Collection Puceau - Pucelle. Le Professeur De Piano Et La Pucelle (2/4)

Ce qu’il m’arrive est incroyable.
Christian, professeur de piano et surtout sérial niqueur, plus de 1 200 conquêtes surtout grâce à mon piano à queue.
Comment madame Jeanne, femme coincée par excellence peut-elle vouloir que je garde sa fille Valentine de bientôt 18 ans pour aller voir sa mère de 89 ans dans sa maison de retraite ?
Il est vrai qu’elle ignore que je baise tout ce qui a une petite culotte et une chatte.
Depuis que je donne des leçons de perfectionnement à sa fille ni la mère ni la fille se sont retrouvées seules avec moi.
Étant resté sage depuis tout ce temps, Jeanne a dû penser que je suis un monsieur bien à qui elle peut confier sa fille.
Quand je veux pécho, j’emploie toujours la même technique de morceaux joués à quatre mains ce qui me permet de caresser les cuisses de la dame que je veux séduire.
Si elle se laisse faire, je l’entraine sur mon canapé ou presque cent pour cent des fois je nique.
C’est ce que je viens de faire avec Valentine et cela a parfaitement fonctionné.
Il faut dire que j’ai la chance d’avoir une oie plus que blanche à qui tout du sexe a été caché depuis sa naissance et surtout sa puberté.
Je viens d’arriver à lui fait voir mon pieu, le comparant à mon piano à queue et je suis à deux doigts qu’elle me masturbe en me prenant dans sa bouche.

C’est fait, Valentine descend régulièrement, mais s’arrête quand elle croit être au maxi de ses possibilités.
Je sais qu’avec mon expérience, il faut se méfier des femmes à petite bouche qui ont des difficultés jusqu’au vomissement de la prendre entière jusqu’aux couilles.
Valentine s’arrête alors qu’elle est surement capable de faire des gorges profondes.
J’adore que l’on me fasse des gorges profondes et je veux qu’elle y arrive.
Je veux la baiser, elle me fait bander à mort.
Mais je vais faire preuve d’œuvre publique, car le mari que semble lui chercher sa mère, manquera certainement d’expérience et cette petite faite pour l’amour passera à côté de sa vie sexuelle.


Si elle sait y faire, même si j’arrive à lui prendre sa virginité, je lui aurai donné de l’expérience qui servira à ce jeune couple.

• Parfait, Valentine, si tu veux qu’un homme soit au sommet de sa forme, pour qu’il puisse te montrer bien des choses.
Sais-tu ce que deux êtres normalement constitués peuvent faire ?
Tu peux descendre jusqu’à ses couilles en laissant glisser sa queue le long de ta gorge.
Tu es excellente Valentine, tu vois tu y arrives du premier coup, chaque fois que tu seras amenée à sucer, fait comme cela.
Ça s’appelle faire une gorge profonde.

Elle monte et elle descend, je suis aux anges, j’ignore ce qui va se passer après le retour de sa mère, au pire je perdrai une élève.

• Arrête, ça te plaît !
• Oui, c’est doux et j’aime l’avoir dans ma bouche.
• Tu peux faire mieux, tu fais des gorges profondes et tu vois le chapeau plus grand que la tige, sais-tu comment cela s’appelle ?
• Je l’ignore.
• Ta tante, t’a vraiment tout caché en sciences naturelles, c’est un gland, avec cette petite fente qui s’appelle un méat.
• Oui, j’ai vu des images, mais pas si précise que ta queue que j’ai devant mes yeux et que j’ai déjà mise dans ma bouche, j’aime.
• Avec ta langue, titille-le, oui comme ça, descends le long de ma verge toujours ta langue dessus et avec ta main masturbe-moi.
• Masturbe !
• Pardon, je vais trop vite, regarde, comment on masturbe un garçon.

Je lui prends la main et lui fais voir le mouvement.
Elle est super-douée, car je suis à deux doigts de lui éjaculer dans la bouche.
Le sperme, ultime étape, mieux vaut l’en dispenser en ce moment, je veux qu’elle jouisse avant ça et me voir en faire de même.
Surtout que c’est plus spectaculaire, voir des jets de foutres partir dans sa bouche ou sur sa figure, ce pourrait être traumatisant.

• Ce que tu viens de me faire s’appelle une masturbation avec fellation en gorge profonde.

