La Croix De Saint Andre

-- ATTENTION HISTOIRE POUR LECTEURS AVERTIS --

Après plusieurs semaines de consultation avec notre théute, notre vie sexuelle s'était ré-épanouie ponctuée de séance théutique individuelle ou en groupe de partage au cabinet de Jérôme. Pendant mes sessions individuelles, il m'avait poussé à raconter mes différentes aventures et notamment ma relation avec mon amie Marielle, ainsi que les différentes expériences vécues avec elle ou son entourage. J'avouais ma soumission, mais en même temps mon désir de revanche par rapport à mon amie. Jérôme avait souhaité rencontrer Marielle afin de poursuivre mon analyse en profondeur. J'avais donc organisé un déjeuner entre nous 3 dans une petite auberge isolée de campagne. Ils avaient rapidement sympathisé, et Marielle sans aucune pudeur s'était dévoilée telle qu'elle était, racontant nos fantasmes et jeux les plus intimes à Jérôme.
- Tu sais que ta patiente est une vraie soumise ?
- Oui, j'ai pu constater un penchant pathologique pour la soumission.
- Elle t'a raconté qu'elle a été ma petite boniche pendant plusieurs mois ?
- Oui, mais j'avoue être curieux sur le détail de ces jeux remplis de perversités.
Marielle lui raconta en détail nos séances multiples, que ce soit chez elle pour la préparation de son mariage, au club hippique, mais aussi notre voyage en Roumanie ainsi que la fameuse partie de poker. J'étais confuse et rouge de honte en écoutant mon amie racontée mes aventures sexuelles à mon théute, qui me dévorait des yeux avec gourmandise... Je sentais que mon 2 pièces ensemble pantalon costume de femmes d'affaires lui faisait un vrai effet. Il faut dire que mon Blazer beige avec une veste longue et formelle cintrée par une ceinture à la taille et mon pantalon à pinces étaient très élégants, mettant en valeur mes formes de femme mature, pulpeuse, chic et très BCBG...
- Je suis sûr qu'elle te fait bander ma pouliche ? Tu te l'ai déjà tapé ta patiente ?
- Pas dans le sens que tu l'entends, je suis son théute et donc lié à des règles strictes de déontologie
- Avoue que tu aimerais la fourrer ma petite boniche ?
- Disons qu'elle a certains avantages, qu'ils la rendent très attirante, comme toi d'ailleurs .

..
- Haaaa, nous y voila... Et que dirais-tu d'une petite séance à trois dans ta voiture ?
- Je suppose qu'on n'a pas besoin de demander l'avis de ta...Pouliche ?
- Bien sûr que non, payons et allons dans ta voiture.
Quelques minutes, plus tard, nous étions sur la banquette arrière de la voiture de Jérôme. Il était assis au milieu avec Marielle et moi de chaque côté. Sans aucune forme de préparation Marielle libéra le sexe de Jérôme, qui était gonflé à bloc, le tenant fermement dans sa main et le masturbant afin d'accen son excitation. J'étais à cote dans mon tailleur si chic regardant Marielle branler mon psy. Elle me saisit par les cheveux, et poussa mon visage vers la verge tendue de Jérôme...
- Ouvre la bouche ma bourgeoise et avale-le en entier...
- Hooooo, quelle bouche, ta copine est une vraie suceuse... Dis-lui de me lécher la verge...
- T'as entendu ton psy ma pouliche... applique toi... Et lèche lui sa grosse bite
- Ouiiiii, ohhhhhh cette langue, cette bouche, vous êtes vraiment une bonne suceuse Patricia
- Allez, continue ma pouliche, fais jouir ton psy avec ta bouche de bourge...
J'avais enfourné son sexe dans ma bouche, et lui appliquait une fellation dont je sentais les effets, à la façon dont son sexe coulissait entre mes lèvres. Elle me tenait par les cheveux, restreignant ma capacité à m'opposer à cette pipe improvisée, dans le parking de ce restaurant campagnard. Il gémissait, grognait, sa main me tenant par le menton, me tapotant les joues par des petites claques afin de faire sentir sa domination. Il attrapa Marielle par les cheveux et l'enjoignant à me rejoindre.
- Viens aider ta copine.
- Heeeeee, ce n'était pas le plan, t'es un petit coquin toi!!!!
