Lilith - Partie Ii

J’ai ouvert un œil, puis un deuxième, tout en me demandant où j’étais pendant quelques instants avant que la mémoire ne me revienne. J’étais manifestement resté sous l’emprise de Lilith. Je me sentais frais et dispo, on m’avait habillé d’un grand manteau noir et probablement lavé car je percevais l’odeur poivrée de mon parfum. Je me suis assis sur le lit au moment où elle est entrée dans la pièce. Décidément c’était vraiment une fille sublime, elle avait tiré ses cheveux en arrière, et portait une magnifique robe de soirée bleue sombre, très échancrée et ouverte du talon jusqu’aux hanches, ce qui dévoilait par instants ses jambes et surtout l’absence de tout dessous. Un large collier indien en argent autour du cou, un plus petit à la cheville, elle s’avança sur de hauts talons, manifestement contente du plaisir qu’elle lisait dans mon regard.

-« Tu es prêt, on sort ».

Au pied de l’immeuble, un taxi nous attendait. Je ne savais pas depuis combien de temps mon aventure avait commencé, mais à vraie dire cela ne me semblait pas vraiment important. De toute façon, il me faudrait attendre le bon vouloir de Lilith pour retrouver ma petite vie de père tranquille. Il faisait toujours nuit et l’air était frais et humide. Une fois installé à l’arrière, le taxi démarra sans qu’aucun mot ne fut prononcé. Lilith prit un foulard dans son sac et le noua autour de ma tête me privant de la vue et d’une partie de mon audition. J’étais un peu angoissé bien que très excité par la tournure que prenaient les événements. Après avoir roulé durant un bon quart d’heure, le taxi s’immobilisa et Lilith me prit par la main pour me faire descendre. Quelques pas et quelques marches plus loin, une porte s’ouvrit. Elle continua à me guider, toujours sans parler, dans ce qui semblait être une vaste demeure. J’entendais ses pas résonner sur un dallage plutôt inégale, et après avoir franchi plusieurs portes elle s’arrêta et retira le bandeau qui m’avez empêché de voir ou nous nous rendions.

Il s’agissait sûrement des écuries magnifiquement restaurées d’une vieille maison du centre-ville. Face à moi, une immense cheminée chauffait agréablement la pièce aux superbes voûtes qui ne contenait qu’une vielle table massive en bois sombre, un vaste canapé placé face à la cheminée et quelques chaises. La décoration se résumait à une tapisserie représentant une scène champêtre et un immense tapis placé entre le canapé et la cheminée.

-« Déshabilles-toi et assis toi sur une chaise devant le canapé, nos hôtes ne vont pas tarder ».

Pendant que j’exécutais ses ordres, elle alla s’asseoir dans le canapé et alluma une cigarette. Celle-ci n’était qu’à moitié consumée quand une porte placée sur ma gauche s’ouvrit pour laisser entrer un couple très élégant. Robe de soirée pour la femme et smoking pour l’homme. La femme était plutôt grande, blonde avec de jolies anglaises et de beaux yeux couleur miel-sombre, une poitrine opulente et des hanches un peu larges. Elle devait avoir trente-cinq, quarante ans. L’homme qui l’accompagnait été plus âgé, peut-être cinquante ans, brun, musclé, il avait le visage carré et le regard conquérant. Ils se sont dirigés vers Lilith qui venait de se lever pour les accueillir. Après s’être embrassé, ils se sont tournés vers moi.

-« Lèves toi » a ordonné Lilith. S’il vous convient, il est à vous. Il fera tout ce que vous lui demanderez »

Elle est retournée s’asseoir, me laissant face à ce couple dont je ne savais rien et qui, je dois le reconnaître, m’intimidait un peu. La femme s’est approchée pour mieux m’observer, et le sourire narquois elle a promené ses doigts sur mon torse puis mon dos tout en tournant autour de moi.

-« Il sera parfait, encore merci pour ce cadeau. Tu peux te rasseoir »

