Une Histoire De Queues

Muriel avait une passion qu'elle n'avouait qu'avec parcimonie : le sexe masculin. Les hommes bien sûr, mais surtout leur organe mâle. Depuis que, toute petite, elle avait vu son père tout nu, la verge pendante, alors qu'elle-même ne présentait qu'une fente, elle n'avait cessé de penser à cette excroissance de chair dont elle ne soupçonnait pas encore la fonction seconde après l'urinaire : la reproduction. Elle l'avait comprise beaucoup plus tard, presqu'en même temps que la découverte que ce cinquième membre pouvait procurer aussi (et même surtout) un plaisir inouï à la femelle qui l'accueillait dans son antre. Cette révélation s'était produite un soir d'été lorsque ses parents avaient laissé la porte de leur chambre entrouverte, par erreur (mais en était-ce vraiment une ? Elle s'interrogeait encore). A genoux sur le lit, son père pilonnait sa mère à quatre pattes et Muriel, fascinée, avait assisté par la mince ouverture de la porte à la pénétration frénétique de ce pénis accueilli avec jubilation par le sexe féminin. Ce qui l'avait époustouflée était la taille à ses yeux monstrueuse de l'organe mâle devenu rigide. Loin de provoquer la douleur que Muriel aurait pu imaginer, elle entrainait au contraire une demande insistante de la récipiendaire, à en juger par ses roulements de hanches et ses accompagnements fessiers. A partir de ce jour, elle vit d'abord ses parents sous un autre angle, nettement moins moral, mais surtout, elle ne pensa plus qu'à éprouver elle aussi la félicité qu'avait ressentie sa mère dans ce qui s'avéra être l'acte sexuel.

Son initiation fut d'abord ratée par la faute d'un copain dépuceleur mais maladroit. Il l'aurait mise enceinte si, avertie depuis peu par sa mère, elle n'avait déjà commencé à consommer des contraceptifs. Fort heureusement, une relation sexuelle torride avec un moniteur de voile de dix ans plus âgé qu'elle lui fit découvrir et savourer les vrais plaisirs du sexe et, singulièrement, de la bite.

