Jo, L'Homme À Tout Faire.

Je vous parle d’un temps….ancien…… au siècle dernier…au millénaire dernier même….. en fait à la fin des années quatre-vingt. A cette époque, je me rapprochais de la quarantaine et, changeant de ville, je devais retrouver du travail. Infirmière, je pensais avoir l’embarras du choix mais j’avais dû me rabattre sur un poste dans une maison de retraite en attendant des jours meilleurs.
A ceux qui fantasment sur les infirmières, qu’ils viennent donc travailler en maison de retraite. Des patientes et des patients usés par la vie, rien de bien sexy. Parfois l’un des hommes présentant un début d’érection pendant la toilette, mais transpirant la honte de ne pouvoir se maitriser. Bref, heureusement que l’équipe était sympathique pour faire paraitre moins longues les journées de travail.
J’avais commencé le premier septembre et le premier mois avait été une période de découverte. Le matin nous étions deux infirmières et quatre aides-soignantes, l’après-midi l’effectif était divisé par deux, la nuit une infirmière et une aide-soignante. Au total, pour pouvoir tourner, nous étions huit infirmières et quatorze aides-soignantes. Un cuisinier, une aide et un jardinier complétait l’effectif sous la responsabilité d’une directrice et de son adjointe. Je m’étais rapidement intégrée dans l’effectif. Petit à petit, au hasard des conversations et des pauses café, je m’étais faite une idée de mes collègues. J’avais ainsi sympathisé avec Muriel et Solange, deux aides-soignantes avec qui, hasard des roulements, je travaillais souvent.
Début novembre, je surpris une conversation où il était question de Jo, le jardinier et où j’entendis qu’il était vraiment l’homme à tout faire. Le sourire convenu de Muriel et Solange me poussa à les interroger. « Ah tu verras. Il a l’air d’un benêt et effectivement il ne brille pas par son intelligence mais question de jardinage il a un…. plantoir intéressant. Mais on te laissera découvrir si le cœur t’en dit.

