Un Plaisir Partagé Est Un Plaisir Double (7)

Un plaisir partagé est un plaisir double (7)

Chacun de nous faisant le réveillon de Noël en famille nous n’avons pas eu l’occasion de nous rencontrer, ma copine et son mari nous ont invités à passer la soirée et la nuit chez eux pour fêter la nouvelle année. Pour ce rendez-vous de fêtes il nous fallait être sur notre 31. Je me suis mise toute en noir avec une nouvelle robe bustier évasée m’arrivant au-dessus des genoux, des bas, un tout petit slip en résille et des hauts talons. Bob était lui en chemise blanche et en costume. Lorsque nous sommes arrivés chez nos amis, il y régnait une atmosphère paisible et cocooning, ils avaient allumé des bougies partout en diffusant un petit fond sonore. Nous nous sommes embrassés tellement heureux de nous retrouver. André était très chic également et Annie toujours superbe était à l’inverse de moi toute en blanc avec une jolie robe tout en dentelle.

« - Montres toi ma chérie, tu es ravissante dans ta robe mais tu sais que l’on voit nue dessous, pourtant ce genre de robe est toujours doublé ? »

« - C’est moi qui ai décousu la doublure, elle était écrue et cela ne faisait pas très beau sous une robe blanche. »

« - Je l’ai tout de même mise ce soir parce que je savais que je vous recevais et que mon corps dénudé n’a pas de secret pour vous, mais je vais refaire une doublure blanche. »

« - Et toi que portes-tu dessous ? »

« - Pas grand chose, je ne peux pas mettre de soutien gorge avec une robe comme celle la et je n’ai qu’une petite culotte en résille, regardes » en soulevant ma robe.

Nous avons bu l’apéritif au salon avant de passer à table, Annie amena un joli plat de fruits de mer et André s’occupa des boissons. Les hommes sont bien tous les mêmes, le mien regardait bien ma copine se déplacer pour essayer de voir sa nudité au travers les broderies de sa robe, alors qu’il l’avait eu nue dans ses bras et connaissait son corps aussi bien que le mien.

Mais il n’est pas le seul, j’ai vu André mater du coin de l’oeil, lorsque j’ai soulevé ma robe pour montrer ma culotte à son épouse. Nous avons raconté chacun notre tour le réveillon de Noël que nous avons passé en famille. La suite du repas copieux s’est déroulé dans un climat détendu et décontracté et dans une bonne ambiance. Nous étions tous un peu euphoriques, André avait pris son emploi de sommelier très au sérieux en remplissant nos verres chaque fois qu’ils étaient vides. Nous avons chanté « dans mon beau pays d’Espagne.) Et nous devions tous dire : « Olé ! » En levant les bras en l’air. Mais à chaque fois que je les levais, mes seins sortaient de mon bustier. Ce qui amusait beaucoup les garçons de voir mes nichons se retrouver en dehors de mon bustier, et les «olé ! » Revenaient de plus en plus souvent. Chacun regardait la pendule pour ne pas manquer le décompte pour passer en 2021. Nous nous sommes embrassés chaleureusement en nous souhaitant une bonne année avec le souhait de continuer cette complicité qui nous unis. Puis nous avons sablé le champagne.

« - Nous avons le temps de prendre le dessert, pour digérer un peu alors jouons un peu » annonça Annie.

« - J’ai pensé chacun et chacune de nous pourrions faire un strip-tease devant les autres. »

Ce fût tout de suite accordée. André alluma les spots du salon pour faire plein feux sur le streap-teaseur et mis de la musique langoureuse pour se dénuder. C’est d’ailleurs lui qui commença. Tel un chippendale il quitta doucement sa chemise puis retira sa ceinture sous nos applaudissements. Nous les femmes, nous le sifflons lorsqu’il commença à déboutonner sa brayette. Il s’approcha de moi, me pris ma main et me la plaça dans son slip. Je fus surprise de ne plus sentir ses poils. Il s’était rasé la zigounette. La mise au point qu’avait faite Annie avait porté ses fruits. (Lire les articles précédants). Je me devais le remercier à ma façon en lui baissant son pantalon et son slip et lui prendre sa verge en bouche.
Il était en érection et cette fois j’ai sucé son braquemard en l’enfonçant jusqu’au fond de ma gorge. Elle me paraissait plus longue que d’ordinaire. Nous le félicitons et Annie lui a remis un petit cadeau. C’était un string à tête d’éléphant avec un trou pour qu’il puisse passer son sexe. Il le passa mais l’effet n’était pas celui escompté car il était toujours en érection, il me tardait de le voir sa trompe pendouiller entre ses cuisses.

