Chapitre 22 : Caroline, Ses Maris Et Ses Amants Et Moi !!!

Nous nous retrouvons sur un parking près du pont de Brotonne, le dimanche matin pour une balade dans les boucles de la Seine jusqu’au Havre.
Caroline est sublime, elle a changé sa coiffure, sa tenue vestimentaire est très classe, nous nous enlaçons et nous nous embrassons…
Elle m’embrasse divinement bien, ce qui déclenche une énorme érection, la journée va être difficile, je pense. Nous commençons la balade par Caudebec-en-Caux avec un arrêt café, croissants…
Caroline a beaucoup de choses à me dire, elle y tient particulièrement, elle veut me faire des révélations avant d’aller trop loin.
Donc, embarrassée, Caroline commence par me dire qu’elle a été mariée trois fois.
Une première fois en 1976 à l’âge de 19 ans avec un garçon de bonne famille plus âgé qu’elle, je crois six ou sept ans, à l’époque il n’était pas question de concubinage dans les familles bourgeoises.
Elle l’avait rencontré à l’âge de 16 ans, après avoir eu déjà quelques petits copains et des relations à quinze ans, la demoiselle était précoce.
Elle était très amoureuse de lui, après le mariage, elle a continué ses études. Puis en 1980, naissance de son premier , une petite fille. La vie est belle, tout va bien, ils se font construire une superbe maison en région parisienne, tout semble bien aller pour eux.
Mais la belle s’ennuie, son mari n’est pas joyeux, peu communicatif, pas d’attirance sexuelle, peu de rapports sexuels avec son épouse…
Elle, par contre, aime le sexe et a besoin de rapports très fréquents elle est peut-être nymphomane ou hypersexuelle ? Elle a besoin de plaire et de séduire, mais aussi, elle a bel et bien une obsession pour le sexe. Elle met tous les moyens en œuvre pour multiplier les rapports sexuels.
Elle baigne dans un milieu propice aux rencontres, l’hôpital avec tous ses médecins et spécialistes en tous genres…
Elle commence sa collection par un premier amant Tunisien Gynécologue-obstétricien, puis ensuite Jacques un Cancérologue, puis un italien Gynécologue, un autre Gynécologue mais Tunisien, puis Jean-Jacques B….