L'homme était doté d'un engin plantureux qu'elle explorait longuement de sa langue et de ses lèvres avant de se le fourrer dans la chatte, laquelle perdit vite son étroitesse de jeune fille pubère. Muriel apprit à baiser et une longue vie de baise commença. Son mariage quelques années plus tard se révéla un échec parce qu'elle ne pouvait pas se satisfaire d'une queue unique, en dépit de l'amour qu'elle portait à son mari, hélas provisoire. Et c'est ainsi qu'elle divorça à 35 ans pour devenir une femme libre, avec ses avantages et ses inconvénients, en particulier vis à vis de sa fille qui ne comprit pas sa décision et s'en alla vivre avec son père. La nature l'ayant dotée d'un physique avantageux, Muriel était encore à 50 ans éminemment baisable avec en particulier une paire de seins remarquable qu'elle aimait mettre en valeur par des décolletés spectaculaires. Ses cheveux mi-longs teints en blond, ses pantalons ajustés mettant son fessier copieux sans excès en évidence et un je ne sais quoi dans son regard qui en disait long achevaient de séduire un élément mâle attiré par les belles matures. A leurs yeux, elle était une "femme qui baise", expression qu'elle acceptait puisque c'était la réalité de la femme libre qu'elle était. En revanche, elle répudiait celle de "grandiose salope" que lui avait attribuée une de ses relations masculines car pour elle, l'activité sexuelle était naturelle et saine dès lors qu'elle ne lésait personne.
Mais ses amants potentiels devaient passer un redoutable examen : l'exposé de leur bite. Car Muriel avait ses têtes, si on ose dire...
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Comme beaucoup de femmes, Muriel avait une prédilection pour la taille intermédiaire. Ni les gros machins monstrueux, ni les mini quéquettes à peine visibles. N'empêche qu'il lui fallait un peu de volume et lorsqu'un de ses amants potentiels découvrait une queue pendante au gland légèrement proéminent, elle s'en délectait illico buccalement jusqu'à lui faire prendre une rigidité suffisamment longue pour servir.
Mais pour Muriel, la queue était inséparable d'un ensemble. D'abord les couilles, qu'elle souhaitait bien pleines, genre boules de billard, mais aussi les fesses. Elle adorait les petits culs bien fermes qu'elle pouvait "pogner" à loisir pendant la besogne. "Moins il y en a derrière et plus il y en a devant" avait-elle certifié à son amie Viviane, elle aussi divorcée et tout autant portée sur la chose à la cinquantaine à peine entamée. Petite femme aux formes abondantes, Viviane vivait sa sexualité avec autant d'ardeur que Muriel, à cette différence près qu'évoluant dans le milieu hospitalier, les occasions de s'envoyer en l'air lui étaient plus fréquentes sur son lieu de travail que Muriel, fonctionnaire territoriale. Les administratifs sont moins chauds que les médicaux. Voilà pourquoi toutes les deux parlaient queue et cul de manière privilégiée et exclusive, parfois avec une autre quinquagénaire délurée, une rousse version auburn prénommée Françoise rencontrée dans un club libertin.
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C'est Viviane qui avait eu l'idée de cette visite. "C'est gratuit pour deux femmes ensemble et seules", avait-elle plaidé auprès de Muriel, peu convaincue au départ. Mais quand Viviane lui avait parlé du "glory hole", trou par lequel des inconnus exhibaient leur membre viril pour les donner à sucer, Muriel avait cédé. Et ce soir là, les deux femmes s'étaient gavées de pipes au bénéfice de pénis anonymes, évitant juste de se faire trop éclabousser par le sperme qui jaillissait sous l'effet de leur langue experte. Françoise les accompagnait dans cet exercice et les avaient ensuite entrainées dans un coin câlin où quelques mâles bien membrés avaient pu calmer leurs chattes surchauffées par leur frénésie fellationniste. Mais Muriel et Viviane préféraient des relations plus sensuelles et surtout mettant mieux en exergue leur art de la conquête... et le plaisir d'être conquise.
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Françoise fut un peu plus tard à l'origine d'une autre découverte pour les deux amies : la plage naturiste.
Jusqu'alors, Muriel et Viviane ne s'étaient exposées qu'en bikini sur des plages classiques, quitte à tomber le haut pour se rôtir les seins. Mais le nudisme ne les avait jamais tentées. Néanmoins, avides d'expérience, elles acceptèrent la proposition de Françoise qui leur avait promis de vraies sensations : "se baigner à poil, bronzer son cul et voir plein de bites, c'est pas mal, vous verrez."

De fait, la première expérience fut édifiante. A demi couchées sur leur serviette dans le plus simple appareil, Muriel et Viviane voyaient défiler tout ce que la gent masculine peut présenter en matière de bites. Des minuscules, des copieuses, le genre ficelle ou gourdin, des décalottées ou des rétractées, des juniors (rares) ou des honoraires (fréquentes), bref de quoi s'en mettre plein les yeux, faute de mieux. Elles se gavaient aussi de culs nus aux formes tout aussi diverses, en particulier en marchant le long des vaguelettes jusqu'au terme de l'espace réservé aux naturistes. Evidemment, le trio ne passait pas inaperçu aux yeux des mâles présents mais comme la plupart étaient accompagnés, cela n'allait pas plus loin que les regards concupiscents. Muriel et Viviane, de surcroit, comprirent vite qu'une bonne partie des hommes présents sur cette plage étaient homosexuels. S'ils partageaient leur goût pour la bite, notamment visuel, ils représentaient à la fois une concurrence potentielle et une impasse sexuelle. Néanmoins, elles prirent l'habitude de profiter de belles journées d'été disponibles pour satisfaire le plaisir de l'oeil au bénéfice d'un bronzage intégral dont elles n'étaient pas peu fières.
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Pour Muriel et Viviane, ce défilé de queues et de fesses menaçait néanmoins de virer à la monotonie, car on s'habitue à tout, même à l'inhabituel. Mais un événement inattendu survint sur la plage, qui réveilla l'attention des deux amies : le surgissement d'un sculptural homme noir, crépu, musculeux et trapu. Il déambulait tranquillou sur le sable, conscient de l'intérêt qu'il suscitait de par la couleur de sa peau mais aussi, il faut bien le dire, par son chibre.
Si l'expression de cinquième membre avait un sens, c'était bien pour ce type. Il se balançait en pendouillant au rythme de sa marche, touchant le haut de ses cuisses, et même de loin, on pouvait constater le volume du gland partiellement décalotté. Sa croupe bombée suivait le rythme de sa marche en mettant en évidence le développement de ses muscles fessiers. Dès qu'elle virent l'apparition, Muriel et Viviane se dressèrent sur leur séant :
- Oh la vache ! Tu avez vu le mec ? D'où il sort celui-là ? Il ne vient quand même pas bronzer ! lâcha Muriel.
- Mon dieu quelle bite ! Et quel cul ! Avec un moteur pareil, il doit mitrailler quand il baise. Oh là là ! souffla Viviane.
Françoise, qui accompagnait les deux amies ce jour là et qui était en train de rôtir sur le ventre, se retourna :
- Ah mais c'est Firmin. C'est un Sénégalais qui vient de temps en temps quand il a envie de tirer un coup. Vous pouvez être sûres qu'il ne va pas tarder à trouver de la compagnie. Même les homos le draguent mais il est hétéro. C'est une vraie bête de sexe. J'ai entendu une fois une fille qu'il baisait là-derrière dans le petit bois. Elle gueulait tellement fort qu'on l'entendait jusque sur la plage.
- Et toi, il t'a baisée ? demanda Muriel.
- Ben oui, une fois. Mais j'ai eu du mal à m'en remettre tellement il est gros. Il faut vraiment aimer les grands formats.

