Madeleine, Ma Vieille Voisine Est Une Coquine Suite

Je me suis rendu compte que je n'avais pas terminé mon histoire avec Madeleine, ma voisine octogénaire. (voir Madeleine, ma vieille voisine est une coquine )
J'avais envie de convertir ma femme à l'homosexualité féminine et Madeleine pouvait m'aider.

Quand Madeleine frappe à la porte, je la fais patienter un peu alors que je l'ai vue arriver. J’entrebâille enfin l'huis et lui demande de quitter sa robe avant de rentrer.
• « Tu es fou ! Si quelqu'un me voit  ?
• Si tu te dépêches, il y a peu de chance, d'autant qu'à part le portail et ton jardin, personne ne peut voir. » Je referme la porte.

A travers la vitre dépolie, j'aperçois la silhouette de Madeleine qui semble hésiter. D'un coup je la vois déboutonner sa robe. Une dernière hésitation et elle laisse tomber son vêtement.
Elle va pour taper, mais j'ouvre avant et elle se précipite dans la maison en me bousculant. Je ramasse la robe qu'elle avait laissé par terre et referme derrière moi.
Elle est là, nue dans l'entrée, les yeux brillants comme une prise en faute. Je l'enlace et nous échangeons un long baiser.
• « Tu es complètement fou toi ! Dit-elle quand enfin on se sépare
• Dis que tu n 'aimes pas.
• Je...Ce n'est pas ça, mais je ne pensais plus pouvoir exciter encore un homme à mon âge.
• Tu réussis même à exciter les femmes alors. Tu sais que ma femme a vingt ans de moins que toi  ?
• Oh ! Je.. Je n'y avais pas pensé !
• Ça te dérange  ?
• Je... Tu me fais faire n'importe quoi aussi ! C'est bien toi qu'y m'a poussé à la draguer  ?
• Je ne te reproche rien. Par contre, j'ai très envie que tu me suces.
• Tu es un salaud !
• On va bien ensemble. Allez viens ! » J'emmène Madeleine dans le salon et je me place devant la grande glace « Tu vas pouvoir te regarder pendant que tu me pompes. Allez, à genoux vieille salope ! »

J'ouvre mon pantalon et souple malgré son âge, Madeleine est vite à genoux.

Elle prend ma queue qui est bien raide dans une main et gobe le gland. J'ai remarqué que c'est une caresse qu'elle aime bien. Elle le suce comme un bonbon et sa langue joue dans le trou du méat. C'est une experte !


Pendant qu'elle me suce, je fini de me déshabiller, puis je lui dis de nous regarder dans la glace. Cette femme qui a presque quatre vingt ans est encore très appétissante surtout dans ses sous-vêtements qui mettent en valeur sa silhouette. C'est vrai qu'elle est beaucoup mieux que celle que j'appelais ma vieille maîtresse et qui est maintenant dépassée en âge et en expérience.
Je couche délicatement Madeleine sur le parquet et m'agenouille à mon tour pour la prendre. D'elle-même, elle relève ses jambes, les tenant dans ses mains sous les genoux. Écartelée, obscène, elle quémande :
• « Viens me baiser gros salaud ! Viens niquer ta vieille ! Ta vieille salope qui aime ta queue, qui aime la queue ! Baise la vieille pute qui baise ta femme ! Défonce-moi ! »
Sans me guider, je plonge ma bite dans son vagin gluant. Cette femme est une furie. Elle en redemande sans se plaindre de l'inconfort du plancher. Quand je la retourne à quatre pattes face au miroir et que je lui relève la tête en empoignant ses cheveux, elle brame, se trouve vieille, mais en veut encore. Cette femme n'a plus quatre vingt ans ou presque. Elle transpire, crie, et d'un coup s'effondre en gueulant au moment ou je jouis en elle.
On s'écroule tous les deux sur le sol luisant de nos sueurs. Nous avons besoin d'un long moment de récupération. Les genoux sont douloureux, mais le plaisir était si intense qu'il surpasse tout.
On reste ainsi un moment pour reprendre notre souffle. Madeleine s'endort même un peu et je la cajole dans mes bras, serré contre elle.
Madeleine voudrait se doucher et se rhabiller, mais je l'oblige à rester nue, uniquement vêtue de ses bas et son porte jarretelles. Elle a honte de son corps de vieille, mais je l'assure qu'elle est bandante, la preuve, ma queue s'est déjà redressée.
Elle me fait un effet incroyable. Est-ce parce qu'elle est ma voisine  ? Quelle a presque quatre vingt ans  ? Sûrement un peu des deux.
On déjeune ainsi et ce n'est qu'après qu'elle rentre chez elle après avoir enfilé sa robe sur son corps voluptueux.
Après avoir nettoyé et rangé le salon, je passe à la douche et sors faire un tour en vélo. Avant qu'elle ne parte, je lui ai donné rendez-vous pour le lendemain. Nous irons nous promener en ville.
Le soir, je raconte à ma femme que Madeleine est venue et que nous irons à Bordeaux le lendemain. Je l'informe aussi que je serai absent mercredi pour un rendez-vous qui me prendra la journée.