La bouche de Marielle rejoignait la mienne pour lécher la hampe du sexe de Jérôme alors que je suçais son gland. Nous étions comme deux gourmandes affamées par le membre gonflé de cet homme surexcité par deux magnifiques matures qui lui dévoraient la bitte.
De temps en temps, Marielle me sortait le sexe de ma bouche pour me rouler une pelle enfonçant sa langue dans ma bouche. Ses mains avaient plongé sous mon tailleur pour libérer mes gros seins qu'elle malaxait comme un boulanger pétrissant de la pâte à pain. Elle me poussa en avant afin de placer le membre de mon théute entre ma poitrine afin de le branler, alors qu'elle s'amusait à sucer le gland qui dépassait de mes deux grosses mamelles. C'est dans cette position que je regardais notre amant qui immortalisait la scène en nous filmant avec son téléphone.
- Continuez mes salopes, c'est pour le bien de votre thérapie, faites moi jouir... Oui...... Haaaaaaaa, vous êtes trop bonnes.
Il jouit entre me seins, répandant son sperme dans la bouche de Marielle, qui prenait des grands jets au travers de son visage. Elle était souillée, m'embrassant avec fougue me reversant le sperme de Jérôme dans ma bouche, alors que Jérôme continuait à filmer les deux gourmandes assoiffées de sperme que nous étions.

Plusieurs jours, plus tard, je reçus un appel de Marielle. Son ton était sec et un peu paniquait me demandant de la rejoindre dans un bar près de chez elle. Apparemment, Jérôme, dans le cadre de ma thérapie, voulait partager la vidéo de notre déjeuner, avec mon mari, qui selon elle, s'empresserait de l'envoyer à son mari. Je décidais de la rejoindre et me rendais en urgence dans une brasserie afin de calmer et rassurer mon amie. Le bar se situait dans le centre du village près du caveau ou elle s'était mariée quelques années plus tôt. Alors que je l'attendais, je reçus un SMS de la part de Jérôme "Je suis avec ton amie, nous sommes au caveau, rejoins nous maintenant, je suppose que tu te souviens de l'endroit". Il faisait référence, au lieu de BDSM, dans lequel j'avais été mise aux enchères.
Je m'empressais de rejoindre le caveau avec l'appréhension de ce qui m'attendait. Étais-ce une fois plus un piège de mon amie, dans lequel j'allais encore être le jouet d'hommes en rut, et tout cela sous les yeux de mon psy ? J'avais du mal à marcher, ma jupe longue motif pied de poule m'empêchant de faire de grand pas, malgré la fente arrière.
J'étais d'une élégance redoutable avec cette jupe mi-longue en matière extensible de couleur noir et blanc sur motif pied-de-poule. Elle était composée d'une fermeture en boutons tout le long du coté droit. Partant du haut de la jupe jusqu'au bas, cela donnait une impression d'accessibilité à un univers de désir pulpeux. Une ouverture très sensuelle, pour l'inconscient masculin pervers. J'avais mis pour finir un pull blanc très moulant en laine Wolford col roulé. Le tout me rendait encore plus pulpeuse que d'habitude. Un appel au viol pour tous les mâles en rut que je croisais dans la rue. Je me dirigeais donc vers le caveau et entrais rapidement faisant attention à ne pas être surprise. Une fois à l'intérieur, je pénétrais dans la salle spéciale, pour voir à ma grande surprise... Marielle... Attachée les bras en l'air, ses mains menottées dans une sangle accrochée à un anneau qui pendait du plafond, alors que ses pieds étaient également restreints aux chevilles par une sangle. Elle était bâillonnée par une boule de latex, laissant son corps offert et disponible aux deux jeunes hommes athlétiques qui attendaient assis à ses côtés en m'observant avec gourmandise rentrant dans cette pièce.

Je restais figée sur place à l'entrée de cette pièce voûtée, scrutant cette femme attachée dans son tailleur complet Blazer gris en pantalon moulant et veste avec un bouton en son milieu qui cintrait son buste faisant ressortir son énorme poitrine protégeait par un pull juste au corps rouge en laine col en V. J'étais captivée par cette image érotique, de mon amie qui se débattait, tortillant son corps, sans aucune chance de pouvoir se libérer et qui ne faisait qu'accen l'excitation des hommes. Je ne sentis pas la présence derrière moi de plusieurs hommes dont Jérôme. Ils s'emparèrent soudainement de mon corps, plaquant une main sur ma bouche pour me bâillonner, alors que les autres s'abattaient sur mon opulente poitrine. Ils me malaxaient fermement mes gros seins, mais aussi s'étalant sur mes cuisses, mes fesses et mon entre-jambe au travers de ma jupe pied de poule.
