Un Poivrot Séduit Ma Femme

"Ça ne vous dérange pas si je vole un baiser à votre femme, n'est-ce pas, vieux ?" vous demande-t-il en la pelotant sans vergogne. "Elle est fantastiquement irrésistible !"

"Oh mon dieu !" palpite ma femme, frétillante de plaisir lorsqu'il l’enlace. "C'est très gênant ... je ne crois pas ..."
Un peu pompette, secouée par un rire nerveux, elle le dévore des yeux, sans masquer son intérêt.
Je suis enquiquiné de voir à quel point elle semble flattée. Elle n'essaye même pas d’empêcher cette étreinte.

Il n'attend même pas ma réponse et pose naturellement sa bouche sur celle de ma femme.
"Très bien, ça suffit !" j’interviens, choqué. Je tente de le repousser, mais ma femme lui rend son baiser et l’enlace. 
"Chérie, que fais-tu ?" J’essaye de reprendre le contrôle, d’arrêter cette étreinte passionnée.

Elle retire sa bouche et retient son souffle, mais ne se libère pas de son étreinte. 
"Sensationnel !" dit-elle, rougissante. "Habituellement, je ne reçois pas ce genre d’hommage de la part d’inconnus."
Elle lui caresse les épaules tendrement.

"Ouais, c'est vraiment inconvenant " dis-je, torturé de voir à quel point ma femme est émoustillée. 
Certains des autres convives nous regardent bizarrement, et puis l'hôtesse, Gabrielle apparaît.

"Ah, Bérengère, tu as fait la connaissance de Robert, je vois" dit-elle en riant. Puis elle remarque mon trouble et m’enlace affectueusement : "Ne te formalise pas, Jérémie ! Robert est un dragueur impénitent, mais il est inoffensif, surtout dans cet état."

"Ah-hum" dis-je, en mettant mon bras autour de ses épaules. 
Gabrielle est une vieille amie, je n’ai pas envie de faire un esclandre chez elle.

"Gabrielle, pourquoi ne m'as-tu pas présenté Bérengère plus tôt ?" demande Robert en regardant ma femme avec convoitise. "Cette femme est magnifique, avec son teint de porcelaine, ses yeux de biche .

.." Son élocution est pâteuse, mais il la tient toujours enlacée dans ses bras, et ses mains caressent son dos d'une manière plus qu'amicale.

"Arrêtez, Robert, vous me faites rougir !" minaude ma femme, troublée et charmée.
"Robert, connais-tu Jérémie, le mari de Bérengère ?" demande Gabrielle, de manière à détourner la conversation.

"Euh, non, je ne pense pas que nous ayons été présentés," dit Robert, en étreignant ma femme contre lui d'une main, et en tendant l'autre pour me saluer. "Robert Millet, je travaille avec Gabrielle, notre charmante hôtesse."

Je serre les dents, et je lui adresse un sourire haineux, en lui serrant la main.

"Robert est l'un de nos meilleurs stratèges commerciaux" dit fièrement Gabrielle.

"Comme c'est merveilleux" je lui réponds sarcastiquement.

"Oh Robert, vous le croyez, vous rendez mon mari jaloux" dit ma femme, s’installant, désinvolte, dans cette étreinte serrée.

"Je sais, je sais" alors qu’elle rapproche son visage du sien "Mais je ne peux pas m'en empêcher. D'ailleurs, tu dois sûrement être habituée à ce que les hommes se jettent sur toi, maintenant ?"

"Ah, mais non" bégaye ma femme.

"Jérémie, je vais vous voler votre femme" il m’annonce avec désinvolture. "Juste pour quelques minutes, je dois vraiment apprendre à mieux la connaître. Ça ne vous dérange pas, n'est-ce pas, Bérengère ?"

"Euh, bien sûr que non…" dit ma femme en me regardant avec défi.

"Vous pouvez avoir une petite conversation" rigole Gabrielle. "Je tiendrai compagnie à Jérémie."

Robert ne perd pas un instant et entraîne ma femme vers les portes-fenêtres donnant sur le patio. Robert lui chuchote quelque chose à l'oreille et elle rit, le giflant sur la poitrine, et m’adresse un regard fripon en sortant.

"Il est vraiment culotté, non ?" je demande à Gabrielle. "Je déteste ce type"

"Ne sois pas jaloux, Jérémie" rigole-t-elle.
 "C’est un vieux monsieur. Il joue les Don Juan. Et les femmes sont toujours flattées par un peu de compliments venant d'un autre homme que leur mari."


"Euh, t’es sûre ?" dis-je en regardant avec suspicion le couple disparaître dehors.

