à la chambre, il n’y avait personne, le patron était parti après avoir tiré son coup. Dommage, avec sa bite j’aurais bien aimé une seconde sodomie par derrière. Un vrai mâle qu’on aime bien retenir et jouir de sa grosse bite dans la bouche et dans la Terma, dommage, mais j’essaierais demain de tenter ma chance.
J’étais nu et juste avant de m’allonger sur le lit, on toqua à la porte. Je suis allé ouvrir, me tenant sur le coté et c’était un grand gaillard, une sorte de géant qui bouchait toute l’entrée et qui dit qu’ils étaient là. J’ai entrouvert la porte et jeté un coup d’œil dehors,le poussant un peu. Il y avait un autre homme, aussi grand que le premier, derrière. J’avais compris que c’étaient les clients promis par le patron et j’ai ouvert. Quant ils sont entrés, la chambre semblait s’être tissée vu leurs tailles. J’étais nu, offrant surtout ma Terma pour ces gars et ils savaient ce qu’ils avaient à faire et que j’étais à leur disposition pour toute la nuit. Immédiatement, pendant que l’un d’eux m’a saisi par la taille pour commencer à flatter mes fesses, l’autre se déshabillait rapidement. Négligeant les caresses et pelotages de l’un, j’ai surtout observé celui qui s’était dénudé. Un géant, grand et large de poitrine velue et une queue formidable et déjà horizontale et gonflée de désir. Je n’ai pas hésité,repoussant celui qui me pelotait, j’ai accouru pour saisir cette merveilleuse bite pour la lécher. La tête était large et bien dessinée, sa hampe ronde, dure et douce à la fois. Ma main ne pouvant pas entourer totalement sa hampe, j’ai du utiliser mes deux mains pour bien saisir et gouter avec mes lèvres cet engin affolant. J’ai quant même réussi à ouvrir suffisamment ma bouche pour le sucer et enfoncer sa queue plus au fond jusqu’à . J’étais courbé et branlais et suçait avec frénésie et énergie cette queue qui m’hypnotisait. Je ne voulais plus l’abandonner malgré mon désir de me l’enfoncer dans le cul. Soudain, j’ai ressentit les caresses et frottements d’une autre bite, aussi longue, sur mes reins et dans le profond sillon de mes fesses, heurtant parfois le trou de mon anus palpitant. Profitant que j’étais nu et largement courbé, et certainement excité par cette position d’offre de mon large derrière, l’autre homme, déshabillé, m’avait agrippé les hanches et sans hésiter, il frottait sa bite sur ma Terma, dont le sillon des fesses était déjà humide de désir. Et sans prévenir, il réussi à trouver mon anus et me pénétra avec force et un hurlement hystérique de plaisir. Il en était affamé et offerte ainsi, aucune queue ne pouvait rester insensible. Il me fit mal, mais c’était ma faute car, courbé, je lui avais offert mes fesses et mon cul, une invitation que sa bite n’a pas ratée. Son action brutale m’a fait lâcher la bite de l’autre homme et, jouissant aussi de la pénétration, je suis tombé à genoux par terre, laissant ma Terma bien soulevée et offerte à la queue de mon assaillant. La bite de mon violeur s’est échappée de mon cul, alors il se mit à genoux derrière moi, par terre, m’écarta largement les cuisses et tenant sa queue à la main, il la replongea de nouveau dans mes entrailles. Cette fois, sa queue, bien placée et bien adaptée à ma Terma, m’a pénétrée sans mal et m’a même donné un début de plaisir, et il l’a plongea jusqu’aux fond de mon cul. Elle était bien installée à l’intérieur et quant il commença ses vas et viens ce fut très agréables et les jouissances devinrent continues et croissantes.
