Ballade En Campagne.


Juin 2015, j’étais seule à la maison pour une semaine de congés, suite à une baisse d’activité et pour mal faire… ou bien, c’est selon ! Mon mari en déplacement depuis déjà une dizaine de jours. Je ne vais pas prétendre que j’étais en manque de quoi que ce soit, non. Mais il y a des jours comme cela où tout souri et tout n’est que plaisir. "

"Je m’étais levée en forme ce matin là. Une des premières journées chaudes enfin vraiment chaude pour nous dans le Nord… Joyeuse et de bonne humeur, je prenais soin de moi en cette belle matinée. Soins du corps, passage par l’épilation, bref la totale. J’ai passé ma matinée dans ma salle de bain pour un plaisir que seule nous les femmes pouvons comprendre. Après la petite collation du midi, je suis allée m’étendre sur le bain de soleil, pour ne rien vous cacher… Nue comme un ver sur la terrasse … Rien que de laisser ma robe légère glisser le long de mon corps m’avait donné un tel frisson. Cela laissait présager une belle journée. "

"Une fois de plus il y a des jours comme cela. Je grillais au soleil et l’envie de fraîcheur s’est faite ressentir. Debout j’enfilais ma robe par le bas. Celle-ci me cuisait la peau, le tissu rendu encore plus brûlant par le carrelage. J’oubliais volontairement le petit écrin de tissu, voilant d’ordinaire mon intimité. Entièrement nue sous une petite robe d’été blanche à bretelle, je me sentais rayonnante. Je me laissais tenter par une petite ballade dans la nature le long du canal d’Hazebrouck, un endroit de verdure quelques peu boisé par endroit. Notre région regorge de ces chemins étroits qui jadis servaient aux chevaux de traits pour tirer les péniches avant que celles-ci ne soient équipées de moteurs. On les appelle chemin de halage. J’aime parfois m’y promener ne serait ce que pour prendre un grand bol d'air. Cet après-midi là, le fait de me sentir dénudée et de m’être entretenue le matin… Cette chaleur… L'ensemble de tout cela me grisait.

Plus que le bol d’air, l’idée de me sentir au frais, de me promener à poil sous ma petite robe tellement légère, cela peu paraitre vicieux, mais j’aime cela et me l’accorde trop peu souvent, faute de temps. C'était donc une occasion rêvée. "

"Superbe idée en fait. Je me suis garée sur un petit parking que je connais déjà, engagé le long du canal. À peine descendue de voiture que la fraîcheur ambiante me caressait agréablement la peau. Une petite brise légère chargée d’humidité venait me taquiner les fesses pour un véritable sentiment de bien-être. J’ai marché un bon trente minutes me sentant on ne peu plus légère. J’appréciais le moindre courant d’air venant me caresser la peau. Un petit côté salace venait amplifier le plaisir, celui d’être dévêtue sous ma robe légère. La poitrine libre, les fesses à l’air et chacun sait que lorsque l’on vient de se raser de près, le sentiment n’en est que ren ! D’humeur joyeuse, je suis passée à celle de coquine, laissant mon imagination divaguer ! Rien de méchant lorsque l’on se ballade seule dans la nature ; je venais de croiser un coureur, seule âme vivante rencontrée du reste. "

"C’est quelques minutes plus tard que j’ai vu ce petit chemin entrant dans la forêt de Nieppe sur ma gauche. Curieuse et en même temps l’idée de m’isoler m’a de suite fait envie. J’ai alors avancé doucement vers ce trou noir que formaient les buissons et autres arbres ; pas trop rassurée il faut le dire, mais l’adrénaline est aussi un truc que j’aime ! Tremblante sur mes sandales à plateformes, je scrutais la pénombre essayant de laisser les yeux s’habi à l’obscurité… Dix mètres, puis vingt. Le petit chemin zigzaguait entre les arbres laissant apparaitre par moment la lumière du jour, au travers des branchages épais à cette époque de l’année. La fraîcheur du lieu, son côté lugubre, il ne m’en fallait pas davantage pour nourrir la libido. Des frissons me parcouraient le corps, l’envie de plaisir se faisait sentir. Seule dans la nature encline à une forte envie ; lorsque la lumière m’a indiqué un petit coin ensoleillé, je n’ai pas résisté, je me suis laissé attirer par la lumière.
J’ai dû écarter quelques branches pour me frayer un passage. L’endroit était superbe… Tout simple en fait, mais la lumière, les rayons du soleil le rendaient magique. Un petit chemin, bien plus petit que le premier débouchait sur la lisière d’une pâture ou d’un espace vert, je ne sais le nommer. Toujours est-il, qu’un champ apparaissait à mes yeux, mais avant ce champ, une bande d’herbe verte baignée par le soleil. La chaleur me frappait à nouveau, mais je l’appréciais cette fois, sûrement à cause des dix minutes que je venais de passer à frissonner…"