C’était maintenant mon tour de passer sur la scène.

J’ai pris une chaise et à la façon de Lilli Marlène, j’ai commencé à me déshabiller en retirant doucement et un à un mes bas auto fixant en essayant d’être le plus sexy possible. J’ai demandé à André de venir s’asseoir sur la chaise, c’était amusant de voir sa trompe ballotter dans tous les sens. Je me suis assise sur ses genoux en prenant son sexe dans ma main. Je lui ai fait signe de bien vouloir descendre la fermeture éclair de ma robe et de la retirer. Comme mes seins étaient à la hauteur de sa bouche, j’en ai attrapé un et comme une mère qui allaite son je lui ai mis mon téton dans la bouche pour me le faire téter. Je me suis mise debout et doucement j’ai descendu mon slip le long de mes jambes et me retrouver nue devant lui. J’ai posé ma petite culotte sous son nez pour qu’il renifle l’odeur de ma chatte (lui qui n’aime pas cela). Les spectateurs ont applaudit ma prestation et Annie est venu me remettre le string qui m’était réservé. Il était blanc et portait les inscriptions : « Ouvert 24/24 et 7j/7 »

« - Je ne pourrais pas le porter partout, ce n’est pas ouvert pour tout le monde, mais c’est vrai que pour vous elle sera toujours ouverte. »

« - C’est ton tour ma chérie » m’adressant à Annie.

« - Je n’ai pas grand chose à vous montrer puisque ma robe dévoile déjà ma nudité et qu’avec un peu d’imagination et je sais que vous en avez, vous pouvez m’imaginer nue, mais pour vous faire plaisir et pour recevoir mon cadeau je vais l’enlever pour vous.
»

Elle retira sa robe en montrant son joli corps en nous faisant la révérence.

« - Voilà mes chéris, est-ce que j’ai exaucé vos désirs en me voyant en tenue d’Eve ? »

Nous l’avons applaudi et remis son string qui portait le dessin d’un panneau de sens interdit et l’inscription : « Veuillez passer par derrière ». J’ai été surprise par cette petite phrase et je me devais de lui demander des explications. Soit qu’elle a encore le clito endolori de s’être branlée avec mon vibro, soit qu’elle à dit à son mari qu’elle s’était faite empapaouter par le mien !

« - Je vous propose de passer à table pour prendre le dessert. Mais avant je vais remettre le string à Bob pour qu’il ne se sente pas gêné d’être le seul en costume. »

Annie lui avait tricoté un petit chapeau de pénis qui ressemblait à un préservatif avec des yeux qu’elle s’empressa de venir nouer autour de son zigouigoui dès qu’il a retiré son pantalon. Le cochon a rapidement bandé dès qu’elle le lui tripota un peu. La main d’une autre femme fait toujours plus d’effet.

André a éteint les spots pour nous mettre dans une ambiance intime. Nous avons enlevé la table de salon et tous les quatre, rien qu’en string, serrés les uns contre les autres, nous nous sommes embrassés pour fêter cette nouvelle année, puis nous avons chanté des chansons paillardes en formant une farandole sur l’air de «la queue leu leu » en nous tenant par la main passée entre nos cuisses. Puis nous avons passé «le big bisou » au début c’était soft en s’embrassant sur la joue ou dans le cou mais cela a vite dégénéré en devant se bizouiller sur les seins, sur les fesses et même sur le sexe. Puis André s’est mis à chanter une chanson éroticoquine de Pierre Perret dont l’un des couplets disait ceci :

« Puis je l’empoigne par les hanches,
Et j’écarte ses cuisses blanches
De mon genou ;
Déjà ma pine triomphante
De l’abricot perçant la fente
Y fait son trou.
»

