Des Caresses Au Soleil.

Se réveiller et se rendre compte que nous sommes toujours près l’un de l’autre; corps à corps; peau à peau; est une sensation merveilleuse. Comme si pendant la nuit, nous n’avions pas pu se séparer; qu’il fallait à chaque instant sentir la chaleur de l’autre pour être bien…et dormir paisiblement.

Nous nous sommes réveillés comme ça; tu étais dos à moi; j’avais mon visage sur ta nuque et ma main gauche posée sur ta cuisse; mon bras droit allongé sous l’oreiller et ta tête dessus. Tu avais réussi à t’endormir avec ta culotte, uniquement, et il n’y avait qu’avec moi que tu t’endormais ainsi…avec la chaleur de mon corps, tu oubliais que tu étais frileuse…

Alors que nous devions quitter la chambre avant midi; et qu’il était déjà près de 10H30; cela ne nous laissait que peu de temps pour déjeuner; se doucher et préparer nos affaires. Tout fut fait dans les temps et à midi moins cinq, la clef de notre chambre était posée sur le comptoir de l’accueil! Nous n’avions dormi que peu d’heures au final; nous avions comme souvent passé beaucoup de temps à nous câliner, et à nous faire l’Amour; tant et si bien que même si la nuit fut courte, elle avait été tellement belle que la fatigue était supportable, car nous étions heureux…

Après avoir rejoint la voiture et posé les sacs de voyage dans le coffre; nous avons rapidement décidé de prendre la direction de la côte sauvage qui se trouvait qu’à quelques kilomètres. On allait y trouver de grande falaises plongeant dans l’océan, de la bruyère à perte de vue, pas d’arbres…et un petit sentier de randonnée qui longeait la côte, déserté à cette heure.

La température montait, nous allions avoir chaud et sans le vent du large pour rafraichir l’air; il allait falloir s’habiller très léger; et amener avec nous suffisamment d’eau et quelques petites choses à manger pour reprendre des forces si nécessaire. La voiture garée; on s’était dit que marcher quelques centaines de mètres, voire un ou deux kilomètres nous ferait du bien…sac sur le dos pour moi, j’ai pris ta main pour rejoindre ce petit sentier désert.



Tu étais habillée d’un petit short, d’un haut à bretelles; de baskets et de tes grandes lunettes de soleil; et moi, d’un short aussi, d’un tee shirt, de mes lunettes et de ma casquette fétiche…nous avons marché ainsi environ une heure; avant de trouver un coin d’ombre, près des seuls pins qui avaient réussi à tenir sur cette côte. Nous étions suffisamment fatigués pour nous arrêter ici, et nous poser dans l’herbe, à l’ombre…Je me suis assis adossé à l’arbre, et tu es venue te mettre entre mes jambes, dos à moi. J’adorais cette position car je pouvais embrasser ta nuque; et j’avais mes mains de libres pour les poser là où j’avais envie…et comme souvent; je posais une main sur tes seins, l’autre sur ta cuisse.

Nous étions si bien ensemble sous cet arbre; avec la mer devant nous à perte de vue; que nous avons décidé de rester là…pour un certain temps. Et puis j’aimais t’avoir contre moi pour que mes mains glissent sur ta peau; en l’occurence, j’avais tes épaules, ta nuque; tes jambes qui étaient nues…alors j’ai profité du peu de vêtements pour jouer avec la douceur de ta peau; j’ai commencé à effleurer tes cuisses avec ma paume de main, tout l’extérieur jusqu’au genoux; puis je remontais par l’intérieur…jusqu’à la limite de ton short. Tu adorais ces caresses; ces lents allers et retours qui faisaient monter le désir; car plus mes mains frôlaient tes cuisses, plus mes mouvements glissaient vers ton entre jambes…Alors mes mains touchaient délicatement ton short, et à chaque passage de ma paume à l’endroit de ton sexe; tu te cambrais un peu plus; et un léger soupir me faisait comprendre que tu aimais ça.

J’avais envie d’une chose, un peu folle; que nous n’avions jamais osé faire. J’ai défait doucement ta ceinture; défais la fermeture éclair; et j’ai laissés suffisamment d’espace pour y glisser ma main droite. J’ai longé le tissu de ta culotte, ma paume épousant ton sexe, jusqu’à ce que je sente tout ton sexe dans ma main, puis en remontant un peu; un de mes doigts s’est posé sur ton clitoris.


Tu t’es cambrée davantage; tes mains ont pris mes bras qui longeaient ton corps, tu me serrais de plus en plus fort. J’ai profité du plaisir que tu prenais, et que tes lèvres s’humidifiaient pour caresser ton clitoris en douceur; de temps à autre; je glissais un de mes doigt à l’entrée de ton vagin, pour le ressortir aussitôt et revenir sur cette partie si sensible qu’elle te faisait soupirer, fermer les yeux; trembler légèrement.

C’était la première fois que je te caressais alors que nous étions dehors; personne n’aurait rien vu; seule ma main plongeait dans ton short et derrière ta petite culotte; tu avais juste écarté un peu plus tes cuisses pour laissez-passer ma paume, assez large…Pendant que je faisais glisser mon doigt sur ton clitoris maintenant humide; j’en profitais pour t’embrasser la nuque; et te mordiller légèrement; je savais que tu aimas ça et que cela augmentait ton plaisir.

Il n’a fallu que quelques minutes de cette caresse surprise pour que je sente ton corps se raidir; tes reins aller et venir au rythme des vagues de jouissance…ton souffle s’est accéléré, et léger son est sorti de ta bouche, étouffé; tu avais agrippé mes bras si fortement que j’en avais la trace…et puis la tensions redescendue; ton corps s’est détendu; j’ai gardé ma main sur sexe devenu brulant; puis j’ai posé encore quelques bisous sur ta nuque avant de refermer ton short et de resserrer ta ceinture.

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