. , Cancérologue-radiothéute, que nous appellerons entre nous plus tard « Gigibé », Jean-Jacques a la particularité d’avoir été son amant sur l’ensemble de sa vie et après chaque mariage…Il a trente et un ans quand elle le rencontre, elle en a vingt-cinq, elle passe du bon temps avec lui, même si d’après elle, «Gigibé », n’est pas un bon baiseur, mais elle aime sa compagnie.
Cela ne l’empêche pas de prendre d’autres amants comme Silvio, un chirurgien Italien, puis Hassan, un médecin Anesthésiste-réanimateur Iranien, puis un médecin spécialiste en gynécologie obstétrique Libanais nommé Bilal…
Pendant cette période, elle a des relations régulières avec « Gigibé » malgré ses nombreux amants, car elle pense oublier certaines personnes sur sa longue liste…
Puis elle rencontre son second mari, lui-même marié, plus âgé qu’elle toujours, de dix ans, ils divorcent l’un et l’autre et se marient en 1986.
La belle s’assagit et devient fidèle, une première naissance pour le couple en 1987, c’est encore une petite fille pour Caroline, puis en 1989, naissance d’un petit garçon, le troisième de Caroline, mais cela fait quatre à la maison avec le fils de son mari.
Caroline est bien occupée, elle conserve son emploi de cadre dans un hôpital Parisien, s’occupe de la maison et des s, souvent seule, son mari étant très accaparé par ses activités professionnelles et surtout papillonnant beaucoup.
C’est une femme active, elle se prépare à suivre la formation de Directeur d’hôpital public pendant vingt-quatre mois, malgré ses nombreuses activités.
Mais malgré tout cela, elle s’ennuie de nouveau, elle a besoin de sexe, de câlins, elle aime embrasser…Elle fait appel à un ami, Jean-Jacques…Elle a de nouveau des relations régulières avec « Gigibé », des journées entières passées à l’hôtel à se câliner, mais pas que…A discuter, aller voir des expositions, des musées.
Mais, « Gigibé », ne lui suffit pas, elle poursuit parallèlement à sa relation régulière avec Jean-Jacques, sa collection d’amants, un commissaire de police nommé Alain rencontré lors d’une soirée à Paris, puis des Gynécologues et radiologues et encore différentes nationalités, des médecins Syriens et Marocains.
Sexuellement, la belle est très active, c’est vrai, qu’elle était très attirante, elle m’a montré ses photos entre vingt-cinq et trente-cinq ans, je peux comprendre que c’était facile pour elle de séduire.
Puis, lors d’un séminaire, elle rencontre un homme toujours plus âgé qu’elle, une douzaine d’année d’écart, marié avec deux filles…
Ils divorcent l’un et l’autre et se marie en 1998, le début de vie commune n’est pas facile, son mari a une fille de trente et un ans et une autre de vingt-neuf ans. Celles-ci ne décolèrent pas après Caroline, elles ne rendent pas leur papa responsable du divorce, mais Caroline, qu’elles jugent instable avec ses trois mariages à quarante ans. C’est une « Briseuse » de couple après trente-deux ans de mariage, c’est la vilaine avec un rejet complet de la famille de son troisième mari.
Pour des raisons qu’à ce moment-là j’ignore, vous le découvrirez dans les prochains chapitres, son mari devient jaloux et violent…
A peine mariée, enfin après quelques mois, Caroline fait de nouveau appel à son ami, Jean-Jacques, alias « Gigibé » avec lequel, elle reprend de nouveau une relations régulière. A ce moment précis, cela fait dix-sept ans qu’ils sont amants de façon épisodique en fonction des mariages de Caroline.
Mais comme à chaque fois, « Gigibé » ne lui suffit pas, elle complète sa collection d’amants pourtant déjà bien fournie, elle m’énumère environ seize hommes, mais elle pense en avoir oublié, parmi lesquels nous trouvons encore des médecins généralistes, gynécologues, un radiologue, un chirurgien, un professeur d’histoire, un traducteur et un musicien professionnel. C’est tout aussi varié au niveau des nationalités avec encore un Syrien, un Marocain, un Algérien, un Allemand, un Roumain et bien évidemment des Français.
Pour conclure sur ce chapitre, Caroline me fait le constat suivant que dans ses vies de couple, l’eau de rose des débuts tourne bien souvent au vinaigre côté sexe pour elle. Les caresses et les câlins tendent à s’espacer dans le temps.
La magie opère de moins en moins. La routine s’installe rapidement, et l’ennui la pousse à chaque fois à la tentation de l’infidélité.
Elle est très claire là-dessus, elle souhaite m’informer des détails de ses relations passées, (il manque sa période libertinage avec son troisième mari qu’elle me confiera plus tard).
Elle ne veut rien me cacher avant d’aller plus loin ensemble. Elle est bien consciente qu’avec déjà trois maris et une quarantaine d’amants, voire plus, et surtout son besoin permanent de plaire et de séduire, son obsession pour le sexe, que tous ces éléments puissent me faire peur et me donnent l’envie de fuir en courant.
Je la rassure très rapidement, cela ne m’effraie pas, bien au contraire, cela m’excite même, je vais devoir être à la hauteur, que je peux être très imaginatif pour multiplier les rapports sexuels. Elle peut me faire confiance !!!
Comme elle, j’oublie volontairement de lui parler de nos parties fines avec Marie, de nos rencontres triolistes et candaulistes et surtout de ma bisexualité. Je lui révèlerai toutes ces informations le jour où elle me révèlera ses relations libertines avec son dernier mari.
Après un arrêt à Caudebec, Villequier, nous arrivons au Havre, elle m’embrasse très souvent, je ressens une vive émotion à chaque baiser, Caroline me fait un effet incroyable, j’ai l’impression que mon cerveau décolle…
Déjeuner à Sainte-Adresse, avec vue sur la mer, Caroline apprécie de « bien » manger, elle me semble gourmande, et pourtant elle n’est pas grosse…
Nous nous dévorons des yeux, nous nous caressons, nous plaisantons beaucoup, après le déjeuner, nous nous enlaçons souvent sur la promenade en bord de mer.
Puis, Caroline me demande de passer chez elle à Lisieux, mais nous devons récupérer sa voiture au pont de Brotonne, nous partons pour une heure trente de route…
Nous arrivons chez elle, une maison de fonction très confortable apparemment, elle me présente sa deuxième fille qui va avoir quinze ans et son fils de douze ans…
Je dois avouer que je ne suis pas à l’aise, mais j’assume, puis nous montons dans sa chambre, très vite Caroline me saute dessus, très excitée, m’embrasse, elle se retrouve très vite simplement vêtue de son soutien-gorge, de son string et de bas autofixants, elle s’est effeuillée, je n’ai rien vu, très vite elle me déshabille, je suis complètement dépassé, je suis sur mon petit nuage, je ne contrôle plus rien, je me retrouve sur elle, mon sexe, près de son visage et de sa bouche…
Elle engloutie l’extrémité de mon sexe et le prend en pleine bouche, elle commence les va-et-vient en me branlant, elle accélère le mouvement encore, elle l’enfonce un peu plus loin à chaque coup.
Elle est très excitée, je ne sais comment décrire la scène, sa respiration s’accélère, je ne me contrôle pas et je jouis dans sa bouche très rapidement, bien trop rapidement.
Très vite, Caroline s’allonge, me caresse le sexe de nouveau, je passe ma tête entre ses jambes pour la lécher, mon sexe reprend très vite de la vigueur avec les soins prodigués par une experte en sexes, nous passons ensuite en position 69 pendant de longues minutes, elle a la chatte bien mouillée, euh très mouillée, je la lèche toujours avec de forts coups de langue. Je lui mets deux doigts dans sa chatte et commence à la doigter pour la faire encore plus mouiller. Mes doigts font des va et vient et dans le même temps mon pouce de mon autre main appui fortement sur son clito en le massant. Ça y est ! C’est les chutes du Niagara.
Caroline apprécie et gémit, je sors mes doigts de sa chatte et j’y enfourne ma grosse bite bien tendue. Au début je commence par de petits va et vient légers, puis de plus en plus fort, elle écarte bien les jambes en compas et me demande de la prendre bien à fond, lui arrachant des cris de plaisir et lui faisant prendre un pied immense.
Sa chatte est bien dilatée, elle se tortille en gémissant, elle se cramponne à moi en me griffant le dos, je retire légèrement ma queue puis je l’enfonce lentement d'un coup jusqu'à la garde, puis je reste sans bouger pour qu'elle s'habitue au calibre. J’en profite pour enfoncer ma langue dans sa gorge, puis je commence un lent mouvement de va et vient bien à fond à chaque fois. Je lui écarte encore les jambes, et lui relève sur mes épaules et je l’a prend ainsi pendant un certain temps avant de jouir au plus profond de son corps.
Nous restons allongés un long moment pour reprendre nos esprits…
Puis je réalise qu’il est déjà dix-neuf heures et trente minutes, putain…
Je suis très en retard, nous prenons une douche ensemble dans une douche spacieuse et agréable, mais malgré l’heure tardive, Caroline me colle, nous sommes serrés l'un contre l'autre sous le jet d'eau chaude; on s'embrasse tendrement et nos mains courent sur les fesses de l'autre en les massant.

