Chapitre 16 : Martine Et Son Amant Black

Petit retour sur le chapitre 15, Marie est malade, nous sommes en 1994, les séances de radiothérapie et les séances de chimiothérapie s’enchaînent. Marie est épuisée, courageuse, combative, généreuse et ouverte d’esprit, elle a bien compris que son avenir est très incertain, elle s’inquiète pour nous, mon fils et moi.
Elle m’incite à rencontrer quelqu’un, je dois préparer l’avenir, c’est ses propres mots, elle me questionne, je lui parle souvent d’une femme, une certaine Martine, c’est ma nouvelle assistante, pas très jolie, très petite 1.55 m, mais toujours très sexy, trop sexy à mon goût, mini-jupe et petit débardeur, c’est très embêtant dans une société qui emploie une très grande majorité d’hommes, car avant son recrutement, notre personnel avait peu de problème, depuis sa présence en mai, ils ont besoin de beaucoup d’explications dans le seul but de venir « mater » la petite nouvelle qui ne cache pas grand-chose, et laisse découvrir ses petits seins, en fait une belle poitrine bien ferme d’une jeune femme de 28 ans et ses petites cuisses.
Et donc Marie, me pousse à l’inviter à prendre un verre, effectivement, je ne la trouve pas insensible à « mon charme » naturel, puis nous déjeunons quelquefois ensemble, nous faisons connaissance…
Martine est une jeune femme divorcée, âgée de 28 ans, elle a une petite fille de sept ans, soit l’âge de notre fils, son divorce est lié à une liaison avec un directeur commercial régional d’un grand constructeur Allemand, Martine travaillait alors dans une concession automobile de la marque, ce qui a provoqué la rencontre et la liaison avec ce bel homme Antillais, lui-même marié avec deux s.
Après la rupture avec son bel Antillais et la procédure de divorce en cours avec son mari, Martine est un peu « paumée », dépressive, elle démissionne de son poste, enfin c’est la descente aux enfers…
Elle va se reconstruire dans notre entreprise, je m’interroge encore sur ses tenues, et son côté allumeuse et aguicheuse avec tout le monde.

Puis nous nous découvrons des points communs, ce qui me trouble particulièrement, c’est sa date de naissance : le 5 septembre 1966, je suis né pour rappel le 5 septembre 1956, et Denis mon premier amant le 5 septembre 1938, il y a de quoi être troublé, non ?
Nous avons une passion commune pour le tennis, nous allons jouer ensemble en double mixte avec un certain bonheur, les voyages…Enfin différents sujets nous rapprochent.
Marie me demande de l’inviter à la maison pour faire connaissance, Martine connait la situation, elle connait la pathologie de Marie, elle me prévient simplement d’une chose, elle ne souhaite pas faire de choses spéciales avec un couple !!!
La rencontre se passe plutôt bien, Marie est ravie, elle la trouve plutôt jolie, elle ne partage pas mon avis et mon jugement qu’elle trouve sévère…
Mais il me faudra un certain temps pour passer aux « choses sérieuses », soit quatre mois, en fait le 4 septembre 1994, c’est un dimanche, je dois aider Martine à monter un meuble, sa fille est partie faire du vélo avec son papa, l’ex de Martine, le meuble se trouve dans sa chambre, la tenue est encore très légère, pas de soutient gorge…Martine est bien coiffée et maquillée…Je la trouve plutôt attirante ce matin-là…Enfin…Et puis il y a surtout quelques mois que je n’ai pas eu de relation sexuelle…et donc je lui saute très vite dessus, Martine manifestement n’attend que cela, sa fille absente comme par hasard, sa tenue, qui est très vite retirée, la petite jupe et le débardeur rejoignent très vite le sol, Martine est nue devant moi laissant apparaitre sa petite toison rousse plutôt bien taillée, nous nous embrassons, puis c’est les préliminaires rapides, Martine est bien mouillée, trempée et excitée, elle a également une très grosse envie de sexe, je la pénètre sans difficulté, cela me fait du bien…je commence les va-et-vient, le lit grince légèrement, elle gémit presque timidement, respirant fort. Mais…
- Maman, maman, tu es où ? Voilà Alexandra de retour, un retour plus rapide que prévu.

