Lise, La Femme D'Arthur Candauliste

Un lecteur, Arthur, m'a proposé d'écrire avec lui une histoire pour sa femme Lise. Il m'a redonné le goût de l'écriture. Une histoire oubliée, puis ressortie des tiroirs grâce à Olga, grande autrice de ce site. Après ses conseils et ses suggestions de corrections, nous avons décidé de la publier. Merci Olga. J'espère qu'Arthur saura apprécier cette publication.

Lise doit régulièrement retourner sur le terrain pour développer l'activité commerciale de son entreprise. Une semaine chaque trimestre. Elle aime bien traverser la France, chaque fois à la découverte de nouveaux paysages. Elle apprécie de rencontrer des clients. Les entretiens ne sont pas toujours concluants, mais ils permettent de mettre des visages sur les interlocuteurs qu'elle a au téléphone.

Son mari Arthur aime jouer avec elle. Il l'interroge sur ses déplacements et ses rencontres. Dernièrement il a été jusqu'à imaginer qu'elle pourrait rencontrer des hommes lors de ses déplacements. Des amants de passage. Si Lise n'avait jamais donné suite à ses fantasmes, l'idée avait fait son chemin depuis ses aventures avec Alex, son collègue de bureau. Elle appréciait être désirée. Elle en jouait un peu avec ses clients et elle voyait bien que ses déplacements donnaient de meilleurs résultats. Avoir une relation avec un client, non !!!! Mais avec un homme de passage, pourquoi pas avait-elle fini par avouer à Arthur. Son mari excité par cette idée lui avait l'amour sauvagement après sa confidence.

Avant son départ, Arthur l'avait aidé à préparer sa valise et lui avait demandé d'être informé en "live" de toute situation "chaude". "Utilise ton téléphone. Envoie-moi des photos et des vidéos. Je serai ainsi avec toi mon amour" avait-il ajouté.

Dans le train, Lise repensait à ses échanges avec Arthur. Elle finit par être tellement excitée qu'elle glissa discrètement une main sous sa jupe pour titiller son clitoris tout gonflé. Lise eut rapidement une jouissance qui lui fit du bien et l'accompagna dans ses rêves…

Le soir dans son lit, après avoir téléphoné à Arthur qui était curieux de savoir si sa femme avait fait des rencontres, Lise s'interrogea sur une opportunité de rencontre.

C'était beaucoup plus facile à dire qu'à faire.

Mercredi, Lise était à Annecy. Elle adorait cette ville et son lac. Elle avait fini plus tôt aujourd'hui car un de ses clients avait annulé le rendez-vous au dernier moment. Une fois installée dans sa chambre d'hôtel, elle mit sa jupette bleue à fleurs qu'Arthur aimait beaucoup, car un peu courte, elle dévoilait ses cuisses. Elle enfila un débardeur noir et mit ses chaussures compensées à talon. Elle descendit à l'accueil pour recueillir des renseignements sur les promenades autour du lac.
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Tandis que je commençais à interroger la femme de l'accueil, un homme s'approcha de moi pour compléter les informations données.
- Bonjour. Excusez-moi de vous aborder ainsi. J'ai entendu ce que vous disiez. Oui, le coin dont vous parle la demoiselle est un coin très sympathique avec une paillotte. Le point de vue est magnifique, surtout en fin de journée.
L'homme devait avoir 40 ans. Il était charmant, avec une voix grave, et un sourire craquant. Je me surpris à repenser à notre jeu avec Arthur… Pourquoi pas ?
- Merci beaucoup pour ces informations. Je vais faire un petit tour en ville et j'irai voir ensuite faire un tour au bord du lac en suivant vos conseils.
A peine sortie de l'hôtel, je pris mon téléphone pour envoyer un sms à Arthur : "Cible potentielle…."
Aussitôt j'entendis un bip m'annonçant sa réponse : "Hummmmm. Dis-moi tout."
J'allais m'assoir sur un banc pour répondre à mon mari. "Dans le hall de l'hôtel, j'ai rencontré un client très sympathique et mignon comme tout. J'en ferais bien mon quatre heures !!!! Je pense que je serai amenée à le revoir un peu plus tard… Je te tiens au courant comme promis si tu es d'accord pour que j'aille un peu plus loin avec lui… Je t'aime."
Arthur me répondit : "Oh oui, tu peux y aller. Prends du plaisir si tu en as envie. Tu m'excites comme un fou. J'ai mon sexe tout tendu. Je vais t'envoyer une photo pour te montrer combien tu m'excites ma coquine chérie.
"