Je me baisse, saisis le flacon de savon puis verse dans ma main ce liquide blanc avant de lui masser ses seins doucement, de les malaxer longuement jusqu'à faire mousser tout ce savon sur sa superbe poitrine…
Une fois que j'ai fini de faire pointer ses tétons et de combler cette partie de son anatomie, je masse et enduis tout son corps de savon jusqu'à arriver vers sa petite chatte mouillée d'eau et…
La belle gémit…
Tant ce massage érotique lui fait de l’effet...
Malgré l’heure tardive, je la serre très fort dans mes bras et l'embrasse langoureusement pendant de longues minutes, ses seins sont plaqués sur ma poitrine et nos corps chauds sont collés dans une étreinte qui se resserre à chaque instant...
Ma bite, devenue molle et minuscule après avoir déversé toute sa jouissance dans sa chatte, commence à se dresser à nouveau vers Caroline, jusqu'à se heurter à ses belles fesses rondes et bien formées...
Le désir est remonté chez elle aussi, le contact avec ma bite réveille ses sens, mais se sont-ils réellement endormis une petite minute ?
Cela l’excite plus que jamais, elle a le souffle court tant son esprit est occupé par une seule pensée : se faire pénétrer profondément par ma bite et accueillir en elle encore une fois toute ma jouissance...