On est nombreuses ici à pouvoir en témoigner. Et à ma connaissance aucune ne s’est plainte. » J’essayai des questionner mais elles éludèrent la question en riant.
Mon travail occupait mes journées et à vrai dire, j’avais chassé Jo de mes pensées. Un après-midi je constatais qu’il manquait du thé. Je savais qu’il existait une réserve au rez-de-chaussée derrière la cuisine. Je m’y rendis. La porte n’était pas fermée à clé et la lumière était allumée. J’entendis des halètements. Instinctivement, je me plaquais contre le mur. J’avançais doucement. Derrière une étagère était aménagé un recoin recouvert d’un matelas. Sur ce matelas, j’aperçus des fesses masculines s’agitant en cadence et des pieds féminins chaussés de bottines vertes. Il n’y avait pas à se tromper, j’avais reconnu les bottines de Nathalie, la directrice. C’est elle qui haletait sous les coups de boutoir de l’homme dont je ne distinguais que le fessier et une tignasse blonde. Je reconnus Jo, le jardinier. Je compris mieux le sobriquet « homme à tout faire ». Et dans ce domaine, il le faisait plutôt bien. Je restais à les regarder, hypnotisée. Du reste, battre en retraite aurait risqué de trahir ma présence. C’était miraculeux qu’ils ne m’aient pas entendu entrer mais ils étaient très occupés. Jo donnait de vigoureux coups de reins. Visiblement Nathalie appréciait le traitement. Le spectacle m’émoustillait. C’était la première fois que j’assistais à une scène réelle. Jo se retira et fit signe à Nathalie de se retourner. Je les vis brièvement de profil. Nathalie un peu ronde, les seins haut situés, vêtue de bas gris. Jo, sa verge dressée décalottée, dévoilant un gland massif. Nathalie se mit à quatre pattes. Jo la prit en levrette, la faisant gémir de plus belle. Je sentais ma vulve s’imbiber de cyprine. Je m’imaginais à la place de Nathalie, bien prise par ce pieu tendu de belle taille. Visiblement, tout doucement, l’issue approchait. Je profitai de ce moment pour m’éclipser discrètement.
Je retrouvais Solange dans le service.
Je lui racontais ce que j’avais découvert. « Ah, et bien maintenant tu es au courant. Jo c’est un peu notre sextoy. Et Nathalie n’est pas la dernière à l’utiliser. L’avantage de Jo c’est qu’il est d’une discrétion absolue, il ne raconte rien à personne. Et puis de toi à moi, si tu veux passer un bon moment, tu aurais tort de ne pas en profiter. Par contre, certains jours il faudra que tu prennes ton ticket parce qu’il y a de la demande ! ».
Ce que j’avais surpris m’émoustillait. Quand je croisais Nathalie dans les couloirs, je ne pouvais m’empêcher de repenser à ce que j’avais vu. Quant à Jo, je ne le voyais quasiment jamais.
Un jour, Solange me dit d’un air entendu « Demain Jo vient réparer la prise de courant du bureau de la salle de soins. Je sais que tu ne bosses pas. Mais si ça te dit, tu peux être là. Il doit passer en milieu d’après-midi. Mais je te préviens, si tu passes ton tour, moi je prends. Par contre, curieusement dans l’approche il est timide, jamais il n’entreprendra quelque chose, c’est à toi de prendre les choses en main. Ah, et puis il y a un code. Si tu ne veux pas être dérangée tu fermes la porte à clé. Su tu acceptes de la visite tu laisses ouvert. » Je lui demandais ce qu’elle entendait par là. « Visite. C’est-à-dire des voyeurs ou d’autres participants. Hommes ou femmes. Comme tu le sens. »
Le lendemain bien entendu, poussée par la curiosité j’arrivais à quinze heures. Je croisais Solange qui discutait avec Nathalie. Solange me fit un clin d’œil complice. « Et bien Laurence, vous ne travaillez pas aujourd’hui. On vous manque tant que ça ? » me demanda Nathalie. Solange répondit pour moi « Non, mais elle avait des choses à voir et elle s’est proposée pour commencer l’inventaire de la réserve. » Nathalie me regarda et m’adressa un sourire complice. Je sentis mes joues s’empourprer.
Solange m’avait montré l’endroit où Jo devait intervenir. Je pris place à proximité. Pour la circonstance j’avais mis une jupe assez courte et des bas noirs assortis à un tanga.
Un pull en mohair rose complétait l’ensemble. Je fis semblant de m’occuper en attendant, repassant en revue les protocoles. Un peu après quinze heures trente Jo arriva. Agé d’environ vingt-cinq ans, une tignasse blonde, il semblait effacé. Il était vêtu d’un pantalon et d’un pull. « Pardon m’dame. Mais faut que je bricole la prise qui est sous le bureau. Elle ne marche plus. Il faudrait que vous vous mettiez ailleurs ». Je le regardais en souriant « D’abord, moi c’est Laurence. Et puis tu as la place pour travailler, je vais juste me pousser un tout petit peu. Il s’accroupit et se glissa sous le plan de travail. Je croisai haut mes jambes. Il bricola ainsi la prise pendant une dizaine de minutes. Discrètement, je glissais un coup d’œil sous le plan de travail. Visiblement le spectacle de mes cuisses laissant apparaitre le bandeau du bas l’intéressait d’avantage que la résolution de la panne. J’en profitai pour décroiser les cuisses, desserrant les genoux et pivotant sur la chaise. Il était ainsi dans l’axe et pouvait à loisir se rincer l’œil. J’avais négligemment fait tomber une chaussure. A tâtons je déplaçais mon pied jusqu’à ce qu’il butte contre Jo. D’un léger mouvement je le frottais contre lui sans savoir quelle partie du corps j’excitais. Je reculais ma chaise. « Alors cette panne ? C’est réparé ? « « Oui m’dame, c’est fini » me répondit-il. Je compris qu’il avait fait durer le plaisir pour regarder mes jambes. « Jo, j’ai besoin de toi pour sortir un carton dans les archives de la réserve. Peux-tu m’aider ? » Il rougit et s’extirpa de sous le plan de travail. Je regardais son entrejambe. Visiblement mes caresses avaient fait effet, une belle bosse déformait le devant du pantalon. « Suis-moi » lui ordonnai-je. J’avais fait exprès de marcher devant lui afin qu’il puisse me détailler tout à loisir. Nous arrivâmes à la réserve. « Ah mince. Je n’ai pas la clé « dis-je. « Pas grave, j’ai mon passe ». Il ouvrit la porte et s’effaça pour me laisser entrer.