Le lendemain, quand j'arrive chez Madeleine, elle me reçoit en peignoir, elle n'est pas encore prête. Je la soupçonne d'avoir volontairement traîné et d'avoir envie de quelques caresses. En prenant le café, son peignoir s'entrouvre « par hasard », me laissant admirer sa poitrine.
• « Si tu as envie de te faire baiser, dis-le !
• Tu... Oui, j'ai envie salaud ! Tu me rends folle ! Viens me baiser !
• A tes ordres ma salope ! »
Elle est assise sur le tabouret haut de l’îlot où nous sommes installés. Je me lève, contourne le meuble et je fini d'écarter son peignoir sous lequel bien sûr elle est nue. Je n'ai qu'à baisser mon pantalon pour l'embrocher alors qu'elle m'étreint en réclamant ma bouche.
Elle noue ses jambes autour de ma taille et je la prend ainsi debout. Madeleine est vraiment chaude et je ne sais si c'est la situation ou si elle s'est branlée avant mon arrivée, mais elle jouit rapidement.
• « Donne-moi ton sperme ! Je veux le sentir en moi ! Je vais le garder toute la journée dans ma connasse. »
La salope sait y faire ! Elle att une cuillère en bois sur la table, lèche le manche et me l'enfile dans le cul. Sous l'effet conjugué de sa chatte qui me pompe et du manche qui m'encule, je ne tarde pas à jouir et à remplir son vagin.
Elle descend de son siège et s'éclipse alors que je nettoie un peu ma bite pleine de son jus.
Elle revient aussitôt, sans avoir fait de toilette. Elle a enfilé une culotte qui déjà est tachée à l'entrejambe et termine de boutonner sa robe sur le devant
• « Je vais garder ton jus et ton odeur sur moi.Je vais sentir le sexe pendant toute la balade. Je suis complètement folle ! »
• J'adore que tu sois folle.
• Tu n'as pas un peu honte de moi  ?
• Pas du tout au contraire !
• Les gens vont sentir que je pue ! Surtout quand on aura marché et dans le tram. Tu vas avoir honte de moi.
• Si tu étais négligée, peut-être que j'aurais honte. Il pourront se demander comment je fais pour rester avec une vieille qui pue, mais je crois surtout que ça va m'exciter ! »
Au cours de notre balade, je remarquerai parfois quelques regards sur nous. Viennent-ils de l'attitude très câline de Madeleine  ? De voir cette vieille femme au bras d'un homme plus jeune  ? De l'odeur qu'elle dégage quand nous sommes serrés debout dans le bus  ? Il faut dire qu'à ce moment là, Madeleine se tenait à une barre d'appui et qu'elle avait relevé son bras, dégageant ses aisselles et que je pouvais sentir les effluves de son corps. D'autres peut-être le sentaient-ils  ? Je n'ai pas vu de regards mauvais, sauf peut-être une femme assez plantureuse pour ne pas dire plus, qui devait être jalouse qu'une femme beaucoup plus âgée qu'elle, soit en compagnie d'un homme visiblement très attentionné. Pour en rajouter, j'ai même posé mes lèvres sur celles de ma compagne en adressant ensuite un grand sourire à l'autre femme comme pour lui dire « Eh oui ! Je la baise, la vieille ! Elle est super chaude ! »
Nous avons déjeuné dans le même restaurant où j'étais deux jours avant avec ma femme. Le serveur a été surpris, surtout quand nous avons échangé quelques caresses et eu quelques attitudes intimes. Il m'avait vu avoir les mêmes attentions avec une femme plus jeune le samedi précédent. Ce devait être ma maîtresse et aujourd'hui j'étais avec ma femme.
Il a dû se dire que j'étais un sacré vicieux de fréquenter le même lieu. Très professionnel, il n'a pas manifesté m'avoir reconnu.
J'en ai bien sûr informé Madeleine qui était hilare. Au moment de payer, c'est elle qui a sorti sa carte bancaire en disant bien fort :
• « Mon chéri ! On reviendra ici quand ta femme est absente. Il n'y a pas qu'elle qui aime les fruits de mer ! »
Le serveur était estomaqué.
Au retour chez elle, Madeleine a enlevé sa culotte qui était pleine de nos jus mélangés. Elle me l'a donnée en disant. « Sens-la bien mon salaud pendant que je te pompe la queue ! »
Aussitôt à genoux, elle a sorti elle-même ma bite au garde à vous et m'a sucé goulûment alors que je respirais le parfum capiteux de sa lingerie.
Alors que je la quitte, elle m'annonce que puisque je ne suis pas là le lendemain, elle passera la journée avec ma femme et qu'elle compte bien s'en occuper sérieusement !
Le lendemain à huit heures, je pars à mon rendez-vous. Ma femme ne travaille pas et reste au lit. La suite, c'est Madeleine qui me la racontera.
«  Après ton départ, j'ai appelé Rose, pour savoir si elle voulait aller se promener avec moi. Elle m'a aussitôt dit oui et je lui ai proposé de venir à la maison boire le café dans un moment, le temps de se préparer.
Après avoir pris ma douche, J'ai fignolé mon épilation et pris du temps. Je me suis juste enveloppée d'un peignoir en soie et suis restée nue en dessous. A son arrivée, j'ai joué l'étonnée.
• Tu es déjà prête  ?
• J'étais presque prête quand tu m'as appelée (la menteuse) Je peux revenir.
• Non, non J'ai dû traîner. On prend le café et je me prépare. »
Tout en prenant notre café, on discute un peu. Je termine vite le mien et en partant vers ma chambre, comme si c'était naturel, j'enlève mon peignoir et me retrouve nue. Je « sens » son regard sur moi. J'accentue un peu le déhanché. Tu sais comme mes grosses fesses ressortent bien comme ça ! Faisant mine de me rendre compte de la situation je me retourne.