En effet, rapidement, ces mouvement commençaient à me faire de l’effet et les jouissances s’irradiaient dans mon bas ventre et à l’intérieur de ma chair et sur toute la surface de mon corps. Je l’ai laissé me pilonner parfois avec violence et me niquer parfois plus doucement pendant plus d’un quart d’heure. Face à moi, je regardais l’autre gars qui s’était installé sur le lit et se masturbait en nous observant et en se léchant les babines. J’avais l’impression que sa queue s »était allongée encore plus qu’auparavant, il était super impatient de gouter à mon trésor sexuel. Nos gémissement et parfois presque des hurlements de plaisir augmentaient ensemble et enfin, mon assaillant se bloqua sur ms reins et éjacula, sans prévenir, par trois fois et se retira. Il resta assis par terre et me regardant, de sa queue encore assez bandée suintait des restes de sperme, il s’excusa qu’il était pressé. Je comprenais très bien et pour le rassurer, j’ai saisi sa bite pour lécher ses restes de sperme et la sucer pour la nettoyer, elle me faisait encore envie. Puis je suis passé dans la salle de bain pour me vider le cul et me nettoyer. Retourné dans la chambre, j’ai pris en mains l’autre gars en le poussant le dos sur le lit. Puis je me assis sur sa poitrine, lui tournant le dos et me courbant assez pour, d’une part prendre sa bite pour commencer à la sucer et à la branler et d’autre part pour lui présenter ma Terma, mes larges fesses, mon anus rosâtre, palpitant et brillant et je avais que cela allait exciter l’homme, à la folie. Et en effet, il commença à me caresser les fesses et tripoter l’anus et de mon coté je sentais sa queue qui durcissait et s’allongeait encore plus. Je l’entendais gémir et il donnait parfois des coups de reins et sa bite s’enfonçait encore plus dans ma bouche, il était à point. Alors, je me suis reculé assez pour que mon cul soit juste face au visage de l’homme et je l’ai invité à me lécher mon anus et mes fesses, ce qu’il a commencé à faire tout de suite. Il m’écartait les fesses pour accéder à mon anus et sa langue réussissait à me pénétrer, il me mangeait le cul de désir et j’entendais ses grognements de plaisir.Mon trou de cul était assez ouvert par la sodomie précédente, sa langue me pénétrait largement. Elle me chatouillait l’intérieur du cul et petit à petit le plaisir revenait. De mon coté, j’ai sucé et branlé sa bite qui s’est durcie et allongée au maximum. Alors, encore une fois, je me suis un peu redressé pour avancer sur sa poitrine jusqu’à atteindre le dessus de sa queue. Puis, la main vers l’arrière, j’ai empoigné sa grosse bite raide, j’ai farfouillé un peu entre mes fesses pour la pointer sur mon anus. Dès que la grosse tête de la queue m’a pénétré, j’ai reçu une onde de jouissance telle que je n’ai pas résisté et je me suis assis carrément et à fond sur elle jusqu’à faire claquer son bas ventre contre mes fesses. Je vous disais que ma Terma aimait les pénétration violentes et moi je lui obéissais toujours. Ce brusque enfoncement m’a fait hurler un bon coup et un long frémissement de jouissance m’a parcouru, à l’intérieur du cul, dans mon bas ventre et irradié tout mon corps. L’homme, déjà suffisamment excité par mes sussions et par mes caresses a lancé aussi un brusque hurlement de jouissances en phase avec le mouvement sur sa bite qui s’est enfoncée dans mon cul. Ce fut tellement violent pour ses sens, qu’il éjacula immédiatement une bonne dose de sperme. Je les ai ressenti, ses deux jets chauds et puissants qui tapaient le fond de mes entrailles. Je me suis immobilisé un moment pour le laisser souffler, mais j’ai constaté que sa queue restait bandée et assez gonflée. Comme l’onde de jouissance de l’enfoncement continuait à faire vibrer mon corps, j’ai redémarré mes vas et viens lentement d’abord puis de plus en plus accélérés, malgré le sperme qui sortait de mon anus sur mes fesses et sur le ventre de l’homme. Je l’entendais qui haletait et gémissait de plaisir et sa bite semblait se regonfler et se durcir encore mieux dans mon intérieur. C’était très agréable, cette grosse bite qui tressaillait et se regonflait et ce sperme qui ajoutait aux glissements et frottements agréables. J’étais en extase et je continuais mes vas et viens avec la frénésie de la jouissance permanente. Au début le sperme qui s’écoulait me gênait un peu mais dès que la majeure partie s’est écoulée, je recommençais à ressentir la