La Planète Des Maîtres

La planète des Maîtres – (Avant-propos) – Dans le Pacifique, en janvier 2092 -

Nous allons imaginer ce long récit (aux multiples et très nombreux chapitres à venir, avec en principe, à raison d’un épisode par quinzaine dans la mesure du possible) se passant dans un avenir de quelques décennies, soit vers la fin de la deuxième moitié du XXI éme siècle. L’univers de l’histoire se déroule dans une société radicalement différente que celle que vous vivons tous aujourd’hui, de cette société actuelle aux racines judéo-chrétiennes et de ses tabous et interdits hypocrites… L’autre société, celle de cette histoire futuriste, se compose de deux catégories d’êtres humains génétiquement modifiés peuplant la planète : Les Dominants (tes) et les dominé (ées). En effet, suite aux ‘‘progrès’’ de la science, la société a radicalement été changé en profondeur. Chaque être humain qui nait sur la planète a été sélectionné avant sa conception comme étant génétiquement un (e) Dominant (e) ou un (e) dominé (ée). C’est ainsi qu’après quelques générations, toute ladite société s’est complètement métamorphosée à un tel point que ce qui choquait jadis est devenu une normalité, comme par exemple : un Dominant promenant en quadrupédie une soumise nue et en laisse dans un parc public, le Dominant s’asseyant sur banc, la soumise attendant couchée sagement à Ses pieds, alors qu’une Dominante vient s’asseoir sur le même banc, un mâle soumis nu, au bout d’une laisse… Et cette scène n’a rien d’extraordinaire, c’est d’une banalité évidente, alors que cela aurait été impossible et choquant avec notre société actuelle…

Les besoins de cette nouvelle race de Dominants (ainsi que des dominés) sont si forts, qu’ils ont adapté et changé énormément de choses dans cette nouvelle société, au fil de ces quelques décennies d’évolution. D’abord, la nudité des dominés est devenue tellement visible dans la rue, en extérieur qu’elle ne choque plus personne. On pourrait même dire sans hésitation que ce serait le contraire qui choquerait, ce serait de voir un (e) dominé (ée) habillé (e) et qui scandaliserai les gens.

Idem pour les copulations, les orgies sexuelles, les séances de BDSM, etc… nombreuses et même en pleine rue, dans les parcs et jardins, dans les lieux publics, etc… sont également devenues banales, normales, même si on peut aisément comprendre à la lecture de ces situations, que le lecteur actuel de 2020 puisse trouver cela obscène, scandaleux et improbable… Notre société actuelle étant bien différente de celle décrite dans le contexte de cette histoire, L’histoire de … la Planète des Maîtres…

Mais cette Planète des Maîtres n’est pas une dictature. Même si elle est dirigée par des puissants Dominants, à tous les échelons de l’administration et des Etats, les dominés ont le droit de vote (entorse à la démocratie, ils ne peuvent pas se présenter aux élections), mais ils peuvent s’exprimer librement, manifester, etc… En réalité, peu d’entre eux s’expriment et aucun manifestent et pour une raison très simple : Génétiquement soumis, ils sont nés dominés et leur instinct modifié par la génétique s’exprime irrévocablement avec des très puissants besoins de soumission, ainsi ils vivent pleinement épanouis et heureux à l’unique condition qu’ils soient dominés, c’est vital pour eux, c’est dans leurs gènes ! A l’inverse, les Maîtres étant nés génétiquement Dominants dès leur naissance, ils éprouvent ce besoin incompressible de soumettre les dominés, ainsi vit cette société créée, faut-il le rappeler, seulement sur quelques générations, cette société nouvelle de … la Planète des Maîtres…