Muriel et Viviane devinrent pensives. Une queue pareille, ça méritait au moins un examen. D'un commun accord, elles se levèrent pour déambuler sur le sable et tâcher de voir de plus près le phénomène.
Firmin discutait le bout de gras les pieds dans les vaguelettes avec un couple d'âge mûr. La femme, une grande blonde aux cheveux courts, aux seins pendants et à la croupe plantureuse, n'arrêtait pas de lui faire des risettes. Derrière leurs lunettes de soleil, Muriel et Viviane mataient la queue du Noir en feignant de s'habi à la température de l'eau. La verge s'était légèrement redressée, comme si son propriétaire s'excitait à l'écoute de l'homme mûr. Son épouse regardait maintenant ouvertement l'entre-jambes de l'Africain. Elle ne souriait plus et parla à l'oreille de son mari. Celui-ci dit quelques mots au Noir qui hocha la tête mais le bruit des vagues empêchait de distinguer le propos. Néanmoins, quand le mari prit sa femme par la main à la suite de l'Africain, en direction du fond de la plage, Muriel et Viviane comprirent ce qui se passait :
- C'est pas possible ! Cette pétasse va se faire baiser devant son mari. Je parie qu'il le paye pour ça, souffla Viviane.

De fait, après que l'homme eut fouillé dans un sac sur son coin de plage et retiré une serviette, le trio escalada la dune et disparut derrière les frondaisons.
- Tiens, j'ai envie de faire pipi, je vais aller faire un tour là derrière, glissa Muriel.
- C'est curieux, moi aussi, ricana Viviane.
Et les deux amies empruntèrent le chemin sablonneux où s'était dirigé le trio. Elles se piquèrent les pieds aux aiguilles de pin car elles n'avaient pas prévu les tongs pour cette escapade hors plage. Mais où étaient-ils passés, ces trois là ? Malgré les "aie !" et les "ouille !" provoqués par les piqûres aux pieds, elles fouillèrent des yeux la pinède touffue pendant quelques minutes. Elles avisèrent le dos d'un homme statique, visiblement observateur.
- Un voyeur, je parie. Ils doivent être dans le coin.
Prudemment et discrètement, les deux amies s'avancèrent dans la végétation et découvrirent à travers le feuillage ce qu'elles étaient censées trouver. Accroupie, la femme se gavait du gland proéminent du Sénégalais. Elle ne le suçait pas, elle le "mangeait", visiblement en extase buccale. Le destinataire l'observait de haut en lui tenant la nuque, comme pour l'accompagner. D'où elles étaient, Muriel et Viviane ne pouvaient voir le mari que de dos mais un mouvent significatif de son bras ne pouvait laisser place au doute :
- Il se branle, le conjoint, souffla Muriel.
- Je ne vais pas tarder à en faire autant, lui répondit Viviane. C'est chaud !
Puis la femme délaissa sa gloutonnerie pour se mettre à quatre pattes. Le mari tendit alors au Sénégalais ce que les deux voyeuses identifièrent comme un préservatif, probablement extrait du sac de plage quelques minutes plus tôt. Le Noir s'en saisit et l'enfila sur son gourdin déjà en position horizontale du fait de la succion de la femme.
- Bon dieu, quelle bite !, murmura Muriel. Jamais vu ça.
- Elle va jubiler, cette pétasse, répondit Viviane qui avait déjà la main entre ses cuisses.

