Souvenir De Mamie

Mamie a 80 ans. Elle ne connait plus depuis longtemps le plaisir sexuel et ça lui manque.
Elle a une jeune et jolie voisine qui lui rend visite souvent: la mamie est très agréable, elle a toujours un caractère jeune dt elle est pleine d'entrain. Un jour elle demande à la jeune voisine si elle veut entendre ses souvenirs de son jaune temps. Poliment, parce que finalement les vieux souvenirs des vieux ne sont pas toujours folichons, elle accepte d'écouter au mois un moment mamie.
Elle commence à lui parler de ses amours et surtout de ceux qui ont étés sexuels. La jeune voisine est très étonnée d'entendre la mamie prête à parler de ses chose là: pour ellemamie n'a pas eu de vie comme tout la monde.
J'étais très jeunes lorsque j'ai connu mon premier amour. A mon époque, il n'était jamais question d'aborder les problèmes de sexe à la maison. Alors avec les amies on en parlaient ensemble. Je n'était pas la seule à être pleine d'admiration pour un garçon à peine plus âgé que moi j'avais 15 ou 16 ans et lui devait en avoir 18 peut être. Mais innocente comme les filles de mon âges, je me suis donnée à lui un jour à la nuit tombée sur un banc dans un jardin sombre. J'ai eu mal mais il a voulu recommencer presque de suite. Je cédais encore. J'ai ressenti une envie au creux de mon ventre. J'avais envie qu'il recommence. Il n'a pas voulu, inventant un prétexte. J'ai compris qu'une fois qu'il avait eu ce qu'il voulait il ne me désirait plus. J'en eu du chagrin. Mais quand on est jeune on oublie vite. J'ai flirter avec plusieurs garçon jusqu'à avoir mauvaise réputation: pourtant je ne faisais rien de mal, sinon d'embrasser les garçon et quelques fois jouer à touche pipi. A 17 ans j'ai rencontré un garçon de plus de 20 ans qui était amoureux de moi. Un soir ses parents étaient absents et il m'a proposé de venir chez lji: je m'attendais à coucher avec ce garçon qui me plaisait beaucoup. A cette époque j'étais très grande pour l'époque, presque 1m70 et j'avais une très belle poitrine et les fesses attirantes.

Dans sa chambre, lentement il m'a déshabillée et une fois nue, il m'a fait coucher sur le lit, les jambes pendantes pour me sucer le con. C'était la première fois que quelqu'un voulait me faire une telle caresse que je trouvais sale. Mais sa tête s'est insinuée dans mes cuisses, et bientôt sa langue caressait mon clitoris. C'était la première fois que je jouissais de cette façon, par la suite je ne m'en suis pas privée, dès que j'en avais l'occasion. Ensuite lorsqu'il a senti que je venais d'avoir un orgasme auquel je ne m'attendais pas moi même, il vint sur moi pour m'enfoncer son gros engin. J'étais un peu surprise grosseur de sa bitte. Il s'enfonça dans mon con lentement comme pour déguster son introduction. Nous avons joui ensemble. Mais il ne débandait pas et la m'a demandé s'il pouvait s'aventurer ailleurs: je penser qu'il voulait que je le suce. Je me trompait: il m'a fait mettre à quatre pattes et m'a rentrer encore sa bitte dans le con, puis il l'a retirée: j'ai compris ce qu'il voulait lorsqu'il posait son sexe sur mon petit trou. J'ai eu peur quand il a commencé à rentrer dans mon cul: mais il l'a fait si lentement que je me suis totalement détendue. Il a pu alors mettre entièrement sa pine dans mon cul largement ouvert. Au début j'ai eu en peu mal, mais au bout de quelques minutes j'ai senti sa queue qui en cadence rentrait et sortait et qui finalement me faisait du bien.
Je me suis mariée à 19 ans avec un homme que ma famille m'avait imposé. Je ne l'ai jamais aimé, même quand il me baisait: je n'arrivais pas à jouir. Il était âgé de 45 ans. Et il ne me faisait l'amour qu'une fois par semaine: le samedi soir. J'en ai eu vite assez de cet homme qui finalement me faisait horreur.
J'ai pu prendre un amant de mon âge qui lui baisait très bien, il m'appris à lui sucer la bitte et j'ai de suite aimé le gout du sperme. Il me faisait l'amour dans toutes les positions possibles, même celles que peut-être tu ne connais pas. Nous sommes restés ensemble plus d'un an, lorsqu'il est parti loin.
J'en ai été chagrinée de perdre pas tellement l'homme mais son sexe.
Une copine de l'école à qui je faisait part de mon désarroi a voulu me proposer de remplacer les caresses d'hommes par celles d'un femme. Dans un moment égarement j'ai accepté. Je ne sais pas pourquoi, j'ai accepté. Chez elle nous avons pris un thé, puis elle ma fait gouter les plaisir de l'amour au féminin. C'était délicieusement bon et agréable, pas comme celui pris avec les hommes. Nous avons aussi baiser longuement, je l'ai sucé alors que je ne pensais jamais le faire: je me suis régalée du gout du con de cette copine. En se suçant nous nous mettions des doigts aux culs. Nous avons fait ensemble tout ce que deux filles, même d'avoir une autre maîtresse ensemble pour baiser un trio. C'était sexuellement très délicieux.
Vois-tu dit mamie à la jolie voisine, tu n'en a pas fait autant que moi.
Non peut-être pas mais je suis sur la bonne voie: j'ai moi aussi un amant, disons un ami, comme on dit maintenant. Nous baisons sans aucun tabous.Mes je n'ai jamais fait ça avec une fille.
Tu as tord , dit mamie, sans être lesbiennes, de temps en temps faire l'amour avec une fille ouvre de nouveaux horizons, surtout si ton ami participe et même partage ta maîtresse.
Tu me donne plein d'idée, j'en parlerai à mon ami. Je crois qu'ilaimerai me voir faire l'aùmour avec une autre.


Comments:

No comments!

Please sign up or log in to post a comment!