Ballade En Canoë

Avec un couple d'amis libertins rencontrés dans un club échangiste, Bertrand et Sabine, nous projetâmes une promenade en canoë sur une rivière au courant calme située dans notre région. Nous avions loué pour le week-end une fermette dans une propriété qui donnait un accès direct à la rivière. Nous partîmes le vendredi soir tous les quatre dans une voiture chargée de nos bagages dans le coffre et des deux canoës indiens sur la galerie. Ma femme, Béatrice, discutait à l'arrière du véhicule avec Sabine tandis que je faisais de même avec Bertrand, un sportif passionné de football et de tennis. Bronzées, nos femmes portaient des robes légères fleuries qui leur donnaient un aspect de fraîcheur printanière. Après une heure de route de campagne, nous arrivâmes dans un hameau où un paysan nous donna la direction de la fermette isolée près de la rivière. Nous rentrâmes dans notre habitation rustique mais meublée avec goût avec nos affaires personnelles. Les femmes se mirent à cuisiner pour le dîner alors que les hommes mirent à l'eau les deux canoës et les accrochèrent par des cordes aux arbres plantés sur le rivage.


Pour célébrer le commencement d'un week-end mérité, nous prîmes le traditionnel apéritif servi avec des amuse-gueule. L'odeur d'un gratin dauphinois se diffusait de la cuisine vers la salle à manger où la table était dressée. Pour la soirée, Sabine et Béatrice s'étaient avec connivence vêtues de robes bleues foncées courtes voilées sous lesquelles on pouvait distinguer les formes de leurs corps nus. Aux hors d'œuvre, ma femme assise vis-à-vis de Bertrand dégustait une salade d'artichauts accompagnée d'asperges. Elle roulait sur ses lèvres les pointes vertes trempées dans l'huile d'olive tout en caressant du bout du pied l'entrecuisse de notre ami. Sabine, plus suggestive, léchait la tige de l'asperge puis croquait sauvagement la pointe. Je servis un bordeaux dans les verres des convives pour chauffer encore davantage une ambiance prometteuse.

Avant de manger le gratin, nos femmes disparurent sous la table pour entreprendre des fellations. Je soulevais la nappe pour observer leurs manigances.


La langue de Sabine léchait successivement mes couilles, puis mon membre avant de titiller le méat du gland. Ses lèvres serrées allaient et venaient en aspirant celui-ci. Béatrice masturbait mon confrère avec douceur en enfonçant profondément la queue au fond de sa gorge. Ces fellations durèrent un bon quart d'heure puis nous mangeâmes le plat principal en programmant notre journée du lendemain. Nous envisageâmes un lever tardif, suivi d'une promenade en canoë, d'un pique-nique près d'un vieux pont romain, puis un retour avec une partie de pêche en fin de journée. Comme dessert, nous dégustâmes une crème brûlée préparée par notre amie, excellente cordon bleu. Après la vaisselle, nous jouâmes aux cartes dans le salon, hommes contre femmes. Sirotant une eau de vie de poire, nous décidâmes de donner des gages aux perdants. Ayant gagné, Béatrice et Sabine nous demandèrent de rester assis en nous masturbant. Sans conviction, nous nous exécutèrent ce qui les fit rire. Elles ôtèrent leurs robes et s'enfilèrent à califourchon sur nos sexes vigoureux en faisant ballotter leurs seins sur nos bouches. Restant dans cette position avec notre amie, je vis Bertrand passer derrière moi et offrir son membre dans la bouche de sa femme. Béatrice, restée assise dans son fauteuil, écarta ses jambes et se masturba frénétiquement en contemplant nos ébats. Les hommes éjaculèrent simultanément et nous finirent nos verres avant d'aller nous coucher sagement dans nos chambres respectives.


Nous nous retrouvâmes au petit déjeuner en shorts et maillots de sport devant nos bols de café, des fruits et des céréales. Après un ménage rapide, nous préparâmes des sandwiches et des boissons pour le déjeuner sur l'herbe, prirent deux sacs à dos et nous dirigeâmes vers la rivière. Sabine fit équipe avec moi ; Béatrice se plaça devant Bertrand dans l'autre canoë.
La rivière était étroite, bordée de verdure et baignée par le soleil. Après avoir ramé pendant deux heures, nous retirâmes nos T-shirts et poursuivîmes notre excursion les torses nus. Parfois des pécheurs sifflaient sur notre passage en zieutant sur les seins de nos femmes. Nous arrivâmes au pont romain et accostèrent sur la rive pour déjeuner. Sous de vieux chênes, nous étendîmes une couverture sur laquelle nous mangeâmes nos sandwiches et bûmes nos sodas. Puis nous fîmes une sieste à l'ombre en écoutant le bruit des feuillages et le chant des oiseaux. Au réveil, nous décidâmes de monter sur le pont abandonné. Nous nous assîmes sur un muret pour contempler le paysage champêtre et les nénuphars aux fleurs jaunes sur la rivière. Nous embrassâmes nos femmes avec nos corps moites en raison de la chaleur estivale. Nous comprîmes rapidement qu'elles souhaitaient faire l'amour dans un lieu plus discret.