- Attend, attend, je suis occupée, j’arrive…Chérie. Lui répond Martine en se dégageant de mon emprise, et en remettant au plus vite la mini-jupe et le débardeur.
C’était notre première relation avortée par le retour imprévu de sa fille. Nous remettrons cela le lendemain soit le jour de nos anniversaires respectifs. Mais au lit, Martine est plutôt du genre limitée…Elle refuse de pratiquer des fellations, elle évoque un certain dégoût face à cette pratique buccale. Elle accepte timidement des petits coups de langue sur mon gland et encore. Elle refuse aussi la sodomie par peur d'avoir mal et aussi parce que cette position lui semble dégradante. Elle a donc un petit cul vierge. Au niveau des positions, même chose, c’est plutôt limité, elle apprécie la position du missionnaire, et la variante du missionnaire : jambes sur la poitrine…Avec le temps et de la communication, nous adopterons de temps en temps la levrette, mais cela restera exceptionnelle.
Par contre, pas de tabou autour de la masturbation, elle s'assume son plaisir de jouer avec ses sex-toys et accessoires intimes. Elle assume cette pratique qui lui procure des sensations fortes et lui fait du bien, me confie Martine.
- Tu sais Éric, le sexe existe parce qu'il est touché, parce qu'il est stimulé, manipulé…Me confie Martine.
- Oui, effectivement…Je ne savais pas trop quoi répondre
- Quand je me masturbe, je préfère la stimulation externe, mon clitoris, mes lèvres, tu vois…Continue Martine en me faisant une démonstration.
Martine est bien différente de Marie, physiquement et surtout sexuellement, mais malheureusement l’état de Marie se dégrade, elle semble plutôt satisfaite de savoir que j’ai une liaison avec cette femme. Je fais semblant, et puis cela me permet d’avoir des relations sexuelles régulières, même si celles-ci me paraissent bien fades en comparaison avec je que j’ai connu avec Marie. Et puis Martine est intéressée, pressée, elle pense sincèrement que je l’aime, elle pense que nous pourrions vivre ensemble, elle me pousse à quitter Marie, je manque un peu de courage à ce moment-là, mais je ne quitterais jamais Marie, je vais l’accompagner jusqu’au bout.