• « Oh ! Excuse-moi ! J'ai tellement l'habitude d'être nue chez moi ! J'espère que je ne te choque pas  ?
• N... Non, non.
• Je sais que le spectacle n'est pas très beau. A mon âge...
• Oh non ! Je trouve que tu es... très bien.
• C'est gentil, mais je me connais... » En parlant, je me suis retournée et elle a ainsi la vue sur mon côté face. Mes gros seins et mon ventre lui sautent au yeux. J'y vois du désir et je souris. « Bon, assez rit. Il faut que je m'habille. »
Lentement j'entre dans ma chambre sans fermer la porte. Le lit est juste en face. J'y ai déposé mes dessous et mes habits. « Naturellement » je mets mon porte-jarretelles, m'assois et enfile mes bas.
• « Tu mets toujours des bas  ?
• Mon défunt mari me voulait toujours ainsi et j'ai gardé l'habitude. Je ne sais plus faire sans. Et toi, tu n'en mets pas  ?
• Quelque fois... pour... faire plaisir à mon homme.
• Je suppose qu'il adore.
• Oui !
• Petite coquine ! Ça te dirait d'en mettre avec moi  ?
• Je... Je ne sais pas..
• Allez, viens. Je vais te trouver quelque chose. »
Je me lève et vais vers l'armoire où ma collection de dessous est bien achalandée. Rose s'est approchée. Je sais qu'elle est derrière moi, aussi je me retourne et me retrouve presque contre elle, nue ou pire !
Un silence lourd s'installe. Elle détaille mon corps et doit sentir ma chaleur. Je jette les dessous inutiles sur le lit et me collant à elle lentement je l'embrasse. Après une petite hésitation elle me rend le baiser et m'enlace.Je sens ses mains encore hésitantes parcourir mon dos. L'une, descend et atteint mes fesses qu'elle pétrit. Je n'hésite plus. Je l'enlace à mon tour. Je trouve vite la fermeture éclair qui ferme sa robe. Tout en lui tenant la nuque d'une main, je baisse la fermeture de l'autre, sans qu'elle ne s'y oppose.
Je dois lâcher sa tête pour baisser son vêtement et on se décolle brièvement. Dès que sa robe glisse à ses pieds, je la reprend dans mes bras.
Ses mains, comme les miennes, cherchent l'attache du soutien gorge et nos poitrines sont vite dénudées. Pas un mot n'est échangé mais la tension des regards suffit à exprimer notre désir.
On se recolle et nos lèvres se soudent. Sa bouche est vorace, ses mains courent sur mon dos et mes fesses. Quand la mienne cherche à s'immiscer entre les siennes, elle soupire et après une hésitation, elles s'ouvrent à mon doigt alors que les siens s'infiltrent aussi entre mes hémisphères. Nos pubis se frottent, mais elle a encore sa culotte. Aussitôt je lui enlève je glisse alors une jambe entre ses cuisses et on peut vraiment se frotter. « chatte à chatte »
Je n'en peux plus, il faut que je la goûte ! J'abandonne ses lèvres pour bécoter son cou. Elle frémit. Elle y est très sensible, mais ça tu me l'as déjà dis. Elle se lâche et s'abandonne à mes caresses. Je la pousse sur le lit où on s'enlace à nouveau. Je descends sur ses seins que je triture et lèche, me concentrant sur ses tétons bien durs.
Après un moment je continue vers son ventre et m'approche de sa fente dont je respire déjà le parfum. Je vais pour y poser mes lèvres quand elle me retient.
• «  Qu'y-a-t-il  ? Tu ne veux plus  ?
• N...Non. C'est pas ça, mais... Je voudrais... moi aussi... Te... goûter !
• Oh que c'est mignon ! Oui ! Moi aussi j'ai envie de ta langue sur ma figue. Viens on va le faire ensemble. »
Je me couche sur le dos et Rose m'enjambe. Un coussin sous la tête, je suis face à sa chatte qui sent fort, ce qui n'est pas pour me déplaire. Elle est toute mouillée. Au dessus de moi, elle hésite.Je ne fais rien pour la forcer. Elle doit le faire d'elle même. Elle me dira plus tard que c'est la première fois qu'elle se retrouvait face au sexe d'une autre femme.
Je sens enfin ses lèvres sur ma chatte, aussi je plonge ma langue dans ses nymphes. Je trouve son clito et je l'agace en le mordillant entre mes lèvres. Ma langue n'est pas inactive et je la plonge dans sa mouille qui coule sur me lèvres et mon menton.
Rose hésite encore un peu, mais très vite, après avoir émis un « mmmhh », elle s'abreuve à son tour à ma corolle. Elle relève sa tête et murmure - « C'est la première fois. C'est bon ! »
Je plonge alors deux doigts dans son sexe et elle fait alors de même dans le mien. A partir de là, je ne compte plus mes jouissances. Elle aussi se lâche et j'avale son jus intime. Je me régale de ta femme. Je me souviens quand tu me disais adorer la lécher ainsi. Elle coule beaucoup et j'adore.
Je ne sais combien de temps cela dure, mais c'est épuisée que j'arrête le « combat » étalée sur ma couche pendant qu'elle me broute encore comme une affamée.
Enfin calmée, ou se rendant compte que je ne fais plus rien, elle s'étale sur mon corps en respirant fort. Elle aussi a bien jouit.
Un long moment plus tard, elle se soulève, se retourne et vient se coucher sur moi en cherchant mes lèvres. On échange un baiser fiévreux, mélangeant nos fluides intimes dont nos visages sont barbouillés.
• « Mon dieu que c'est bon ! » Dit-elle alors « Mon mari m'a souvent demandé de faire l'amour avec une femme. Je n'osais pas. Mais avec toi c'est merveilleux !
• Tu es gentille. Tu vas voir, je vais t'apprendre des choses et tu ne pourras plus t'en passer.
• Mais... Comment je vais faire avec mon mari  ?