Le dénommé Firmin entra avec précaution dans l'antre offert de la plantureuse blonde, qui ouvrit grand la bouche, comme pour un "Oh" silencieux. Et l'homme entreprit sa cadence. Fascinées, Muriel et Viviane observaient le bâton de chair entrer et sortir à un rythme de plus en plus soutenu, bientôt accompagné par le roulement de hanches et le balancement des lourdes mamelles de la femme qui, elle, devenait de moins en moins silencieuse. Ses onomatopées de plaisir envahirent le sous-bois. Le membre de l'Africain avait pris une couleur blanchâtre provoquée par les secrétions de la femme. L'homme y allait maintenant franco et les peaux claquèrent. Viviane se masturbait frénétiquement et Muriel ne tarda pas à l'imiter. Elles s'interrompirent juste quand le mari se déplaça, menaçant de les découvrir. Mais s'il se savait observé, il ne le montra pas. Il se mit à genoux devant son épouse et lui offrit sa bite à sucer, nettement moins volumineuse. Prise par les deux bouts, la femme vivait à l'évidence un moment d'extase. L'homme Noir aussi, à en juger par son rictus et sa raideur intacte. Il poussait le vice jusqu'à sortir complètement et s'enfoncer d'un coup pour faire crier la femme. Puis il se retira totalement et s'allongea sur la serviette, s'offrant à une autre pénétration. La femme l'embrassa d'abord avec ferveur puis vint lentement s'empaler et entreprit sa galopade en se tenant les seins. Son mari était maintenant clairement visible, face aux deux voyeuses, qui durent s'aplatir pour ne pas être repérées. Il observait le couple avec attention et commentait leurs ébats.
- C'est bon, hein chérie ? Tu la sens bien sa grosse bite ? Elle te remplit bien ? Prends ton temps, fais-le durer, t'excite pas trop.

Muriel et Viviane se demandaient comment la femme faisait pour accueillir un engin pareil dans son antre intime. Quand elle se mit sur ses pieds pour se laisser tomber sèchement et engloutir le dard jusqu'à la garde, Muriel ne put réprimer un gémissement et Viviane s'empressa de la baillonner. Toutes les deux avaient les doigts poisseux de leur cyprine tant la scène qui se déroulait sous leurs yeux stimulaient leurs hormones. A l'instigation du mari, qui craignait visiblement une éjaculation du Sénégalais, le couple s'unit en position assise, face à face, totalement emboité, leurs jambes encerclant les reins du partenaire. Mains posées en arrière, ils roulaient légèrement des hanches en se dévorant des yeux, le visage illuminé, savourant le moment, ménageant leur excitation réciproque et prolongeant leur plaisir. A ce moment précis, Muriel et Viviane furent prises conjointement d'une véritable jalousie envers la femme, si savamment honorée. Ses gloussements, ses commentaires satisfaits, l'agitation de ses seins et de ses hanches, tout concourait à engendrer un sentiment de frustration des deux voyeuses.
- La salope, elle est vraiment bien baisée, souffla Viviane à l'oreille de Muriel.
- Ouais, son julot lui fait un sacré cadeau.
- Et ça a l'air de lui plaire aussi.

