Mâle À Tout Faire

Je me prénomme José, quarante cinq ans, célibataire, plutôt bel homme, assez bien gaulé a tous points de vue

Couples, femmes, jeune filles, peut-être m’avez-vous aperçus dans des endroits réputés tranquilles, parkings, parcs, bois, dunes, ou autres, propices a des exhibitions de votre part ou de la mienne, peut-être même vous ais-je caressée, touchée, baisée a même le sol, dans votre voiture ou encore a la sauvette debout le long d’un arbre, sur un banc ect.ect. ou encore devant votre mari si vous étiez en couple ?

Si c’est le cas vous n’avez put oublier cette grosse bite zébrée de deux grosses veines bleues qui vous arrachent des hurlements de plaisir, dotée d’un gros champignon cramoisi à vous faire péter la chatte que vous avez tenue en main pour simplement la branler ou dans votre bouche pour en extraire sa sauce à grands coups de succions

Toujours à l’affut de bonnes occasions, j’aime fureter dans des endroits insolites en toutes saisons, vêtu d’un short flottant l’été ou un pantalon de jogging qui n’entrave et ne cache pas une forte érection, facile a faire glisser ou a remonter en cas de risques d’être découvert

Je me souviens notamment de cette femme rencontrée sur une aire d’autoroute que je fréquente assidument à cause de sa tranquillité et sa proximité de mon domicile

Ce matin là dans ma voiture portière ouverte j’attendais prés des toilettes, sexe sorti du pantalon pour parer a toutes éventualités, lorsqu’une voiture s’est garée prés de la mienne, une femme ‘BCBG’ (beau cul belle gueule) vêtue d’un magnifique tailleur beige, obligée de passer devant moi pour aller faire pipi, a son passage j’ai toussé pour attirer son attention , ses yeux se sont automatiquement posés sur ma bite bien apparente que je tenais dans une main, elle a marqué un bref temps d’arrêt, je m’attendais a être rabroué mais elle a continué tranquillement son chemin pour aller vers les WC des dames, avant d’entrer elle a jeté un regard dans ma direction au moment où je sortais de ma voiture
Elle s’est enfermée j’ai attendu adossé au mur devant les WC des hommes toujours la queue à la main mais à présent bien raide , un bruit de chasse d’eau la porte s’ouvre la femme ne peu manquer mon érection superbe, elle se lave les mains aux lavabos, je la sens hésitante… un coup d’œil circulaire et au lieu de marcher vers son véhicule elle revient sur ses pas, entre dans le compartiment réservé aux handicapés mais ne ferme pas complètement la porte , que faire ? un toussotement ridicule non dût a un rhume me décide …j’avance, et là stupeur, la femme est penchée de dos les deux mains appuyées sur la cuvette en porcelaine, une culotte blanche lui entrave les chevilles, j’entre, referme la porte, ma main va sous la jupe pour trouver une fente lisse et très humide sans dire un seul mot je fais remonter la jupe étroite sur ses reins, un superbe postérieur blanc entre lequel une chatte imberbe n’attend plus que ma queue, un aller retour sur les lèvres histoire de lubrifier mon gland et le pose sur le trou vaginal, les deux mains au creux de ses hanches et l’attirant a moi je m’enfonce d’un trait dans ce tube étroit lui arrachant un râle de bonheur suprême
Je secoue la femme faisant violemment claquer mon ventre sur ce cul encore ferme, toujours plus fort, toujours plus profondément, elle couine comme un porcelet, je ne cherche pas a battre un record de durée et maintiens la nana sur moi pour lui balancer au plus vite mon foutre bien au chaud dans son ventre de garce, je l’ai laissée avachie et essoufflée sur les WC tandis que ma sauce tombait sur le carrelage entre ses cuisses, satisfais pour la journée je suis rentré chez moi !

