Une Histoire De Fesses

Hubert avait une obsession : les fesses. Celles des femmes. Il adorait les suivre dans la rue pour observer leur déhanchement, surtout quand elles portaient un pantalon moulant. Il était devenu expert en mouvement fessier. C'était comme s'il disposait d'un laser pour transpercer la toile des jeans et autres fuseaux seyants. Il devinait les globes de chair dans la marche et les palpait du regard. Rien qu'à voir évoluer ces croupes vivantes, il savait leur forme et les répertoriait en diverses catégories. C'était beaucoup plus subtil que les gros et les petits culs. Mais pour établir une nomenclature précise, il avait dû en passer par un stade indispensable : la plage naturiste. L'endroit rêvé pour mater en toute bonne conscience et sans entrave. Là, derrière ses lunettes de soleil, en déambulant en aller retour le long de la mer, d'un bout à l'autre de la plage comme les autres baigneurs nus lassés de leur immobilité, il avait pu tout à loisir, et sans déranger personne, dévorer des yeux des derrières inconscients de l'intérêt qu'ils suscitaient et les classer dans son mental obsédé par les chutes de reins.

Bien sûr, il y avait les culs honoraires, pas les moins nombreux car les seniors sont les rois des plages naturistes, il faut le savoir. Il va sans dire qu'ils n'intéressaient qu'assez peu notre voyeur, sauf exception car certaines femmes mûres sont magnifiquement conservées de l'arrière-train. Les culs juvéniles étaient assez rares, comme si les demoiselles d'aujourd'hui étaient plus pudiques que leurs mères et surtout leurs grand-mères. Mais dans classe d'âge intermédiaire, celle des 40-50 ans, il y avait vraiment de quoi faire. Et voir.
A la base, Hubert relevait le petit cul pommelé, à raie courte, comme deux grosses joues appelant la paume de la main et la bise. Au sommet, la vaste croupe charnue à raie longue, aux fesses imposantes comme deux portes charnues s'ouvrant facilement vers un anus clairement visible dès que la propriétaire effectuait un mouvement particulier comme se pencher en avant pour ramasser, mettons, une serviette ou une boule de pétanque.

Entre les deux catégories de culs, le parfait, ni trop gros ni trop maigre, souvent bombé et donc à la raie bien nette, prête à s'ouvrir pour une activité buccale ou pinale. Les femmes disposant d'une croupe aussi attrayante le savaient et ne lésinaient pas sur son bronzage comme sur son louvoiement en marchant. Leurs maris ou compagnons le savaient aussi et se montraient assez fier de leur compagnie. Nul doute qu'ils devaient les sodomiser lors de leurs rapports sexuels ou alors, ils ne méritaient pas une aussi belle chute de reins. Mais ces culs d'élite se révélaient quand même peu nombreux, et c'est ce qui en faisait le prix. La fesse plate, triste, tombante, sans attrait, était hélas plus fréquente. Hubert les détournait de son regard pour se concentrer sur ce qui méritait vraiment d'alimenter son fantasme.

Car il s'agissait bien d'un fantasme. Il n'était pas de ces dragueurs de plage qui baratinent les femmes à poil quand elles sont seules (ce qui n'est d'ailleurs pas courant, le couple étant largement majoritaire avec l'homme solitaire, souvent homo). Il savait très bien qu'avec son physique quelconque, il avait toutes les chances de se faire rembarrer. Il se contentait d'observer le manège de quelques types tournant autour des serviettes, parfois avec succès. Alors, il voyait s'éloigner avec regret un joli cul (ou pas joli d'ailleurs) vers un coin discret derrière la plage où l'accompagnateur sélectionné l'honorerait de sa queue. Du moins si la dame acceptait de se faire enculer sur le sable. Mais il lui était aussi arrivé d'assister en direct live aux ébats d'un couple peu discret, profitant du calme relatif d'un matin avec des baigneurs encore espacés sur leur serviette avant le rush de 14h. Après s'être longuement et copieusement bécotés, le couple, un homme d'âge mûr et une femme d'une quarantaine d'années, étaient passés à l'acte. Elle s'était empalée sans complexe sur son partenaire allongé et Hubert avait pu mater à loisir les mouvements rotatoires de cette brune bien foutue du cul comme du reste jusqu'à leur orgasme réciproque.
Médusé, il les avait ensuite regardé gagner la mer main dans la main, totalement indifférents en apparence à son voyeurisme. A moins qu'ils n'en fussent satisfaits comme deux exhibitionnistes authentiques.