Il faut préciser que la législation de cette société autorise les Dominants à posséder autant de dominés qu’ils veuillent à la condition qu’ils soient tous déclarés au fisc, car chaque dominé est considéré comme ‘une propriété absolue de son propriétaire’… La loi autorise aussi des marchés aux esclaves (esclaves génétiquement très épanouis de vivre leur état de servilité), marchés devenus banals eux-aussi et que l’on trouve régulièrement aux côtés des marchés fruits et légumes, un peu de partout… Pour un Dominant, il est donc aisé de se procurer un dominé, en l’achetant et le déclarant, comme on achèterait une télévision ! On ne compte plus les nombreux lieux de ventes tels ceux souvent installés à côté des animaleries des grandes surfaces ou magasins spécialisés très répandus sous l’appellation ‘esclaverie’.
Il existe aussi des salons de toilettage pour soumis ou esclaves, des salons genre salon de l’agriculture avec des dominés exposés dans les différents stands, des concourt du (de la) plus joli (e) dominé (ée), des zoos de soumis humains, des ventes aux enchères d’esclaves de compagnie ou pour différentes tâches domestiques, ou pour les besoins sexuels des Dominants, etc, etc. … Même si les dominés esclaves sont en général bien traités dans le sens où leur vie n’est jamais mis en danger, il existe tout de même un puissant organisme international et géré par chaque Etat, la SPE (Société protectrice des Esclaves) qui veille à ce que les lois mondiales protégeant les vies des dominés, leur accès aux soins, etc, soient respectées…

Dans cette société, Il y a deux catégories de Dominants (tes), d’abord, ceux catalogués comme ‘simples’ Dominants (tes) que l’on appelle couramment ‘Monsieur’ ou ‘Madame’. Ils occupent les principaux postes de l’Administration et possèdent juste des soumis (non esclaves) pour leurs usages domestiques ou sexuels. Ensuite, ceux catalogués comme des Hauts Dominants et qu’on appelle couramment ‘Maître ou ‘Maîtresse’ et possèdent quant à eux des esclaves utilisés également aux besoins de Domination sexuelle mais dans une appartenance totale et ne vivent uniquement que pour leur Maître ou Maîtresse. Idem chez les dominés, qui se divisent en deux catégories, les ‘simples’ soumis (ses) pouvant soit être utilisés comme domestiques et pour la sexualité des ‘Monsieur’ ou ‘Madame’. Et en deuxième catégorie, il y a aussi les dominés esclaves, qui eux, vivent à demeure. Et en plus d’être des objets sexuels, les esclaves sont à plein temps utilisés, prêtés, marqués, tatoués, maltraités selon leurs propres besoins de soumission beaucoup plus prononcées dans cette appartenance totale déjà évoquée. Et donc toutes ces catégories convergent dans l’épanouissement des viscéraux besoins de tous…

Nous allons donc suivre l’histoire d’un jeune Dominant de 30 ans, Edouard SAVEN, jeune et célèbre chef d’une entreprise holding internationale d’un laboratoire en recherche génétique, la célèbre et si puissante G.
T.C. ‘’GENETIC TRANSFORMERS CORPORATION’’. Il est le Maître absolu de ses 250 0000 employés dans le monde, et cela dans multiples domaines diversifiés (pharmaceutique, médical, numérique, cybernétique, médias, etc…). Ses employés sont tous des dominés pour la plupart, le reste étant de proches collaborateurs Dominants. Edouard SAVEN n’est pas n’importe lequel des Maîtres, il est l’héritier et le petit-fils unique de Charles SAVEN, éminent généticien, l’inventeur de la prodigieuse transformation génétique qui a changé la société du début du XXI éme siècle, il y a déjà quelques décennies de cela. Ed (pour Edouard) SAVEN a tout pour Lui, l’amour, l’argent, la puissance, la réussite, la santé… et la Domination, bien sûr, avec comme déjà dit, bon nombre de dominés (des deux catégories, soumis et esclaves) sous Son joug. Chacun de ses déplacements est médiatisé, il est très apprécié dans les milieux d’affaires et des chefs d’Etats étrangers… Il possède un Empire industriel et financier mondial jamais égalé. Mais cette réalité n’a pas rendu Ed SAVEN despote ou tyrannique. Au contraire, il a su rester philanthrope, humaniste, et possède des grandes qualités de Dominants…