Et cette autre fois au printemps dernier, je me baladais à poil dans les dunes de la plage en quête d’un bon coup : amoureux en mal d’amour ou femme esseulée, lorsque j’ai croisé deux jeunes filles en maillot de bain, l’une d’elle n’a pas hésité à mater mon zob qui roulait mollement sur mes bourses gonflées tandis que l’autre stupéfaite n’osait regarder et fixait l’horizon, dans mon dos la plus hardie a commenté crument à sa copine ce qu’elle avait observé

- T’as vu le mec ce qu’il se trimbale entre les cuisses ?
- Ça ne m’intéresse pas …
- Ha évidement toi tu veux rester vierge jusqu’au mariage ! moi je m’la prendrais bien dans la minette, attend on va le suivre
- On devrait plutôt revenir sur la plage …
- Juste pour voir, après ont y va
- T’es emmerdante

En entendant ça j’ai bifurqué dans une petite pinède et commencé à caresser ma gaule pour la faire dresser, la petite curieuse a entrainé sa copine dans ma direction, adossé a un jeune arbre je me décalottais lentement, comme précédemment sur le chemin l’une a écarquillés les yeux et l’autre regarde ses pieds, mais tentée par le diable elle n’as put résister a jeter discrètement un coup d’œil sur ma queue désormais a l’horizontale

- Bonjours mesdemoiselles
- Bonjour monsieur …
- Vous vous baladez ?
- Oui
- Ce n’est pas prudent de s’éloigner de la plage
- Nous avions envie de faire pipi et …
- Et vous m’avez aperçu !
- Je n’avais jamais vu un tel sexe
- Mais tu en as déjà vus ?
- Oui bien sûr, celui de mon petit copain, mais à coté de vous il est ridicule !
- Vient Adeline, partons
- Oui, attends un peu Maryse
- Maryse n’en a jamais vu ?
- Jamais en réel, elle doit rester vierge pour se marier
- Ça n’empêche pas de se documenter !
- Vous pourriez vous caresser devant nous ?
- Jusqu’au bout ?
- Oui, pour voir le sperme gicler
- Approchez par ici, quelqu'un peut passer sur le chemin… voilà comment je fais …je décalotte à fond, je recalotte, je décalotte, ainsi de suite jusqu’à sentir l’onde irréversible de l’éjaculation
- Wouaaah, quel gland ! mais le reste a l’air rugueux
- Tu veux toucher ?
- Pourquoi pas, vient Maryse ça ne mords pas… je n’en fais pas le tour ! et il est très doux au toucher
- Il est même très doux a la pénétration, astique-moi, plus fort, plus vite
- Aide moi Maryse, y’a de la place pour ta main, ainsi nous partirons plus vite

Une fille de chaque cotés que demander de mieux je ne peux résister a la tentation de palper les fesses rondelettes d’Adeline qui subjuguée par ma queue accepte mon audace, voyant sa passivité je me hasarde à tirer sur le cordon de son bas de maillot, toujours pas de réaction négative alors je repose ma main sur sa fesse mise a nu, mes doigts furètent dans la raie jusqu'à effleurer le petit trou, au lieu de resserrer les jambes elle les écarte, mon majeur sépare les grandes lèvres humides, ma main droite fait la même chose sur les fesses de Maryse qui se recule pour échapper a la caresse, ce n’est sans compter sur ma persévérance en matière de cul, après deux tentatives et s’étant aperçue que sa copine se fait branler, elle cède, sa main se fait plus ferme sur ma hampe
La sachant vierge je ne cherche pas à fourrer mes doigts dans son jeune connin alors je tente l’anus …il est d’une élasticité incroyable, après avoir prélevé de la mouille sur ses lèvres je peux enfoncer deux doigts jusqu'à la deuxième phalange, les filles m’astiques nerveusement en poussant de petits cris dût a ma présence entre leurs cuisses, mais leur persévérance vient finalement a bout de ma résistance …

- Attention les filles je vais décharger
- NON ! pas dans le sable ! met-la moi dans la chatte
- Alors a genoux vite … approche Maryse …
- Pour quoi faire ?
- Baisse ton maillot je vais lécher ta minette
- Accepte, tu ne le regretteras pas
- Juste pour voir alors
- Après je te sodomiserais si tu veux
- Jure-moi que tu ne diras rien aux copines Adeline
- Craché-juré

Alors je l’ai sodomisée gentiment sous le regard ébahit de sa copine qui se mettais deux doigts, elles sont reparties se laver a la mer comblées physiquement et mentalement


