Nathalie Et Le Garagiste

Nous habitions il y a quelques années un ville de la banlieue parisienne, ville tranquille, verdoyante et ou il faisait bon vivre.
Des petits commerces, des grandes surfaces assez proche et plusieurs parcs forestiers non loin de chez nous.
Dans les petits commerces il y avait un garage automobile ou nous allions depuis quelque temps pour les révisions de nos véhicules.
A force d’y aller, nous avions sympathisé avec le patron.
Lorsque l’on récupérait notre véhicule en fin de journée, il n’était pas rare que le patron, Georges, nous offre un verre dans son bureau.
D’ailleurs il était assez fréquent que des gens viennent boire un coup à l’improviste dans son bureau.
Parfois au bout de plusieurs verres, les discutions devenaient plus salaces.
Un jour il nous dit qu’il savait que l’on était libertins pour nous avoir vu sur plusieurs sites de ce type.
Ne cherchant pas à cacher la vérité nous en avons parlé librement.
Il nous arrivait parfois de nous arrêter le soir à son garage juste pour boire un verre.
Quelques années de plus que nous, de gabarit moyen, les cheveux grisonnant et assez bel homme, ma femme ne semblait pas insensible à son charme.

Un jour ou nous avions prévu de lui déposer la voiture le soir pour qu’il puisse faire la révision et la passer au contrôle technique, je suis parti en dernière minute en déplacement.
Surpris de voir Nathalie seule lui apporter la voiture sans que je ne sois là pour la ramener à la maison, il lui a alors proposé de la raccompagner chez elle pour ne pas qu’elle rentre à pied.
Nous n’étions qu’a un bon kilomètre mais le soir c’était quand même plus sûr en voiture.
« Si tu as cinq minutes je te ramène chez toi » lui dit-il.
« Ok, de toute façon j’ai tout mon temps je suis seule ce soir »
Arrivé devant la maison, ma femme lui propose un verre pour le remercier de l’avoir raccompagné.
Il accepte alors volontiers et ainsi ils se retrouvent tous les deux assis sur le canapé à siroter un verre en parlant.


De fil en aiguille, la conversation à dérivée sur le sexe et le libertinage.
Il a alors beaucoup complimenté Nathalie sur son physique et ses tenues vestimentaire, tout en glissant doucement sa main sur ses cuisses.
C’est ainsi que petit à petit leurs bouches se sont rapprochées et leurs mains se sont promenées l’un sur l’autre.
Il avait glissé une de ses mains entre les cuisses de ma femme et elle, lui caressait le sexe par-dessus son Jeans alors qu’ils s’embrassaient goulûment.
Elle s’est alors mise à genoux entre ses cuisses en le débarrassant de son pantalon pour lui prendre sa bite dans la bouche et entamer une fellation.
Son sexe était de taille moyenne et elle prenait plaisir à lui sucer.
Sa langue parcourait sa hampe tout du long depuis la base ou elle passait la langue sur les couilles, jusqu’au gland dont elle titillait le bout entre deux prises en bouche.
Au bout d’un moment, le sentant prêt à jouir, elle se mit à le branler plus fort jusqu’à ce qu’il lui éjacule sur le visage.
Plusieurs jets de sperme sont venus s’écraser sur ses joues et ses lèvres pulpeuse.
« Hummm c’était trop bon, merci » lui dit-il « Je suis prêt à remettre ça quand tu veux »
Un grand sourire de ma femme en guise de réponse lui a indiqué qu’elle n’était pas contre l’idée.


Quelques temps plus tard, un soir ma femme m’a appelé alors que je n’étais pas encore rentré pour me dire que la voiture faisait un bruit anormal.
« Je vais rentrer tard ce soir, va plutôt voir Georges pour savoir si c’est grave »
Ne s’étant pas rhabillée après sa douche elle a dû enfiler une jupe et un chemisier pour passer au garage.
Elle avait appelé Georges avant pour lui expliquer.
« Passe au garage je t’attend et je vais regarder ce qu’il y a » lui dit-il.
Une fois arrivé, il met la voiture sur le pont et détecte de suite le problème, une branche s’était coincée sous la voiture.
Cette dernière retirée, il sort la voiture et va faire un tour avec pour être bien sûr que le problème ne venait que de là.