Notre liaison va durer dix-huit mois, pendant nos relations intimes, pas très exaltantes, mais cela me fait du bien, elle me parle souvent de son ex-amant, Georges un Antillais de 42 ans, qui continue de lui souhaiter son anniversaire, sa fête, les vœux, et d’autres évènements…Cet homme a marqué Martine qui apprécie les hommes de couleur, et régulièrement pendant nos rapports, je joue avec elle, en lui demandant d’imaginer que Georges est avec nous, et cela marche, car à ce moment précis, elle se lâche un peu plus devenant un petit peu plus salope, acceptant que je lui caresse l’anus avec mes doigts pendant le rapport, enfin des petites choses qui me manquent fortement avec elle.
Au fil du temps et des relations, Georges revient régulièrement virtuellement avec nous, et puis un jour, elle m’a confié qu’il l’invitait souvent quand il venait en réunion dans la région, mais qu’elle refusait car ne voulant pas compromettre notre relation.
Je lui ai confié que personnellement, je n’étais pas contre une rencontre, tous les trois, simplement pour faire connaissance, sachant qu’il était important pour elle.
- Tu ne comprends rien Éric, Georges m’invite pour me…
- Pour te baiser Chérie…Je lui coupe la parole en lui disant ce que je pense…
- Mais tu es fou, ce n’est pas possible, je t’aime voyons Éric !!!
- Oui, et alors, tu n’es pas insensible aux avances de Georges ?
Il m’a fallu beaucoup argumenter, lui avouer une « petite » partie de notre libertinage avec Marie, sans vraiment trop donner de détail, car c’est notre jardin secret, et après de multiples relances de Georges, nous nous sommes retrouvés au restaurant d’un hôtel Campanile, hôtel ou Georges résidait quand il venait en concession dans notre région.
Nous nous sommes retrouvés directement au restaurant, Georges et Martine sont déjà installés et semblent de loin très complices, quand j’arrive avec un peu de retard volontairement. Martine est très bien coiffée, elle est passée chez sa coiffeuse, très bien maquillée, très sexy, petite robe légère avec fines bretelles laissant apparaitre sa belle poitrine non soutenue, et en position assise sa robe courte laisse apparaitre le haut de ses cuisses.
Martine fait les présentations, elle est confuse, mal à l’aise et toute rouge par le trouble provoqué par la situation de présenter son ex-amant à son nouvel amant.
Je remarque également que Martine m’avait prévenu que nous allions simplement rencontrer Georges pour dîner et qu’elle ne ferait rien d’extraordinaire sur sa tenue et pendant la soirée.
Pour le coup, c’est loupé, la coiffeuse en fin d’après-midi pour être la plus belle possible, la nouvelle petite robe très sexy, pour exciter l’ami Georges et en plus elle ne porte pas de soutien-gorge, et là Georges me parait très sensible à la poitrine de Martine. D’ailleurs je la trouve aussi très bandante ce soir-là.
Le dîner se passe bien, Georges est d’agréable compagnie, il nous parle de sa famille, de ses s, d’ailleurs Martine lui demande des photos de ses deux s…
- Si vous voulez après le dîner, nous pourrons aller dans ma chambre, j’ai des photos dans mon cartable…Si vous le souhaitez ? Nous déclare Georges.
- Ah oui je veux bien !!! Répond très vite Martine sans réfléchir.
Tout de suite, je me dis, que tout se déroule comme j’aurai pu le rêver, Georges continue de bien faire rire Martine qui est toujours sous le charme de son « vieil amant », et oui ils ont quatorze années de différence, il continue de servir à boire à Martine qui est anormalement euphorique, et puis les heures passent, et nous retrouvons dans la petite chambre de Georges qui doit mesurer presque deux mètres, pour mémoire je mesure 1.87m et Martine semble bien petite avec ses 1.55m au milieu de nous deux.
Pour regarder les photos, Georges nous invite à nous allonger sur son lit, Martine s’allonge dans une position la plus langoureuse possible, une position ultra glamour, laissant apparaitre dans cette position son petit string…
Georges et moi, échangeons des regards complices, et interrogateurs pour sa part, attendant un signe…Je lui réponds par un sourire lui signifiant qu’il peut s’il le souhaite un peu jouer…Georges en s’approchant de Martine pour lui détailler une photo de son fils, lui vole un baiser, que Martine lui rend aussitôt…Il l’embrasse et commence à caresser ses seins à travers sa robe. Son baiser et ses mains font frémir dans tout son corps la « petite Martine ». Il l’a déshabille, commençant par dénuder ses seins qu’il caresse et lèche longuement. Martine me jette un regard anxieux, je lui souris pour la rassurer, son anxiété disparait au fur et à mesure que son excitation s’accroit. Martine finit par prendre des initiatives à son tour et par caresser la queue de son partenaire. Je la sens plus détendue et moins crispée, elle la caresse à travers sa braguette, avant de la libérer. Il bande très dur. Ce n’est pas une légende, ce type a une énorme queue…
Il la débarrasse de sa robe, j’en profite pour me glisser entre ses cuisses et la lécher. Ma langue s’attarde sur sa chatte puis sur son anus. Elle gémit déjà, et surtout elle ne dit rien concernant le léchage d’anus, bien au contraire. Georges l’embrasse toujours, lui caresse les seins, vient également jouer avec ses doigts et rejoindre ma langue…J’ai toujours sa chatte entre mes lèvres, quand Georges l’a pénètre avec ses doigts.
J’ai l’impression que Martine coule comme une vraie fontaine sous les effets de ma langue et les doigts de Georges. Il explore profondément ses deux orifices dans une ambiance totalement débridée, à présent. Les râles et les cris de plaisirs de Martine s’amplifient, et surtout elle ne dit toujours rien concernant son petit anus vierge exploré par les doigts de Georges. C’est étonnant !!!
Au contraire, elle se laisse aller aux caresses de Georges, et elle commence à me branler de plus en plus fort... Pour tout vous dire, en dix-huit mois je ne l'ai jamais vu aussi excitée. Je ne me souviens même pas avoir été branlé par Martine.
Georges continue ses longs massages du cou jusqu’au cuisses en insistant sur ses fesses et lui explore toujours sa chatte et son anus du bout des doigts ce qui la fait sursauter de plaisir, la voyant maintenant se dandiner en position de levrette il devient plus insistant sur ces parties intimes et remplace ses mains par sa langue la léchant du clito à son anus, elle se cambre de plus en plus tout en écartant ses cuisses ,ce qui encourage Georges qui alterne entre sa langue et ses doigts, effectuant même des va et vient profond avec ses doigts, je ne l’ai jamais vu dans un tel état d’excitation.
- Tu sais que c’est un black avec une bite énorme qui est en train de te lécher…Martine. Je lui déclare cela pour plaisanter, car franchement cela me plait de la voir enfin se lâcher.
Mais aucune réponse ne vient de la part de Martine, je crois que ma déclaration augmente son excitation. J'alterne les petits bisous et je l'observe en train de me tailler tant bien que mal une pipe...Enfin une léchouille, car Martine ne suce pas, mais elle ne m’a encore jamais lécher comme cela, c’est une petite « pipette ».
- Tu ne vas quand même pas jouir avec Georges devant moi, chérie !!! Mais toujours pas de réponse de Martine, j’essaie de la provoquer, car la situation commence à bien me plaire, il y a bien longtemps que je n’ai pas connu cela.
Martine est au bord de la jouissance sous les coups de langue experts de Georges, il lui introduit deux doigts avec un va et vient rapide, Martine va à la rencontre de ses doigts avec de grands coups de rein.

