Lili, Permière Partie

Je croyais qu’elle ne viendrai jamais. Lili est sexy, c’est même elle qui m’a fait des avances poussées.
- J’ai envie de te connaitre mieux
- Nous nous connaissons depuis des années.
- C’est pas ce que je veux dire, je n’ai jamais vu ta zigounette.
- Elle n’a rien d’extraordinaire, tu sais.
- N’empêche que j’aimerai la voir et que tu me la mette.
Nous ne pouvions pas décemment être dans la position du baiseur et de la baisée là où nous étions, en pleine rue. C’est donc elle qui m’a donné rendez vous pour ce que vous devinez. Je la savais portée sur la baise, d’après ce que disaient mes copains, mais pas à ce point: venir me provoquer !!!
Je l’attends en faisant les cents pas dans la rue. Je vois Lili venir vers moi, toutes rayonnante et pimpante. C’est vrai qu’elle est bien fichue et sexy. Je me demande comment j’ai pu ignorer cette nana. Nous nous connaissons depuis tellement longtemps………
Elle est entre mes bras, ses lèvres sur le miennes. Enfin elle parle:
- Tu sais j’ai bien réfléchi, je veux la voir et que tu me la mette, et en plus j’aimerait te sucer et aller plus loin encore.
- Tout ça à la fois ?
- Nous pouvons passer plusieurs nuits ensemble.
- Tu sais que tu commence à me faire bander.
- Rien que pour ça ? Mauviette.
- Si tu veux, n’empêche que te m’a donné envie de te baiser.
- Dans ce cas je suis d’accord avec toi. Allons baiser, j’ai le feu au cul.
C’est bien la première fille qui avoue qu’elle a une envie irrésistible de baiser.
- Nous allons chez moi, je préfère y baiser: j’ai tout mon matériel.
Son chez elle est un petit studio, garni d’image érotique de couple mixte ou lesbien.
- Tu aime les filles ?
- Moi, j’aime tout en amour, les garçons et les filles, mais jamais ensemble.
- Tu me parlais de ton matériel, qu’est-ce que c’est ?
- Pas grand-chose, regardes:
Elle ouvre un tiroir pleine d’objets destinés aux femmes: divers godes, un plug, des boules de geisha et autre bricoles destinées toutes à booster le plaisir féminin.


Lili tient à ce que je lui montre ma queue avant toute chose: je ne suis pas pudique, mais montrer à froid sa bite à une fille est pour moi bizarre. Elle insiste j’ouvre ma braguette et sort ma bite de son nid. Je suis au repos: elle regarde mon engin comme une curiosité:
- Elle me plait bien, elle me plaira encore plus quand tu me la mettra.
- Tu la veux où ?
- J’ai combien d’orifices pour que tu y rentre ?
- Ben trois, non ?
- Tu oublie que j’ai des mains et des seins, ça fait trois endroits de plus.
Elle arrive à me faire commencer à bander. Quand elle s’en aperçoit, elle vient m’embrasser. Cette fois le baiser est plus long; nos langues y participent largement. Je trouve le passage par son t-shirt pour aller vers sa poitrine que je trouve de suite: elle ne porte pas de sousting. Je caresse les deux mamelles en les prenant par-dessous. Elle se retire un peu pour que je puisse bien la peloter. Son vêtement me gêne, je l’enlève. J’ai sous mes yeux une paire de seins qui sont parfaits. Ils ont durcis: je m’attaque aux tétons. Je les lèches avant de les sucer. Elle m’étonne de rester en attente: j’ai ma bite dehors, elle ne cherche même pas à la prendre. Je me colle à elle, cette fois ma bite est contre son ventre. Enfin Lili remue un peu pour m’exciter encore plus.
Je la déshabille totalement. Je peux voir son corps sexy. Elle me fait bander encore plus. Cette fois Lili prend ma bite, la masturbe un peu avant de me déshabiller à son tour. Nous jouons d’abord juste un instant à touche pipi debout. Elle me fait coucher directement pour prendre la queue dans sa bouche. Sa langue lèche le méat pour déguster la goute pré séminale. Ensuite elle englouti le gland jusqu’au bourrelet. Ce n’est que sa langue qui travaille. Elle me fait entrer totalement dans sa bouche qu’un court instant: elle ne veux pas que je jouisse encore.
Elle vient sur moi, couchée contre mon corps, avec ma bite entre nous deux. Elle me branle avec le ventre.
C’est agréable sans plus. Elle se couche à mes cotés: nous nous embrassons encore. Enfin elle me demande ce que j’attends depuis un moment:
- Mets moi la.
- Où, devant, derrière dans ta bouche ?
- D’abord par devant. Fais gaffe, fais moi bien jouir.
Je monte sur elle, je sens la grosseur de ses seins, l’embrasse pour la baiser, pose ma bite sur l’entrée de sa cachette et j’entre très lentement. Je vais tout au fond, là bas, au fond de son con. J’y reste un instant avant de tout ressortir. J’entre à nouveau plus fort: elle en gémit. Je la lime longtemps quand je sens qu’elle commence à se crisper. Je sors d’elle avant sa jouissance. J’entre à nouveau dans un orifice extrêmement mouillé. C’est facile de la baiser. Elle passe les jambes sur ma taille pour que je ne la quitte pas encore. Je vais de plus en plus vite quand elle éclate en un
- Que c’est bon, tu me fais jouir, ouiiiiiiiii, encore, je jouiiiiiiiiiiiiiis
Heureusement que je n’ai pas jouis.
- Tu veux que je te la mette au cul ?
- Oui, fait moi partir encore.
- Tu veux te branler pendant que tu l’a dans le cul.
- Bien sur c’est bien meilleur.
- Mets toi en position.
Elle se met en levrette, ouvre ses fesses avec ses mains, me montre son petit trou en se mouillant l’anus. Je vois qu’elle a posé sa main sur le clitoris: elle commence sa masturbation parallèlement à la sodomie. Toutes les filles qui faisant ainsi quand je les enculais jouissait d’avantage.
Je la laisse se débrouiller seule un instant: je pose ma pine sur son cul et d’un seul coup j’entre. Elle pousse un cri de surprise et de douleur. Elle cesse très vite quand le plaisir de la sodomie arrive. Elle est aussi active que moi. Je sens ses jouissances quand son cul se ferme sur ma queue: j’adore cette sensation qui à la seconde me fait jouir aussi.
Quand je sors d’elle ma bite est basse. Lili se tourne la prend dans sa bouche arrive à ma faire bander vaille que vaille, en tout cas suffisamment pour qu’elle me suce convenablement.
Sa fellation est parfaite, cette fois elle m’avale en entier, je sens sa glotte au bout du gland. Elle mordille le fut pour m’exciter encore jusqu’au moment où l’excitation fait place à l’orgasme. Je jette toute ma semence dans sa bouche.
Elle ne me lâche que quand ma bite est nickel. Je me sens vidé cité couilles. Elle n’en peut plus elle aussi. Nous nous embrassons et nous nous donnons rendez vous pour le lendemain chez elle pour finir le pari fou qu’elle a fait: je dois jouir entre ses deux mains et elle doit me faire une branlette espagnole.

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