Les Années Soixante 01

A dix huit ans, j’étais encore puceau et à cette époque sortir avec des filles n’étais pas une mince affaire.
A cette époque, où la majorité étais à vingt et un an, nous savions peu de choses sur les filles et les magazines érotiques étaient rares.
Les copains nous racontaient un tas de choses car la documentation sur ce sujet nous faisait défaut.
Je me souviens de « Paris Hollywood » en sépia où les histoires nous faisaient « bander » et les femmes à poitrines généreuses nous faisaient rêver.
Les photos de ces femmes présentaient toujours le sexe censuré…dommage.
Plus tard il y eu « Play Boy » et « Lui ».
Avec mon frère Hervé, nous avions organisé un petit jeu pour explorer de plus près le sexe des filles de notre âge.
Dans l’immeuble où nous habitions, nous avions la chance d’avoir plus de filles que de garçons, elles avaient notre âge et nous les connaissions déjà depuis de nombreuses années.
Les rares moments de « rapprochement » avaient eu lieu au cours de petites fêtes « sur boum »
Il y avait : Elisabeth, Martine, Annick et Clotilde.
Nous avions organisé des séances spéciales qui avaient lieu le jeudi dans un local loin des regards.

Elisabeth :
On se réunissait dans un petit local (normalement réservé au stockages divers) mais au fil du temps, c’était devenu « notre local » .Il était à l’abri des regards et l’on pouvait donc en toute tranquillité faire ce dont nous avions envie les une et les autres :
Découvrir l’autre et en même temps, connaître les premiers frissons de l’amour
Je me souviens d’Elisabeth qui fut la première à toucher mon sexe et à le caresser.
Elle le regardait durcir dans sa main en faisant aller et venir la peau qui recouvrait mon gland.
Evidemment, je m’étais souvent branlé et je savais ce qui allait arriver si ce petit manège continuait.
Le plaisir était intense et je lui demandais d’arrêter un moment et je vis dans ces yeux une grande satisfaction du plaisir qu’elle me procurait.


Sa main quitta mon sexe et descendit vers mes couilles qu’elle commença à malaxer.
Ca te fait du bien me dit-elle ? Tu veux que je te suce, moi j’en ai envie ?
Je vérifiais si la porte était bien verrouillée.
Elle se mit à genoux devant moi et lécha le bout de mon gland qui disparu dans sa petite bouche bien chaude.
Sa langue tournait autour de mon gland et je sentais que j’allais exploser dans sa bouche.
Ma verge était dure comme jamais elle l’avait été, l’excitation était à son comble, mes jambes commençaient à trembler.
De voir mon sexe dans la bouche d’Elisabeth était un spectacle extraordinaire, une vision impensable même en rêve.
Je donnais des mouvements saccadés d’avant en arrière.
Hum..hum dit-elle , elle retira mon sexe de sa bouche.
Tu ne vas pas jouir dans ma bouche ?
Quel langage de la part d’une fille qui allait dans une école privée, comment savait-elle ça ?
Elle continua son mouvement de va et vient et une secousse électrisa mon corps tout entier en envoyant une giclée sur le gilet d’Elisabeth.
Mes jambes ne répondaient plus, j’étais comme foudroyé et comme elle continuait le mouvement, un flot de sperme s’écoula de ma verge tendue.
Elle ne parue pas étonné en me disant : ça fait du bien hein !
Elle me dit : tu sais, j’ai vu mes parents plusieurs fois faire l’amour et comment ma mère faisait avec mon père.
Au début j’ai trouvé que c’était sale et j’en ai parlé avec les copines d’école qui m’ont dit que c’était normal,
Que toutes les femmes faisaient ça à leur mari (on appelle ça, faire une pipe).
Certaines prennent même du plaisir à avaler le jus.
J’imaginais la situation des parents d’Elisabeth tout en rangeant mon sexe et me rhabillant
Je lui demandais : tu veux que je te caresse pour te donner du plaisir ?
Elle me fit signe que oui de la tête et me dit : ça me changera de mes masturbations en pensant à toi !
Cela me fit plaisir et je pensais aussi au temps perdu chacun de notre coté.