Pourtant, un fait nouveau survint un après-midi, qui devait lui procurer de bien plus grandes satisfactions. En déambulant une nouvelle fois au ras des vaguelettes, il se retrouva derrière deux femmes très dissemblables. L'une était une grande blonde aux cheveux mi-longs et au cul splendide, pulpeux sans excès, harmonieux, épanoui. L'autre une petite brune très bronzée à la croupe opulente, un peu disproportionnée avec le reste de son corps et pour cette raison terriblement attrayante parce qu'elle focalisait le regard sur son attrait sexuel. Il les dépassa en marchant, observa subrepticement leur visage, les trouva séduisantes et leur donna un âge entre fin de quarantaine et début de cinquantaine.

Il ne les quitta plus du regard. Il voulait savoir si elles étaient "en mains". Mais non, elles étaient seules toutes les deux sur leur serviette à rôtir en alternance leur croupe et leurs seins, somnolant ou papotant avant de se relever, d'aller marcher et se baigner. La brune montrait un pubis bien fourni alors que la blonde s'était rasée. Il voulait absolument en savoir plus sur elles. Il rapprocha sa serviette des leurs sans se faire remarquer et lorsqu'elles levèrent l'ancre, il fit de même. La blonde portait un pantalon corsaire moulant parfaitement adapté à sa séduction arrière, la brune une robe courte "cassant" la vigueur de sa croupe. Par chance, leur voiture n'était pas éloignée de la sienne et il put les suivre jusqu'à leur domicile, ou supposé tel.
En fait, c'était simplement un terrain de camping. Hubert stoppa sa voiture, entra sur le terrain à pied et finit par repérer les deux femmes, qui logeaient démocratiquement sous une toile de tente. Il les observa quelques minutes et décida de rentrer pour élaborer une stratégie.

Etaient-elles homosexuelles ? C'était une possibilité qu'il devait vérifier au plus vite.
Il se précipita dans un magasin pour acheter une toile de tente et un équipement sommaire. Une place était disponible sur le terrain, non loin de l'endroit où les deux femmes campaient. Après un dîner frugal, faute d'un vrai équipement de campeur, il se rendit à la soirée organisée au camping. Du classique. Karaoké, jeux, danse au son d'une musique enregistrée. Le moment idéal pour les aborder. Il proposa avec succès un rock à la petite brune, qui déclara se prénommer Marjorie. Il ne lui fallut pas longtemps avant d'être présenté à la blonde, prénommée Corinne. Toutes les deux portaient un pantalon moulant et les virevoltes de leur fessier sur la piste de danse passionnèrent Hubert. Mais il n'était pas le seul. Deux clébards de camping, d'une vingtaine d'années, faisaient leur siège. Hubert ne tarda pas à comprendre que, non, elles n'étaient pas lesbiennes. Elles se laissaient draguer sans chichis et quand un des deux types, lors d'un des rares slows, laissa ses mains descendre jusqu'aux fesses de Corinne, elle les repoussa une fois, mais pas deux. Quant à l'autre, elle se laissait bécoter sur un siège, visiblement ravie qu'un jeune mec s'intéresse à elle. Hubert aurait pu reconnaitre sa défaite, mais il préféra se tenir en retrait et observer la suite des événements. Les deux copines semblaient si peu farouches, si désireuses de s'éclater et, semblait-il, si disposées à vivre leur sexualité de "matures" qu'il émit l'hypothèse qu'elles se feraient sauter le soir même.