Georges me regarde pour me « demander » s’il pouvait la prendre... Vu l’excitation de Martine, je lui fais un signe de la tête lui accordant cette faveur de prendre « cette salope ».
Georges approche délicatement sa grosse bite vers le sexe de Martine et remplace habilement ses doigts par sa bite et là Martine au lieu de le repousser pousse un râle de bonheur et entame elle-même les va et vient, toute heureuse de retrouver ce gros sexe qui l’a tant défoncé avant, enfin d’après ses récits.
Elle qui refusait catégoriquement des expériences à plusieurs lors de nos discussion, qui refusait la sodomie, qui refusait la fellation, là elle se laisse prendre en levrette par son ex-amant comme une chienne devant moi.

Georges lui inflige des allers-retours assez vigoureux tout en lui malaxant fermement les fesses... Elle peut difficilement lécher ma queue pour me satisfaire m'oubliant presque mais je vous avoue que la voir ainsi, me procure aussi pas mal de plaisir !!! J’en profite pour lui attr le visage et le bloquer pour bien lui rentrer mon sexe dans sa bouche…

C'est alors que Martine demande que je prenne le relais et s’empale sur mon sexe offrant la vue de ses fesses à Georges qui nous regarde.
Georges approche son sexe de la bouche de Martine, et à ma grande surprise, elle avale et entame une pipe à grand coup de langue…Pour quelqu’un qui n’aime pas sucer…
Ma queue est dans sa chatte et mes doigts lui titillent son trou arrière, ce qui donne des idées à Georges qui se place derrière Martine et se mît à lui lécher l’anus ce qui la fait redoubler de plaisir…
Puis, je demande à Georges de me remplacer, et de la défoncer de façon alternative, chacun notre tour, l’objectif étant de se retirer juste avant l’éjaculation, nos va-et-vient se font de plus en plus rapides et nos queues lui liment bien sa chatte de salope.
Puis, pendant que je défonce toujours Martine, Georges, lui lèche de nouveau l’anus, lui titille sa rondelle avec ses doigts, Martine ne dit rien, au contraire, son plaisir redouble…C’est incroyable, Georges me faisant comprendre qu’il me la prépare…

Une fois que son anus est bien humide et sentant qu’elle va jouir, je présente ma queue contre son anus sans sa permission et à ma grande surprise, Martine se laisse faire, pourtant elle m’a toujours refusé la sodomie prétextant différentes choses, mais là elle hurle de plaisir sous cette double pénétration. Son visage est crispé par la douleur et par le plaisir !

Nos va-et-vient se font de plus en plus rapides et nos queues lui liment bien ses orifices. Nous changeons nos positions et le sexe de Georges étant bien plus gros que le mien, elle a un peu mal mais cette douleur se fait vite oublier quand après être resté un court moment en elle Georges laisse partir son sperme et se retire.