• Tu vas lui dire  ?
• On... On se dit tout, mais j'ai un peu honte.
• Il ne faut pas. Tu m'as dis qu'il t'avait demandé de faire l'amour avec une femme alors, il ne sera pas mécontent.
• Tout de même !
• Quoi  ? C'est parce que je suis vieille  ?
• Non ! Tu es folle !
• Parce que je suis ta voisine  ?
• Je.. Je ne crois pas.
• Je crois qu'au contraire il sera très heureux.
• Tu crois  ?
• J'en suis sûre !
• Et toi  ? Qu'est ce que tu penses de moi  ?
• J'adore ! Tu es si bonne à lécher. Tu es une belle petite salope !
• On est voisines tout de même.
• Et alors  ? C'est encore mieux. Quand on a envie, on n'a pas à aller très loin.
• Je . . Je ne sais pas si je.
• Tu en as déjà marre de moi  ?
• Oh non ! Mais.. C'est nouveau pour moi et... Je n'ai pas envie d'arrêter.
• Tu n'es pas obligée de lui dire.
• On se dit tout.
• Pas tout de suite au moins. C'est si bon d'avoir un petit secret. C'est excitant !
• Tu as raison. Mais je lui dirai assez vite. Il est tellement coquin, qu'il va se rendre compte de quelque chose.
• Écoute. On va en profiter un peu toutes les deux... si tu veux encore
• Oh oui !
• C'est mignon ! Et dans quelques jours on lui dira.
• D'accord... Dis... J'ai envie encore !
• Tu es insatiable ! Tu veux me  !
• Oh non ! Pardon ! Mais...
• Coquine ! Moi aussi j'ai envie. On a toute la journée.
• On devait aller se promener.
• Tu lui racontera une visite.Tu sauras faire  ?
• O... Oui ! »
On s'embrasse à nouveau longuement. Rose ne se lasse pas de me caresser. Nos doigts trouvent nos chattes et on se branle comme deux folles.
On se retrouve assises face à face et je lui montre comment deux femmes se frottent clito contre clito. Elle adore cette position qui permet de se caresser en même temps.
Elle s'abandonne à moi quand j'introduis deux doigts dans sa chatte. Elle est bien relâchée, aussi j'en rentre un troisième, puis un quatrième. - « Laisse-toi faire ! »
Je joins mon pouce et en douceur, j'enfonce ma main dans son sexe qui m'accueille sans douleur.
• « Regarde ! Je te fiste ! Tu aimes  ?
• C'est... énorme ! Continue ! Défonce-moi avec ta main ! Oh mon dieu ! C'est trop fort ! Ouiiii ! »
Je retire ma main avec précaution après sa jouissance. Rose est étalée, quasi inconsciente, tellement son orgasme l'a anéantie. Je lui donne ma main à lécher et je me couche sur elle pour l'embrasser à nouveau.
Après un moment, nous passons sous la douche, où enlacées, on continue nos caresses et nos baisers.
Finalement, on se sèche et on enfile un peignoir pour aller manger.
Rose se confie alors. Me raconte sa vie, vos expériences en club. Elle me dit qu'elle adore te voir avec un homme et je lui dis que tu adoreras la voir maintenant avec une femme.. Elle a un peu peur malgré tout, mais décide qu'à l'avenir, elle ne refusera plus ces rapports.
• «  Tu voudras quand même continuer avec moi  ?
• Bien sûr !
• Même si je suis vieille  ?
• Tu es superbe et j'adore te faire l'amour ! »
Après avoir mangé, on retourne dans ma chambre et nous reprenons nos ébats sous prétexte d'une sieste qui va être coquine.
A un moment, Rose me dit :
• « Tu sais qu'on a des « jouets » à la maison  ?
• Des jouets  ?
• Oui. Des sex-toys comme on dit maintenant. Attend. Je vais en chercher ! »
Elle se lève brusquement ; Enfile sa robe sans rien dessous et court chez vous. Quelques minutes plus tard elle revient avec un sac et étale ses jouets. Un gode, des boules de geisha et un magnifique gode-ceinture.
• «  Je m'en sers avec mon mari. Il adore que je le prenne comme ça. Je vais le faire cocu et te baiser avec ma chérie ! Ça ne vaut pas un homme mais c'est mieux que rien et j'ai très envie de te baiser.
• Tu peux aussi m'enculer !
• Salope !
• J'aime que tu me dises ça !
• C'est vrai  ? Pardon ! J'ai dis ça sans penser. Tu n'es pas une salope.
• Oh que oui ! Continue ! Traite-moi de salope, de cochonne, de vieille pute, j'adore !
• Toi aussi traite-moi de salope. En attendant, vieille pute, je vais te faire bramer avec ma bite. » Elle s'harnache avec le gode. Elle est magnifique comme ça ! « Suce-moi bien la queue que je te l'enfile. Après, c'est toi qui me baisera avec. »
Je m'étale sur le lit et Rose vient sur moi. Elle guide la bite en silicone sur ma chatte et me pénètre d'un coup. Elle se prend au jeu et me baise en cadence. Elle se déchaîne et s'excite de paroles.
• « C'est ça, vieille pute. Ça te plaît de te faire baiser. Tu as besoin d'une bite dans ta vieille chatte en chaleur. Tu vas voir ! Je vais t'en donner moi ! Je vais te donner à mon mari. Tu verras ce que c'est une vraie bonne bite. Elle délire complètement et je jouis comme une folle sous ses coups de boutoir.
Quand le calme revient, toujours couchée sur moi, sa bite factice toujours dans ma chatte, elle est essoufflée. Elle transpire et halète sous l'effort produit. Je ne suis pas mieux. On s'endort ainsi, serrées l'une contre l'autre.
Elle se réveille la première et tendrement nous désaccouple, ce qui me réveille à mon tour.
• «  A toi maintenant, petite pute. Je vais te baiser comme tu m'as baisée. Toi aussi tu as besoin d'une bite. »
• Oh oui ! Baise-moi. Prend-moi en levrette ! Je veux te voir dans la glace pendant que tu me prends.
• J'adore quand tu es chienne ! Viens ma belle ! »