"Comment expliquer ce qu’il m’a pris ? Je n’en sais rien ! Mon état, le lieu… L’envie de plaisir… Je me souviens m’être pressée la poitrine tout en me mordant la lèvre inférieure. Je me suis accroupie, puis assise dans l’herbe fraîche… Quelques minutes à écouter, épier ; pas un bruit, outre le courant d’air dans les feuillages. J’étais seule au monde et c’était un plaisir total. Quelques minutes ont passé, je me suis détendue et allongée dans cette herbe relativement haute. J’étais comme dans un petit cocon entouré de ces épis qui virevoltaient au moindre petit courant d’air. Je me sentais surtout à l’abri de tout et terriblement bien ! La suite ? Vous vous doutez… Le calme régnant, mon état second… La nudité que je ressentais au moindre mouvement… La petite robe si légère !

"Étendue, sur un terrain légèrement pentu, j’étais installée comme dans un bain de soleil, les pieds un peu plus bas que le haut du corps. Les bras écartés en croix, jambes recroquevillées de moitié et écartées, je balançais celles-ci paisiblement, ouvrant et fermant les cuisses, les yeux clos me délectant du soleil sur ma peau et de ce petit air frais qui s’engouffrait jusqu’au compas de mon entrejambe, venant rafraîchir et surtout me titiller le bouton d’amour sensible à tout changement climatique. Quel bonheur, quel moment divin. J’étais à l’écoute des moindres vibrations de mon corps. Mon cœur battait fort, la respiration gonflait ma poitrine.
Je respirais à pleins poumons, entrouvrant les yeux les seins gonflés luisaient tel deux monts de Vénus… J’en arrivais même à me cambrer tout en me pressant le bas du ventre. Bientôt, ma robe me serrait et je me permettais de dégrafer les boutons du haut du corsage. Ils sautaient un à un, libérant ma poitrine quelque peu douloureuse. J’ôtais les bretelles avant de me reposer en arrière sur les coudes. Les seins durcis par l'excitation luisant au soleil, les tétons irrités se dressaient fièrement, je prenais de grandes bouffées d’air, me gonflant davantage le torse que je regardais moi-même, admirative avant de m’abandonner au soleil. "

"Celui-ci me cuisait la peau. Appuyée sur les coudes, le torse arrogant, j’écartais les jambes me plantant la pointe des sandales dans l’herbe, creusant les reins comme si j’offrais mon corps à ces rayons brûlants. J’avais beau essayé de me contenir, je m’abandonnais au plaisir solitaire ! J’ouvrais, fermais les cuisses, contractant le pubis, ne pensant à autre chose qu'au bien-être ! Tant est si bien, que quelques minutes plus tard la robe, pourtant tombée sur mes hanches me privait d’un peu plus d’émotion. J’y ai vite remédié, prenant appui sur mes talons et me cambrant les épaules au sol pour glisser la petite robe jusqu’à mes chevilles avant de définitivement m’en débarrasser ! "