« Ferme à clé s’il te plait » demandai-je. Je m’adossai au mur et lui pris la main, l’attirant contre moi. « J’ai découvert l’existence de cette réserve récemment. Et on m’a dit qu’elle méritait d’être visitée et que tu étais un très bon guide. Je te plais ? » En guise de réponse il me plaqua contre lui et m’embrassa sur la bouche. Je sentais contre mon ventre une bosse bien dure. Il souleva ma jupe et sans perdre un instant tira sur mon tanga qui tomba en corolle autour de mes chevilles. Ses mains prirent possession de mes fesses et de mon sexe. J’eus bientôt deux doigts dans ma chatte trempée qui me pénétraient comme un petit sexe. Je défis sa ceinture et déboutonnai son pantalon. Je pris en main sa queue et entrepris de la branler, décalottant un gland prometteur. Elle grossit et durcit encore. Nous étions debout, nous masturbant mutuellement. Je sentis le plaisir arriver brutalement. Je jouis dans un cri étranglé. En le regardant je fis passer mon pull par-dessus ma tête et de débarrassais de mon soutien-gorge et de ma jupe. Je gardai uniquement mes bas. Je me dirigeai vers le matelas et m’allongeai dessus, cuisses largement écartées dans une pose impudique sans équivoque. « Déshabille-toi. Mets-toi nu. Viens. » . Il s’allongea sur moi et me pénétra d’un coup. Je nouais mes jambes dans son dos, passais mes mains autour de son cou et couvrit son visage de baisers. « Vas-y. Baise moi. Fais-moi encore jouir. Et tout à l’heure tu me prendras en levrette. Vas-y. « Si Jo paraissait timide au départ, en revanche dans le domaine de l’amour il n’avait pas besoin de cours. A aucun moment je n’eus le contrôle de cette joute. Il me pilonnait, variant le rythme et la profondeur. Il baisait ma bouche, jouant avec ma langue. Puis je sentais ses mains sur mes seins ou sur mes épaules. Je perdais la notion du temps. Il se retira et me retourna. Je me plaçai à quatre pattes, creusant les reins. Il présenta son gland et m’investit d’une longue poussée puissante. Son ventre claquait contre mes fesses. Le temps semblait s’arrêter. Le plaisir m’emportait. Je jouis à nouveau longuement. Cela ne l’arrêta pas, il continua à me perforer avec sa queue dure qui me remplissait toute. Il avait trouvé son rythme. Passant ses mains sous mon buste il caressait mes seins, étirant les pointes. Il continua ainsi un bon moment. Il me fit jouir une nouvelle fois. Un orgasme plus long et moins expressif. Puis il s’allongea sur le dos et m’intima l’ordre de m’empaler sur lui. Je lui faisais face. Il me tenait les chevilles... « Alors, ça te plait que je te baise ? A la maison de retraite je suis tout en bas de l’échelle. Mais vous avez toutes besoin de moi et de ma queue. Tu es nouvelle ici. Si tu as encore envie tu sais où me trouver. Je serai toujours là pour te fourrer. Maintenant remets toi comme au début. Debout contre le mur. Près de la porte. J’ouvre le verrou. Comme ça, ça veut dire qu’on peut entrer et regarder. Et participer. Tes copines adorent. Et puis il y a quelques pensionnaires qui savent. Maintenant demande moi ce que tu veux. Et dis-moi que tu as envie que je te baise. »
Debout contre le mur, je le vis déverrouiller et entrouvrir la porte. Il s’approcha de moi, la queue raide, le gland violacé de m’avoir baisée. Il plia les genoux et présenta son gland à l’entrée de ma chatte, me regardant dans les yeux. Je constatais que j’étais encore excitée et que je voulais encore. Sans doute l’attrait de la nouveauté. « Viens. Baise-moi. Prends-moi. Oh oui comme ça…je la sens bien…. Défonce-moi. ..j’aime…c’est bon ce que tu me fais… vas bien au fond…. elle est bonne ta bite…. oh oui j’ai envie de recommencer avec toi…. c’est tellement bon….. je serai à toi…. je te sens bien…. oh oui lèche mes seins… oh ça vient….ça monte…. baise-moi bien … encore…. Je vais jouir… on va m’entendre…c’est pas grave…. Ils entendront comme tu t’occupes bien de moi. Vas Jo, mon Jo …. ahhhhh…. Oh oui ta queue, c’est une bombe…oh vas-y…vas-y, plus fort, oh tu m’excites, c’est trop bon… ça vient…encore…encore… » Jo donnait maintenant des coups de reins désordonnés. Pour lui aussi l’issue était proche. Je jouis dans un grand cri rauque tandis qu’il me labourait comme un sauvage. Je sentis soudain un liquide chaud gicler dans mon sexe et il se figea en moi. Jo se rhabilla et sortit. Je déposais au passage un baiser sur ses lèvres. « Merci mon beau Jo. A très bientôt ». Je regardais ma montre. Nous avions baisé sans arrêt pendant plus d’une heure. A mon tour je me rhabillais le sexe meurtri et le cœur battant la chamade.
Je rencontrai Solange dans le couloir. « Et bien ma salope. Tu as vu l’heure ? Tu ne t’es pas ennuyée dis-donc. Tu as les joues bien rouges. Je suppose qu’il est inutilisable Jo maintenant. Tu l’as bien essoré. Alors ton avis sur notre petit Jo ? » Je la regardais en souriant. « Un super coup. Il m’a fait perdre pied. » « Tu as joui ? » « Oui, plusieurs fois » « Tu as envie de recommencer ? » « Oh oui. Je pense que je vais l’utiliser souvent. C’était trop bon. Bon, je vais rentrer. Merci pour ce cadeau. »
En sortant je tombais sur Nathalie. « Et bien Laurence. Tu t’es bien éclatée dis donc. Il t’a bien baisée le petit salaud. J’ai juste vu la fin mais vous vous êtes bien envoyés en l’air. Vous étiez très beaux, très excitants tous les deux. Tu sais quand tu bosses, tu peux remplacer ta pause-café par une pause Jo. Mais il faudra être plus rapide. Crois-moi, ça tient en vingt minutes. »
J’allais bientôt m’en rendre compte….. (à suivre)

Comments:

No comments!

Please sign up or log in to post a comment!