Nous nous installâmes derrière un buisson dans l'herbe à l'angle d'une prairie. Je fis un cunnilingus à Sabine. Avec mes doigts, j'écartai ses grandes lèvres, puis aspirai les petites lèvres humides en lui caressant le clitoris. Puis, je rentrai deux doigts que je fis rouler dans sa chatte qui ne tarda pas à devenir une véritable fontaine à laquelle je bus. Je la pénétrai en missionnaire et embrassai ma partenaire qui croisa ses jambes autour de mes hanches. Je la pilonnai en secouant mes couilles contre ses fesses. A proximité, Béatrice chevauchait Bertrand en se masturbant. Notre ami lui tirait les pointes des seins pour l'exciter tout en participant aux mouvements de pénétration en contractant son fessier. Nous changeâmes de positions, les hommes prenant en levrette les femmes qui regardaient au loin des vaches paître dans un pré. Nous éjaculâmes dans le creux de leurs dos que nous essuyâmes avec de l'herbe tendre puis nous rejoignîmes les canoës.


Sur le retour, nous pêchâmes quelques gardons avec les lignes suspendues à des roseaux. Les poissons frétillaient dans le fond des canoës ce qui amusaient nos femmes qui projetaient d'en faire une friture.
Effectivement, nous dégustâmes celle-ci en dîner avec un vin blanc sec à la fermette. Suivirent les traditionnelles salades et fruits de la région. Après une bonne douche, nous montèrent au premier étage où se situait une terrasse spacieuse avec une vue splendide sur la campagne. Sabine ouvrit une mallette contenant des objets érotiques dont elle souhaitait nous apprendre l'usage. Notre amie sortit de leurs écrin des godemichés avec ou sans ceinture, des boules geisha, des onglets, des gels et des lanières en cuir. Elle décida de nous initier à de nouveaux jeux pour parfaire notre éducation sexuelle. Nous nous accordâmes pour suivre ses conseils tout en jetant des regards de curiosité sur les différents objets.


Béatrice prit une ceinture doté de deux godemichés inversés. Elle introduisit le plus petit dans sa chatte, fit accroupir Bertrand, lui lubrifia l'anus avec du gel et y enfonça doucement l'autre godemiché plus gros. Ma femme enculait notre ami tout en s'enfilant elle-même. Tous deux prenaient ainsi leur plaisir et j'observai notre animatrice, Sabine, prendre une attitude de dominatrice à mon endroit. Elle entoura mon coup d'une lanière et me fit mettre à genoux pour que je frotte avec mon nez sa chatte. J'accélérai ce mouvement en recevant des petits coups de fouet sur les fesses. Puis je mis mes lèvres sur son clitoris que j'aspirai comme une ventouse. Je pris un godemiché de grandes dimensions que je fis aller et venir dans sa chatte bien lubrifiée. J'étais surpris de constater la longueur que pouvait absorber le sexe dilaté de ma partenaire. A chaque pénétration, j'enfonçai toujours davantage le godemiché tout en mordant le clitoris. A l'instar de ma femme, j'accélérai le rythme ce qui faisait tressaillir de jouissance Sabine.


Nous marquâmes une pause durant laquelle notre amie imaginait d'autres jeux. Elle sortit de la mallette les boules de geisha et en introduisit trois dans le cul de ma femme et le même nombre dans le sien.
Elle fixa au sol deux gros godemichés qu'elle enduisit de gel et les deux femmes s'empalèrent dessus. Elles nous offrirent un spectacle excitant : à genoux, elles allaient et venaient sur les pénis artificiels en tentant de maintenir dans leurs culs les boules de geisha. Nous présentâmes nos membres dans leurs bouches en caressant leurs cheveux. Nous observâmes sortir de leurs cons les boules ce qui nous autorisa à les sodomiser alors qu'elles poursuivaient leurs balancements sur les godemichés. Leurs orifices humides s'élargissaient de plus en plus comme s'ils devenaient insatiables. Nous ne tardèrent pas à éjaculer à la demande expresse de nos femmes. Sabine avait programmé un dernier jeu dont chacun de nous qui en acceptâmes les règles. Elle prit la ceinture aux deux godemichés inversés, s'enfila le gros dans la chatte et le petit dans le cul de ma femme que Bertrand prit par devant. Sabine me fit une fellation puis plongea mon membre dans la bouche de Béatrice en le masturbant. J'embrassai Sabine tout en allant et venant sur la langue de ma femme qui se faisait prendre par devant et par derrière par nos amis qui prolongèrent cette position jusqu'à leur propre jouissance. Puis je fis l'amour à Béatrice pour conclure cette soirée érotique. Nous nous endormîmes rapidement jusqu'au lendemain. Le dimanche, nous fîmes une grasse matinée et rejoignîmes nos pénates en toute quiétude.

Comments:

No comments!

Please sign up or log in to post a comment!