"Complètement nue, allongée dans l’herbe qui me picotait les fesses, quelle terrible sensation ! Sur le dos, cuisses ouvertes, je n’ai pas pu me retenir, laissant glisser une main sur mon ventre brûlant jusqu'à atteindre mon pubis, que du bout des doigts, je pressais. Les cuisses se sont ouvertes encore davantage lorsque mes ongles longs ont atteints les lèvres fiévreuses. Les tempes bourdonnantes, je perdais pied ! Rien ou tout pouvait arriver, je sombrais dans un bien-être total. Les yeux clos, je me délectais de mon index tendu qui descendait entre mes chairs chaudes et humides, pressant du bout de l’ongle mon bouton d’amour gonflé de désir.
Je le faisais rouler sous mon doigt, l’écrasant juste ce qu'il faut pour me donner de gentils frissons et quelques fourmillements qui me traversaient le bas du ventre. Quelle folie, quel plaisir… J’étais à l’affût de la moindre vibration de mon corps, à l’écoute du moindre picotement, source de plaisir à venir. Bouche entrouverte, j’haletais, les yeux mi clos, faisant tournoyer mes doigts sur mes lèvres intimes, qui, de secondes en secondes, m’inondaient les doigts… J’avais une envie furieuse de me doigter sauvagement mais l’adrénaline, l’attente… J’aime tellement cela que je repoussais le moment tant attendu ! Je sentais par instant de petits courant d’air me caresser l’entrecuisse, les seins, je me cambrais offrant ma peau, mon corps à cette douceur inattendue… "

"Je sombrais définitivement après de longues minutes de ce doux plaisir ! N’y tenant plus, mon index trempé s'est introduit en moi comme dans une motte de beurre. Un long râle de plaisir m’a échappé, cuisses ouvertes, une jambe levée, je me fourrais un, puis deux doigts dans la chatte tout en grognant de plaisir. Je n’étais plus moi-même, mes râles venaient troubler le silence régnant, mais aussi le clapotement de mes doigts venant sauvagement buter sur mes lèvres dégoulinantes de plaisir. "

"J’étais en pleine besogne, loin de me soucier du reste du monde, complètement accaparée par l’idée de me donner un orgasme surpuissant… J’haletais, grognais, quand d’un coup : une main chaude sur mon sein m’a fait sursauter. J’allais me redresser, mais cette main épaisse et solide m’a maintenue au sol. Avec le soleil derrière moi, j’avais peine à distinguer un visage, mais une voix grave me disait de continuer. J’ai tenté une petite minute d’esquiver, tenaillé par une gêne énorme… Le type à genoux à mes côtés brandissait sa queue à pleine main et se masturbait.

"Cette queue à quelques centimètres de mon visage… Mon état second. J’ai vite évalué la situation ! Ce type ne me voulait pas de mal et pire… Il pouvait m’aider.
"Je lui ai souris lui montrant ainsi que je n’étais pas farouche. La pression sur ma poitrine s’est relâchée, laissant place à une caresse. Mon sein, l’autre, ma joue avant de descendre sur mon ventre. Instinctivement, de peur sans doute, j’avais resserré les cuisses dans la surprise. Cette main me caressant le bas ventre, le type penché sur moi à m’explorer le corps nu. J’ai rouvert les jambes, lui montrant ainsi qu’il pouvait aller plus loin. Il lâchait sa verge, se penchant davantage sur moi. Un doigt s’insinuait entre mes lèvres, un petit tour dans ma mouille et me pénétrait m extirpant un nouveau petit cri de bonheur. On a beau dire, un doigt d’homme est toujours plus efficace que le nôtre ! S’étant penché de la sorte, j’avais sa queue à portée et l’envie était trop grande. Tandis qu'il me doigtait avec saveur, j’attrapais sa verge à pleine main et me mettais à la masturber. Il se mettait à grogner lui aussi, il se recroquevillait cherchant à approcher plus son mandrin de mon corps, un chien en rut n’aurait pas fait mieux ! Il ne m’en fallait guère plus pour oublier toutes retenue. Cette pine épaisse et tendue me faisait envie, j’avais peine à la cajoler de la main, le bras recroquevillé sous son ventre. Du bout des doigts, je la tirais la dressant face à moi, le gland décalotté. Sa langue sur l’intérieur de la cuisse finissait de m’exciter, je léchais avec gourmandise ce gland tendu avant de me mettre à le sucer goulûment ! Les idées et autres pensés de bousculaient dans ma tête ! Nue, cuisses grandes ouvertes, un inconnu me doigtait, me léchait, alors qu’une jolie queue bien raide et épaisse s’offrait à moi et sans pudeur je la suçais avec frénésie et ferveur ! Pire devrais je dire, puisque l’excitation me gagnait, je me déchainais sur cette superbe tige qui m’emplissaient la bouche."

