Sans Titre

Je me présente : je m’appelle Elodie, j’ai 30 ans, et après une mauvaise séparation, il m’a fallu 6 ans pour reprendre confiance en moi et accepter mon corps, qui, après une dure épreuve, avait sacrément changé.
J’ai vécu 7 ans avec un homme que j’ai aimé passionnément, mais qui m’a trompée. Amoureuse comme je l’étais, ce fut difficile, j’ai sombré dans la dépression et surtout, j’ai pris 15 kg que je n’arrive plus à perdre.
Depuis 6 ans, je n’ai pas eu de mec, car je les repousse tous. J’ai peur de souffrir encore, mais inutile de dire que le sexe me manque énormément et que je me « touche » régulièrement.
Un soir, lors d’une soirée entre copines, j’ai été abordée par un inconnu qui m’a invitée pour danser un slow. Très vite, il a essayé de me coller, réveillant en moi les démons de l’amour. Je tentai régulièrement de le repousser un peu, mais il revenait chaque fois à la charge. Tout en dansant, il m’a entraînée dans un coin plus sombre de la piste et en a profité pour caresser mes énormes seins tendus sous le tee-shirt. Il sentit que je m’abandonnais doucement à ses caresses et me proposa de sortir pour prendre l’air…
Nous nous sommes assis sur un banc, et après quelques baisers langoureux, il m’a simplement dit vouloir me faire l’amour. Là, j’ai eu un blocage. Je me suis sentie obligée de lui raconter mon histoire, j’avais peur de me retrouver dans les bras d’un homme et de reculer au moment fatidique. Il a trouvé ça très sympa et m’a proposé de réapprendre une vie sexuelle normale. Sous ses baisers torrides et ses caresses appuyées, je lui ai finalement donné mon accord. Il s’est éloigné un instant pour donner un coup de fil sur son portable et, tendrement m’a pris la main pour m’entraîner vers sa voiture. Il me dit s’appeler Anthony et il voulait me faire l’amour « proprement », chez un ami qui lui prêtait son appart pour la nuit. Il m’offrait un moment à moi, rien qu’à moi… Il y avait si longtemps que je ne m’étais pas trouvée seule avec un homme … Je n’en pouvais plus et ne pensais qu’au moment où il allait me prendre dans ses bras et me faire l’amour…
Arrivés chez son ami, nous avons eu la surprise de constater qu’il n’avait pas quitté les lieux (était-ce une surprise pour tout le monde ?) Prise de panique, j’ai demandé à Anthony de partir.


- Non, on va aller dans la chambre toi et moi, tu n’as plus envie ?
Un tendre baiser et quelques caresses dans mon dos eurent raison de ma peur.
Il m’entraîna dans la chambre et sans tendresse, m’aida à ôter mon tee-shirt et à faire glisser ma jupe longue. Il observa longuement ce corps difforme que je détestais tant, semblant se lécher les babines d’avance.
- Maintenant, on va voir ce que tu sais encore faire !
Il ouvrit sa braguette, sortit sa queue déjà bandée et me regarda en souriant.
- A genoux ! Allez, suce !
Interloquée, je m’agenouillai en tremblant devant son engin. Je n’allais pas assez vite à son goût, il saisit mes cheveux et amena mes lèvres encore closes sur son gland cramoisi.
- Suce ! Et applique-toi !!
Dès que j’ouvris la bouche, il enfonça sa queue. Tenant ma tête de chaque côté, il me fit faire des va et vient sur toute sa longueur. En fait, ce n’était plus moi qui le suçais, mais lui qui me baisait la bouche. Sa bite grossissait encore et encore, fabuleux ! C’était si bon, j’avais presque oublié ! Il se dégagea d’un coup, sans doute par peur de jouir. Délicatement, de mes mains potelées, je caressai ses couilles toutes dures en le regardant dans les yeux. Il s’était un peu calmé. Il me fit relever, m’embrassa longuement et réussit à dégrafer mon soutien-gorge de dentelle noire. Mes gros seins glissèrent le long de mon ventre rebondi. Il se mit alors à me triturer les mamelles, tirant sur mes tétons, avant de les prendre dans sa bouche et de les aspirer comme un sauvage. J’étais dans un état d’excitation terrible, ma chatte coulait comme une fontaine. Il me poussa sur le lit, arracha mon string, écarta mes énormes cuisses et se jeta sur ma chatte inondée, langue en avant. Jamais on ne m’avait prodigué une caresse si profonde, il allait se noyer tellement je sentais ma cyprine couler. Bouche grande ouverte pour chercher de l’air, je m’accrochais à mes tétons, les prenant tour à tour entre mes lèvres pour les faire durcir encore.