Elle m'aide à attacher son engin autour de la taille et se met à genoux, face au miroir. Elle est superbe ainsi. Je crache sur le gode et je le guide sur sa fente pour à mon tour la pénétrer.
• « Alors petite salope,tu aimes ça te faire baiser  ? Tu vas voir que moi aussi je vais te faire crier ! »
Je m'agrippe à ses hanches et la baise profondément. J'alterne les coups puissants au fond de sa matrice, puis doucement à l'entrée du vagin. Je ressors parfois pour mieux la pénétrer ensuite. Rose jouit très vite et plusieurs fois en se regardant dans la glace. Enfin, exténuées toutes les deux, on s'effondre sur la couche, couvertes de transpiration.
Nouvelle douche ensuite et on finit tout de même par se rhabiller.
On se retrouve au salon pour boire un café, fumer une cigarette et discuter un peu après ces moments de débauche.

Ta femme est toute retournée de cette journée de folie. Elle se découvre bisexuelle et et enchantée de la situation. Elle se reproche un peu vis à vis de toi, d'avoir tant tardé à cette expérience. Elle n'en revient pas d'avoir pris autant de plaisir.
Tout en parlant on continue à se tenir les mains, à s'embrasser, à se cajoler.
• « Et ça ne te dérange pas d'âtre avec une vieille femme comme moi  ?
• Mais tu n'es pas vieille !
• J'ai tout de même vingt ans de plus que toi !
• Je n'en ai pas l'impression et tu es très belle
• N'exagère pas quand même !
• Non, non ! Je le pense vraiment. Si tu ne me l'avais pas dis, je n'y aurais pas pensé.
• Tout de même, si tu étais avec une femme de ton âge ou plus jeune...
• Mais je n'en ai pas envie. Avec toi je suis bien. Je n'ai aucune crainte. Tu te rends compte que tu as mis ta main dans ma...
• Dans ta chatte !
• Oui ! C'était énorme ! Jamais je n'avais ressenti cela.
• Ton mari n'a jamais essayé  ?
• Une fois je crois. Mais je me suis bloquée et puis ta main est beaucoup plus fine que la sienne.
• Même quand j'ai fermé le poing  ?
• C'est pas vrai ! C'est pas croyable !
• Et ton mari, tu vas le lui dire  ?
• On se dit tout, mais j'ai envie d'attendre un peu et de profiter de toi. Et puis, de le faire cocu, j'adore !
• Tu es une coquine ! Une petite salope !
• Je te fais honte  ?
• Oh non ! J'aime ça au contraire ! » Je me dis que vous êtes pareils tous les deux. Ça vous plaît de faire des cachotteries, même si à la fin, vous vous direz tout. Enfin, pour toi c'est différent puisque tu le sais et que tu as même tout fait pour que ça arrive. « Tu as envie de recommencer avec moi alors  ?
• Oh oui ! J'ai adoré faire l'amour avec toi. J'ai adoré que tu me baises et te baiser. Tu étais en manque de bite toi aussi ! » -Je ne peux pas tout lui dire - « Et mon mari  ?
• Quoi ton mari  ?
• Tu... Ne voudrais pas qu'il s'occupe de toi  ?
• Tu es marrante toi ! Je suis trop vieille pour lui !
• Ne crois pas ça ! Je sais qu'il a une maîtresse de soixante quinze ans. Elle n'est pas aussi belle que toi.
• Tu la connais  ?
• Je l'ai vue en photo et une fois en allant chez lui. Franchement, tu es cent fois mieux !
• Et tu veux déjà me mettre dans ses bras.
• Oh il ne lui en faut pas beaucoup.
• Tu en as marre de moi  ?
• C'est pas ça... mais... on pourrait... tous les trois..
• Tu es complètement folle !
• Je te choque  ?
• Non ! Ce n'est pas ça, mais...
• Tu sais, on s'aime et on partage tout...enfin presque. Avec toi, j'ai envie. Mais... Il y a ta voisine !
• Huguette  ?
• Oui... On vous a vues... toutes les deux... vous embrasser l'autre jour.
• Ça vous a choqué  ?
• Non... Je dois dire que... ça m'a . . . excitée !
• Coquine ! »
Nous passons le reste de l'après midi à papoter et à nous embrasser. Avant de partir, je sens qu'elle est encore excitée, mais nous finissons par nous séparer avec la promesse de nous retrouver très vite.
Le soir, Huguette est passée. J'étais encore excitée et elle m'a léchée, moi assise sur la table. Il me tardais le lendemain.
Le lendemain, après le départ de ma femme au travail, je retrouve Madeleine chez elle. C'est là qu'elle me raconte la « folle » journée et la nouvelle orientation sexuelle de ma femme. Son récit est si excitant que nous ne pouvons nous empêcher de faire l'amour. Huguette qui n'a pu venir la veille, débarque en fin de matinée. A ma vue, elle se bloque un peu et nous remarquons sa frustration. Madeleine, fine mouche, ne veut pas se priver de cette voisine et ne veut pas non plus que par dépit, elle aille raconter ses frasques, aussi, prenant le taureau par les cornes, elle s'approche de sa maîtresse et sans se cacher de moi, l'embrasse goulûment sur la bouche. Elle a prévenu le recul de sa voisine et la serre contre elle. J'assiste à leur baiser et je dois dire que le spectacle ne fait rien pour calmer ma libido. Quand elles se séparent, Madeleine lui déclare :