Et ce jeune couple d’amoureux qui se baladait paisiblement aux abords d’un grand parc, son mari ou son copain tenait la femme bien serrée contre lui me laissant penser qu’ils cherchaient en ces lieux un endroit propice à des ébats amoureux, lorsqu’ils sont passés devant moi j’ai pressé une main sur mon entrejambes, elle regardait loin devant elle, , le mari m’a jeté un regard, non pas pour m’en faire la remontrance, mais un regard complice , deux mètres plus loin sa main a glissé de la taille sur le postérieur rebondi de la fille qui a eu un mouvement de recul et un mot de reproche, il a insisté, elle n’a plus refusé les doigts crispés sur une fesse

J’ai décidé de les suivre à bonne distance pour ne pas paraitre balourd, a plusieurs reprises l’homme a jeté un œil derrière son épaule pour vérifier que j’étais toujours là, quand il a commencé à relever le bas de la robe j’ai sus que je n’étais pas venus pour rien
Ils ont soudain bifurqués dans un sentier à peine tracé parmi les fourrés, je me suis approché précautionneusement, a quelque mètres j’ai vus des jambes allongées dans l’herbe, la fille poussait des petits rires nerveux auxquels suivait un ronronnement qui me faisais penser a de longs baisers, dans mon short ma verge s’est immédiatement déployée, j’ai continué à avancer a genoux, a travers la végétation j’ai pus voir la scène, l’homme a moitié allongé sur elle avait passé une jambe entre celles de la fille probablement pour les séparer et faire remonter la robe, j’avais une bonne vue sur le galbe d’un slip immaculé mais taché d’une auréole sombre et allongée a sa base, les brettelles de la robe étaient tombées sur les épaules dénudant une poitrine opulente et blanche
L’homme devait guetter ma venue car il a fait un signe de tête m’invitant à stopper ma progression et rester silencieux, une de ses mains est descendue entre les cuisses qui se sont complaisamment ouvertes, elle lui a tendu les lèvres lorsqu’il a écarté le string, le genou de la fille est remonté favorisant ainsi la pénétration des doigts, son corps s’est tendu comme un arc avant de s’abandonner totalement, je pouvais entendre le bruit mouillé que provoquaient les doigts dans la vulve en eau
Il a abandonné la bouche pour descendre vers un téton, c’est à ce moment là qu’il m’a fait signe d’avancer en faisant bouger sa langue a la commissure des ses lèvres, j’ai traduit ceci comme : ‘vient la lécher’
J’étais à genoux devant l’entrecuisse totalement accessible, le string repoussé dans une aine montrait la chatte entrebâillée, alors j’ai sorti ma queue sous les yeux écarquillés du gars qui a ouvert la bouche d’étonnement avant de lever un pouce, j’ai rampé entre les deux jambes, savait-elle que j’étais là ? …

- Ne bouge pas Solange
- Pourquoi ?
- Un homme va te lécher la chatte
- Quoi ?
- Ne bouge pas ! si tu voyais sa bite, elle est telle que tu la vois dans tes fantasmes
- Chéri …noooooonnnnnn
- Laisse-toi faire mon amour, écarte simplement les cuisses, je vais téter tes seins

C’était partit ! mon pouce a tenu le slip écarté tandis que ma bouche se ventousait au sexe iodé, j’ai longuement lapé cette mouille savoureuse avant de me focaliser sur le bouton rose émergé de son capuchon, elle est devenue hystérique, j’avais toutes les peines du monde à rester concentré sur le clitoris qui lui arrachait des ondes de bonheur

- Baise-la !
- Non chéri pas avec un inconnu !
- Au contraire, nous ne le reverrons plus, abandonne toi totalement pour une fois

Elle s’est soudainement détendue m’offrant son entrecuisse, j’ai tiré sans ménagement la petite culotte jusqu'à ses chevilles, ils s’embrassaient a pleine bouche lorsque mon membre s’est introduit puissamment en elle, ses jambes se sont relevées automatiquement pour se poser sur mes épaules, son mari l’a alors délaissée afin qu’elle s’accroche à moi pour se faire défoncer la chatte
Lorsque je me suis retiré, son vagin aux lèvres enflées recrachait une purée épaisse, l’homme radieux, avant de se glisser entre les cuisses toujours ouvertes pour la lécher, m’a glissé furtivement un papier plié ou étais inscrit un numéro de téléphone… j’aimerais revoir cette fille faussement timide, c’est des femmes qui ne refusent rien et vous le font savoir par de petites mimiques ou contactions de vagin impossibles à détecter par le mari …

Comments:

No comments!

Please sign up or log in to post a comment!