Je m’assois dans un coin de la douche et écarte mes jambes, de manière à rendre ma bite dressée bien visible et dégagée.
Elle vient sans tarder enfoncer sa chatte dessus, engloutissant mon engin tout entier dans les profondeurs de son sexe...

L'eau chaude continue de couler et se répand sur nos corps, je suis aveuglé par les gouttes et ferme les yeux, pour les rouvrir la tête serrée entre ses seins, à lécher chaque parcelle de sa peau douce pendant qu’elle gémit d’être si violemment pénétrée...

Elle rebondit régulièrement au rythme de nos hanches, chaque mouvement lui procurant un intense plaisir, je joue toujours avec ses seins et j'accélère la baise, la pénétrant toujours plus vite et plus fort pour lui offrir un maximum de plaisir...

Elle est aux anges et sur le point de jouir, ma bite s'enfonçant dans sa chatte est bandée et plus dure que jamais.

Dans un seul cri étouffé par le doux baiser que l'on partage, on jouit ensemble et je déverse dans sa petite chatte humide tout le sperme chaud que j'ai encore à lui offrir...

Après une longue étreinte et des baisers langoureux, nos corps se séparent enfin.
Elle se lève pour finir sa douche, laissant apparaître peu à peu ma bite comblée qui vient de la remplir de mon foutre, le sourire aux lèvres et ma jouissance s'écoulant lentement de sa chatte...
Que c’est bon de pouvoir baiser une telle femme, manifestement Caroline aime la bite, son désir est insatiable, violent, sans répit. Finalement le fait de connaitre sa vie sexuelle très active et libérée me satisfait plutôt et ne m’effraie absolument pas.
Je suis comblé…Sur la route du retour, je suis très en retard, j’ai deux heures de trajet pour revenir à mon domicile et surtout récupérer mon fils chez les parents d’un copain à une heure très tardive et pas raisonnable.
Donc, pendant le trajet je pense à Caroline, je suis sur un petit nuage, je pense à toutes ses déclarations sur sa sexualité, ses pulsions intenses et brutales qu’elle exprime parfois de manière sauvage et animale.
Je pense encore au fait qu’elle ne se considère pas nymphomane au sens propre du mot. Pour elle, dans son corps, il ne s'agit pas d'une pathologie. Certes, elle a une sexualité très active, très libérée, très libre, peut-être à la limite de la nymphomanie oui, du moins dans sa façon d'être. Elle est consciente de cela. Elle espère trouver une personne, un partenaire pour vivre en couple, quelqu’un qui supporte cette vie sexuelle, qui supporte ces pulsions répétitives.
Elle m’a bien prévenu qu’elle est constamment en recherche de plaisir et a un très fort appétit sexuel. Une batterie énorme de ce côté-là. Mais il ne naît pas par magie. Son corps n'est pas le seul à s'exprimer. Sa tête aussi a son mot à dire. C'est à la fois physique et psychologique. Elle ne saute pas sur n'importe qui parce qu’elle a une envie de sexe. Elle aime jouer, elle aime séduire…Je suis prêt à relever le défi et l’accompagner dans ses délires, j’en suis convaincu.
En ce qui me concerne, je pense que cette femme va changer ma vie, à ce moment précis, je sais déjà que nous devrions faire un petit bout de chemin ensemble, je ne sais comment l’expliquer.
Et puis Marie, ma première épouse, bien trop tôt disparue, n’était-elle pas aussi hypersexuelle…
Cela ne nous a pas empêché de vivre pleinement…Avec une belle complicité et en totale confiance, c’est certainement des femmes comme Marie et Caroline qui m’attirent et me comblent.
Je vous invite à patienter pour connaitre la suite de nos aventures, dans le prochain chapitre 23.

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