Soirée Qui Dégénère (Suite De La Saga De Claire)

-- ATTENTION HISTOIRE FICTIVE POUR LECTEURS AVERTIS --

Catherine me demande de dresser les tables pour ce soir. Nous sommes vendredi. Je repense à ce qui s’est passé la dernière fois que ces clients particuliers sont venus. Cela ne m’affecte pas. Je suis intouchable maintenant.
Tout est prêt lorsqu’ils arrivent ; personne d’autre n’occupe la salle. C’est étrange pour un vendredi soir.
Je les salue avec aplomb.
- Bonsoir Messieurs !
- Bonsoir ma belle ! Bonsoir Claire ! Bonsoir ma cocotte, répondent-ils à tour de rôle.
Le repas se passe sans incident. Leurs mains se promènent évidemment sur mes fesses à plusieurs reprises mais je ne m’en formalise pas. Catherine me fait un signe approbatif de la tête et cela me suffit.
- Vous prendrez bien un dessert Messieurs, ou un digestif ?
Le type qui se fait appeler Jo, un chauve d’une quarantaine d’années, plutôt beau gosse, me répond crûment :
- Tu nous serviras à tous un cognac et un café, c’est ma tournée. Mais avant tu vas venir vers moi, j’ai envie de te mettre un doigt dans le cul.
Les autres rient et sifflent.
Je regarde en direction de Catherine, mais elle n’est pas là.
Je m’approche de lui en repensant que ces clients sont essentiels pour l’établissement. C’est vrai qu’ils laissent chaque fois une superbe addition. Mais c’est une illusion. Je crois qu’en fait, je pense surtout à Catherine et à lui faire plaisir.

La scène se déroule exactement comme l’autre fois.
Mes émotions ne me submergent pas. J’ai appris à encaisser et je me sens forte de l’amour de Catherine.
- C’est bien Claire ! Tu es une brave fille, me dit cet homme. Mais ce n’est pas suffisant. Greg est gentil mais je suis plus exigeant. Tu vas enlever le haut que l’on puisse voir tes seins et les toucher.
Je le regarde avec stupéfaction. Je vais répondre pour l’envoyer balader lorsque je sens la main douce de Catherine sur mon épaule.

Elle se penche vers mon oreille et me murmure.
- S’il te plait ma chérie, laisse-toi faire. Je t’aime.
Puis elle dépose un baiser sur ma joue.
Je suis troublée mais réconfortée. J’obéis.

Les hommes se lèvent et viennent tous me toucher les seins. Ils les soupèsent, s’exclament, commentent et les embrassent. Je suis gênée.
L’un d’eux me les mordille et les suce passionnément. Je ressens un frisson dans le bas de mon ventre.
Ils retournent s’asseoir et exigent leur commande. Je me rhabille et m’exécute.
Pendant que je prépare les cafés, Catherine vient vers moi et me dit :
- Tu as été merveilleuse Claire. Tu es une perle. Je suis désolée d’avoir dû te demander ça. Mais s’il te plaît fais ce qu’ils te demandent, une dernière fois. Nous n’aurons alors plus besoin de subir leurs caprices. Je t’expliquerai. Mais laisse-les faire ce soir. Je t’en supplie.
Je me sens à nouveau perdue mais les paroles et les yeux implorants de Catherine m’apaisent. Je veux lui faire plaisir. Je veux que notre histoire continue, qu’elle grandisse. Je me décide donc à faire de mon mieux pour elle ; pour nous.