"Eh bien, j'aimerais un peu d'attention moi-même, tu sais" taquine-t-elle, enroulant son bras autour de moi et en me regardant avec séduction. Ses yeux sont un peu vitreux et je peux voir qu'elle est un peu ivre. 
"Peut-être pourrais-tu me faire danser en me murmurant à l’oreille combien tu me trouves désirable ?"

Je sens mon pénis se tendre en réponse au flirt de Gabrielle. Elle ne fait aucune allusion, mais son étreinte plus étroite se frotte contre la bosse de mon pantalon, et la pression de sa hanche pulpeuse n’aide pas à m’apaiser.

"Gabrielle, je vous connais, toi et Samuel depuis des années, et j’aurais du mal à me comporter avec toi comme se type se conduit avec ma femme. D’ailleurs, ton mari, Samuel voudrait probablement me faire la peau !" lui dis-je avec un sourire gêné, en relâchant mes bras autour d'elle, mais ne voulant pas la repousser de peur que ça ne la gêne.

"Eh bien, je me porte garant de Robert, d'accord ? Il est vieux, soûl, et donc inoffensif. Maintenant, fais-moi danser, dis-moi des choses gentilles et donne-moi un petit bisou" ronronne-t-elle.

Je l’enlace et donne à Gabrielle un rapide baiser du bout des lèvres sur sa bouche en cœur, elle semble satisfaite, même si je suis sûr qu'elle se frotte délibérément contre ma lance en dansant. Le rythme lent et chaloupé du Calypso lui donne un prétexte pour jauger de l’importance de mon désir. J’avoue que pendant un moment, je ne me préoccupe plus de ma femme, ni de son chevalier servant.

"Là, voilà, ça va mieux, maintenant viens avec moi que je te présente quelques bons amis."

Elle me prend par la main et m’entraîne vers le petit salon, tandis que je m’efforce de réorganiser mon érection, afin que personne ne la remarque.


Je m’engage dans une conversation avec d'autres convives, je bois le verre qu’on me tend, puis un deuxième, et brusquement ma jalousie envers ma traîtresse de femme revient me ronger.

"Si vous voulez bien m'excuser, les amis, je vais aller à la recherche de ma femme" et je m’évade.

"Ouais, je pense que tu ferais mieux, Jérémie ! Je l'ai vue dans une discussion assez intime avec un vieux satyre dans le patio." me susurre cette garce de Jennifer.

Mon pouls s’accélère et une froide colère m’envahit.

"Laisse-moi t’accompagner, Jérémie. Un peu d'air frais me fera le plus grand bien !" dit Gabrielle en s’accrochant à mon bras tandis que je me dirige vivement vers le patio. 

Il faut quelques instants avant que mes yeux ne s'adaptent à cette lumière crépusculaire, mais ensuite j’aperçois ma femme adossée contre un arbre et Robert l'embrasser en la serrant de près. Je me précipite rapidement vers l’endroit, malgré Gabrielle en remorque, qui s’accroche désespérément à mon bras.

En m’approchant d’eux, je suis stupéfait de constater que leur étreinte est plus que passionnée, leurs bouches sont soudées en un vigoureux baiser, le chemisier de ma femme est grand ouvert, un mamelon s’en échappe que Robert malaxe consciencieusement.

Je l'att par l'épaule pour interrompre leur étreinte en l’écartant d'elle, et c’est là que je réalise que sa braguette est ouverte, que ma femme a son service trois pièces dans la main, et que sa caresse l’aide à se dresser.

"Oh merde !" gémit Gabrielle derrière moi avec inquiétude.

"Salope !" je lui crie. "Qu'est-ce que tu fous avec ce mec ?" 

Elle est confuse par le mélange d'alcool et de luxure et elle reste là, hébétée, s’accrochant à la bite raide de Robert comme une moule à son rocher.

"Écoutez, mon vieux, vous allez vous calmer !" s’interpose Robert à l’élocution pâteuse et à l’œil vitreux.
Il ne me regarde même pas, son regard est attiré par le mamelon de ma femme, qu’il n’a pas lâché, et qu’il triture joyeusement.
 "Nous étions juste en train de parler." Puis il grogne et commence à gicler son sperme sur le devant de la jupe de ma femme.

"Oh, merde !" s’exclame-t-elle, libérant la bite de son emprise. "Ça va faire une tache !"

Mes fusibles ont fondus et j’ai frappé Robert. Ouais, je sais, je l’ai un peu loupé. L’excès de rage meurtrière, gêné par Gabrielle qui s’accroche toujours à moi, je visais le nez, j’ai effleuré l’oreille. Surpris, il se recule et je suis sur le point de bondir sur lui pour l’achever, lorsque ma femme et Gabrielle se jettent sur moi et me retiennent.

"Jérémie, s'il te plaît, maîtrise tes émotions et garde ton sang-froid !" implore Gabrielle.