• « Tu vois ma chérie, je suis sûre que notre charmant voisin n'est pas choqué de nous voir. Je crois même qu'il doit être excité ! » Elle s'approche de moi, s'agenouille et entreprend d'ouvrir mon pantalon, sous le regard médusé d'Huguette. - « Regarde ! Il bande bien le salaud ! Ça te dirais de goûter à cette belle queue  ? Tu sais, elle est très bonne !
• Parce que... tu...
• Bien sûr ma belle ! Tu ne crois pas que je puisse me passer d'un aussi joli morceau  ? Je peux te dire qu'il s'en sert très bien.
• Mais... je suis vieille
• Tu es plus jeune que moi et il n'a aucun problème pour me saillir. Allez ! Viens ! »
•
Intimidée, Huguette ne sait qu'elle attitude prendre, aussi je lui tend mes bras en souriant. Elle s'approche et s'agenouille aux côtés de Madeleine. Celle-ci lui laisse la place, tout en tenant toujours ma queue dans sa main.
Huguette hésite encore, mais une main de Madeleine derrière sa tête, la fait se pencher. Elle pose ses lèvres sur mon gland et très vite l'avale.
La coquine ne met pas longtemps à profiter de ma raideur et toute seule, absorbe ma queue tout en roulant mes bourses dans sa main.
Madeleine est déchaînée. Elle se déshabille et se retrouve dans sa tenue préférée : nue, uniquement vêtue de ses bas tenus par les jarretelles.
• « Allons dans ma chambre. Nous serons plus à l'aise ! »
Je soulève Huguette et je l'embrasse. Ses lèvres sont moins douces que celles de Madeleine, mais sa langue qui virevolte dans ma bouche, compense l'impression.
Huguette est une fausse maigre. Son corps est musclé et si ce n'était ses petits seins avachis comme des gants de toilette, elle aurait un corps de jeune fille, malgré un petit bidon.
Une fois sur le lit, Madeleine qui dirige la manœuvre, me demande de baiser son amie. C'est elle-même qui guide ma bite dans la vieille chatte.
Contrairement à Madeleine, Huguette n'est pas épilée. Son bas ventre et ses aisselles sont poilus, ce qui sur sa peau toute blanche est d'un érotisme puissant.
J'embroche la vieille dont le vagin est étroit, mais bien humide, preuve de son excitation. Elle noue ses jambes autour de ma taille et soulève son bassin à la rencontre du mien.
Madeleine, couchée à nos côtés, se caresse le clito comme une folle, quand, n'y tenant plus, elle se soulève, enjambe ma partenaire et vient coller sa chatte sur sa bouche.
-  « Oui, c'est ça ma salope! Bouffe-moi bien la moule pendant que ce salaud te baise ! »