Une fois revenu il lui dit :
« C’est bon il n’y a plus de bruit »
« Super merci beaucoup »
« Tu as un peu de temps, je te paie un verre dans mon bureau »
Nathalie a accepté se disant que c’était la moindre des choses que d’accepter son invitation pour le remercier.
« Merci c’est très gentil à toi d’avoir attendu que je vienne pour regarder le problème. » « Combien je te dois pour ton dépannage ? »
« Rien, laisse tomber c’était une bricole » puis il renchérit avec un grand sourire « tu me paiera en nature »
« Si tu veux » lui dit-elle alors.
Un peu pris au dépourvu par la réponse de ma femme, il s’est vite repris en lui disant :
« Là j’ai un peu de temps si ça te dit »
Il s’est alors approché d’elle, a passé une main sous son chemisier pour lui caresser les seins et l’embrasser à pleine bouche.
Leurs langues se sont mélangées avec frénésie pendant qu’il la caressait partout.
Elle l’a poussé sur son fauteuil de bureau, lui a ôté son pantalon et entrepris de le sucer goulûment.
Elle était à genoux entre ses cuisses et lui, lui tenait la tête en la faisant aller et venir tout le long de son sexe.
Il fermait les yeux en appréciant le savoir-faire buccale de ma femme.
C’est alors que deux hommes sont entrés dans le bureau sans frapper.
Il faut dire que pas mal de gens habitués passaient parfois le soir le voir pour boire un verre avec lui et il était monnaie courante de rentrer sans frapper.
Tous le monde était un peu surpris, ma femme ne sachant plus que faire, George un peu embarrassé aussi mais pas peu fier quand même de montrer à ses potes qu’il avait une salope entre les cuisses et les deux autres dont l’un à vite retourné la situation en disant :
« Bon on vous laisse finir mais c’est notre tour après… »
Nathalie tenant toujours la bite bien bandée de George entre les mains et après quelques secondes de réflexion leur dit alors :
« Pourquoi attendre après ? Déshabillez-vous, je vais vous sucer tous les trois en même temps »
Nous devions déménager pour quitter le secteur quelques mois plus tard, ainsi elle en profitait alors pour se lâcher un peu plus.

Ni une ni deux, les deux bougres baissent alors leur pantalon pour faire jaillir leur sexe en début d’érection.
Ma femme s’est levée et leur a dit à tous les trois de se mettre autour d’elle, puis s’est de nouveau agenouillée pour les sucer chacun leur tour.
Elle en sucée un pendant qu’elle branlait les deux autres et alternait à tour de rôle.
Le corsage de Nathalie avait volé et elle sentait des mains lui tripoter les seins en même temps qu’elle suçait les bites des trois comparses.
Elle appréciait l’expérience car elle jouait avec trois bites de taille différente, une de taille normal, une autre plus longue mais un peu plus fine et enfin la troisième plus courte mais assez épaisse.
Elle mettait beaucoup d’ardeur et de savoir faire pour que ces trois hommes puissent éjaculer grâce à sa bouche.
Le premier à jouir fût Georges suivit de près par un autre, ils ont éclaboussé le visage de Nathalie avec leur sperme.
Georges a pris une lingette pour essuyer le visage de ma femme et pour qu’elle continue de sucer le troisième qui dit alors :
« Putain, j’ai envi de la baiser cette salope, t’as pas une capote Georges ? »
Georges fouille alors dans son bureau sort un préservatif et lui tends.
Il quitte la bouche de ma femme, enfile la capote, relève Nathalie en la faisant se tourner vers le bureau pour la prendre par derrière, remonte sa jupe jusqu’à la taille et heureux de voir qu’aucun sous vêtement n’allais entraver son élan, il s’enfonce en elle aussitôt et commence alors à faire de grands va et viens en elle.
Elle sentait bien cette bite assez large allez et venir dans sa chatte.
Elle s’affale sur le bureau les seins collés au papier qui se trouve dessus pour mieux subir les assauts de son partenaire.
Il la baise presque bestialement en lui tenant fermement les hanches.
Ce traitement a eu raison d’elle assez vite car elle s’est mise à jouir sans retenue sous les coups de reins de cet inconnu.

