We Découverte À La Montagne... 6
Un long silence envahit la pièce on entendait juste nos respirations saccadées. Nous étions les quatre allongés, tentant de reprendre nos esprits après les délices que nous venions de nous prodiguer!
Je fus le premier à me lever pour aller chercher des rafraichissements, le temps de trouver une bouteille de champagne et des coupes!
Nos étions assis sur le tapis, sirotant sans un mot, nus comme des vers, nos épouses exposant leurs sexes de manière très impudiques, les cuisses largement ouvertes montrant leurs fentes luisantes qui de foutre dégoulinant, qui de cyprine suintant des lèvres vaginales; Les hommes étaient immobiles le sexe au repos!
Ma femme vida son verre, me demanda de la resservir (elle qui ne boit jamais
), elle reporta le verre à ses lèvres tout en se rapprochant du mari pour sappuyer, dos contre lui. Je sentais que maintenant elle le voulait à elle, en elle, et que bon gré, mal gré elle se ferait baiser par lui.
Elle se laissa alla contre lui et lui, lui passa un bras par dessus lépaule laissant sa main tomber à hauteur des seins. Ma douce se lova et se mit la main sur la chatte et commença à se caresser, son «cavalier» referma ses doigts sur le nichon quil malaxa hardiment, puis se saisit du téton quil commença à triturer et tordre, arrachant de petites plaintes à celle qui nattendait que de se le faire. Ma tendre posa son verre et empoigna la verge qui reprenait vie et lastiqua nerveusement, comme si elle voulait la faire bander sur linstant, elle lâcha la bite pour la prendre immédiatement en bouche et nous faire une démonstration de ses talents de suceuse. La blonde sétait rapprochée pour sasseoir à coté de moi et dautorité me prit la main pour se la fourrer dans le con tout en me saisissant la queue, en me demandant de la masturber tout en regardant ma chérie branler son mari.
Pour mieux sucer son compagnon, Nora se mit à genoux, tendant vers nous son merveilleux cul, la caverne béante et lumineuse de mouille, la pastille, elle aussi brillante des sécrétions qui lavaient imbibée.
Ma chère pompait le mari avec frénésie, elle faisait glisser la bite dans sa bouche très rapidement. La laissait pour lécher les couilles en remontant le long de la hampe qui paraissait droite et dure comme du fer, luisante de salive. La hollandaise avait accentué la cadence de ses trois doigts dans la connasse, ça rentrait et sortait à grande vitesse comme les pistons dun automate. Je voyais que ma chérie nallait pas résister longtemps à ce traitement, elle grognait plus fort tout en continuant à pomper le monsieur. Je pris un préservatif, que javais préparé et le tendit au mari qui releva la tète de ma chérie pour sen couvrir. Il eut à peine le temps de le mettre que Nora était déjà accroupie au-dessus de la bite hollandais qui était à moitié allongé le dos contre mur, et se tenant dune main à sa nuque, se positionna sur la pine, sur laquelle elle se laissa tomber dun coup en se lenfonçant jusquaux couilles, en poussant un rugissement!
Commença alors un accouplement démentiel, Nora était comme une furie, elle se tenait des deux mains à la nuque de son baiseur, et balançait sa croupe davant en arrière à un allure démente comme si elle voulait faire pénétrer le sexe qui la labourait jusquau plexus
Pendant un long moment Nous avons regardé le spectacle de Nora se farcir de la belle bite du beau brun, tout en nous tripotant mutuellement, puis la hollandaise se mit à quatre pattes, me tournant le dos, le nez dans les fesses de ma chérie, qui avait ralenti le rythme et sétait mise sur les genoux en sallongeant sur le mari pour une baise plus sensuelle, lui permettant lembrasser et à la blonde de lui offrir une belle feuille de rose. Et tout en léchant le cul de ma douce, elle me fit signe de venir la prendre.
Ma douce reprit sa position et recommença sa sarabande sur le braquemard qui était en elle.
Mais je voulais voir la jouissance sur le visage de Nora . Je me retirais, la fit se relever et je lui demandait de se rasseoir sur la bite, en changeant de «centre daccueil», lui dans le cul et moi dans le vagin, ce quelle refusa, noffrant son cul quà moi! Alors je lui fis prendre la queue du mari dans la chatte puis se coucher dos sur lui, je magenouillais entre ses jambes et rejoignis mon compagnon de baise dans la chatte de Nora! Ce ne fut pas facile de conjuguer nos «efforts», dautant que coincé sous nous deux, le beau brun navait pas une grande latitude pour bouger! Mais après quelques minutes, nous avions trouvé nos repères, les aptitudes de ma chérie pour les danses orientales et sa faculté à mouvoir son bassin, nous firent grimper aux rideaux. Plus libre, je pouvais aller et venir à mon rythme dans le sexe de ma douce, qui était depuis longtemps au 7eme ciel, avec deux queues qui lui labouraient le vagin qui nétait plus quun torrent de jouissance. Sentir ma bite contre une autre bite dans ma femme, était source dune volupté sans précédent, aussi quand je sentis la langue de la blonde, qui avait repris ses esprits, se glisser entre nous et nous lécher les couilles, je finis par éclater et et asperger le vagin et lautre queue qui sy trouvait dune quantité phénoménale de foutre au vu de se que javais déchargé dans la journée.
Voilà la fin dun week-end gravé dans nos mémoires! Tout dans ce récit est authentique, rien ne relève de limaginaire ou du fantasme, Je souhaite à tout hédoniste de vivre ces moments...
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