We Découverte À La Montagne...4
Je prend ma femme par le bras, nous montons nous habiller et partons nous calmer au village. La promenade nous a fait du bien, et avant de rentrer, comme jaime cuisiner, nous somme allés faire des courses.
Le chalet était vide à notre arrivée, je me suis mis en cuisine pour préparer le diner, ma femme restant sur la terrasse pour lire. Jétais en pleine préparation quand la dame entra dans la cuisine et recommença sa diatribe, sur un ton plus mesuré. Là je compris quelle nous reprochais de nous être envoyé en lair sans elle, et que son mari savait quelle ne le supportait pas. Quand elle eut fini, je lui versait un verre dexcellent blanc local et lui expliquait, que nous lignorions et quen aucun cas nous ne voulions créer de problèmes, et que nous lui présentions bien volontiers nos excuses. Elle prit le verre, trinqua avec moi et partit rejoindre ma femme en me caressant la bite par dessus le pantalon.
Le repas sur le feu, je rejoignis le groupe avec la bouteille à la main; le mari était seul au salon, il mindiqua que les femmes étaient encore sur la terrasse
Jy allais donc, et là je trouvais mon épouse, nue comme un ver, allongée sur la chaise longue, la blonde à genoux derrière sa tête lui prodiguant un massage que ma douce dégustait les yeux fermés. Je voyais les mains passer sur le front le masser doucement, descendre sur les pommettes, revenir derrière les oreilles, puis les tempes, et redescendre sur les épaules, le long des bras, revenir sur les épaules, glisser sur la poitrine contournant les sein, appuyant le massage jusquà laine et remontant pour effec des cercles autour des seins qui luisaient de lhuile dylang-ylang, que je découvrais à coté delle, et passant par dessous les soulevèrent tout en appuyant de manière circulaire sur les mamelons. Délaissant la poitrine, les mains descendirent le long des flancs, alors que les lèvres de la blonde se déposait sur celles de de sa «patiente», je devinais le ballet des langues pendant que les mains de la masseuse pressaient le bas-ventre, elle lâcha les lèvres de ma douce, et se penchant en avant, lui posa son imposante poitrine sur le visage.
la chatte de lune sur la cuisse de lautre puis un premier cri celui de la blonde, suivi de peu par celui de ma femme qui jouissait ainsi deux fois en quelques minutes, chose rare.
La tension retombée
Tous rafraichis, nous somme passés à table pour un diner très convivial, avec des discussions très agréables et variées. Le repas terminé, ces dames nous ont demandé des nous asseoir sagement et de les attendre pendant le café! Elles nous annoncèrent que nous allions devoir juger différentes tenues...Elles disparurent , et après quelques minutes, elles arrivèrent en se déhanchant, comme sur le tapis dun défilé de mode. Nous eûmes droit à quelques tenues affriolantes, plus que suggestives, que nos chères, prenaient visiblement plaisir à nous exposer de la manière la plus suggestive et provocatrice.
Ce furent des aller et retours, où elle nous montraient des tenues qui les moulaient merveilleusement, où plus que le vêtement les corps étaient mis en valeur, des décolletés vertigineux dans lesquels on avait envie de plonger, des robes délicieusement perforées qui laissaient poindre là un nichon, là une raie, une chatte ou une rondelle
Puis ayant choisi quoi se mettre pour le café, elles nous rejoignirent. Ma douce portait un ensemble pantalon noir qui lui collait au corps et qui tenait par de larges bretelles qui enserraient ses seins qui apparaissaient à notre vue et semblaient appeler la caresse, et la blonde une robe à franges plus que courte, très échancrée qui dénudait son dos, offrait une vue pénétrante sur son imposante poitrine et dont les franges ne couvraient que le haut des fesses, offrant à notre regard un cul à damner tous les saints.
Tout en buvant le café et discutant, les dames échangeaient des caresses furtives, de petits baisers dans le cou, des «papouilles» indiscrètes, de doigts qui saventurent dans le décolleté. De mains qui ségarent et sagitent dans la culotte de la voisine qui sabandonne tête en arrière, les jambes écartées, permettant de mieux fouiller les chattes que lon devinait mouillées et qui létaient à la vue des doigts qui réapparaissaient luisants.
Voyant que nous repartions sur des jeux plus voluptueux,je me levais et débarrassais la table et portais le tout en cuisine avec laide du beau brun, qui faisait tant envie à mon épouse, qui nattendait que de regoûter à sa bite, aussi je le renvoyais au salon
Jai pris le temps avant de les rejoindre...Au premier coup doeil, je remarquais que les dames avaient changé de tenue, la blonde portait une robe (ou était-ce un haut) léopard, qui arrivait à ras le bonbon, sans rien dessous, et ma douce un haut en crochet noué dans le dos, qui laissait tout voir par les trous idéalement situés et un string
Les deux femmes étaient sur le tapis, devant la cheminée, et se caressaient lascivement; elles sembrassaient amoureusement, se mordillaient les oreilles, se léchaient le visage, se flattaient les nichons...le spectacle était torride!
Voulant absolument fixer ce moment, je me dépêchais daller chercher lappareil de photos pour graver ces scènes inoubliables
Assises devant la cheminée, les deux femmes me firent, devant lappareil, un magnifique numéro sensuel, fait de câlins, de baisers, dattouchements, de douceurs tendres, qui contrastait avec le feu des rapports de la journée et de début de soirée..les baisers étaient langoureux, les langues se lutinaient, les mains de ma femme allaient et venaient en de douce caresses sur la peau de son flirt, elle sattardait sur les cuisses en remontant jusquà effleurer le sexe offert, quelle titillait du bout de ses doigts, je la voyais agacer le clito de son ongle, tout en se bouffant le museau, pendant que son amante sattardait sur sa poitrine, quelle cajolait, quelle flattait du bout des doigts, quelle soupesait en empoignant les seins par dessous, puis quelle pelotait plus vigoureusement, faisant gémir ma douce. Jen oubliais de continuer à photographier
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