J’avais lu que pour faire jouir une femme il fallait caresser le clitoris, une petite boule de chaire en haut de la chatte.
Je glissais ma main dans sa petite culotte blanche en coton qu’elle portait.
Je mis un doigt entre les lèvres de sa chatte bien mouillée puis le retira pour le lécher, je sentis une forte odeur qui ne me déplaisait pas.
Je fis glisser sa petite culotte le long de ses jambes pour bien écarter et voir ce fruit juteux entouré de quelques poils duveteux.
Je me mis à mon tour à genoux pour mettre ma tête devant son sexe rose et luisant.
Afin de mieux écarter sa chatte, elle se débarrassa de sa culotte et plaça une de ses jambes sur un sac de chiffons qui était stocké dans le cabanon.
Mon nez se mit contre ses lèvres et je senti cette bonne odeur qui me provoqua une nouvelle érection.
Elle se mit à gémir et poussa des petits cris quand je me mis à lécher à grands coups de langue son petit abricot.
Oui, oui, encore… ! Dis-t-elle en me prenant la tête et me tirant les cheveux, elle appuyait fort sur ma tête et ma bouche s’écrasait sur sa chatte.
Une de mes mains passa par derrière pour lui caresser les fesses, c’était une première là encore, quelle douceur ?
Pendant que ma langue s’attaquait à la petite boule qui procure tant de plaisir aux filles, ma main se dirigea vers la raie des fesses.
Elle devait apprécier car elle se cambra davantage pour que j’explore cette région.
Mon doigt effleura son anus mais je n’osais pas l’introduire de peur de sa réaction.
Elle continua à gémir de plus belle pendant que je m’activais goulûment, son corps se raidit d’un seul coup et ses mains se crispèrent sur ma tête.
Comme un petit chien elle se mit à japper puis quelques saccades secouèrent son corps pantelant
Oh c’est bon ! Tu m’as fait bien jouir !
J’étais excité comme jamais je ne l’avais été et fier d’avoir fait jouir une fille, mon sexe était bandé à mort.
Sa fente ruisselante de ma bave et de son jus brillait malgré la faible lumière qu’il y avait.

J’ai encore envie, regarde l’effet que tu me fais ! En lui prenant sa main pour la mettre sur ma bosse.
Je ne vais pas te laisser comme ça, je vais arranger ça ? Dit elle en riant
D’une petite main agile, elle sortit mon sexe qui n’en pouvait plus et l’attira vers son sexe.
Mon gland contre sa chatte était une nouvelle sensation et c’était vraiment exquis.
Elle frotta pendant un moment l’entrée de sa petite chatte bien juteuse et je sentais en moi un bonheur intense m’envahir.
Elle aussi gémissait en se branlant avec mon sexe et son excitation me fit perdre l’équilibre car nous étions debout.
Je la fit s’assoire sur le tas de chiffons pour que se soit plus confortable et dégagea par la même occasion les boutons de sa robe pour voir sa petite poitrine.
Elle se pencha en arrière et sa tête disparue dans le tas de chiffons.
Je fus agréablement surpris de voir sa poitrine qui n’était pas très grosse, mais ses deux mamelons étaient tout dressés.
Je les caressais et les embrassais pendant que sa main dirigeait mon sexe tendu vers sa fente.
Elle se tortillait dans tous les sens en se masturbant avec mon gland, elle gémissait un peu trop fort et quand survint sa jouissance,
Elle abandonna mon sexe qui était près à exploser pour se masturber avec sa main pour atteindre l’orgasme.
Elle poussa un petit cri quand son corps se raidit pour la deuxième fois.
Je fis de même en secouant énergiquement mon sexe sur son ventre et après quelques mouvements elle me dit
Attends je vais te faire jouir…c’est trop bon !
J’en pouvais plus et à peine avait-elle pris mon sexe dans sa main que celui-ci explosa en longs jets chauds sur son ventre
J’étais épuisé par cette jouissance et mes jambes me faisaient mal
Les chiffons « propres » qui étaient là nous ont bien servi.
Le bruit que nous avions fait avait attiré l’attention des autres, quand ils frappèrent à la porte
Alors…qu’est-ce que vous faites là dedans ?
Rien on discute !
On avait l’air de deux fous et Elisabeth remis de l’ordre dans ces vêtements avant de m’embrasser voracement comme jamais je l’avais vécu.

Nos langues se mêlèrent, nos corps se rapprochèrent et nos respirations recommencèrent à s’accélérer.
Je sentis une nouvelle fois des démangeaisons au niveau de mon sexe.
On frappa de nouveau à la porte, il fallait ouvrir
Et bien vous en avez mis du temps ! dit mon frère
Ils nous regardaient tous, il y avait Hervé, Annick, Martine et Clotilde ainsi que le petit frère d’Annick
A peine sortie, Elisabeth se mit à courir pour rentrer chez elle (oubliant sa culotte) !
Discrètement je mis la petite culotte dans ma poche.
Mon frère pris ma place avec Annick sans que je sache ce qui pouvait se passer à l’intérieur tandis que moi et les autres allions écouter de la musique.
J’étais un peu fatigué mais comblé.

A suivre…

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