Sa Résidence principale se situe sur une vaste île, complètement isolée du monde, au cœur du Pacifique, île à laquelle il est l’unique propriétaire. Ed SAVEN quitte et rentre sur son île uniquement avec un de ses jets privés, ayant fait aménager une immense piste d’atterrissage et un véritable aéroport. Sur son île paradisiaque, vivent sous Son Joug des milliers d’esclaves, tous propriétés juridiquement et tous dévoués au plus haut point à Lui, le Maître absolu. D’impressionnantes infrastructures ont été construites, une immense ville très équipée dans tous les domaines a été aménagée au cœur de l’ile, cette métropole répond au nom de ‘Savencity’ (du nom du propriétaire) et a une population de 12 000 habitants, les savenais (nom des habitants) qui se sentent extrêmement honorés de vivre ici et surtout d’appartenir au Maître SAVEN.
Sur les hauteurs de Savencity, tout en haut d’un impressionnant pic rocheux, trône une immense statue de bronze représentant l’éminent généticien Charles SAVEN, statue dominant toute l’île. En face, de l’autre côté de la cité, sur un grand plateau sans dénivelé tout en haut d’une montagne écrêtée, on y trouve la maison d’Ed SAVEN. Enfin, maison est un bien faible mot, il s’agit plutôt d’un vaste Palace moderne de plusieurs étages et ultra équipé d’une superficie équivalant à un stade de football, si on compte les somptueux jardins et le parc entourant l’imposante bâtisse. On y accède par téléphérique, sauf pour le propriétaire des lieux qui, Lui, y accède par hélicoptère privé… Ce Palace est connu dans le monde entier pour être appelé ‘LE PALASAVEN’ (diminutif de palace et de Saven). Les lettres de ‘SAVEN’ sont d’ailleurs affichées immensément sur le flanc de la montagne, (à l’instar de celles que nous connaissons tous d’‘’Hollywood’’)…

1- Nymphaea, l’incroyable destinée d’une esclave femelle :
Nous sommes en début de soirée en ce mois de janvier 2092, l’obscurité est tombée et Savencity s’apprête à passer une de ses nuits très chaudes, si actives en festivités orgiaques et diverses dans la douceur climatique du Pacifique. Aussi par les nombreux restaurants, cabarets, cinéma, théâtres, sex-shops, bordels, des soirées orgiaques sont donc de D/s et en tous lieux dans cette capitale mondiale, et reconnue comme telle, de la Domination/soumission ... On promène des dominés nus et tenus au bout d’une laisse sur les trottoirs tout en déambulant, On savoure de belles esclaves femelles exhibées nues en vitrines des magasins, on déguste des yeux des scènes de copulations, de fouettage, d’esclaves mâles ou femelles derrière d’autres vitrines. Ailleurs, à une place de la ville, sur une haute estrade, on apprécie la vente aux enchères et à la criée de quelques soumises esclaves invendues dans la journée et qui sont soldées à des prix de départ défiant toute concurrence. Tout cela ne sont que des banalités bien habituelles … Mais l’évènement de ce soir-là, car la rumeur s’est diffusée comme une trainée de poudre, est qu’Ed SAVEN, en personne, a décidé de venir dîner dans son restaurant-cabaret favori, en plein centre de la ville, au ‘Nigth-Club-D/s-Sex’. Alors une foule nombreuse s’y est amassée devant pour apercevoir Ed SAVEN qui est ici, et plus qu’ailleurs, véritablement vénéré. La foule est canalisée derrière des barrières de chaque côté de la porte d’entrée de la célèbre enseigne et attend depuis déjà de longues heures, pour certains badauds… Et parmi eux, une esclave femelle attachée nue à un lampadaire, à quelques mètres de là, sa Maîtresse qui patiente comme tout le monde l’arrivée du Maître de la ville … Cette jeune femelle esclave est d’une rare beauté … Sa silhouette est proportionnée parfaitement par ses sinueux contours, ses seins sont superbement fermes aux tétons rosés, son sexe est épilé à la perfection, Même si son bâillon-boule masque un peu sa bouche, on devine une bouche à fellation, aux lèvres pulpeuses, ses yeux sont vert émeraude et sa magnifique chevelure brune ondulée descend presque jusqu’à ses fesses, son dos plaqué contre le lampadaire, les bras en arrière faisant le tout du poteau pour que les poignets soient attachés par une paire de menottes… Cette pure beauté de la nature s’appelle Nymphaea …

(A suivre …)

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