L’homme avait rejoint sa compagne. Il l’embrassa tendrement dans le coup tout en faisant glisser les fines bretelles de sa robe qui tomba à ses pieds. Elle avait effectivement les hanches un peu larges, des jambes longues et bien proportionnées, une toison assez fournie un peu plus sombre que ses cheveux, et des seins lourds en forme de poires.
Elle s’est tournée pour aider son compagnon à se déshabiller ce qui m’a permis d’observer tout à loisir ses fesses, elles aussi un peu lourdes et tombantes. Quand elle a eu fini, elle est venu s’asseoir sur mes genoux pendant qu’il passait derrières moi. Je sentais l’odeur de son parfum très léger, mêlée à celle de son corps. Elle a plaqué sa bouche sur la mienne et j’ai senti sa langue s’enrouler autour de la mienne. Je bandais déjà depuis un moment et tandis qu’elle m’embrassait, je sentais les poils de son pubis frotter contre mon sexe. Elle a reculé sa tête et j’ai aperçu du coin de l’œil le sexe de son ami à quelques centimètres de ma joue. Il avait une bite assez impressionnante, bien proportionnée et qui luisait à la lumière du feu. Elle s’est penchée pour venir y poser ses lèvres, avant d’y promener délicatement sa langue. Mon sexe me faisait mal tellement il était gonflé et quand elle commença de lents mouvements de va-et-vient, aspirant et suçotant le gland devenu luisant de salive, son ventre appuyait par intermittente sur mon sexe rendant ma bandaison encore plus douloureuse. Elle a continué un petit moment, jusqu’à ce que je sente sa mouille couler sur ma cuisse puis elle s’est levée.

-« Allonge toi à mes pieds, tu va me montrer ce que tu sais faire avec ta langue. Je veux que tu commence par sucer lentement mes lèvres et mon clito, après c’est dans ma chatte et mon cul que je veux la sentir, compris »

Elle a placé ses pieds de part et d’autre de ma tête, avant de s’agnenouiller au-dessus de mon visage. J’ai eu le temps de voir son partenaire s’approcher pour qu’elle continue ses caresses buccales. Ses lèvres s’étaient écartées et luisaient de la mouille qui s’en écoulait. Elle sentait un peu fort ce qui m’excitait encore plus. J’ai commencé à suçoter ses lèvres, écartant ses poils de ma langue avant de me concentrer sur son clito. Elle a gémi et j’ai accentué mes caresses, frottant le bout de mon nez sur son sexe et son anus suivant que je léchais son clito ou que j’enfonçais ma langue entre ses lèvres.
Quand elle a abaissé ses hanches, j’ai compris ce qu’elle voulait et j’ai promené ma langue sur son petit trou avant d’y enfoncer lentement ma langue, puis de replonger dans son sexe. Au bout d’un moment, elle s’est penchée pour prendre d’un coup ma bite dans sa bouche. Sa bouche avait la chaleur de l’enfer et j’ai dû faire un effort énorme pour ne pas éjaculer sur le coup. Elle me caressait doucement les couilles en même temps, puis j’ai senti ses ongles sur mon anus dans lequel elle a enfoncé violent deux doigts qu’elle avait dû lubrifier de sa salive. L’homme nous regardait prenant plaisir à nous voir ainsi exposés, puis après quelques instants il est venu s’agenouiller derrière sa compagne. Il a repoussé ma figure luisante de mouille avant d’introduire lentement son sexe dans la chatte ouverte de la femme. Pendant que je continuais tant bien que mal à lécher son clito, il la baisait de plus en plus violemment, de plus en plus vite. Je voyais ses couilles se balancer au dessus de mes yeux pendant qu’il la prenait avec application. Régulièrement ma langue glissait sur son sexe avant de revenir s’enrouler autour du clito de plus en plus gonflé de la femme. Il devait être aussi excité que moi car après quelques minutes il a joui en gémissant. Quand il s’est retiré, j’ai entrevu la chatte béante de la femme, humide de mouille et de foutre mélangé, ce qui ne m’a pas empêché de continuer à la lécher, avalant le sperme qui s’en écoulait lentement. N’y tenant plus, j’ai joui à mon tour dans la bouche de la femme qui savait s’y prendre, car au lieu de tout avaler, elle a continué à me sucer lentement, sa bouche étant devenue chaude comme l’enfer. Après m’avoir embrassé à pleine bouche, elle m’a ordonné de m’asseoir et d’attendre leur bon vouloir. Durant nos ébats, Lilith avait ouvert une bouteille de champagne et ils ont bu une coupe en commentant nos précédents ébats.

La femme est ensuite allée s’asseoir sur le bord du canapé en nous faisant signe d’approcher.


-« hum, pour une fois que j’ai deux belles bites rien que pour moi je compte bien en profiter. Je veux vous voir vous branler devant moi, regardez ma chatte, je veux lire le désir dans vos yeux »

On a donc commencé à se caresser pendant qu’elle se tripotait du bout des doigts. La scène n’a duré que le temps que nos bites recommencent à se tendre. Délicatement, elle a glissé ses mains entre nos cuisses, caressant nos couilles puis un sexe dans chaque main, elle a entrepris de leur redonner plus de vigueur par de petits coups de langue. C’est bientôt deux bites bien fermes qui se dressaient devant son visage et qu’elle suçait goulûment passant de l’une à l’autre ou collant les deux glands pour les lécher en même temps.

-« Maintenant assis toi ».

