Un Cadeau Pour Ma Femme

Un cadeau pour ma femme

Pour notre anniversaire de mariage, 10 ans, je dis à ma chère et tendre que nous allons passer l'un des plus agréable weekend en amoureux dont nous nous souviendrons toujours :

- je voudrais que pour une fois ce ne soit pas toi qui décide où passer le weekend. J'aimerais te faire la surprise du jour, tu n'auras rien à faire, mais je souhaite que tu ne saches rien jusqu'au dernier moment.

C'est vrai que d'habitude, je n'aime pas beaucoup sortir de chez moi, alors, des images sensuelles, voire même érotiques, où bien sûr ma petite femme Ginette tient le rôle principal. J'ai le souvenir très précis de certains weekend et de journées de vacances bien agréables passés ensemble, nous ne savions plus si l'on était le jour ou la nuit, et passions le temps à jouer à des jeux érotiques que nous aimions beaucoup.

Il faut maintenant faire vite, et trouver une idée nouvelle, j'imagine de suite des possibilités intéressantes de mise en scène. Il suffit seulement que je trouve l'énergie pour préparer ce weekend. Car il est impensable que je revienne sur mon offre de m'occuper de ma petite femme.

Ginette me rappelle que le weekend prochain, elle a prévu d'aller rendre visite à sa sœur. Alors, grâce à toutes les images très érotiques de ma petite femme qui passent devant mes yeux, mes idées se bousculent dans ma tête.

Il ne me reste que peu de temps pour préparer cette escapade. Je me met à la recherche d'un endroit convenable pour une telle aventure. Mes réflexions m'orientent à moins de 200 kilomètres de la maison pour éviter de passer des heures en voiture.

J'élimine les endroits que nous connaissons trop, où il y a trop de monde. Une rapide recherche sur Internet, me fait choisir un hôtel de bonne catégorie, de classe et surtout de tranquillité, à quelques kilomètres de chez nous. J'ai la chance d'obtenir une réservation pour le weekend. Je commence à préméditer dans ma tête l'organisation de cette escapade.



Le jour J est arrivé ! J'appelle ma bien aimée qui se trouve chez sa sœur pour la prévenir du programme de la journée :

- Je passerai te prendre lundi à 8h00 du matin. Ne prévois pas de bagages, je l'aurai déjà fait pour toi.

La veille, je prépare avec soin ses bagages, en y prenant un très grand plaisir. Je choisis dans ses vêtements coquins, un porte-jarretelles, une culotte et un soutien-gorge en dentelle rouge, des bas noirs, ses escarpins à talons. la tête pleine des parties de son corps qui recevront ces étoffes si érotiques. Je n'oublie surtout pas dans un carton de prendre aussi, les bracelets de cuir, le bandeau, les chaînes et les mousquetons, le collier de cuir, enfin tous nos jouets de certaines de nos soirées érotiques.

Je prévois aussi sa nuisette la plus courte, ainsi que quelques habits de rechange, moins sexy mais que j'aime bien aussi, une mini-jupe, une robe de soirée très courte et quelques strings. Je pense surtout à prendre sa magnifique cape rouge qui l'enveloppe entièrement.

Après avoir bouclé sa valise, je ne peux résister au désir de prendre un plaisir solitaire en regardant certaines photos au fond du carton, mes préférées d'elle, parmi les plus érotiques que j'ai jamais prises, il y a huit ans.

Je sonne chez ma belle-sœur. Ginette est prête, les yeux brillants, habillée de façon décontractée. Elle me dit qu'elle va peut-être deviner le lieu vers lequel je la conduit. Après quelques baisers et une petite tape sur ses fesses moulées dans son jean, nous prenons la route.

Pour l'instant, elle essaye toujours de deviner notre destination. Mais moi, je suis de bois. Enfin, pas complètement, car sa main s'est posée sur la bosse de mon jean, et je cherche dans ma tête un endroit où m'arrêter rapidement si par hasard elle décidait de remplacer sa main par sa bouche.

Nous roulons depuis un bon moment en discutant, jusqu'à l'autoroute. A peine engagés dessus, je m'arrête à la première aire de stationnement.
Je me gare à l'écart des autres véhicules et demande à Ginette de se déshabiller. Elle a un instant d'hésitation, pensant que peut-être je ne pouvais attendre la fin de notre voyage pour lui faire l'amour sur la banquette arrière.
Mais je ris en lui demandant seulement de changer de vêtements et de revêtir la lingerie qui se trouvait dans sa valise.

Commence alors un très agréable effeuillage, pendant lequel Ginette déploie des trésors des contorsions difficiles pour ne pas être vue par quelques yeux indiscrets. Son jean glisse lentement sur ses cuisses alors qu'elle est assise sur le siège arrière, laissant apparaître un slip très sage, lequel rejoint le jean dans le coffre ouvert. Puis elle fait glisser son T-shirt par-dessus sa tête, faisant ressortir sa poitrine de son soutif blanc.