Comme il l'avait pressenti, les deux femmes s'échappèrent de la piste de danse en compagnie des deux dragueurs, l'abandonnant, lui le danseur de rock sympa, à son sort. Pas assez audacieux, pas assez sexy sans doute. Il ne s'en formalisa pas outre mesure. Il avait l'habitude des "râteaux". Mais il suivit à distance le quatuor et le vit entrer dans un mobil home, celui des deux gars. Il en fit le tour mais les fenêtres étaient closes. Il avisa un arbre dont une branche épaisse se trouvait à portée du toit.
Il suffirait de grimper à l'arbre pour accéder à l'ouverture du plafond, clairement visible. Avec un peu de chance, elle serait ouverte.

Il faillit tomber deux fois mais parvint à poser un pied prudent sur le toit. Surtout ne pas faire de bruit. Sinon, c'était le goudron, les plumes et l'humiliation avec. Il rampa avec moult précautions. L'affaire lui prit un certain temps pour ne pas se faire repérer. Son intuition ne l'avait pas trompé : le vasistas, bien ouvert, offrait une vue plongeante sur l'intérieur du mobil home. Et ce qu'il vit le récompensa de son audace.
Son regard tomba directement sur un grand lit occupant presque toute la largeur du mobil home. La brune Marjorie s'y trouvait à plat ventre, absolument nue, jouant avec le pénis d'un des deux gars assis, tout aussi nu qu'elle. Hubert considéra brièvement le large fessier bronzé, vision inédite en plongée et ô combien passionnante. Puis il capta l'autre couple à quelques centimètres du premier. Cette fois, la blonde Corinne était assise au bord du lit, tout aussi nue, honorant de sa bouche vorace l'autre gars debout devant elle et observant de haut la succion ardente dont sa queue était l'objet.

Ces quatre là n'allaient pas tarder à baiser dans le même lit. Hubert fit glisser sa main dans son bermuda pour attr son pénis déjà bien rigide et commença à l'astiquer. En bas, les événements se précipitèrent. La dénommée Marjorie s'allongea pour glisser son visage entre les jambes de son partenaire à genoux et lui gober les couilles tout en le branlant. Le gars leva les yeux vers le plafond, tout à son extase et Hubert se retira prestement du vasistas. Manquerait plus qu'il se fasse repérer maintenant. Il revint prudemment pour s'apercevoir que le couple était passé au 69, le nez du type plongé dans le pubis fourni de la brune, désormais totalement masquée. Tout à côté, la blonde Corinne était maintenant besognée en missionnaire par son chevalier servant dont Hubert pouvait observer de haut le cul virevoltant. Ce n'était pas sa vision préférée mais il comprenait que le gars mette autant d'ardeur à honorer une femelle pareille. Il se serait bien vu à sa place dans un monde idéal. La blonde s'était pris les pieds dans les mains pour s'ouvrir un max et ses couinements montèrent jusqu'au plafond, chatouillant les oreilles d'Hubert qui dut maitriser sa branlette, non sans difficulté.
A côté, la brune s'était dégagée de l'entre jambes de son amant. Au prix de quelques contorsions pour ne pas gêner le couple voisin, elle se mit à quatre pattes sur le lit et Hubert l'entendit clairement dire :
- Prends-moi par derrière, j'aime ça.

Alors, il connut l'intime satisfaction de mater de haut en bas sa croupe plantureuse et de la voir s'agiter pendant que son partenaire la besognait à genoux. Il entendit distinctement les peaux claquer car le gars y allait de bon coeur et on pouvait aisément le comprendre. Hubert aurait payé très cher pour se trouver à sa place. Il était fasciné par ce cul généreux qui vivait pleinement sa vie de cul. Il crut que c'était lui qui criait de plaisir. Les deux mecs étaient décidément tombés sur deux coups en or. Les yeux d'Hubert se tournèrent vers l'autre couple et c'était maintenant la croupe magnifique de Corinne qui s'offrait à ses yeux de voyeur. Empalée sur son amant, la blonde faisait rouler ses hanches avec une vaste amplitude qui faisait trembler ses fesses bronzées. Ses cheveux s'agitaient au rythme de ses coups de reins et Hubert imagina l'extase qui devait être celle du baiseur, dont la queue devait aller profondément dans un tréfonds aussi brûlant qu'agité.
Mais quand elle se retourna pour s'infliger à nouveau le plaisir du pal et offrir son cul à la vue de l'allongé, cul qu'il pouvait maintenant observer distinctement du haut de son perchoir, Hubert fut à deux doigts d'éjaculer. C'était vraiment trop excitant, cette scène. Il retira son visage du vasistas en se comprimant la queue et reprit peu à peu ses esprits.