C'est justement le moment où le mari, qui n'en finissait plus de se palucher, annonça clairement à l'intention du Noir :
- Bon, ça suffit maintenant, baise la à fond, défonce-la, fais la jouir, elle est à point.
Alors, étalant une nouvelle fois la serviette du stupre, le mari mit son épouse en position couchée, cuisses ouvertes, en attente. Le Sénégalais ajusta sa capote et vint se positionner pour une pénétration d'abord lente puis rapidement frénétique. Sa croupe musclée, immanquable par les deux voyeuses, fut agitée d'un rythme complètement fou, rotatoire et rectiligne, d'autant plus envahissante que le mari avait saisi les pieds de sa femme pour les écarter. Celle-ci lâcha un cri guttural, un cri de ventre en feu, de femmes prodigieusement baisée, qui couvrit heureusement les exclamations de Muriel et Viviane, chamboulées par la scène. Elles n'avaient plus d'yeux que pour ce cul noir qui virevoltait avec allégresse et pour la vision fugitive de ce gourdin qui entrait et sortait à une folle cadence. Le mari lâcha les pieds de sa femme pour qu'elle puisse talonner les reins de son amant et l'accompagner pleinement dans l'accouplement final. Ses orteils complètement repliés attestaient de l'intensité de son plaisir, de même que ses griffures sur les flancs de l'homme droit comme un i, bras et jambes tendus, cognant dur, regard plongé dans celui de la femme et l'avertissant clairement qu'il allait jouir. Alors, la femme, les pieds dans le sable et cambrée en arc de cercle, expulsa un long râle qui rejoignit le grognement de l'homme et l'éjaculation manuelle du mari. L'accouplement cessa aussitôt et le calme retomba sous les pins, seulement interrompu par une petite salve d'applaudissements venu des frondaisons. Muriel et Viviane n'étaient pas les seules à avoir profité en voyeuses de cette partie de cul exceptionnelle. Elles se retirèrent de leur cachette accroupies, découvrant en même temps trois spectateurs nus, la queue encore rigide. L'un d'eux, rigolard, glissa aux deux amies :
- Alors mesdames, on a bien profité du spectacle ?
Un peu honteuses, mais encore remuées par ce qu'elles venaient de vivre, Muriel et Viviane se replièrent vers la plage et, sans s'arrêter, se ruèrent dans les vagues pour se calmer.
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Elles sortaient à peine de l'eau lorsqu'elles découvrirent la femme et son mari venus à leur tour se rafraichir. A les voir, on n'aurait jamais cru qu'ils venaient de vivre une formidable partie de baise, version candauliste. La femme affichait juste une petite moue satisfaite et un regard malicieux que croisèrent Muriel et Viviane, comme si la femme se moquait d'elles.
- Tu as vu ? J'ai l'impression qu'elle se fichait de nous, cette salope ! grogna Muriel sur le chemin de sa serviette.
- C'est peut-être bien parce qu'elle a su qu'on la regardait. Il est vrai qu'on n'était pas très bien cachées.
- En tout cas, si j'avais été à sa place, je marcherais maintenant comme un canard. Elle a vraiment une bonne nature, la nana.
- T'as raison. Regarde la, on a l'impression qu'elle vient simplement de quitter sa serviette alors qu'elle en a pris plein la chatte.
- Ben alors, vous étiez où ? demanda Françoise qui continuait de rôtir.
- Euh... on est allé faire pipi là-derrière.
- Ah ouais ? Aussi longtemps ? C'était une drôle d'envie, dites donc. Vous ne seriez pas plutôt allées voir du porno en direct live ?
- Oh ça va, toi. On voulait juste voir si ton Firmin était aussi phénoménal que tu le disais.
- Et alors ?
- Ben oui, tu avais raison. Bestial au possible. La bonne femme s'est régalée sous les yeux de son mari.
- C'est courant ici. Il y a pas mal de couples candaulistes et Firmin le sait. Mais ses services ne sont pas gratuits, sachez-le.
- Ben moi, je ne pairai jamais pour me faire sauter, même par une grosse bite, asséna Muriel.
- Moi non plus, mais cette scène m'a mis le feu. J'ai une folle envie de baiser. Et dès ce soir si possible, répondit Viviane.
- Tu as un plan cul à nous proposer ? interrogea Muriel à l'intention de Françoise.
- Faut voir. Il faudra de toute façon sortir en boite. Mais il y aura de la concurrence et des plus jeunes que vous.
- Pas de problème. On a aussi nos atouts, hein Vivi ?
- Ouais. J'ai une petite robe qui fait toujours son effet. Et sous les spots, on voit moins mes rides...
Et c'est sous cette perspective que les trois amies quittèrent la plage en passant devant Firmin, allongé sur sa serviette, béat, queue au repos, en compagnie d'une petite brunette qui lui tenait la main en le regardant amoureusement.

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