chair directe de sa la peau de sa queue contre la chair interne de mon cul et le plaisir qui me chatouillait déjà, augmenta de plaisir et de force jouissante. Tenant et pelotant mes fesses et mes hanches, l’homme accompagnait parfois mes mouvements par un coup de reins puissant, traduisant ses chocs de jouissances et amplifiaient les miennes. Nous avons continué à niquer pendant presque une demi-heure avant que ses couilles ne se remplissent de nouveau et lui signalent le plaisir qui montait. Je l’ai ressenti moi aussi par les frétillements de sa queue, alors je me suis libéré car j’avais décidé qu’il me nique autrement. Rapidement à genoux sur les draps et lui derrière moi, entre mes cuisses écartées, il se positionna et replongea sa grosse queue dans mon cul. Ensuite, tenant en maître et à pleines mains mes hanches, il démarra une série puissante et accélérée de vas et viens. Le plaisir, bloqué un instant par le changement de position, revint en vitesse et mit le feu dans mon cul et dans mon corps. Encore une dizaine de minutes et l’homme arriva à son top, pour éjaculer par trois jets puissants dont j’ai bien ressenti le choc agréable dans mes entrailles. Puis, nous sommes restés un bon moment, immobiles avant qu’il ne retire sa queue. Je me suis retourné pour l’empoigner et sucer les restes de sperme que j’aime tant. Ensuite, on s’est un peu nettoyé dans la salle de bain.
Après ces débuts, cette prise de connaissance, j’ai décidé qu’on couche tous les trois sur le lit. Et pendant que je suis assis sur la bite de l’un et faisant la danse des vas et viens dans mon cul, l’autre doit me présenter sa queue pour la sucer et la branler. Le premier qui éjaculera, soit dans mon cul, soit dans ma bouche aura droit à une partie de nique supplémentaire. Et c’est celui qui était sous moi, et auquel je branlais la queue avec les mouvements de ma Terma, qui a gagné. Restant assis sur la queue enfoncée dans mon cul, j’ai continué à sucer et à branler la bite de l’autre jusqu’à l’éjaculation dont j’ai récupéré et avalé le maximum de sperme dans ma gorge.
Puis, il fallait donner sa récompense au vainqueur. Alors, je me suis allongé le dos sur le lit et les jambes et cuisses levées haut et écartées, j’ai présenté mon anus au gagnant. Il venait juste d’éjaculer et sa queue n’était lus en forme et mon cul était presque plein de son jus. Mais il a du pousser sa queue, quoique assez fléchie dans mon cul. Et malgré sa mollesse, sa queue a réussi à me donner un peu de plaisir et quelques jouissances inédites. En effet, jusqu’à maintenant, toutes les bites qui m’ont pénétrées, ici ou en prison, étaient bandées, gonflées et dures. C’était la première fois où une bite, assez molle pénétrait mon cul et se frottait dans mon intérieur. Ce furent des sensations bizarres, pas du tout puissantes mais des jouissances particulières. J’ai exigé qu’il continue, tout en baisant mes seins et les tripotant et moi je caressais et tripotais ses reins et ses fesses. Cette jouissance légère, faible mais continue me permettait, en bougeant du derrière, et faisant quelques pressions internes, de jouer avec sa queue dans mon intérieur. Et miracle, petit à petit elle se réveilla, se gonfla et réussi à atteindre un degré assez capable pour me niquer convenablement. Et l’homme ressentit ce changement, alors il réagit et recommença ses vas et viens accélérés et puissants, et après une vingtaine de mouvements, ses couilles lui redonnèrent assez de jus pour éjaculer par deux fois. Sachant que c’était un coup spécial, nous en avons ri à pleine gorge. Il m’a dit qu’il a eu honte au début de laisser sa queue molle dans mon cul mais mon travail de ma Terma l’a encouragé et le plaisir est revenu. Et nous avons continué à niquer jusqu’à 4h du matin, passant de l’un à l’autre par sodomies, sussions et branlant leurs queues. A un moment, poussés par l’ambiance érotique et par les senteurs sexuelles des sueurs et des spermes, ils m’ont enculés ensemble, poussant leurs deux bites dans mon cul et ils réussirent, tellement mon trou de cul s’était élargi. Puis, faisant des vas et viens l’un après l’autre, ils ont réussi à éjaculer ensemble. Et nous nous sommes arrêté vers 4h du matin, épuisés mais ravis. Ils se sont éclipsés discrètement dans l’hôtel silencieux de l’aube et j’ai pris une douche chaude avant de m’étaler à plat ventre sur mon lit, complètement nu et de plonger dans un lourd sommeil.