Je lui fais signe que je ne suis pas encore bien près, je dois vous avouer que c’est une bonne surprise pour moi d’être un peu plus endurant que lui, je la lime à grande vitesse et la défonce comme jamais ! Elle adore et hurle comme une vraie salope !
Pour le plus grand plaisir de Martine, je la retourne et la reprends en levrette butant rapidement et violement avec mes couilles sur ses fesses tout en lui titillant de nouveau l’anus avec mon doigt et je vois bien le plaisir de Martine qui vient d’elle-même à la rencontre de mon doigt pour le sentir plus profond dans son anus et là , voyant Martine prendre son pied comme jamais je commence à ressentir une certaine frustration, cela fait dix-huit mois qu’elle refuse toute fellation et sodomie…Et Maintenant en compagnie de Georges, elle se révèle être la plus parfaite des salopes, acceptant tout…Je la sodomise une nouvelle fois très longuement avec plus de délicatesse tout en lui titillant le clito ce qui lui procure un nouvel orgasme encore plus fort , peut être mon pénis moins volumineux que celui de Georges lui donne un plaisir anal jusque-là inconnu, l'éjaculation ne se fait pas attendre pour ma part !!!
Nous sommes ensuite partis, laissant Georges seul dans sa chambre, Martine pour sa part un peu pompette et bien chamboulée a regagné son domicile, et moi, j’ai retrouvé Marie qui m’a harcelé de questions…
Le lendemain, je retrouve Martine en qualité d’assistante à mon bureau, et oui, Martine est ma maîtresse, mais aussi mon assistante, et ce n’est pas simple, elle ne semble pas très heureuse.
Elle ne fait que me redemander des détails de la soirée, qu’elle ne sait pas ce qui lui a pris de se conduire comme cela, pourquoi je l’ai entrainé dans ce traquenard, enfin que des reproches, qu’elle risque d’attr des maladies et que personne ne s’est protégé, nous sommes inconscients, comment a-t-elle pu se laisser sodomiser, que nous avons abusé d’elle, enfin Martine tient des propos complètement décalés par rapport à sa conduite, car c’est bien elle qui a allumée Georges, sa tenue…
- Arrêtes Martine, Georges et moi…Enfin Georges t’a inhabituellement procuré plusieurs orgasmes...Nous n’avons pas profité de toi…C’est bien toi qui a hurlé comme une salope !!!
Toute la journée, Martine m’a agacé, et donc à bout, je lui déclare ses quatre vérités…
C’est bien elle, qui a sucer goulument le gros sexe noir de Georges, elle n’a rien fait quand les gros doigts de Georges lui titillaient l’anus, au contraire, et pour la sodomie, quand j’ai présenté ma queue contre son anus, elle s’est laissée faire…Et pour la double pénétration, elle s’est bien tortillée pour favoriser les pénétrations et ensuite avec ses mouvements de reins, elle était bien en phase avec nos mouvements de va et vient, accélérant avec nous…Et puis, c’est bien elle, qui hurlait de plaisir sous cette double pénétration. Je me souviens encore de son visage de salope, crispé par la douleur mais aussi par le plaisir ! C’est toujours elle qui nous déclarait que c’était bon…
Cette relation a contribué à notre séparation, notre rupture quelques semaines plus tard, car après cet épisode, Martine est redevenue comme avant, très fade au lit, peut être encore moins « douée », mais toujours intéressée, me demandant de quitter Marie, de vendre ma maison, et de la rejoindre chez elle, sans se préoccuper de Marie qui est en fin de vie et que j’aime vraiment. Elle n’a jamais mesuré l’amour qui nous unissait Marie et moi, un amour indestructible, fait de complicité, de partage et de générosités.
Ce fut une énigme pour moi, mais aussi pour Georges, Martine est plutôt très coincée « du cul », elle n’aime vraiment pas le sexe, mais elle veut jouer la femme libérée en adoptant des tenues provocantes, en étant allumeuse, aguicheuse et aimant séduire pour le plaisir. C’est une femme frigide pour qui faire l’amour est une corvée, et là lors de notre soirée, elle s’est révélée être la reine des salopes, une vraie pute qui n’assume pas le lendemain. Cela pose question, tout de même ?
Ne supportant pas la rupture, Martine a démissionné de son poste quelques jours après.
Ce qui est triste, c’est que je pense vraiment que cette liaison, encouragée par Marie, fut une erreur, c’est une de mes plus grosses erreur de ma vie, en positif, il me reste cette soirée partagée avec Georges qui deviendra un ami, et qui me vendra plusieurs BMW, en étant directeur régional de la marque.

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