Mes Années Lycée

L’année continua comme elle avait commencé. Nous avions entamé, en Éducation Physique et Sportive, un trimestre sur la natation. Étant un excellent nageur, les cours donnés aux élèves me paraissaient inutiles, je passai donc la majorité des cours à ne rien faire, sachant que j’aurai quand même la note maximale à l’évaluation. Il se trouva que Charlotte était elle aussi une très bonne nageuse ainsi qu’une autre fille de ma classe qui s’appelait Sarah et qui était amie avec Louanne et Charlotte. Le premier cours, une épidémie de grippe et de rhume avait frappé le lycée. Sur les 34 élèves de ma classe, nous n’étions plus que 22. Mes amis Corentin et Henri étaient absents, le premier ne s’étant toujours pas remis de sa mononucléose et le second souffrant d’une vilaine grippe. Je me suis donc retrouvé donc retrouvé seul dans ma ligne d’eau, mes amis étant absents. Charlotte traversa donc la piscine en nageant pour venir me voir et me dit bonjour, claquant de ses lèvres fraîches mes joues brûlantes.
-Tu n’es pas obligé de piquer un fard non plus, rigola Charlotte. Tu m’as vu avec mon de vêtements que ça.
-Je sais, mais ton maillot de bain est très beau, répondis-je. À peine ai-je dis cela que je me rends compte de la bêtise et de la naïveté de ma remarque. Louanne n’est pas là ?
-Non, elle est malade, répondit Louanne en se retenant de rigoler de ma remarque initiale. Mais elle m’a dit de te dire qu’elle te remboursera bientôt ce qu’elle te devait.
-Me rembourser quoi ?
-De ce que tu nous as fait dans la salle de latin. C’était génial. D’ailleurs moi aussi je te dois quelque chose pour ça.
-Mais vous m’aviez fait aussi quelque chose, protesta-je.
-Oui, mais ce que tu nous as fait était mille fois mieux. Et puis on a un peu hâte de revoir le monstre, ajouta-t-elle avec un clin d’œil puis en regardant dans l’eau, au niveau de mon maillot. D’ailleurs, tu me rejoins dans le vestiaire ? J’ai un truc à te montrer.