Je ne fus réveillé que par des toc sur ma porte. Il était 9h et j’avais encore sommeil. Nu, je suis allé ouvrir et c’était le garçon qui m’apportait le petit déjeuner qu’il a posé sur la table. Avant qu’il ne sorte, j’ai déjà replongé sur mon lit, toujours à plat ventre, pensant à ma Terma exposée outrageusement au jeune homme. Il a du être excité car il a attendu un petit moment, puis il s’est rapproché et à posé sa main sur mes fesses. Je l’ai à peine ressentie mais j’ai replongé dans mon sommeil. Plus tard, je fus réveillé encore par des frappes sur la porte et il était 10h. Je n’avais plus sommeil et j’ai ouvert, c’était encore le jeune garçon qui m’apportait une boisson et un lunch. J’étais étonné et il s’expliqua, en s’excusant, de ce qu’il m’a fait tout à l’heure. J’ai demandé des détails et il m’a avoué qu’il avait profité de mon lourd sommeil pour me caresser les fesses puis, comme je ne réagissais pas, il était monté sur mon cul en glissant sa petite queue entre mes fesses. Tiens , je n’avais rien senti dans mon sommeil. Comme mon anus était encore assez ouvert, le salaud a plongé sa petite bite et m’a niqué alors que j’étais inconscient et il a éjaculé assez faiblement dans mon cul. J’ai vérifié et effectivement j’avais encore du sperme, certes pas beaucoup dans mon cul et sur mes fesses. Je lui ai pardonné et chassé lui promettant de ne rien dire à son patron, c’était de cela dont il avait peur et m’a avoué son geste. J’ai ensuite pris une douche et me suis habillé. J’ai fait honneur au petit déjeuner refroidi et aux boissons puis je suis descendu à la réception. Le patron m’a remis un mot de Si Tayeb qui contenait une adresse où il me demandait de le rejoindre avant midi.
J’ai pris un taxi et une demi heure plus tard, j’ai rejoins Si Tayeb dans sa famille.
Il m’a expliqué qu’on devait rentrer en prison avant ce soir, car on l’a averti qu’il va y avoir une inspection. Et une heure plus tard, nous avons rejoint la prison, à mon grand regret. Mais Si Tayeb a parlé de mon cas au directeur de la prison, qui m’a promis une autre sortie de trois jours et nuits juste après l’inspection. Si Tayeb, à son regret ne pourrait pas m’accompagner vu son travail, mais cela m’arrangeait. Ainsi, j’irais dans le même hôtel de mes plaisirs, avec le même patron à la grosses bite et au savoir faire exquis et qui aura sa large part dans mon cul et qui me choisira mes autres amants de même gabarit de bites que les précédents. J’ai même pensé au jeune homme d’étage qui m’a niqué alors que je dormais, épuisé et qui aura normalement, sa part dans ma douce Terma toujours affamée.

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