Ma jouissance fut fulgurante. Je criai comme jamais je ne l’avis fait, je crois même avoir perdu un peu connaissance. Lorsque j’ouvris les yeux, ce fut pour voir le visage trempé d’Anthony qui me souriait.
- Tu vois, tu peux encore jouir !
Il vint se blottir doucement contre moi, la bite hypertendue, pour me laisser récupérer. Je pris son membre dans la main pour le flatter doucement. Je le sentais prêt à tout larguer, et je ne voulais surtout pas que ce soit dans le vide. En me contorsionnant un peu, je réussis à me pencher sur le lui et à le gober entièrement, jusqu’au fond de ma gorge, tout en grattant ses couilles de mes longs ongles violets.
- Je veux jouir dans ta bouche !
Je le recrachai un instant.
- Vas-y, je veux tout ton jus !
Je n’eus pas beaucoup d’efforts à faire, tant il était excité. Je posai simplement son gland sur ma langue, bien au fond de ma bouche et je le masturbai lentement. Je sentis sa jouissance monter dans sa hampe, ses couilles se sont durcies et une énorme giclée de liquide chaud et salé envahit ma gorge, suivie de plusieurs autres moins violentes, mais qui m’obligèrent à fermer la bouche pour ne rien perdre de cette merveilleuse semence. Quand j’ai eu tout avalé en savourant bien chaque gorgée de ce doux miel, je me suis bien appliquée à nettoyer cette belle queue qui m’avait tant régalée.
Je remontai pour me blottir dans ses bras quand la porte de la chambre s’ouvrit…
Je suis Jean, l’ami d’Anthony à qui j’avais prêté ma piaule pour qu’il fasse sa petite affaire avec une grosse pouffiasse qu’il avait dû trouver comme d’habitude dans une boîte mal famée. Le plus souvent, ça durait une demi-heure et basta ! Là, ça fait une heure qu’ils y sont et ça a l’air d’être chaud, car la fille, à un moment, s’est mise à crier. En tous cas, cela ne me laissait pas de marbre. Et d’un, je ne voulais pas dormir sur le canapé et de deux, j’avais la trique de les entendre s’envoyer en l’air. Et tout à coup, le silence ! Ils n’allaient quand même pas s’endormir là et me laisser sur le canapé.
Alors, soit ils dégageaient et me laissaient mon lit, soit je participais à la fête. (Ce ne serait pas la première fois avec ce cochon d’Anthony !) J’ouvris la porte de la chambre.
La fille poussa un cri, chercha un drap ou une couverture, ne trouva rein et finit par essayer de se cacher avec ses bras. Tu parles, ça débordait de partout. Quel engin ! Ces miches ! Ces cuisses ! Vraiment, il y avait de la place pour deux ! Anthony semblait fâché. Il tira le drap sur sa copine.
- Allez, fous le camp ! On n’a pas fini ! Tu fais ch… !
- Bon, OK, mais je veux dormir, moi ! T’as qu’à louer une piaule !
- Dégage !
Penaud, je refermai la porte et repartis vers mon canapé …Au bout de quelques minutes où je les entendis discuter ferme, j’entendis :
- Jean, viens !
- Qu’est-ce tu me veux ?
- Viens, Elodie est d’accord, elle n’a jamais fait ça avec deux mecs et ce soir c’est la fête, elle veut tout essayer.