-Euh d’accord, dis-je désemparé par sa question inattendue.
Elle sortit de l’eau de l’eau et quitta discrètement les bassins pour aller vers les vestiaires collectifs. Que voulait-elle me montrer ? Ou plus vraisemblablement, que voulait-elle y faire ? Et puis je risquais beaucoup en allant dans le vestiaire des filles seulement un quart d’heure après le début du cours. Mais le prof avait fait l’appel aux bords du bassin, il ne risquait donc pas d’y avoir grand monde. Je fis une longueur et sortis de l’eau à mon tour, n’en revenant toujours pas de ce que j’allais faire ; aller dans le vestiaire des filles. Un rêve que beaucoup voudront réaliser. Mais là, il n’y aurait qu’une fille. Enfin j’espère.
Arrivé devant la fameuse porte, je pris une grande inspiration et frappa. « Entrez » fis la voix étouffée de Charlotte. J’ouvris et là, miracle, je vis Charlotte debout, entièrement nue, son maillot de bain une pièce trempé à la main. Dieu qu’elle était belle. Sa silhouette longiligne est magnifique ; ses petits seins pointant, son ventre plat, sa peau presque bronzée malgré la saison. Un sexe imberbe et un visage magnifique, avec de longs cheveux bruns plaqués par l’eau chlorée de la piscine ainsi que des yeux où règne une lueur sensuelle. Des traits délicats et empreints de beauté. Ma vision me coupa le souffle. Puis je me ressaisis et regarda le légendaire vestiaire féminin. Il n’y avait personne d’autre que nous deux mais il ressemblait fortement au vestiaire masculin, mais avec des vêtements et des sacs féminins. Comme notre vestiaire, il y avait une cabine personnelle pour que chacun puisse se changer tour à tour. Puis je me concentrai sur Charlotte qui s’était approché de moi pour m’embrasser. Elle lâcha son maillot trempé qui atterrit par terre. Ses lèvres rencontrèrent les miennes et je sentis son bras passer autour de mon cou. Ne sachant où mettre les miens, je les passai dans le dos de son dos. Elle se colla à moi, ses seins collés à ma poitrine.
Mon sexe, qui commençait déjà à durcir, s’éveilla complètement et déforma mon caleçon de bain.
Charlotte interrompit notre baiser et me demanda en souriant :
-Toujours puceau depuis la semaine dernière ?
-Oui et toi ? Répondis-je sans réfléchir, comme si elle m’avait demandé si j’allais bien. Son sourire s’agrandit et je souris aussi.
-Je suis resté quatorze mois avec Maxime et tu me crois encore vierge ?
-Je ne sais pas, vous avez dit que Maxime n’était pas très bon au lit.
-Justement, di-elle avec logique. Si je le sais, c’est que j’ai testé. Et crois-moi, je le regrette. Assez parlé de ça, conclut-elle. Mets ça.
Elle s’écarta de moi et me donna un préservatif qu’elle tenait dans sa main.
-Alors tu vas rire, dis-je. Bien que je sais où cela se met, je ne sais pas le mettre.
-Ne t’inquiète pas, sourit-elle. Je vais m’en occuper.
Elle s’agenouilla devant moi et baissa mon maillot, dévoilant mon sexe gonflé par l’envie. Elle le contempla quelques secondes et le branla doucement de sa main libre. Elle posa ses lèvres sur le bout de mon sexe, puis le prit franchement dans sa bouche. Ses lèvres humides caressèrent mon sexe s’enfonçant dans sa cavité. Elle se mit à faire des allers-retours, déclenchant des râles de plaisir de ma part. Elle retira mon sexe de sa bouche au bout de quelques minutes qui me semblèrent quelques secondes. Elle m’adressa un grand sourire et ramassa le préservatif. Elle l’ouvrit, le mit sur mon gland et le déroula pour qu’il couvre toute ma colonne de chair.
-Voila comment ça se met, ajouta-t-elle en se retenant de rigoler.
-Je saurai à l’avenir, dis-je en rigolant un peu nerveusement.
Elle se releva en rigolant et me dit de m’allonger, ce que je fis. Le carrelage froid contrastait avec mon dos brûlant. Elle vint se mettre au-dessus de mon sexe tendu vers le plafond, et s’assit juste sur moi, juste devant ma colonne de latex. Elle continuait de me sourire, puis elle tendit sa croupe vers mon gland et s’y empala lentement.
Voir ses petites lèvres descendre le long de mon sexe m’excita prodigieusement. Elle descendit jusqu’à la garde, ses fesses touchant mes couilles. Elle gémit et resta quelques secondes immobiles. Elle se passa la main dans les cheveux, inspira un grand coup et se mit à faire des petits mouvements de hanches, d’avant en arrière. La sensation était tellement agréable, bien plus que la fellation qu’elle avait faite quelques jours avant. Elle allait d’avant en arrière, soulevant un peu ses hanches. Elle gémissait bruyamment, les cheveux bougeant en rythme avec ses hanches. Ses yeux clos, son visage concentré sur ses gestes et sa bouche entr’ouverte achevèrent de m’exciter. Je passai mes mains dans le bas de son dos, saisissant ses petites fesses rondes à la peau si douces que je caressai, suivant le rythme qu’elle m’imposait. Elle cambra son dos, faisant ressortir son ventre lisse et ses magnifiques petits seins. Je les saisis, les caressant et jouant avec ses tétons durcis. Je les caressai longuement puis promenai mes mains partout sur son corps de déesse, allant de son ventre à ses cuisses. Ses gémissements se firent plus aigus et tout à coup, tout se corps se relâcha, ses muscles se détendirent et son visage fut embelli par un plaisir apparent. Elle se caressa un sein puis arrêta ses mouvements de hanche. Elle se redressa et retira mon sexe encore dur de son puits d’amour en le tenant d’une main.
-Ah oui tu bandes encore, constata-t-elle.
-Oui, répondis-je, gêné et rougissant.
-Tu n’as pas à avoir honte, sourit-elle. C’est même mieux de durer plus longtemps, comme ça on peut le faire plusieurs fois à la suite.
Sur ces mots, elle me fit un clin d’œil et se mit à quatre pattes devant moi, prenant le soin de mettre son maillot sous ses genoux. Je vis ses fesses parfaites pour la première fois, admirant leurs courbes magnifiques. Paralysé par la vue de son fessier parfait, je restai immobile.
-Qu’est-ce que tu attends ? Dit Charlotte en me tournant la tête pour me sourire.

-Euh rien, répondis-je en m’avançant.
Je me mis respectueusement à genoux derrière sa croupe parfaite. Je posai mes mains sur hanches et guida mon sexe vers sa fente, source de plaisirs. Je le posai à l’entrée et voulut la pénétrer tel quel, mais elle me dit :
-Doucement, tu as un gros diamètre à faire rentre.
Je la pénétrai donc lentement, m’enfonçant doucement dans ses entrailles, jusqu’à ce que mon bas-ventre touche ses fesses. Surpris, je reviens vite pour y rentrer brusquement, la faisant crier.
-Aie !
-Désolé, dis-je sincèrement.
-Non, continue, dit-elle en constatant que j’avais cessé mes va-et-vient. Continue aussi vite, je vais m’habi.
En effet son vagin était très étroit et accueillait difficilement mon sexe. Mais il l’avait déjà fait, donc je repris mes mouvements à ma cadence initiale. Ses fesses claquèrent contre mon bas-ventre tandis qu’elle gémissait, cette fois-ci de plaisir. Nous continuâmes ainsi plusieurs minutes qui semblèrent passées en quelques infimes secondes, elle criant son plaisir, moi lui procurant. Emporté par la houle de plaisir, nous jouîmes en même temps, elle criant dans les aigus, moi remplissant la capote en soupirant de joie. Je me retirai donc d’elle et enleva la capote. L’aine délicieusement douloureuse, je me levai pour mettre le réceptacle de ma semence à la poubelle. Charlotte se releva en me souriant et renfila aussitôt son maillot. Elle me souffla un « merci » ce à quoi je répondis la même chose. Je me rhabillai moi aussi et nous sortîmes du vestiaire, rejoignîmes les bassins et reprenant le cours comme si de rien n’était.

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