Cela donnait le ton de ce qui nous attendait. Nous avons mis une série de slow que nous avons commencé à danser chacune avec nos maris respectifs puis Annie est venue prendre mon homme de mes bras pour me mettre dans ceux de son mari. André me serra très fort dans ses bras puissants en me tenant par les fesses, il m’embrassa longuement. Je sentais sa queue se raidir contre mon ventre, j’ai fermé les yeux appréciant les caresses de ses mains sur mon dos dénudé et je me suis laissée porter par la musique. Sa main dénoua les ficelles de mon string qui tomba à mes pieds. Il fis de même avec le sien. Nous étions nus et on se caressait tout en dansant sur place. Nous n’étions plus que tous les deux sur la piste, Annie et Bob s’étaient éclipsés dans la chambre. André me souleva et je lui ai placé son pénis à l’entrée de mon fourreau, doucement il s’est glissé en moi. Mais notre position était inconfortable, j’étais sur les bouts des pieds et il nous était impossible de donner un mouvement de va et vient de sa bite dans mon vagin. Nous avons pris position sur le canapé, André était sur moi et me forniquait avec vigueur. C’était la première fois que je prenais du plaisir avec lui, ce ravissement m’avait mise en appétit et je lui rendais bien la monnaie de sa pièce en me démenant et en me trémoussant sous lui. C’était bon et il le comprenait par les petits cris de plaisir qui s’échappaient de ma bouche. J’ai senti sa verge se gonfler et une giclée de sperme vînt enduire le fond de mon vagin. André se retira en s’assoyant sur le divan. Je me suis mise à genoux entre ses cuisses et je lui ai englouti son sexe dans ma bouche jusqu’au fond de ma gorge. J’étais tellement excitée que je m’acharnais sur sa bite et ses couilles que je serrais dans ma main si bien qu’il me dit à un moment :

« - Vas doucement chérie, tu me fais mal. »

J’ai relâché la pression en m’occupant maintenant de son gland turgescent passant ma langue autour de ses papilles en prenant ses testicules d’une main pendant que je le masturbais de l’autre. André passa ses paluches dans mes cheveux en m’incitant à continuer. J’ai persisté et quelques minutes après il déchargea son foutre dans au fond de ma gorge soumise à avaler sa liqueur séminale. Ce soir, il était insatiable, il me demanda de me mettre en levrette, le cul en buse sur le canapé. Bien qu’il ait ma chatounette ouverte et offerte devant les yeux, je n’avais aucune chance pour qu’il conclue avec moi. Sachant qu’il déteste le cunni, et ce n’est pas cette nuit qu’il me la dédicacera, mais je ne vais pas me plaindre puisqu’il avait fait un effort en s’étant rasé le sexe pour moi. Une nouvelle fois il engouffra sa pine dans mon garage à bite, me tenant d’une main sur les reins, il me ramona une nouvelle fois avec énergie en me chatouillant le clitoris de ses doigts. Il me surprenait, il avait du prendre du viagra pour être aussi performant ou alors il avait été humilié par les paroles de sa femme qu’il lui avait dit qu’il n’avait jamais été capable de me faire jouir. En tout cas cette nuit j’en prenais mon petit intérieur était de la fête. Une nouvelle fois il aspergea de sperme dans ma foufoune.

C’est alors que sa femme et mon mari ont refait surface.

« - On ne s’ennuie pas ici. » Me dit Annie alors que j’avais encore la bite de son mari dans ma chatte.

« - Approches-toi ma belle. » lui dis-je

Elle vînt vers moi et en passant ma main dans sa fente encore gluante, mes doigts sont ressortis trempés de sperme.

« - Tu as beau jeu de me dire cela, je vois que toi non plus tu ne t’es pas enquiquiné avec mon chéri. »

Il était déjà cinq heures du matin, Annie nous proposa un chocolat chaud au kirsch. Le temps que je l’aide à préparé nos hommes se sont endormis sur le canapéa Ma copine qui m’avait manqué durant toute cette soirée, m’embrassa.

« - Tu sais que ton mari a été très efficace cette nuit, il a même réussit à me faire jouir. »

« - Je suis contente pour toi, mais il ne t’a toujours pas sucer la chatte. »

« - Tu sais bien que ce ne soit pas son truc. »

« - Oui, mais il pourrait faire un effort. Viens mon amour je vais te le faire moi. »

« - Mais avant il faut que tu me dises pourquoi as-tu choisi ce petit message sur ton string . Tu l’as dit à ton mari que tu t’étais fait sodomiser ? »

« - Non, c’était simplement pour lui ouvrir les yeux et pour qu’il comprenne que je peux prendre du plaisir par tous mes trous. »

Nous sommes caressées et je me suis blottie dans ses bras avant qu’elle ne plonge entre mes cuisses que j’ai ouvertes pour lui laisser l’accès à ma nénette. Elle était encore baveuse, signe qu’elle avait été bien arrosée également. Aucun homme n’est capable de nous faire jouir comme une femme sait le faire avec douceur connaissant les parties délicates et nos zones érogènes. Je jubilais de plaisir.

C’est l’odeur du café qui nous a réveillée en fin de matinée, blottis l’une contre l’autre et recouvertes d’une couverture qu’un de nos hommes nous avait revêtue pour que nous n’ayons pas froid








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