Huguette est prisonnière en dessous de nous, mais que ce soit sous mes pénétrations ou de sa langue dans les nymphes dégoulinantes de Madeleine, elle profite au maximum et ne tarde pas à lâcher des cris atténués par la chatte de sa maîtresse.
Madeleine qui s'est bien fait lécher, se dégage de dessus le visage de son amie et à genoux sur le lit, me réclame une saillie en levrette.
• « Maintenant que tu as bien baisé cette salope, viens me mettre ta queue mon salaud ! Moi aussi, je veux en profiter ! Défonce-moi la cramouille ! Donne-moi ton sperme espèce de dépravé qui baise des vieilles ! »
Huguette qui a récupéré de son orgasme, passe sous Madeleine pour sucer et malaxer ses gros seins qui pendent et se balancent au rythme de mon coït. Sa chatte poilue est à porté de ma main, aussi, tout en baisant Madeleine, je lui enfile deux doigts et je la branle sauvagement malgré ses tentatives d'échapper à mes caresses.
Madeleine jouit à son tour et s'écroule sur le côté. Je m'approche d'Huguette, je fourre ma bite entre ses lèvres et je me branle pour jouir à mon tour dans sa bouche.
La salope n'a aucun recul et avale toute ma semence, me tirant jusqu'à la dernière goutte. Je m'étend alors entre les deux vielles femmes pour récupérer de ce moment fort