Je ne savais pas combien ils étaient, mais au minimum 3 au vu des mains qui parcouraient mon corps. Jérôme me souffla à l'oreille...
- Sois obéissante, belle bourgeoise, on va t'installer aux premières loges pour que tu regardes ta copine se faire soumettre.
Je fus entraînée sur le côté de la pièce, ou un appareil de BDSM était fixé au mur. Une croix de saint André en bois en forme de X. Très connue dans le domaine SM et Bondage, elle permet d'y accrocher un soumis en X pour y pratiquer les jeux Sado Maso, avec plusieurs anneaux, afin d'y accrocher une corde, une laisse, ou des menottes, etc... Ils m'accrochèrent les mains sur le haut de la croix, laissant mes chevilles libres qui de toute façon étaient entravées par ma jupe fourreau. Comme pour mon amie, une boule de latex me bâillonna la bouche. Alors que je regardais les deux jeunes qui tournaient autour de Marielle, se débattant toujours, les 2 autres hommes s'amusaient à me palper comme un animal. Ils étaient diablement jeunes, sûrement moins de 25 ans, et alors que leurs yeux gourmands me dévoraient, leurs mains exploraient toutes les parties de mon corps. Ma tenue les excitées encore plus. Gainée dans cette jupe et ce pull, qui ne laissait aucun doute sur mes formes pulpeuses, j'étais caressée ou plutôt malaxée par ces 2 hommes en rut, pressé de défaire la bourgeoise bien mise à leur disposition offerte par son psy. Ils s'attardaient plus particulièrement sur mon opulente poitrine, libérant leur vision fantasmatique et inconsciente d'un attrait pour les gros seins. Cela pour sur leur donnait le même désir de plénitude, et de sécurité qui les renvoyaient à leur petite enfance. Ils étaient comblés par cette dimension “maternante”, et rassurante de mes gros seins, dévoilés, et aisément manipulables. Ils exprimaient en exultant leurs fantasmes œdipiens du petit garçon qui veut rivaliser avec son papa et posséder sa maman, s’amusant à titiller mes seins, les mordiller, les téter au travers de mon pull, et un peu surpris d’être soudain dans la position d’un nourrisson enfoui dans cette poitrine généreuse.
Je regardais leurs mains posaient sur ma poitrine, malaxant, soupesant, titillant, secouant mes deux grosses mamelles, alors que le reste de mon corps se déhanchait dans une danse interminable, pulsée par leur rythme de leurs caresses bestiales.
J'observais Marielle, qui subissait le même sort. Un homme s'occupait de sa poitrine alors que le second à genoux s'occupait de son entre-jambe. Elle rageait sous son bâillon. Je savais que malgré son addiction au sexe, elle détestait le rôle de soumise, alors qu'elle allait se faire prendre par ces deux jeunes affamés. Le premier avait descendu la fermeture éclair de son pantalon et glissé sa main sous sa culotte, et je pouvais observer l'effet que cela lui faisait au travers de ses yeux qui perdait le contrôle. Jérôme était assis silencieux, observant ces deux matures captives, à la merci de ces 4 jeunes. Tout d'un coup et d'un geste brusque et violent, le pantalon de Marielle fut déchiré sur son entre-jambe et sa croupe, laissant finalement libre accès à son vagin. D'un geste sec, l'homme lui arracha sa culotte alors que le second avait enfin libéré ses seins volumineux qui se balançaient au rythme des caresses bestiales. Ils lui enlevèrent les sangles de ces chevilles, et alors que le premier lui soulevait la cuisse pour la pénétrer par-devant, je devinais le second en train de lui enfoncer un doigt dans l'anus afin de mieux la dilater. Ils la prirent en sandwich. Coincée entre ses deux violeurs, elle jouissait en gémissant comme une jument en train de se faire saillir par 2 beaux étalons. La scène dura une dizaine de minutes, pendant lesquelles ils pilonnèrent mon amie, en même temps, chacun son tour, sans une parole, si ce n'est les gémissements de mon amie, qui avait sans aucun doute jouie plusieurs fois.
