Au Soleil Dans Les Prés

En attendant l'été et les vacances, j'aimais bien me promener par beau temps dans les chemins de la campagne entourant le village où j'habitais. J'emmenais avec moi une bouteille et une couverture au cas où j'aurais envie de m'allonger au soleil. J'allais jusqu'au lac et en faisait le tour. Il y avait ce chemin creux qui me faisait un peu peur et que je me pressais de dépasser pour revenir sur le plateau.
Un dimanche qu'il faisait particulièrement chaud, j'étais passée par le chemin creux et au lieu de me dépêcher pour le fuir, j'ai escaladé le talus. Ce n'était qu'un pré envahi de hautes herbes et je n'avais jamais soupçonné que de là-haut il y avait un si beau point de vue. J'ai étalé ma couverture et je me suis allongée dessus. Il faisait si bon qu'au bout d'un moment, j'ai remonté ma robe sur mon ventre. Le soleil me cuisait et j'ai fini par retirer ma robe entièrement.
C'était comme à la plage et je ne voyais que les herbes et le ciel d'un bleu si intense que j'avais mal aux yeux et du coup, j'ai croisé mes bras pour me cacher le visage du soleil. et je n'ai pas tardé à passer mes seins par-dessus le soutien-gorge.
Oui, c'était une belle journée. J'avais soif. Où avais-je laissé ma bouteille ? Elle avait roulé sous la couverture et en me rallongeant, ma soif calmée, j'ai retiré mon soutif. Je pensais à ce qui se passerait si un chien errant venait me renifler ?Si quelqu'un me surprenait ? S'il voulait me violer ?
Jamais encore je n'avais été aussi bien. Peut-être quand je m'allongeais dans le jardin ? Plusieurs fois, je m'étais masturbée allongée sur le gazon et m'étais endormie, épuisée par les orgasmes que je m'étais donnés.
J'ai retiré ma petite culotte. Après tout, j'étais presque nue. Pourquoi ne pas l'être complètement ? Là encore, c'était une sensation extraordinaire. J'ai ouvert les cuisses. Si un bel homme surgissait et venait me prendre... Oui, qu'il me prenne et me fasse son esclave sexuelle.

Je n'ai pas l'impression que je l'ai fait volontairement mais ma main était sur mon ventre et mes doigts trituraient mon clitoris.
Mon dieu ! C'était vrai, je me masturbais en plein champ ! Je me masturbais complètement nue au milieu des herbes et j'aimais vraiment ça. Petite salope ! Tu as toujours été une petite salope ! Tu aimes le sexe et tu aimes te masturber ! Comment un mari pourra-t-il te priver de cette habitude ?
L'orgasme est arrivé sans prévenir. Salope ! J'ai senti mes doigts et c'était vrai ce qui venait d'arriver. Ils sentaient la petite fille sale. Il faisait beau et le soleil me brûlait. Mes taches de rousseur allaient encore prendre de l'ampleur et elles descendraient encore plus bas sur mon torse et envahiraient un peu plus mes seins.
C'était quand, déjà quand un homme m'avait pénétré ? Je cherchais mais je n'arrivais pas à me rappeler si ça m'avait réussi. Ah, oui ! C'était... Comment se prénommait-il déjà ? Je ne m'en souvenais plus, mais ce dont je me souvenais, c'était qu'il avait voulu me jouer l'expert en cochonnerie.
Il avait voulu me lécher et je déteste que les hommes me lèchent. Ils ne savent pas et en tout cas le font moins bien que ne peut le faire une femme. Ils ne savent même pas téter car ce qu'ils veulent c'est me mordre les mamelons.
Après ça, il avait voulu finir tout de suite et m'avait mise en levrette pour m'enfiler son pénis mais il était sorti assez vite. J'avais senti le bout de sa bite sur mes fesses puis il avait appuyé son gland sur mon anus.
- Qu'est-ce que tu fais, lui avais-je demandé plusieurs fois ?
Il avait fini par me répondre qu'il voulait m'enculer et m'avait enfoncé la bite dans l'anus sans me demander mon avis. Bon, je reconnais qu'il n'y a rien de tel pour me faire comprendre que ce n'est pas moi qui commande, mais avait-il deviné que je m'étais par plusieurs fois enfoncé un gode dans l'anus ? Qu'il m'arrivait aussi d'avoir un plus anal ? Il n'y a rien de tel pour vous rappeler que vous pouvez être une salope.

Il n'a plus arrêté de me dire que j'aime ça, me faire enculer et qu'il me verrait bien sur un trottoir, à moitié nue, à offrir mes charmes. Le sperme a inondé mon sphincter et le type s'est retiré. Quand je me suis relevée, ça a dégouliné sur mes jambes et il me regardait, amusé, me répétant que je ferais bien une putain qui arpenterait le trottoir sous l'oeil excité de mes clients.
Il a aussi ajouté que ça m'irait très bien des tatouages et des piercings et qu'il voulait m'en offrir un, au mamelon puis il m'a fait remarquer que mon sein gauche est plus gros que mon sein droit, ce que je sais déjà et que je déteste qu'on me rappelle comme ces idiotes de filles sous la douche de la gym !
Après ça, il m'a dit que je suis un bon coup et qu'il ne s'attendait pas à trouver une fille aussi sexy que moi dans cette boîte ! Dire que je lui ai demandé s'il voulait qu'on se revoit et ce salaud m'a répondu que je n'étais pas ce genre de femme et m'a encore rappelé que j'étais un bon coup et qu'il m'enverrait des copains à lui si des fois je leur plaisais.
Il bandait encore. Je l'ai supplié de me le laisser le sucer, pour lui faire sa petite toilette et il a bien voulu et du coup, sa bite une fois au fond de ma bouche, je l'ai mordue. Je ne m'attendais pas qu'il m'envoie une telle baffe et me traite aussi de putain. Il a enfilé ses vêtements et est sorti et quand je suis sortie à mon tour, le type au comptoir m'a dit que la chambre n'était pas payée et j'ai dû sortir mon porte-monnaie puis une fois dehors, j'ai pu découvrir qu'il n'y avait plus sa voiture sur le parking et que le taxi était pour moi.

Si ça s'était passé aujourd'hui, j'aurais pu ajouté qu'il m'avait refilé, en ultime cadeau, le Sida, mais à l'époque, c'était moins répandu. Il y avait un moment que j'avais un ronronnement dans la tête et je n'arrivais pas à comprendre ce que c'était quand j'ai vu un type coiffé d'un feutre noir qui défilait en haut des herbes. Le temps de réaliser que c'était un tracteur qui faisait ce bruit, conduit par un tractoriste et qu'ils fauchaient l'herbe du pré, j'ai ramassé ma couverture et mes vêtements et j'ai basculé dans le chemin creux où j'ai pu me rhabiller.

J'avais oublié ma bouteille. Est-ce que le type m'avait vu ? C'était quand même un petit village, là où je vivais et j'étais connue mais je n'en ai jamais entendu parler. Peut-être que le type m'avait vue et revue, nymphe nue dans son pré et qu'il m'avait admiré et gardée dans sa mémoire comme un beau souvenir ?
J'ai continué à faire mes promenades mais je ne me suis plus jamais allongée nue, dans un pré.

FIN

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