Collection Puceau - Pucelle. Le Professeur De Piano Et La Pucelle (3/4)

J’ai l’impression que je suis bien partie pour attr la plus belle prise possible pour un sérial sauteur de gonzesse.
1 200, un peu plus, 1 300 un peu moins, c’est le nombre de femmes que je pense avoir couché dans mon lit, mais surtout sur mon canapé ou je forme de, A à Z, Valentine la pucelle.
Pucelle, c’est un faible mot, car sa mère et sa tante l’ont isolé du monde afin de protéger sa vertu pour un hypothétique jeune homme aussi puceau qu’elle.
Je fais œuvre de salut public en lui apprenant les jeux d’amour telle que fellation ou cunnilingus.
J’aime la voir apprendre malgré ses presque 18 ans, moi qui ai la cinquantaine et qui pensait avoir tout vu avec les femmes.
Lui faire découvrir son corps de femme autant que le mien, c’est la mission dont je me sens investi.
Ces cerbères la pistant presque nuit et jour ont tous fait pour stopper son épanouissement.
Pourtant, elle a tout ce qu’il faut là où il faut.
À un détail près pour une jeune fille de son âge, sa chatte qui est couverte d’une toison à faire pâlir une portugaise mériterait l’aide d’une esthéticienne.
En parlant de portugaise, je sais de quoi je parle, j’en ai coincé deux sur la totalité de mes conquêtes, elles m’ont présenté des toisons plus que fournies.
La seule différence entre elles et Valentine, c’est leur dessous de bras, là aussi, elles étaient poilues comme des moutons noirs alors que ceux de ma petite conquête sont moins fournis.

J’arrive à lui mettre un doigt, puis deux dans la chatte que je trouve dégoulinante.
Et là surprise.
Ils entrent comme dans du beurre, aucune membrane pour m’interdire l’entrée.

• Dis-moi, comment se fait-il que mes doigts entrent en toi sans la moindre retenue, es-tu sûr d’être vierge.

Valentine entre en pleure, je me retourne et la prends dans mes bras.

• Pourquoi ces grosses larmes, si quelqu’un avant moi t’a déjà pénétrée comme je l’ai fait, c’est loin d’être grave ?
• J’ai eu un accident étant petite fille, dis-moi c’est grave !
• Non, j’allais faire de toi une femme, le travail est simplement déjà fait, mais comment !
• Mère voulait que je fasse de l’équitation, nous allions près de Chantilly dans un manège où j’ai fait du poney.


Ayant grandi et assez forte, je suis montée sur un pur-sang et j’ai fait du saut d’obstacles.
Un jour Tonnerre m’a fait un refus pilant littéralement et me propulsant de l’autre côté des barres.
J’ai eu très mal et rapidement Mère a vue sur mon fuseau beige.
Nous avons été au vestiaire où elle m’a examinée.
Nous sommes allés voir le vieux médecin qui me soigne depuis que je suis petite.
Il a parlé d’un truc qui se serait déchiré chez nous les filles.
• Ton hymen ?
• Un nom comme ça, elle en a parlé à Père, je me souviens, c’est là qu’il m’a dit pour le père Noël et qu’il a mis une lettre que le médecin avait donnée à Mère.
• Un certificat de virginité qu’ils donneront aux parents de ton futur époux avant ton mariage.

Je suis aux anges, chez ces gens-là, les choses sont si prévisibles, que prenant la bouche de Valentine je lui donne son premier baiser.
Elle doit penser que c’est dans la leçon, car ses lèvres s’ouvrent sans aucune question.
Instinct animal chez l’homme surtout quand je lui mets mon sexe bien profond tellement, elle dégouline.

• Onnn, onnn, onnn.

Sa bouche que je muselle, l’empêche d’en dire plus jusqu’à ce que mes lèvres quittent les siennes.

• Ah ! ah ! ahhhh ! c’est bon, que fais-tu ?
• Je te baise, je te donne du plaisir avec ma queue, veux-tu que je m’arrête ?
• Oh ! non, encore que se passe-t-il en moi, je sens que je vais éclater.
• Tu vas jouir ma chérie comme toute jeune fille de ton âge doit le faire pour rester jeune et belle.

Voilà que dire de plus, une demi-pucelle de moins sur cette planète et une pucelle gueulant son plaisir au moment où un orgasme la traverse.
Mon histoire pourrait s’arrêter là, mais une fois la petite ayant compris tous des jeux de l’amour a voulu remettre le couvert deux jours plus tard.
Cette première fois, quand sa mère est revenue, j’étais mollement appuyé sur mon piano quand j’ai dit à la mère d’entrer.