Elle échange son soutien-gorge bien sage contre le rouge que je lui tends. Puis elle boucle le porte-jarretelles, jetant des regards troublés vers le groupe de voitures garées un peu plus loin. L'un des plaisirs de notre weekend se trouvait justement là, pour elle la frousse mêlée de jouissance d'être surprise à demi nue.

De regarder ma femme, nue, enfiler ses bas, me met toujours dans un état d'excitation et je me retiens de toutes mes forces de ne pas mêler mes mains aux siennes lorsqu'elle déroule chaque bas sur le mollet, sur la cuisse, jusqu'à effleurer sa mince toison brune.

Quand ma femme est parée de rouge, elle s'étonne que je ne lui tende pas de slip assorti, ni de robe ou de jupe, comme elle s'y attendait. Je lui désigne la cape rouge, précisant que c'est le seul autre habit auquel elle aura droit jusqu'à la chambre d'hôtel.

Elle n'hésite qu'une seconde, car l'idée l'excite sans doute autant que moi. Elle s'enroule donc dans sa cape, prenant soin que ni ses seins ni ses cuisses ne soient visibles, enfile ses escarpins, et nous repartons. Elle est magnifique, désirable, et très excitante.

Nous reprenons la voiture, et trouvons enfin l'hostellerie, un vieux manoir dans un parc magnifique.
C'est encore plus beau que les images sur Internet, et que je ne l'espérais, ma femme semble ravie. Je me charge des bagages et nous entrons dans le hall de l'hôtel.

Ginette, toujours nue sous sa cape, est attentive à ne rien dévoiler de son intimité. Je la fait passer devant moi, ma galanterie me permet de porter un regard sur ses jambes et ses fesses, comme je le fais souvent.

A cet instant, la voir au milieu d'inconnus, savoir qu'elle ne porte rien sous sa cape, que le moindre mouvement un peu ample risquerait de laisser entrevoir sa peau nue me trouble au plus haut point, et je sens mon jean se tendre à nouveau au bas de mon ventre.

J'imagine, sans le vérifier, qu'elle aussi doit être quelque peu troublée, au point peut-être que son sexe soit humide. Les formalités accomplies, nous montons à notre chambre. A peine la porte refermée, j'enlace ma femme en promenant mes mains sur tout son corps, d'abord à travers la cape, puis en dessous. Je dessine l'arrondi de ses fesses, la courbe de ses hanches, qui est une zone très érogène pour elle. J'écarte sa cape, passe mes main sur ses seins, descend vers son ventre, continue sur son sexe qui, comme je l'espérais, est déjà tout humide.

Je remonte le long de son dos et, d'un geste preste, je fais sauter l'agrafe de son soutien-gorge, le fait glisser le long de ses bras. Je peux enfin poser mes lèvres sur le bout de ses seins, les sucer, tandis que mes mains continuent à explorer son corps comme si je le découvrais pour la première fois.

Je m'agenouille lentement, posant de petits baisers entre ses seins, sur son ventre, jusqu'au nombril, puis jusqu'à la lisière de la touffe brune. De mes deux mains, je fais pression à l'intérieur de ses cuisses pour l'inciter à les écarter. Lorsqu'elle a obéi à mon geste, je plaque mes mains sous ses fesses pour attirer son sexe à ma bouche.

Je sens sa respiration s'accélérer, ses mains se posent sur ma tête, m'empêchant de me relever, au cas improbable où je l'aurais souhaité.
Ma langue se fait plus pressante, remontant jusqu'au bouton durci et mouillé. Ginette halète de plus en plus rapidement et c'est le moment que je choisis pour me redresser, forçant la pression de ses mains. Je la repousse jusqu'au mur, jette la cape sur le lit, continue à l'embrasser tout en me débarrassant de mes habits.

Je soulève maintenant sa jambe gauche et présente mon sexe à l'entrée du sien. Elle me guide de ses mains pour raccourcir encore l'attente. Et d'un coup de reins, je pénètre au plus profond d'elle, lui arrachant un râle, tandis qu'elle laisse retomber sa jambe et la serre contre l'autre.

Je pose fermement mes mains sous ses fesses et commence à aller et venir en elle rapidement et brutalement, car je sais qu'elle aime être prise ainsi, comme si elle se faisait violer. Elle a du mal à retenir ses cris, me griffe le dos et, très vite, elle me sent jouir en elle, et me rejoint dans l'orgasme.

Nous restons un moment collés l'un à l'autre, couverts de sueur, avant de séparer nos sexes à regret. Notre weekend commence très bien. Après une douche rapide, nous allons faire une promenade dans le parc, Ginette toujours nue sous sa cape. Nous flânons parmi les fleurs et les haies d'arbustes, main dans la main, comme de nouveaux amoureux, en attendant l'heure du dîner.

La salle de restaurant nous y faisons honneur en nous habillant comme pour sortir. Ma femme a revêtu une mini-robe très chic, qui s'harmonise parfaitement à son maquillage. J'ai bien sûr accepté qu'elle s'habille pour dîner, car rester en cape eût semblé bizarre, mais elle est restée nue sous sa robe, tout de même.

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