Huguette, après un moment de calme, se redresse et déclare :
• « Mon dieu, mais j'ai trompé mon mari !
• Tu sais bien qu'il ne peut plus...
• Ce n'est pas ça, mais j'avais promis de ne le faire qu'avec toi, dit-elle à Madeleine.
• Tu n'es pas obligée de lui raconter.
• Tu crois  ?
• Je suis sûre qu'il ne te le reprocherait pas, mais c'est toujours bon d'avoir des secrets, ça pimente la vie.
• Mais... Vous... aviez... envie de moi  ? Me dit-elle alors.
• Disons que Madeleine est une coquine. Elle sait mettre les gens en situation. Je n'aurais pas pensé à vous...
• Je ne suis pas très belle !
• Détrompez-vous ! Quand vous êtes nue, vous êtes bandante.
• Oh !
• C'est vrai. Sous vos habits de vieille, on ne peut pas deviner que vous avez un aussi beau corps.
• Je n'ai pas de seins et ils sont tous plats.
• Peut-être, mais ils sont sensibles.
• Vous... avez aimé  ?
• Vous baiser oui !
• Oh ! Et vous...
• Recommencerez  ?
• Voyons ! Il ne faut pas !
• Je ne dis pas que je viendrai chez vous pour vous sauter, mais ici, avec Madeleine... J'adore !
• Et... avec Madeleine vous... depuis longtemps  ?
• Moins que vous d'après ce que j'ai compris.
• Vous êtes un voyou...
• Je rigole ! Vous êtes jalouse  ?
• Non ! Mais...
• Si je vous baise de temps en temps, vous ne direz pas non  ?
• Je... Si je vous fais envie...
• A une condition.
• Laquelle  ?
• Que vous laissiez pousser vos poils et que vous veniez ici nue sous la robe.
• Mais...
• Qu'on vous baise à deux avec Madeleine.
• Vous êtes fou !
• Que vous enleviez votre dentier pour me sucer.
• Jamais !
• Dommage !
• C'est affreux !
• Mais tellement bon !
• Vous... avez déjà fait  ?
• Oui. Et j'adore ça !
• Vous êtes un malade !
• Est-ce qu'il faut l'être pour baiser des vieilles salopes  ?
• Vous...
• Alors c'est d'accord  ?
• Je...Je ne sais pas...
• A vous de choisir.
• Madeleine, que dois-je faire  ?
• Profite. Puisqu'il veut bien te baiser. Tu n'auras pas toujours cette chance d'avoir un jeune qui s'occupe de toi et la vie est trop courte.
• Je... Je vais réfléchir!Il faut que j'y aille. »
•
Huguette s'échappe plus qu'elle ne s'en va, nous laissant tous deux dans la chambre de Madeleine.

• « Tu crois que je l'ai choquée  ?
• Sûrement un peu. N'est-ce pas ce que tu voulais  ?
• C'est vrai. Et toi, tu ne l'es pas  ?
• Il m'en faut beaucoup. Je crois que tu as eu raison. Après tout, je t'ai un peu la main. Je savais que tu étais un salaud !
• Tu regrettes  ?
• Pas du tout. J'espère que tu continueras avec moi tout de même.
• Ne t'inquiète pas. Toi tu m'excites. Avec elle ce sont les circonstances. Je crois que ta présence m'a permis de bander pour elle. Mais dis-moi, avec tout ça, tu ne m'as rien raconté de ta journée avec ma femme.
• Petit canaillou ! C'est ça que tu attends ! Allez. On passe à la douche et je te raconte. »

Comments:

No comments!

Please sign up or log in to post a comment!