"Chéri, calme-toi, tu te trompes et je peux tout expliquer !" crie ma femme.

Mais le vieux poivrot se met à hurler que j’ai essayé de l’assassiner, que je suis un malade mental et qu’il va porter plainte contre son agresseur. Ses cris et ses jérémiades attirent une foule de plus en plus nombreuse qui nous encercle.

Arthur, le mari de Gabrielle, se précipite : "Que se passe-t-il ici ? Robert, range ton attirail, s’il te plaît !"

"Ce sauvage m'a agressé et il a essayé de me  !" hurle Robert en agitant sa bite ramollie, et en me montrant du doigt. Je suis étonné que la plupart des femmes présentes regardent avec intérêt le membre exposé.

"T’étais en train … d'agresser ma femme !" je lui crie en m’efforçant de le frapper et que plusieurs gars s’interposent.

"Bien…euh … agression, c’est un mot un peu fort. Nous étions juste en train de bavarder."

"Bavarder avec ta bite ?" rigole un type dans la foule.

"Bien … Bérengère est plutôt … câline !" s’excuse Robert en redressant son buste et sa cravate. 
Les femmes rient sous cape et me regardent avec sévérité.

Bérengère fond en larmes et Gabrielle l'emmène en maintenant fermé le devant de son chemisier.

"OK, les gars, la fête n’est pas finie, retournez à l'intérieur, la maison paye sa tournée, pendant que je m’occupe de ramener le calme ici. C’est juste une bagarre de poivrots !" dit Arthur en congédiant tout le monde. 

Il met sa main sur mon épaule et dit: "Désolé mon vieux. Ce vieil homme a fait une sottise. Mais calme-toi !"

"Une sottise ? T’as pas vu la scène, Arthur, il allait vraiment la baiser ! Et puis je ne suis pas un poivrot !"

"OK, bien, va vers ta femme. Je vais demander à Robert sa version de l'histoire !" dit-il d'un ton apaisant.

"Sa version de l'histoire ?" Je suis perplexe, incrédule. Pourquoi il ne me croit pas ?

Gabrielle m’intercepte dès que j’ai mis un pied dans la maison.

"Jérémie, tu ne peux pas la voir maintenant, elle est trop bouleversée et incohérente" me souffle Gabrielle à l’oreille.
"Je lui ai donné un tranquillisant et j’ai couché la pauvre chérie dans une chambre d’amis. J’aimerais qu'elle reste ici ce soir. Après une bonne nuit de sommeil, vous serez plus calmes, tous les deux, demain matin, pour discuter de ce qui s’est passé. Allez, viens boire un verre avec moi."

"Mais ..." Et voilà, elle recommence à faire son enjôleuse. Ses cils papillonnent, ses lèvres pulpeuses ouvertes sur ce sourire charmeur, elle s’accroche à mon bras en frottant sa poitrine contre moi, et m’entraîne vers le bar.

Je me dis qu’elle a peut-être raison, que je suis trop bouleversé pour parler correctement à ma femme, et que la compagnie de Gabrielle est bien agréable. Le verre je l’ai bu, mais pas qu’un. Gabrielle tient remarquablement bien l’alcool. C’est moi qui suis pompette. Non, pas pompette, déchiré, nettoyé, carbonisé. Elle m’a eu, la garce !

Au bout d’un long moment, Arthur vient nous rejoindre : "Ben mon vieux, t’en tiens une bonne. Je vais t’appeler un taxi, tu ne peux pas rentrer dans cet état " dit-il en s’éloignant.

Gabrielle s’esquive de son côté, je reste seul au bar et je prends un verre pour me calmer les nerfs. 

Le taxi est arrivé, il aura trois passagers, Gabrielle a fait le tour pour récupérer deux autres gars bien éméchés.
Je les laisse me guider vers la sortie et l’on se dirige péniblement vers la voiture en attente, portière ouverte. 

Le premier s’engouffre et s’affale sur la banquette arrière, je suis en deuxième position et je vais pénétrer dans l’auto lorsqu’un cri retentit dans la nuit. Un cri de femme. De ma femme.

Je me retourne pour jeter un coup d'œil à la maison. La fenêtre de la chambre à l'étage est ouverte. Un autre cri :
"Oui, oh, oui !"

Je perçois le son du matelas qui grince et le toc-toc de la tête de lit qui heurte le mur. Je ne suis pas seul à l’entendre.

Gabrielle se tourne vers Arthur : "T’en a fait quoi, de Robert ?"

"Je l’ai couché dans une chambre d’amis !"

Gabrielle reste figée. Arthur commence à comprendre qu’il a fait une erreur et blêmit.

À ce moment, le troisième gars me pousse dans le taxi en rigolant, monte après moi, claque la portière et le taxi démarre ...

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