• Je vois que j’ai beaucoup de choses à apprendre, Mère et tante semblent m’avoir caché bien des sujets de plaisir.
• Deuxième leçon, tu viens de faire plaisir à un homme avec ta bouche, mais lui aussi peu te satisfaire avec la sienne.
Enlève-moi ce soutien-gorge disgracieux, tu portes toujours ces affreux trucs, d’un autre âge ?
• Lorsque nous achetions ma robe tout à l’heure, j’en ai vu de jolies avec les petites culottes en dentelle, j’en ai regardé des roses.
Mère me les a arrachés des mains en me disant que c’était les filles de petites vertus qui portaient ce genre de sous-vêtement.
Elle a ajouté ce sont des putes.
• Tu sais ce que le mot pute veut dire !
• Nous habitons un immeuble particulier donnant sur le bois de Boulogne.
Père se plaint souvent que des filles soient entre les arbres à faire les putes en montant dans les voitures d’homme qui s’arrête à leur hauteur.
• Ces filles, quand elle monte dans leur voiture, font des fellations à leurs clients !
• Des fellations comme moi je viens de t’en faire une !
Je suis donc une pute !
• Non, elles se font payer pour leur faire cela, toi et moi nous faisons simplement ce que tout homme et toute femme se font pour avoir du plaisir.
• Alors, je pourrais en porter sans être une femme de mauvaise vie !
• Tu le peux, tout ton corps le mérite.

Soutien-gorge enlevé, ses seins en forme de poires me sautent aux yeux et à ma langue quand je les embrasse et les lèche consciencieusement.
Elle semble apprécier ses seins aussi quand elle me prend par le cou et me plaque sur sa poitrine.

• Aimes-tu !
• Oh oui, beaucoup.
• Tu sais que tes seins tu peux te les caresser toi-même pour que tes fraises au bout de tes seins bandent, elles aussi.
Tu devrais te caresser le soir dans ton lit.

Je la vois au bord des larmes.

• Que t’arrive-t-il petit cœur, je t’ai blessé ?
• Non, une fraction de seconde, j’ai repassée dans la tête tout ce que j’ai vécu depuis que je suis une jeune femme.

Je comprends pourquoi depuis que je suis toute petite, on m’a habitué à dormir sur le dos les mains au-dessus des draps.
Même maintenant, la nuit, j’entends la porte de ma chambre s’ouvrir et grâce à la veilleuse qui a toujours été allumée sous-couvert que je faisais des cauchemars.
Je comprends que cette veilleuse s’était pour mieux contrôler si je m’amusais avec mon corps.
• Suite de la deuxième leçon, le plaisir des seins et le plaisir de ta féminité, enlève cette affreuse culotte.

Elle le fait, sa pilosité brune m’apparaît.

• Mon dieu, même là, elle te laisse dans l’ignorance.
• Pourquoi, que devrais-je savoir que tu peux voir à l’œil nu.
• Les jeunes filles de ton âge se rasent les poils disgracieux en masse comme tu m’en fais voir.
Sais-tu qu’il y a des instituts de beauté où les femmes se font faire ce que l’on appelle le maillot ?
• Lieu de perversion pour les deux femmes de ma vie, je me rends compte qu’elles voient le mal partout.
• C’est bien d’ouvrir les yeux, tu dois leur faire comprendre que tu es à un âge ou tu es assez grande pour diriger ta vie.
Continuons la leçon numéro deux.
• Sans vouloir te choquer, peux-tu écarter tes cuisses, que je puisse atteindre la partie de ton corps qui te sert simplement à faire pipi.
• Tu te moques, mais tu as raison, montre-moi ce que je devrais apprendre pour le plaisir de mon corps et de ton corps.

J’aime l’invitation, je pourrais passer pour un infâme salop d’essayer de dépuceler une jeune fille qui pourrait être ma fille.
J’avance mes mains pour écarter ses lèvres vaginales, ma langue malgré sa toison trouve un des clitos les plus développés.
Petit coup de langue et rapidement en plus des petits gloussements, comme pour ses seins, elle m’appuie sur la tête avec ses mains.
Elle mouille, elle aime, contre toute attente de ma part, je sens son corps se tendre formant un arc et un orgasme la traverser.

Si elle jouit une fois je suis sûr qu’elle peut recommencer et j’insiste, une main sur ses seins mes doigts et ma bouche continuant mon cunnilingus.

Je la laisse souffler, mais je sais que j’ai encore bien du temps à en faire une femme complète.
Je me redresse et je me retourne, elle comprend que je lui offre ma queue sans le piano et c’est dans un soixante neuf que nous continuons nos ébats.

Mes doigts s’attaquent à sa chatte, je lui introduis un doigt.
Tient c’est bizarre !...

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