Souvenirs De Marsa Matrouh
Marsa Matrouh est la ville baleinière où Rommel avait installé son quartier général au cours de la deuxième guerre mondiale. Elle est connue pour ses plages de sable fin et blanc, son eau de mer couleur d'azur et ses plages désertes. Matrouh domine une magnifique baie en forme de crique ouverte sur la gauche sur la mer méditerranée reliée sur sa droite à un lac d'une surface importante. De l'autre coté du port où j'habitais avec mes parents, se trouve la caverne de Rommel jonchée sur une presqu'île qui donne sur son coté Nord sur la mer ouverte coupé par des falaises de 10 à 15 mètres de hauteurs.
A cette époque j'avais 18 ans, jeune athlète beau garçon yeux vert de 178 cm, il n'y avait que la mer et des balades à faire dans tout les recoins. Chaque jour vers 14.00 H. je commençais mon entraînement quotidien, habillé en short, une paire de godasses et une casquette pour me protéger du soleil ardent. Je me lançais dans une course qui me conduisait toujours vers le versant de la presqu'île avec ses sentiers et monts et vallées. Vers 15.30, couvert de sueur j'atteignais la partie la plus éloignée du lac, une plage discrète et déserte, personne dans les alentours. Nu comme un vers je me jette dans cette eau fraîche et nage pour une bonne demie heure. A un certain moment je me sentais épié, rien dans les alentours je sort de l'eau et m'allonge sur le sable fin. Soudain, sortant de je ne sais où un jeune bédouin de mon age s'approche et me regarde en souriant. A force de prendre des bains de soleil à Alexandrie ma ville natale, mon maillot de bain avait laissé une trace blanche sur mon corps nu exposant mes fesses à leur couleur naturelle. Arrivé à 15 mètres il s'arrête, sourie et continue son chemin en me faisant signe de la main. Je reprends le chemin du retour pour retrouver mon inconnu entrain de nager nu comme un vers.
Au bout de quatre jours avec cet hasard de rencontre quotidienne nous sommes devenus des amis, Aly, comme il s'était présenté, habitait Matrouh mais n'osait jamais se baigner ainsi qu'après m'avoir vu, chose que nous continuant à faire ensemble.
Un jour Aly apporta avec lui le nécessaire pour me faire goûter le thé à la menthe bien renommé de Matrouh, mais il fallait trouver du bois dans les alentours afin de préparer le feu. Tous les deux assis sur le sable côte à côte nous bavardions comme de vieux amis, notre discussion convergea bien sûr sur le sexe prenant en compte les coutumes locales strictes des bédouins. C'était l'heure du thé, nous avions des difficultés à allumer le feu, sur ce j'étais obligé de me mettre à quatre pattes et de souffler sur le début des flammes pour ranimer le feu. Sans me rendre compte j'avais offert ainsi ma croupe blanche à Aly assis derrière moi et qui ne faisait que fixer mon illet vierge à ce jour. Je sentais milles piqûres provenant du sable fin collé sur mes fesses. Je commençais à m'essuyer mais sans vraiment réussir, à ce moment Aly vient en aide avec sa gourde pleine d'eau de mer. Il commença à asperger mes fesses avec l'eau mais le sable collé toujours. Je ne me suis pas rendu compte qu'il bandait. Je senti tout à coup ses mains qui essayaient d'enlever ces grains de sables sur mes fesses, pour la première fois de ma vie un homme touche mes fesses, j'ai senti une décharge électrique provenant de je ne sais où, je ferme les yeux pour une seconde, j'ai senti un plaisir, je ne dis rien. Il repart rechercher de l'eau pour terminer son nettoyage. Ces attouchements étaient plutôt des caresses, je sentais ses doits s'insinuer dans ma raie, se dirigeant doucement vers mon illet brun, le contournant et se dirigeant vers mes couilles, une sacré caresse. Je le laissai faire en fermant les yeux. Il remonte ses doits, continue vers mon anus, ses doits deviennent de plus en plus doux. Mes fesses sont maintenant propre Aly se penche et je sent ses lèvres chaudes qui se posent et qui embrasse directement cette ouverture vierge offerte à ses yeux, je ne pouvait bouger je savourais cette chaleur qui me couvrait, je ferme les yeux et je le laisse faire.
Nous nous sommes regardé et nous avons éclaté de rire.
Cette aventure a été suivie par d'autres tout le long de mon séjour à Marsa Matrouh.
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