Je retourne en salle et les sers.
Cette fois, le type qui ne parle presque pas depuis le début du repas, qui semble plus timide que les autres prend la parole. Il est petit avec de l’embonpoint et des cheveux frisés, châtains.
- Tu vas nous servir correctement ! Ta patronne est trop gentille avec toi. Mets-toi à genoux quand tu nous parles !
Je finis de les servir et m’exécute. Je suis humiliée mais je sais pourquoi je le fais.
- Approche. N’aie pas peur, me dit-il.
Je me traine jusqu’à lui. Les autres rient.
- Plus près.
Je m’approche encore. Il a reculé sa chaise. Lorsque je suis assez proche, il me saisit par les cheveux, doucement, et pose ma tête sur ses genoux. Il me caresse comme si j’étais son chien. Puis, il écarte les jambes et déboutonne son pantalon.
Non ! Pas ça ! Il ne va quand même pas me demander ça.
Je ne suis pas d’accord.
Je regarde de côté et je vois Catherine qui me fait un signe suppliant des mains et de la tête.
Il a sorti son sexe en érection de son caleçon et commencé à se masturber.
- Qu’est-ce que tu attends ? Prends le dans la bouche.
Dégoutée, je m’approche et dépose mes lèvres sur son gland. Il appuie sur ma tête et son sexe s’engouffre dans ma bouche.
Il a un sale goût, un peu acre. Je le suce pourtant. Je passe ma langue sur son gland, je descends mes lèvres le long de sa verge. Je recommence et je l’entends commencer à gémir de plaisir.
J’entends aussi les commentaires et les rires de ses compagnons, agrémentés de blagues salaces.
Après quelques minutes, je le sens éjaculer dans ma gorge. C’est chaud et gluant, écœurant.
J’ai envie de recracher mais il m’ordonne de tout avaler. Je dois m’exécuter. J’en ai les larmes aux yeux tout en réalisant que je vais devoir tous les satisfaire.

Le dénommé Greg me prend par la taille. Il me soulève comme une plume et me pose le ventre contre une table, les jambes qui touchent terre.
Je n’ai pas le temps de faire quoi que ce soit. Il soulève ma jupe, arrache mes bas et ma culotte et engouffre violemment son sexe dans mon ventre.
Je crie de douleur.

Pourtant celle-ci s’estompe rapidement et je ressens malgré moi une excitation profonde à me faire prendre de la sorte par cet inconnu.
Mon cerveau ne fonctionne plus. Je me retrouve avec ces mêmes sensations inattendues qu’avec Stéphane et ses amis.
Je crois que mon esprit fait un black-out sur ce qui m’arrive et laisse mes sens prendre le dessus.

Je sens cet homme en moi qui pousse des grognements gutturaux jusqu’à ce qu’il lâche sa semence dans mon ventre.
Je pense avoir un petit répit. Je me trompe largement. Un troisième, le plus âgé, me retourne et me pénètre à son tour. Je suis le dos sur la table, les jambes en l’air, cet homme entre mes cuisses.
Il me regarde et dit :
- Je veux voir son visage pendant que je la baise. Je vais la souiller cette salope.
Ces propos me ramènent brutalement à la réalité.

Ces hommes me violent et je l’accepte sans rechigner ; en y prenant même un certain plaisir.
Je ne dis rien mais je sens à nouveau les larmes me monter aux yeux. Ce salaud à l’air de s’en réjouir. Il transpire abondamment et les gouttes de sueur qui perlent de son front me tombent sur le visage. Son haleine sent l’alcool. J’ai un haut le cœur.
Il jouit !

Lorsqu’il se retire, je me sens vidée, humiliée. Il m’a souillée comme il le désirait.
Déjà, un autre homme, ce doit être Jo, me jette par terre sans ménagement. Il m’agenouille en se glissant derrière moi.
Je l’entends cracher dans sa main. Son pénis vient rapidement se coller contre mon anus et il pousse pour s’y engouffrer. C’est difficile mais il force le passage. Je serre les dents, le visage crispé de douleur.
Ses va-et-vient, toujours plus profonds, sont obsédants. Je n’arrive pas à m’en détacher.

Un sexe se présente devant mon visage. Je le prends dans la bouche, comme si c’était naturel et je commence à le sucer. Cette activité me replonge dans une autre dimension. J’oublie ma douleur et je commence à ressentir du plaisir à me faire sodomiser par ce type. J’ai le ventre en feu. Mon sexe dégouline de sperme, le long de mes cuisses.
Le type que je suce ne tient pas longtemps, il se retire et éjacule sur mon visage. Je sens cette semence chaude m’éclabousser. Une excitation bestiale m’envahit. Je crois que je vais jouir. En même temps, Jo se lâche. Je gémis de plaisir. Il s’en rend compte et dit :
- Vous avez vu ça les gars ? Elle prend son pied. On va se payer une bonne tranche de rigolade ces prochaines semaines.
Il se retire en poussant sur mes fesses. Je m’effondre par terre, vidée de mes forces, le corps tremblotant, le souffle court. Je ne m’y attends pas mais le sixième homme vient à ce moment se placer entre mes fesses et me sodomise à son tour.

Je suis par terre, comme un sac, du sperme sur le visage, entre les jambes et dans le cul. Je n’ai plus la force de bouger, plus la force de quoi que ce soit.

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