Les Aventures De Julien Épisode 2

Alex s'approche de moi, je n'ose pas bouger. Il se penche un peu pour pouvoir remonter mon string. Au passage, Il en profite évidemment pour m'effleurer le sexe tout en me regardant droit dans les yeux. Il s'amuse de me voir rougir. J'ai honte. Il le sait et Il aime ça. Il me prend par le bras et me guide vers une pièce ou je ne suis pas encore allé. C'est un bureau. On y trouve un ordinateur, un divan qui a l'air particulièrement confortable, un petit meuble qui doit certainement servir à ranger des dossiers et tout un pan de mur, formé par une porte coulissante doit abriter un grand placard.


- Assied toi contre ce mur, entre les crochets.


J'aperçois effectivement six crochets. Quatre sont fixés au mur et deux au sol. Lorsque je suis assis, deux des crochets muraux sont légèrement en dessous de mes épaules et les deux autres quasiment au niveau du sol. Alex commence par m'attacher les poignets à ceux du bas grâce à de petits bracelets en cuir. Ensuite Il m'attache deux autres bracelets, juste en dessous des aisselles, puis fixe les bracelets aux crochets du haut. Mon dos est maintenant plaqué au mur, de sorte que je ne puisse plus bouger. Seules mes jambes sont encore libres. Mais plus pour longtemps car mes chevilles se retrouvent vite attachées elles aussi, à environ 70 centimètres du mur. Dans cette position, j'ai les jambes écartés, les fesses légèrement avancées par rapport au mur. Alex passe sa main à l'intérieur de mes cuisses et fait courir un doigt entre mes fesses, écartées par la position de mes jambes. Je me rends compte que mon anus est offert à la vue de tous et que je n'y peux rien. Après ces préparatifs, Alex me laisse seul.


- Ne bouge pas, me dit-Il avec un léger sourire. Il sait très bien, et moi aussi d'ailleurs, que je n'ai aucune chance de bouger.


Lorsqu'Il sort, Il éteint la lumière, me laissant seul dans le noir, dans le doute, et finalement, dans la peur.

Au bout d'un temps certain, peut-être quelques minutes, peut-être plusieurs heures, je ne sens plus mes muscles, engourdis. La porte s'ouvre. Carole entre, suivie d'Alex. Ils ont chacun un verre de Champagne dans la main. Alex tiens dans son autre main une bouteille de Champagne qui n'est pas la mienne. Ils m'observent, un grand sourire se lit sur leurs lèvres. Je sais qu'Ils sont heureux de m'avoir pour eux. Je sais, car Ils me l'ont souvent dit, et par les exemples et les preuves qu'Ils m'ont données, que je n'ai rien à craindre, si ce n'est de ne pas savoir ce qui m'attend. Ils vont s'asseoir tranquillement sur le divan. Carole m'observe dans les moindres détails. Elle s'adresse à Alex :


- Je pense qu'Il sera à mon goût ! C'est un beau cadeau que tu m'offres là, merci chéri.

- Je suis d'accord avec toi Carole. Mais reste à savoir ce qu'il a dans le ventre.

- Pour ça, je te fais confiance, mais chaque chose en son temps si tu veux bien.


Je me demande s'il faut voir dans ces quelques mots une allusion à ce qui m'attend... Ils s'en rendent compte et partent tous les deux d'un grand rire. Carole se tourne vers moi et me pose une question qui est, j'en suis sûr, ma première épreuve :


- Pourquoi es-tu venu ?

- Euh... je ne sais pas trop. Envie de découvrir de nouvelles choses.

- Je veux une VRAIE réponse !


Je rougis de plus en plus, je sens mes tempes résonner qui afflue à mon cerveau. Il faut vraiment que je passe outre mes inhibitions. Je le savais avant de venir, je suis timide, je n'ose pas souvent, et pourtant...