Lorsqu'il y revint, Corinne et son type s'étaient interrompus et devisaient avec l'autre couple. Il eut du mal à distinguer l'échange dans le détail mais il en comprit l'essentiel : le partenaire de Marjorie avait émis le voeu de l'enculer et la discussion portait sur la manière de procéder plus que sur le fond de l'affaire, si l'on ose dire. Hubert vit la blonde sortir de son champ visuel et revenir avec un flacon qui s'avéra contenir du gel. Corinne en enduit l'anus de son amie avec précision et dextérité sous l'oeil attentif des deux clébards, visiblement surpris par ce geste intime. Puis la blonde saisit la queue de celui qui honorait la brune et la guida vers la raie de son amie. Un petit coup de rein réciproque et l'introduction était accomplie. Hubert était placé en surplomb parfait et s'il avait disposé d'un fil à plomb (et osé s'en servir), l'objet serait tombé pile sur le fessier copieux de la brune en train de s'agiter avec une frénésie à laquelle le voyeur, à travers l'ouverture, assista les yeux exorbités. Mater une telle enculade avec un tel point de vue aérien et un tel cul aussi plantureux qu'enthousiaste, c'était mille fois mieux qu'il ne l'aurait jamais imaginé. En plus de l'image, il avait le son avec le bruit des peaux claquantes, les encouragements de Corinne ("allez allez vas-y à fond fais la jouir..."), les couinements de Marjorie et enfin le cri rauque du clébard s'effondrant sur le dos de sa femelle en chaleur, le nez sur sa nuque. De son perchoir, Hubert ne put retenir une giclée de sperme qui tacha son short et poissa ses mains. Il voulait se retirer mais voilà que la blonde se mettait elle aussi à quatre pattes et offrait son cul dûment graissé par elle-même. Hubert pu s'offrir une nouvelle séance gratuite de voyeurisme fessier, cette fois de côté et non en surplomb, ce qui lui permit de voir non plus la nuque mais le visage de l'enculée, creusé par le plaisir et rapidement irradié de jouissance une fois que son baiseur eut expulsé sa substance entre ses fesses frémissantes. Une dernière goutte de sperme s'échappa dans le slip d'Hubert dont le cerveau avait viré au clafoutis.

Il lui fallut pourtant se retirer avec autant de prudence qu'à l'aller mais il faillit tomber de l'arbre tant il était ému. Une vilaine écorchure marqua sa cuisse et c'est en claudiquant qu'il regagna sa tente. Il dormit mal, au contraire des deux gaillards du mobil home, effondrés dans le lit du stupre, tout comme les deux quinquagénaires revenues dans leur tente, ravies de constater qu'elles plaisaient encore.
Il les retrouva le lendemain à la plage, les salua mais sans provoquer un intérêt majeur. Visiblement fatiguées par leur nuit, elles roupillaient sur leur serviette et c'est à peine s'il les vit marcher. Il revint au camping pour les observer et constata que les deux dragueurs de la veille s'étaient projetés sur deux "meufs", ignorant les deux "matures". Celles-ci faisaient grise mine et Hubert crut le moment de tenter sa chance. Mais elles ne lui accordèrent qu'un intérêt poli et il retourna dépité sous sa tente.
Après avoir beaucoup dormi, puis sacrifié à ses ablutions collectives, il fit un crochet vers le gîte des deux femmes. Pas question de renoncer aussi vite. Mais à sa grande surprise, leur tente avait disparu. A l'évidence, elles avaient choisi un autre lieu de vacances, ou étaient rentrées chez elles. Et c'est ainsi qu'Hubert en fut réduit à entretenir le souvenir brûlant de deux culs d'exception, qui devaient alimenter encore longtemps la relation entre sa main et son cerveau.

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