Histoire Sans Titre

Il y a quatre ans, nous étions partis, mes parents et moi, au bord de l'atlantique. J'ai aujourd’hui 20 ans. Mes parents avaient loué une villa à quelques pas de la plage. Le matin, grasse matinée et course et l'après midi plage : bronzing essentiellement pour ma mère et lecture et mots croisés pour mon père.
Quant à moi, lecture, baignade, bronzing... Quand ma peau était brûlante, j'accourrais vers la mer où je me plongeais avec délice. Le lendemain de notre arrivée, alors que je me précipitais vers l'eau, je sentis que j'étais suivie dans ma course et quand j'ai ressorti ma tête de l'eau, je vis un garçon blond mince, musclé et un sourire magnifique qu'il m'adressa.
Puis "salut, je m'appelle Damien et je viens d'arriver ici et je ne connais personne.
Moi c'est Dorianne, je suis arrivée hier, avec mes parents...
Nous échangeâmes quelques mots et je le détaillais. Ses yeux bleus me scrutaient, il était beau... Je donnais le maximum pour donner la meilleure impression.
Il venait de Paris et je lui avouais que j'étais une provinciale du centre de la France.
Nous sortîmes de l'eau, et je pouvais admirer le bellâtre aux yeux d'azur.
Je rejoignais mes parents, puis ramassant ma serviette je rejoignis mon nouveau copain.
Le soir arrivé, nous nous quittâmes et il me demanda de venir le rejoindre le lendemain matin au même endroit, sur cette plage. Je répondis évasivement, ne lui promettant rien, mais que c'était possible ... (J'étais sûre que j'y serais)
Le lendemain matin vers les 10 heures, alors que le soleil frappait déjà je me rendais à la plage, vêtue de mon maillot de bains et d'un paréo une serviette sous le bras.
Je recherchais l'endroit où nous avions rendez-vous, quand je vis Damien, étendu sur une grande natte qui me faisait de grand signe pour m'avertir de sa présence. Nonchalamment je me dirigeais vers lui, lui adressant un sourire. Il se releva et m'embrassa sur les joues et m'invita à me poser sur sa natte.

Il n'y avait pas grand monde, sauf quelques ramasseurs de coquillages.
Nous échangeâmes quelques balivernes assis face à l'océan. Tout doucement, je sentis qu'il s'approchait et nos épaules s'effleuraient, ce qui me mit dans un état d'excitation grandissante. Sa main finit par se poser sur la mienne. Je profitais de ce geste pour étreindre sa main répondant à son appel. J'avais rêvé de ce moment là toute la nuit. Toute la nuit j'avais virtuellement embrassé ce beau blond aux dents nacrées.
Il se pencha vers moi et posa ses lèvres sur les miennes. Mon coeur battait à cent à l'heure. Sa langue força ma bouche que j'ouvris, répondant à ses baisers. Ses mains caressaient mes épaules et je me laissais faire. Nous nous étendîmes sur la natte, ignorant le monde qui nous entourait. Nous n'arrêtâmes pas de nous embrasser goûtant à la bouche de l'autre avec délice. C'était la première que je ressentais autant de désir et je sentis que le fond de ma culotte était trempé, excitée au possible. Lui, me serrant dans ses bras avec délicatesse ne cachait pas son excitation et la déformation de son maillot montrât une bandaison certaine.
Ses mains maintenant se déplaçaient et avaient glissé sous mon soutien gorge et ses doigts s'attardaient sur mes mamelons dressés et tendus. Puis, prenant son temps, sa main longea mon ventre puis glissa derrière l'élastique de mon slip de bain, caressa ma toison frisée et atteignit ma vulve trempée. Mon bassin ondulait sous sa caresse, ses doigts pénétrèrent lentement mon vagin. Une serviette protégeait nos caresses des regards indiscrets mais qui ne laissaient aucun doute.
Damien arrêta ses caresses et me chuchota dans l'oreille de quitter la plage pour nous rendre dans les dunes. J'acceptais tout de suite, me relevais, nouant mon paréo autour de la taille, ce qui cacha la tâche de ma culotte, puis, main dans la main nous nous dirigeâmes dans les dunes. Nous étendîmes notre natte et nous nous allongeâmes précipitamment pour reprendre notre étreinte amoureuse.
Sa main glissa sur mes fesses dégageant mon maillot puis se dirigea vers mon sexe toujours trempé. J'hasardais une main et atteignis son membre tendu. Membre que je caressais avant de le découvrir le faisant sortir de sa prison. Un membre fin et long, naturellement décalotté, très tendu. Je cessais de l'embrasser pour admirer ce sexe de garçon que je n'avais vu que dans un film porno que mes parents avaient caché dans leur armoire. Et comme, dans le film, je décidais de sucer ce gland lisse et long.
Je fus surpris par son goût et au fur et à mesure que ma bouche aspirait ce sexe j'y pris du plaisir. Damien, au bout de quelques minutes pivota son corps et vint se positionner entre mes cuisses et sa langue délicatement fouilla ma chatte brûlante. Langue qu'il plongea dans mon vagin puis la pointe vint titiller mon clitoris. Mon plaisir atteignit son maximum et la cyprine coula abondamment quand j'atteignis l'orgasme.
Je continuais à sucer Damien, et peu après mon orgasme, je sentis sa verge se raidir encore plus et plusieurs saccades de sperme giclèrent dans ma bouche. J'avalais tout avec délice, ne recrachant aucune goutte. Nos corps se relâchèrent, sa langue entre les lèvres de mon sexe et sa queue se remplissant dans ma bouche.
Nous reprîmes notre position côte à côte continuant à nous embrasser. Nos bouches avaient le goût du plaisir ; cyprine et sperme.
Rapidement Damien avait reprit la forme et son sexe reprit la forme du croissant pointant vers son ventre. Il me mit sur le dos s'installant entre mes cuisses puis s'aidant de sa main dirigea son gland entre les lèvres toujours trempées de mon sexe. Lentement, il progressa. Je l'avertis de ma virginité. Il ralentis encore plus sa progression et arrivant à l'hymen, s'arrêta puis avec précaution força, une douleur au moment de la déchirure, qui s'estompa avec le plaisir. Une fois arrivé au fond, il s'immobilisa et reprit son va et vient souple tout en m'embrassant. Son visage grimaçant m'annonça l'arrivée de son coït.
Le corps tendu il resta immobile dans le fond de mon ventre. Il retira sa verge ramollie et en sueur vint s'allonger contre moi.
Je détendis mes jambes, et je sentis le jus couler entre mes fesses. J'étais heureuse de plaisir et heureuse d'avoir franchi ce pas fatidique…

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