"Ses rugissements m’ont laissé penser un instant qu’il allait m’emplir la gorge, étrangement je ne cessais pas pour autant de me gaver de sa superbe bite. Tellement chaude et excitée, je me laissais déborder de toute part…"
"C’est vrai qu’il aurait pu se laisser aller et profiter de la furie blonde qui lui pompait la queue sauvagement. Heureusement pour moi, son désir ne s’arrêtait pas là ! Tout en grognant que j’étais une belle petite chaudasse, le type s’est reculé m’obligeant à lâcher ce dard qui m’inspirait tant… À genoux, il me levait les jambes se glissant entre elles. Je découvrais enfin le visage de mon assaillant ! Un type d’une quarantaine d’années bien en chair, aux grosses mains bien dodues que j’avais bien remarqué. À vrai dire, à cet instant, son visage, son physique m’importait peu, seule sa verge et sa manière de faire m’intéressaient. Croyez-moi, je ne fus pas déçu par la suite.

"Positionné entre mes jambes, le type m’a saisi derrière les genoux, me relevant ainsi les jambes. Prenant ses aises, allongé, il s’est alors mis à me passer la langue partout et sans titiller ; il me lapait avec furie l’entrecuisse. Ses doigts, sa langue, sa barbe me brûlaient les fesses, je grognais haletante de bonheur. Durant prêt de dix minutes, le cochon m’a dévoré la chatte et ce ne sont pas les cris, ni mes mains poussant sur son crâne qui l’ont freiné. Je me sentais comme une poupée entre ses mains expertes. Lorsqu’il s’est redressé, me lâchant les fesses un instant, j’ai cessé de gémir, cherchant un second souffle. J’étais en fait au bord de la jouissance. En ouvrant les yeux alors que je sentais mon cœur battre la chamade, levant ma poitrine au rythme de cette lape saccadée. Le mec était, à genoux, droit entre mes jambes et enfilait un petit costume à son serviteur. Dès lors, je savais que j’allais subir ses assauts et m’en réjouissais ! "

"À peine avais-je eu le temps de reprendre mes esprits qu'une main ferme se glissait sous les reins, me levait les fesses en me tirant à lui.
"« J’ai trop envie de te la mettre ma belle ! », surprise moi-même de m’entendre lui répondre : « Oh ! Oui prends-moi ! », alors que j’avais déjà les jambes décollées du sol. Sa queue, pas très longue, mais divinement épaisse est entrée en moi avec une facilité déconcertante. Ses mains puissantes me guidaient me maintenant par les hanches. Les fesses à trente centimètres du sol, il m’empalait sur sa grosse pine que je sentais glisser sur les parois vaginales. Je remettais le couvert, criant sous ses coups de verge et plus je m’exprimais, plus il se ruait en moi. Cambrée, je m’offrais à cette épaisse tige qui m’emplissait le bas ventre me faisant gémir de plaisir. Les bras en croix, je contemplais ce braquemart qui me comblait entièrement ; son regard sur mes seins qui roulaient, sautaient au rythme de ses coups de reins répétés, ne faisait qu'amplifier mon plaisir. Une fois de plus, je me sentais partir et gémissais les cuisses grandes ouvertes. Je me mordais la lèvre, étouffant un minimum les cris aigus. Le visage congestionné, il me fixait râlant que j’étais une belle salope. Ses mots me rendaient folle, oui j’étais une salope avide de sexe, gourmande et en manque ! Je lui souriais tout à glissant mon index dans ma bouche que je suçais avec un regard de louve volontairement allumeuse ! La sueur perlait de son front, il grognait de plus belle. Ralentissant ses nombreux assauts, mais les rendant plus violents, ajoutant des « tiens ma coquine ! » Je me suçais l’index gauche et me massais le sein droit, sans jamais le quitter des yeux. Je lisais toute la fièvre sur son visage…