Pendant ce temps, je continuais à subir un palpage mammaire en règle. L'un des deux, s'attacha à ouvrir ma jupe, déboutonnant quelques boutons afin de faciliter l'accès à mes autres zones érogènes. Il découvrit mes portes jarretelles et plongea sa main au fond de ma culotte, afin de me doigter en profondeur. Je sentis ses doigts en moi, alors que la paume de sa main me malaxait la chatte. L'autre multipliait les stimuli, caressant hanches, fesses, cuisses, cheveux, avant de reprendre sa palpation mammaire. Leurs caresses rudes me rendaient folle. Je perdais le contrôle, comme à mon habitude, me sentant partir vers des points de jouissances et des orgasmes indescriptibles. Je jouissais sous les mains de mes bourreaux. Ils le sentaient, leurs dents mordillaient mes oreilles pour accen encore plus ma soumission. Je gigotais sur moi-même telle la flamme d'une bougie, tourmentait par l'air. Ils ne me prenaient pas, mes laissant dans un état de frustration et d'excitation qui poussait mon désir à sa limite, jusqu'à les supplier de me baiser, de me violer la debout, tout de suite, attachée à cette croix.
Ils jouirent enfin sur Marielle, sur son pantalon déchirée. Elle était anéantie, suspendue à cet anneau et toujours solidement maintenue par les sangles. Leur sperme se répandait sur ses cuisses laissant les traces inéluctables de son asservissement. Possédée et salie, ils la détachèrent et l'entraînèrent sur un banc de fessée. Le banc, d'une hauteur de 70 cm, permettait le soutien des jambes des mains et du corps avec des rembourrages en cuir rouge et des sangles de maintien pour l'ensemble du corps. Ils placèrent Marielle dessus, à califourchon, son ventre posé sur un coussin de repos thoracique et les jambes sur le repose-genoux, tout en attachant ses avant bras aux accoudoirs situes devant le banc. Cela laissait suffisamment d'espace pour qu'une personne puisse se tenir entre ses jambes avec un angle idéal pour la pénétration. Alors que l'un écartait le tissu de son pantalon déchiré afin de dévoiler encore plus sa croupe souillée, l'autre avait pris en main un paddle tissé à partir d’une canne, en bois naturel. Cette pagaie d'une cinquantaine de cm de long, conçue pour les fessées avait un aspect esthétiquement luxueux, mais aussi une grande durabilité. Les claques s'abattirent sur sa croupe, alors qu'elle gémissait sous son bâillon et cambrait ses fesses.
Pendant, qu'ils s'acharnaient sur la croupe de ma copine, les 2 autres me détachèrent enfin. Je pensais qu'ils allaient enfin me faire subir le même sort que mon amie. J'étais enfin debout libérée de cette croix, quand Jérôme s'approcha de moi, alors que les deux jeunes m'équipèrent d'une ceinture gode.
- Voilà ton nouveau jouet ma belle, tu vas pouvoir l'utiliser sur ta copine, et enfin te libérer de son emprise
- Ohhh Jérôme, non ne m'obligeait pas à faire cela, elle se vengera plus tard, je la connais
- Obéis moi la bourgeoise, si tu ne veux pas subir le même sort qu'elle
Ce sextoy harnais avec 2 godes interchangeables, permettait une double pénétration offrant une pénétration de l’orifice anal simultanément de l'orifice vaginal. Il était possible de déplacer les 2 godes amovibles afin d'adapter en fonction de la position du partenaire.
Ils me poussèrent vers mon amie immobilisée et adaptèrent le harnais à ma morphologie et à sa position de soumise. Elle avait les fesses offertes à mes sexes artificiels. Ils me soulevèrent pour me coucher dans la même position que Marielle, couchée au-dessus d'elle, sur son dos, en position de levrette, les pieds sur le même reposoir que ses jambes. Je bloquais les mouvements de son corps, avec mon poids en l'attrapant par la taille pour la tenir fermement. Son buste en avant, ses seins collés au coussin en appui sur les avant-bras, elle était dans cette attitude soumise, comme en prière. Alors que j'étais couchée sur elle, mes deux amants avaient pris les godes en main pour guider les pénis à l'intérieur de son vagin et de son anus. La première verge, exceptionnellement volumineuse, emplit son vagin, lui arrachant un gémissement. La seconde plus fine, se plaça dans son anus. La pagaie s'abattit sur ma jupe et ma croupe afin de me motiver pour pratiquer quelques pénétrations superficielles, avant d'en faire une plus profonde. L'alternance des types de pénétrations et leur rythme amplifiaient le plaisir de Marielle qui maintenue énergiquement ne pouvait bouger, exprimait sa volupté que par ses cris. Sa jouissance était parfois à la limite du supportable, tellement la stimulation était efficace dans cette posture. Après tant d'années et de mois à subir l'autorité dominatrice de mon amie, je tenais enfin ma vengeance, et la défonçais des deux cotés, alors qu'elle me menaçait de représailles. Je n'écoutais pas, prenant un vrai plaisir à soumettre ma copine.