Lui, n’ayant pas encore jouit, à continuer à la prendre avec vigueur pendant encore plusieurs minutes.
Ils ont explosé ensemble en criant leur jouissance sous le regard de deux autres comparses.
Nathalie s’est ensuite rhabillée puis est partie radieuse en leur disant :
« Peut-être a une prochaine, bonne soirée ».


Un Vendredi soir, quelques semaines avant notre départ, alors que nous revenions du super marché, nous avons décidé en passant devant le garage de Georges de nous y arrêter pour boire un coup avec lui.
Il y avait déjà, en plus de lui, quatre autres personnes dans le bureau.
Un dépanneur d’une trentaine d’année, Denis, que nous avions croisé souvent ici, car il y passait presque tous les soirs en rentrant chez lui avec son camion de dépannage et deux garçons et une fille d’environ 25 ans.
George nous dit alors :
« Je suis célibataire ce soir car ma femme est partie en Week-end chez sa fille, on se commande des pizzas et on sort en boite après. Vous venez avec nous ? »
Je déclinais l’invitation pour ma part car je travaillais exceptionnellement le lendemain.
Je dis à ma femme que si elle voulait sortir avec eux, je n’y voyais aucun inconvénient.
Nous étions allés faire nos achats directement en rentrant du boulot, elle était habillée en Jeans avec un pull.
Elle nous dit donc qu’elle voulait prendre une douche et se changer avant de sortir.
Nous sommes rentrés à la maison pour qu’elle s’apprête pour la soirée et nous sommes retournés au garage.
Les pizzas venaient d’arriver, je suis quand même resté avec eux pour les déguster.
Vers 23 heures environ, j’ai décidé, malgré leur insistance à m’emmener avec eux, de rentrer chez moi pour être en forme au boulot le lendemain.
Ils sont partis vers la boite de nuit peu de temps après.
Les trois jeunes dans une voiture, Denis, Georges et Nathalie dans une autre.
Denis conduisait, car contrairement au deux autres il n’avait pas bu d’alcool sachant qu’il faisait « Sam » ce soir.
Une fois sur place, ils ont investi une table et commander une bouteille.
Au cours de la soirée ils ont dansé, bu, rigolé, parfois chanté aussi.
Tout pendant que les trois jeunes étaient là, Georges passait parfois la main sur les cuisses de ma femme mais en restant bien discret.
Au bout d’un moment, vers deux heures du matin, ils ont décidé de rentrer laissant Nathalie avec Georges et Denis.
Georges est devenu alors plus entreprenant, il n’a pas hésité à poser carrément sa main entre les cuisses de ma femme, qu’elle a écartées aussitôt, et à venir lui enfourner la langue dans sa bouche.
L’endroit de la boite ou ils se trouvaient étant assez sombre, personne à part Denis ne pouvait voir ce qu’ils faisaient.
Nathalie lui caressait le sexe à travers son pantalon alors que lui avait rentré plusieurs doigts dans son intimité.
Denis se sentant un peu seul se mit à tousser pour leur faire comprendre qu’il était encore là.
Les deux tourtereaux ont alors arrêté de s’embrasser tout en laissant leurs mains vagabonder l’un sur l’autre.
Ils ont décidé ensuite de partir à leur tour car il se faisait tard.
Denis a pris le volant alors que Georges est monté à l’arrière avec ma femme.
Si tôt engouffré dans la voiture, il a descendu son pantalon et amené la tête de ma femme vers son sexe bien bandé.
Elle a commencé à le sucer alors que Denis conduisait.
« N’en mettez pas partout sur mes sièges » dit-il en prenant bien soin de diriger son rétroviseur intérieur pour pouvoir matter.
« Emmène-nous au garage, j’ai envie de la baiser » dit alors Georges.
« Hé je ne suis pas taxi, je ne vais pas vous promener comme ça toute la nuit » répondit Denis
« Allez sois sympa, je suis sûr que ce ne sera pas long, en plus si tu veux je serai gentille avec toi quand tu me déposeras chez moi » lui dit ma femme.
Heureux de cette proposition il les a alors emmenés au garage.