"Le pauvre grognait des mots quasi-incompréhensibles, le regard rivé sur moi. Je percevais des « petite salope », alors que je gémissais et gloussais de plaisir… Il s’est essuyé le front du revers du bras et s’est relâché, se laissant choir dans l’herbe ! Une petite tape sur ma fesse : « Retourne-toi ma vicieuse, je vais te finir en levrette ! » Inutile de répondre, je passais la jambe au-dessus de lui et me positionnais, creusant les reins, prenant soin de lui offrir la plus jolie vue possible sur mon arrière-train pulpeux ! : « Une petite fessée… Regarde-moi de cul ! Il mérite bien une bonne troussée ! ! »"

"Un coup de rein magistral m’a propulsé en avant, lâchant un grand cri de surprise ! Accroché à mes hanches, il m’a littéralement labouré les entrailles ! Oh ! Pas des heures, quelques minutes tout au plus, mais avec une telle intensité ! Les doigts accrochés dans des touffes d’herbe, je hurlais sans retenue mon plaisir… Sa queue me limait les parois avec une sensation d’être écartelé ! Il m’administrait quelques fessées tout en me demandant si j’en voulais encore ! Je râlais à en perdre haleine, lui grognant : « Plus fort…. Encore », des arcs électriques me perçaient les entrailles, un orgasme ultra puissant qui n’en finissait plus ! Je n’entendais plus rien, le nez dans l’herbe, j’en hurlais ma jouissance ! "

"Lorsqu’il a relâché sa prise, il avait bien compris que j ‘avais eu un orgasme hors du commun ! Il riait sans complètement cesser ses vas et vient en moi. Il me demandait si c’était bon ! Je balbutiais des oui entre deux souffles. Le type m’a alors demandé s’il pouvait me jouir sur les fesses ? Je n ai pas hésité un instant, répondant : « Où tu veux ! » "
"Comme une libération en sentant sa pine sortir de mon antre, je gardais la position cherchant même à amplifier mon creux de reins. J’entend encore le latex du préservatif claquer entre ses doigts. Ses soupirs et ses compliments sur mon fessier. À sa demande, je remuais les fesses de droite à gauche tandis qu’il se masturbait tout en se frottant le gland sur mon postérieur. Il tapotait parfois sa verge en râlant que j’avais un sacré cul ! Ses longs soupirs… Ses grognements, comme par mégarde son membre faisait parfois irruption en moi, pour peu, j’aurais remis cela ! "

"Son silence inattendu, sa respiration entrecoupée, la dureté de ses gestes et ses tremblements ne m’ont pas trompé ! Il venait, il se lâchait… J’exposais mon cul attentif à la brûlure de son plaisir… J’attendais ce moment avec impatience ! "
"Quel bonheur de le sentir se lâcher, il a grogné tel un ours. Dans un long gémissement, il se vidait sur mes fesses. La toute première dose est venue me brûler le dos, bien haut entre mes omoplates. Le reste, plaisir ultime, en y repensant. La chaleur de son sperme s’écrasant sur mon anus, me brûlant la raie et dégoulinant le long de mes lèvres encore sensibles…

"Il s’est excusé de m’en avoir mis partout. J’ai ri sans bouger, cherchant comment m’essuyer les fesses. Rien de tout cela n’était prévu ! J’ai eu peine à me relever les jambes engourdies par cette levrette de folie. J’ai abandonné l’idée de m’essuyer, enfilant ma robe sous le regard toujours aussi admiratif de mon partenaire. Nous avons rit en cherchant après l’une de mes sandales qui traînait quelques mètres plus loin derrière une motte d’herbe. Le type m’a accompagné jusque la voiture, me remerciant de ce moment qu’il trouvait extraordinaire. J’admettais moi aussi avoir passé un sacré moment ! Dans la plaisanterie, il me fit remarquer mon alliance et me proposa de passer chaque semaine dans ce petit coin et qu'à l occasion, si cela me disait… "

"Nous nous sommes fait la bise devant la voiture en se remerciant mutuellement … Je suis rentrée à la maison dégoulinante de nos plaisirs !

"J’y ai pensé longtemps à cette rencontre, mais je n’y suis retournée que deux mois plus tard. Hélas mon inconnu fougueux n’y était pas."

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