- Bouge-moi ton gros cul, salope, ca fait longtemps que je rêvais de pouvoir te défoncer comme ça sale pute. Dis-moi que tu aimes ca que ta pouliche te défonce la chatte et le cul... Vas dis le moi morue !!!!
- Hummmmm,..... Saalooopeeeee, u vas me la payer....
Alors que je continuais à pilonner mon amie, tirant ses cheveux comme on chevauche une jument, je sentis une présence derrière moi. C'était l'un de mes deux amants, qui surélevés sur un tabouret s'approchait de ma croupe toujours protégeait par ma jupe. Sans aucune considération, il écarta ma jupe, arrachant les deux boutons qui volèrent à travers la pièce avec un bruit de tissu déchiré pour enfin offrir un accès libre à mes fesses. Sans préliminaires aucun, et après avoir écarté ma culotte, il plongea son gros dard dans ma chatte, tout en me tenant par les hanches. Nous étions tous les trois en file indienne, mon amie et moi labourées et défoncées comme des bonnes génisses bien laiteuses, par un jeune qui aurait pu être notre fils. L'autre était à mes côtés me palpant la croupe de ses mains fermes. Je pouvais sentir également son doigt jouait autour de mon anus, titillant l'orifice, alors que mon autre violeur, continuant à me chevaucher, me claquait le cul, afin que je continue à défoncer ma copine. Les coups de ses hanches se répercutaient sur moi qui dans un mouvement équivalent répercutais les va-et-vient sur mon amie. Il me pilonnait alors que je pilonnais Marielle. Je répercutais les claques reçu sur ma croupe sur celle de Marielle qui étouffait de gémissements sous son bâillon traversée par des orgasmes répétitifs. Il baisait mon amie au travers de mon corps, comme si son sexe nous avait traversées toutes les deux. L'homme au-dessus de moi sorti son membre de ma chatte et me sodomisa, usant de la dilation de mon anus pour me fourrer comme une oie. Il m'enculait, alors que le second c'était placé devant nous pour m'enfoncer son sexe dans ma bouche. Il força l'entrée de ma bouche et me baisa les lèvres tout en me tenant le visage de ses deux mains, l'une sur le menton l'autre par les cheveux. Il se laissa sucer pendant quelques minutes, alors que je continuais à me faire casser le cul par son copain.
Jérôme s'était rapproché de nous et enleva le bâillon de la bouche de Marielle. Il se saisit du sexe de mon violeur à pleine main et le changea de bouche. Il continuait à tenir le sexe de cet homme alors que Marielle le prit en bouche. Nous étions touts les deux aussi surprise l'une que l'autre. Cet homme était finalement attiré par les autres hommes. Il prenait du plaisir à tenir cette bite dans la main. Quant à Marielle, elle était totalement anéantie par mes coups de reins, et ne résista pas à cette pipe e... Je l'avais attrapée par les cheveux et accentuais la fellation. Elle avalait littéralement le sexe du jeune devant elle, qui n'en pouvait plus. Je sentais aussi l'autre derrière moi au bord de la rupture, alors que Jérôme debout a coté de nous avait aussi sorti son sexe et se masturbait en nous regardant... Sa main gauche prit le sexe du jeune pour le sortir de la bouche de Marielle, et le masturba en même temps qu'il se branlait lui-même. Il avait une queue dans chaque main, qu'il serrait fort, quand de concert, ils giclèrent tous les deux en même temps sur nos visages de bourgeoises défaites et humiliées. L'autre se déchargea aussi sec sur ma jupe déchirée, alors que j'avais toujours les godes au fond de Marielle. Ils jouirent et se nettoyèrent dans les cheveux de mon amie afin de l'humilier écorne plus. Elle se laissait faire attendant d'être enfin libérée. Une fois libre, elle me prit par le bras...
- Tu m'as peut-être fait jouir comme une folle, mais tu vas payer cet après-midi cash ma pouliche. Toi et ton bisexuel de psy, je vous le promets...

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