Je les retrouvai tous les deux enlacés, à genoux sur le lit, en train de se rouler une pelle gloutonne. Le temps de me déshabiller et je me positionnai derrière Elodie et me collai à son dos. Sa peau était d’une douceur extrême et je pris plaisir à peloter allègrement ses bourrelets et son énorme fessier. Elle tourna le visage vers moi et je pus goûter à sa langue agile. Elle écarta les jambes, ma main réussit à s’immiscer entre ses fesses, mais impossible d’atteindre sa rondelle plissée. Tony, lui avait réussi à investir sa chatte, il avait certainement atteint un point sensible, car Elodie se mit à gémir délicieusement et à se tortiller tandis qu’il lui pinçait les tétons de l’autre main. Passant ses mains dans son dos, elle agrippa ma queue tendue tout en m’enfonçant sa langue dans la bouche. C’est elle qui se dégagea.
Elle nous fit mettre côte à côte, à genoux .A quatre pattes devant nous, elle prit une bite dans chaque main et entreprit une branlette à couper le souffle en nous regardant dans les yeux. Puis elle se pencha et engloutit ma bite, puis celle de Tony, elle alterna ainsi pendant quelques minutes.

- Maintenant, je suis prête, je veux vos bites ! Allez Anthony, ma chatte est à point ! Et surtout, à fond !
Mon copain ne se fit pas prier. Il prit place derrière le large fessier, écarta les globes. Elodie, passant sa main entre ses cuisses, positionna le gland cramoisi entre ses grandes lèvres et attendit. Tony s’enfonça d’un coup jusqu’à la garde. Elle me regarda, ouvrit la bouche en grand comme si elle manquait d’air et poussa un cri.
- Oui !!! Vas-y, défonce !
Accroché à ses hanches, il se mit à la pilonner comme un sauvage. On entendait son ventre claquer sur les fesses molles, ses « Han ! » à chaque poussée et les petits cris de souris d’Elodie.
Je me sentais un peu délaissé. Aussi je saisis ses cheveux, relevai sa tête et collai ma bite gonflée sur ses lèvres closes. Profitant d’une poussée d’Anthony, la bouche s’ouvrit et j’en profitai y pour enfoncer mon pieu. Elle ne faisait plus rien que se laisser baiser par la chatte et par la bouche. Les yeux fermés, elle s’abandonnait à son plaisir qui semblait immense. J’étais tout près de jouir, mais je voulais également goûter à sa moule que j’entendais chuinter à chaque coup de queue de mon ami : elle devait être trempée ! Au moment où je sortais de sa bouche, elle se mit à trembler de toute sa graisse et poussa un terrible cri de jouissance comme je n’en avais jamais entendu. Elle fut suivie de quelques secondes par le grognement de Tony qui, enfoncé jusqu’à la garde, collé contre le dos d’Elodie, déversait son sperme au fond de sa matrice. Elle n’était pas calmée pour autant. Elle repoussa Tony, me fit allonger, m’enjamba, saisit mon vit, l’ajusta à son abricot baveux et s’empala d’un seul coup. Sa chatte, inondée de cyprine et de sperme était une véritable fournaise et glissait à merveille. Malgré son poids, elle savait parfaitement régler ses mouvements et se donner du plaisir. Elle montait, descendait d’un coup, puis me triturait la tige avec ses muscles internes. Ses seins claquaient sur mon torse. Anthony, qui avait du mal à récupérer de sa jouissance est venu s’en occuper. Il les malaxait sans douceur, pinçait un peu sauvagement les gros tétons noirs, mais elle aimait ça et le fit savoir en poussant à nouveau un terrible beuglement, signe d’une troisième jouissance de la soirée. Couchée sur moi, elle faillit m’. Mais décidément, cette femelle était vraiment en chaleur ! Elle resta assise sur moi, prit Tony dans ses bras et ne bougea plus. A la seule force de ses muscles internes, elle parvint à me faire gicler une énorme quantité de foutre au fond de son vagin brûlant. Jamais encore on ne m’avait fait cela. Elle se dégagea, se coucha, nous prit chacun d’un côté de son corps devenu splendide d’un seul coup et posa notre tête sur chacun de ses seins un peu flasques et nous garda tout contre elle.
- Vous avez été merveilleux, mais j’en veux encore !



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