Tout c’est passé normalement Jeanne s’est confondu en remerciements avant d’emmener sa progéniture qui me regardait bien différemment qu’à son arrivée.
Deux jours ont passé lorsque l’on sonne.
Je finis un cours avec un jeune garçon quand je demande d’entrer.

• Christian, c’est moi, je vois que tu es occupé !
• Gilles rentre chez toi, la leçon est terminée, je compterai seulement une demi-heure à tes parents.

Mes élèves m’écoutent, le jeune garçon prend ses partitions, nous salut et quitte la pièce de musique la porte palière donnant directement sur le palier.
Valentine me saute dans les bras les mettant autour de mon cou.

• Que fais-tu là toute seule, tu es monté en courant, ta maman arrive derrière toi ?
• Non, elle est sortie de la maison pour faire des courses et tante Agathe faisant sa sieste, je me suis enfuie pour te retrouver.
Tu sais, la nuit dernière, j’ai attendu que ma tante fasse sa ronde, les mains sagement posées sur mes draps.
Lorsqu’elle a refermé ma porte, j’ai caressé mes seins et je me suis mis des doigts.
C’était moins fort qu’avec ta...
• Bite.
• Oui, bite, c’est un mot nouveau pour moi.
J’ai...
• Jouis, encore un mot nouveau que tu peux dire.
• Oui, jouis, mais moins fort qu’avec toi.
Je veux que tu me refasses l’amour.

J’ai pour habitude d’éviter de remettre le couvert avec mes maîtresses, sinon elles s’accrochent.
Je leur dis que c’était un moment d’égarement et que par respect pour leur mari, c’était la seule fois.
Mais là, Véronique est trop ingénue et pour moi quelque peu vierge, je la prends dans mes bras.
Je l’embrasse, j’ai l’impression d’avoir son cheval Tonnerre dans mes bras, tellement elle est comme une pouliche fougueuse.
C’est elle qui prenant l’initiative en ce baissant défait la ceinture de mon jean sortant ma verge prête à l’emploi quand je l’ai dit.
Mon dieu que cette petite me fait bander, ça doit être dû à l’exploit que j’ai fait d’être le premier et lui avoir appris à baiser.

Je la relève une nouvelle fois et je lui enlève son chemisier de petite fille modèle.

• Regarde, je suis comme toi, j’ai jeté ce soutien-gorge qui te déplaisait.
Ma chatte aussi est nue et tu vas avoir une surprise.

C’est à ce moment que l’on sonne à ma porte à quelques mètres de nous.

• Tu attendais quelqu’un, un élève !
• Non, le jeune garçon était le dernier, prends tes affaires et va m’attendre dans ma chambre.
Tu passes par cette porte, j’éjecte l’intrus et je serai tout à toi.
Surtout pas de bruit.

Valentine ramasse ses affaires et fait ce que je lui ai dit et je vais ouvrir.

• Monsieur Christian, j’avais peur de venir vous déranger.
• Mais non madame Jeanne, que me vaut votre visite, vous êtes à jour dans les règlements pour votre fille !
• Non, j’ai jugé que nous étions parties trop rapidement sans vous avoir assez remercié de m’avoir gardé Valentine.
Je suis passée chez Fauchon et je vous ai acheté une belle boîte de chocolats.
J’ai hésité, mais vous êtes assez svelte et je pense que le diabète et vous ça fait deux.
De toute façon une petite douceur chaque soir, ça fait du bien sans faire de mal.
Regardez-moi, j’en prends un tous les soirs.

Merde la mère de Valentine, bizarre cette visite, je prends la boîte et la pose sur mon piano à queue.
Elle se rapproche de moi, je me sens cerné, la fille d’un côté la mère de l’autre surtout qu’elle vient se coller à moi.

• Prends ma bouche, j’ai eu envie de toi dès le premier jour ou je suis venue avec Valentine l’inscrire à tes cours.

J’essaye d’éviter l’irrémédiable, je la repousse mollement, mon sexe devant cette belle femme de quarante ans,commençant à bander.

• Tu es une salope, venir chez un homme pour te donner à lui !
• Hélas, embrasse-moi, j’aimerais être une salope, mais à part ma nuit de noce ou le père de Valentine m’a pris ma virginité depuis bientôt vingt ans, ça a été la seule fois ou un homme est venu en moi.


Dans quelle histoire, je suis en train de me fourrer...

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