Je me suis donc assis, un peu dépité et encombré par ma bandaison, mais je ne pouvais faire autrement que d’obéir. Son homme s’est allongé sur le tapis. Elle s’est accroupie très lentement, s’empalant sur son sexe dressé tout en posant ses mains sur sa poitrine. Totalement immobile, il lui a laissé l’initiative du rythme qui était plutôt langoureux. Je suis certain qu’ils étaient excités à l’idée qu’on les regarde baiser à quelques mètres de nous. Fréquemment, elle tournait sa tête vers moi, lisant le désir de participer dans mes yeux, ce qui avait l’air de beaucoup lui plaire.

-« Viens me prendre, je veux vous sentir tout les deux en moi. Contente toi de me pénétrer, c’est moi qui donne le rythme »

À genoux entre les jambes de son mec, j’ai placé mon sexe sur son petit trou tout luisant puis j’ai lentement poussé pour la posséder comme je l’avais moi-même été ce qui me semblait être quelques heures avant, mais en fait, je n’en savais rien. Je savais ce qu’elle ressentait, quelles sensations étaient les siennes pendant que je m’introduisais en elle. Elle a commencé à bouger, lentement, maîtrisant les mouvements de son bassin pour bien sentir coulisser nos sexes tout en les gardant en elle. Elle gémissait tout doucement, ce que je me retenais de faire, concentré que j’étais sur son plaisir. Je sentais l’autre sexe qui la pénétrait, caresser ma bite et je devais vraiment faire des efforts pour résister et ne pas éjaculer dans son cul. Je sentais la chaleur du feu, l’odeur de sa transpiration, c’était si bon. Ces gémissements se sont faits plus fort, plus pressant, puis elle a crié en se contractant sous l’effet de la jouissance. Après un moment elle m’a repoussé puis elle s’est levée pour aller se servir un verre. Lilith était toujours là, un sourire aux lèvres, sirotant son champagne, manifestement satisfaite du spectacle.

-« Il reste encore une position que j’aimerais essayer avant que l’on se quitte. Mon mari va s’asseoir sur le canapé et tu te placeras à genoux entre ses jambes »

Nous nous sommes donc exécutés. Elle est venue enfourcher son homme, face à moi, et guidant son sexe d’une main, elle l’a placé sur son petit trou avant de lentement se laisser descendre.

-« Lèche nous ! Je veux sentir ta langue pendant que je me fais enculer»

Tandis qu’elle allait et venait lentement, je voyais cette bite distendre son anus, les lèvres de sa chatte s’écartant légèrement pour dévoiler le rose nacré de son vagin. Je me suis approché et j’ai commencé à suçoter son clito tout gonflé de désir. Mes mains sur ses cuisses, je poussais ma langue en elle, aspirant ses lèvres, léchant le pont de chair entre vagin et anus. Parfois ma langue glissait le long de la bite qui la pénétrait, arrachant des gémissements de plaisir à son ami, pour revenir fouiller sa chatte qui ruisselait littéralement de mouille. J’étais heureux de leur donner tant de plaisir, commençant même à prendre goût à cet état d’homme objet qui me permettait d’assouvir les fantasmes que j’avais enfouis au plus profond de moi. Bien qu’elle ait déjà joui deux fois, il n’a pas fallu très longtemps avant qu’elle ne soit à nouveau parcourue des frissons annonciateurs d’un nouvel orgasme. Je voyais son ventre se contracter alors que je me concentrais sur son bouton de chair, le léchant, l’aspirant, tandis que mes doigts glissaient dans sa chatte. Elle a plaqué ma tête sur son sexe en criant, alors qu’elle jouissait à nouveau. Je me suis reculé, lui laissant reprendre ses esprits, la figure barbouillée mais le sourire aux lèvres. Elle s’est laissée tomber à côté de son ami qui me regardait, le sexe toujours dressé face à moi.

-« À mon tour de jouir. Caresse moi et fais ça bien ».

J’ai pris son sexe humide dans ma main, caressant ses testicules de l’autre, et j’ai commencé à le branler assez vite, serrant de temps en temps un peu plus fort. Cela devait l’exciter de se faire caresser par un mec devant deux filles car je sentais sa bite devenir de plus en plus dur jusqu’à ce qu’il explose. Son sperme s’est écoulé sur mes mains en longs jets chauds et odorants alors que je continuais à faire coulisser lentement son prépuce entre mes doigts.

Lilith est venue placer mon manteau sur mes épaules tandis que nos hôtes restaient enlacés sur le canapé. Elle les a salués puis nous sommes sorti après qu’elle eut replacé le bandeau sur mes yeux. Comme à l’aller, une voiture nous attendait pour nous raccompagner chez Lilith, du moins étais ce que je pensais.

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