- Justement... je veux me surpasser, et vous dire ce que vous me demandez est déjà une grande difficulté. Je veux me montrer, je veux... je veux arriver à vaincre tous mes tabous, je veux pouvoir tout faire, ou tout au moins savoir que je suis capable de tout faire.

- Bien ! Le ton de Carole s'est un peu radoucit.
Tes voeux vont s'exaucer. Alex et Moi allons tout faire pour cela. N'est-ce pas Alex ?

- Certainement !

- Parles-nous de toi et de ta copine. Comment faites-vous l'amour ?

- Ce que j'aime chez elle, c'est son corps. Je pourrais rester des heures à le caresser. Et plus que tout, j'adore les cunilingus. Souvent je ne la fais jouir qu'avec l'aide de ma langue.

- Intéressant. Donc tu aimes lui lécher la chatte.

- Oui... et l'anus aussi, j'aime la pénétrer avec ma langue.

- Ahhhh ! Et tu l'encules ?


Je n'ai pas l'habitude de parler ainsi et ces mots que Carole utilise, je ne saurai les utiliser moi-même. En me disant que, personnellement, j'aurai plutôt dis "Et tu la prends par derrière ?", je me rends compte que les deux expressions veulent dire la même chose et que l'une n'est pas mieux que l'autre.


- Oui, Mais rarement, je crois qu'elle aime ça plus que moi.


Et, comme si Carole pouvait lire dans mes pensées...


- Elle aime QUOI plus que toi ?

- Et bien... que... je... l'encule.

- Tu n'aime pas ?

- Je préfère la prendre normalement, par devant.

- Pourquoi ?

- Je ne sais pas... je...

- Si tu le sais ! Dis-le.

- Vraiment non, je... enfin, c'est peut être parce que ça pourrait être sale.

- J'espère pour toi que ta copine se lave et qu'elle sent aussi bon que toi.

- Oui... merci.

- De rien, c'est vrai. Alors tu n'as rien à craindre. Et elle, est ce qu'il lui arrive de t'enculer parfois ?

- Elle me met un doigt, de temps en temps...

- Et tu aimes ça mon petit Julien ?

- Oui.

- Tu n'as jamais eu rien d'autre dans le cul qu'un doigt alors ?

- Non.


Carole viens de finir son verre et retourne sur le divan. Elle se ressert. Me regarde de longues secondes.
J'ai l'impression qu'elle se demande ce qu'elle va faire de moi. Mais au plus profond de moi, je sais qu'elle sait. Elle sait ce qu'elle va faire, elle ne me regarde ainsi que pour me mettre mal à l'aise, pour scruter jusqu'au moindre détail de mon âme et de mon intimité. Au bout de deux bonnes minutes, alors que Carole termine son second verre de Champagne depuis qu'ils sont entrés dans la pièce (mais elle en a certainement bu quelques autres avant à en juger par le pétillant de ses yeux), Alex se lève et s'approche de moi.


- Viens par ici ma chérie.


Elle se lève, lentement s'approche et viens se placer devant moi, sa jupe de cuir se rapproche de mon visage. D'une main, Alex la soulève et j'aperçois la dentelle du haut de ses bas, puis les porte-jarretelles, et enfin la culotte.


- Bonne idée Alex, j'ai envie qu'il me montre comment il lèche sa copine.

- Bien sûr, mais attends quelques secondes.


Alex sors de la pièce. Pendant ce temps, Carole frotte son sexe sur mon visage. Elle remonte entièrement sa jupe au-dessus de la taille, et lève légèrement une jambe pour que je puisse mieux accéder à cet objet de tous les désirs à travers la soie et les dentelles de sa culotte. Alors que je sors ma langue, Elle recule.


- Non ! Alex a dit d'attendre, et tu vas faire ce qu'on te dit de faire. Et uniquement ce qu'on te dit de faire !


Sur ces mots qui marquent ma première frustration, Alex revient. Il tient dans sa main un appareil photo.

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