Une fois arrivé, tout le monde est descendu, même Denis qui se disait qu’il allait au moins matter.
Ils se sont dirigés jusqu’au bureau ou Georges à demandé à ma femme de se mettre à quatre pattes.
Le pantalon éjecté, une capote enfilé il s’est mis derrière ma femme pour commencer à la baiser.
Il allait et venait en elle avec la satisfaction de pouvoir enfin la sauter.
Mais les effets de l’alcool n’aidant pas, son sexe devenait moins virulent.
Nathalie s’en aperçue rapidement et lui a alors dit :
« Va t’assoir dans ton fauteuil, je vais redonner vigueur à tout ça »
Il s’est exécuté et Nathalie est retournée lui sucer la bite une fois installée dans son fauteuil.
Elle était à quatre pattes entre les cuisses de Georges, les fesses en arrière.
Elle a alors regardé Denis, qui se caressait le sexe au travers de son pantalon, en lui montrant ses fesses à l’air qui était un appel à la bite.
Denis comprit aussitôt le message.
Il s’est débarrassé de son pantalon, à enfilé une capote et s’est installé derrière ma femme, le sexe hyper tendu, pour la pénétrer.
« Oh putain quel bite » « Elle est énorme » lui dit-elle
Nathalie a commencé à jouir très rapidement, la bite de Georges reprenait de bonnes proportions.
Denis s’activé fermement à la baiser au plus grand plaisir de ma femme qui a joui une seconde fois quand George lui a attrapé la tête pour l’empêcher de se relever pour éjaculer dans sa bouche.
Ma femme a tout avalé, léchant bien sa bite jusqu’au bout pour aspirer les dernières goutes de sperme s’échappant de son sexe.
Denis à son tour, n’en pouvant plus, a joui lui aussi peu de temps après, permettant à Nathalie d’avoir une autre jouissance.
Ils ont repris doucement leurs esprits, se sont rhabillé et Georges leur a proposé une boisson fraiche pour se remettre.
Au bout d’environ vingt minute, ma femme a demandé à Denis s’il pouvait la ramener chez elle.
George habitant à coté du garage a dit qu’il allait rentrer à pied.
Nathalie est montée avec Denis dans la voiture pour qu’il la dépose à la maison.
En chemin Denis a posé sa main sur la cuisse de ma femme en lui disant qu’elle devait tenir sa promesse.
« Mais tu m’as déjà baisé » lui dit-elle.
« Oui mais là j’ai envie de me faire sucer » a-t-il répondu.
Il s’est alors engagé dans une petite rue sombre tout près de la maison, s’est garé et à baisser son pantalon.
Sa bite était en érection et paraissait encore plus impressionnante.
Ma femme s’est détaché et penchée vers cette belle queue qui ne demandait que les faveurs de sa bouche.
Elle a commencé à le sucer avidement, il lui remplissait bien la bouche et elle aimait ça.
Sa bouche allait et venait sur cet énorme sexe en le léchant bien partout.
Elle l’a branlé, léché, sucé, titillé pendant un long moment, retardant même parfois l’éjaculation en diminuant la pression sur son sexe.
Au bout de plusieurs dizaine de minutes, n’y tenant plus il a alors maintenu la tête de ma femme sur sa bite pour lui envoyer la sauce bien au fond.
Plusieurs éjaculation bien garnis ont obligé Nathalie à avaler en plusieurs fois son sperme.
Elle lui a bien nettoyer le sexe en aspirant les dernières goutes de son nectar.
« Allez maintenant dépose moi chez moi je suis crevée » lui dit-elle.

Quand elle s’est glissée dans les draps, elle est venue m’embrasser en mettant sa langue dans ma bouche.
Le gout du sperme d’un autre dans sa bouche m’a fait comme un électrochoc et mon sexe s’est dressé aussitôt.
Elle est montée sur moi s’est empalée sur mon sexe en me disant :
« Je te raconterais tout demain, en attendant laisse aller ton imagination avec le gout que tu as senti dans ma bouche ».
J’ai continué à l’embrasser en allant et venant dans sa chatte et nous n’avons pas tardé à jouir ensemble.

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