Moi aussi, j'étais toute excitée comme une ado. Après avoir fait quelques boutiques, je rentrais à l'hôtel prendre une douche et me changer.
Je contactais à nouveau Arthur pour voir quels vêtements il me conseillait. Il opta pour une petite robe légère de couleur verte car c'est une couleur assortie à mes cheveux roux. Une robe chemise en soie, sans soutien-gorge. Oups, j'avais l'impression d'être nue. Une fois prête, je lui envoyais quelques photos et il me répondit aussitôt avec une photo de son sexe en érection !!!

Me voilà partie. Sur le chemin du lac, j'étais assaillie par de multiples questions. Suis-je folle de jouer ainsi ? Et si Arthur ne m'aime plus après ? Ne fais-je pas une bêtise ? Comment vais-je faire ? Je n'étais pas très à l'aise. Pas habituée à jouer ce rôle de femme fatale…
En marchant, je sentais mes seins libres qui bougeaient et qui frottaient contre la soie. Mes tétons durcis par l'excitation étaient apparents.
Encore dans mon questionnement, je ne fis pas attention au chemin parcouru et me retrouvais d'un coup près de l'endroit conseillé. Je pouvais apercevoir la paillotte et les parterres de fleurs. La lumière du soleil commençait à baisser, les tons devenaient chauds. Oui, un endroit idyllique, idéal pour des amoureux !!!! Presque aussitôt, j'aperçus l'homme de l'hôtel assis sur un banc plongé dans la lecture de son livre…
Intimidée, je m'approchais.
- Bonsoir
- Bonsoir, votre journée s’est bien passée ?
- Pas trop mal, je ne suis pas sûre d’avoir convaincu mes clients mais j’aurais essayé.
- Ah pas toujours faciles vos rendez-vous ?
- Non, surtout en ce moment, ils ont les moyens d’être de plus en plus exigeants. Bref, un peu de détente maintenant !
- Oui ! Vous avez finalement suivi mes conseils et vous êtes venue admirer la vue.
- Exactement.
- Je viens régulièrement pour prendre l’air également, j’aime beaucoup cet endroit.
Effectivement, un regard panoramique me permit d'embrasser le paysage.

- Je comprends, le lac est superbe.
Prenant l'initiative, je m'entendis lui dire :
- Vous m’accompagnez pour prendre un verre ?
- Avec plaisir !
L'affaire était lancée, mais je savais que je pouvais arrêter à n'importe quel moment.
L'homme se leva. Il me regarda avec un air flatteur. Vous vous êtes changée. Vous êtes magnifique. Votre robe est idéalement assortie à votre magnifique chevelure.

Je le vis regarder ma poitrine nue avec à nouveau son petit sourire aux lèvres, un air approbateur.
Qu'aimeriez-vous boire ?
- Une bière pour me désaltérer s'il vous plait.
- Allez vous installer je vais commander les boissons.

Je m'assis à une table un peu isolée et envoyais un nouveau sms à Arthur : "C'est parti…"

En attendant le retour de l'homme je déboutonne un bouton en haut et un autre en bas de ma robe.
Ma gorge et mes cuisses se dévoilent davantage. Je m'offre au soleil… Je fais une nouvelle photo pour mon chéri pour qu'il me découvre en pleine séduction, presque nue pour un autre homme que lui.
L'homme revint avec nos deux bières et quelques cacahouètes.
Nous profitons de l'instant. Le soleil commence à descendre sur le lac et les couleurs du ciel deviennent rouges et roses. Nous gardons le silence. Je ferme les yeux, mais je sens le regard de l'homme sur mon corps. Je suis tendue. Je sens mes seins qui pointent sous ma robe légère. Je suis certaine qu'il les observe. J'entrouvre les yeux pour regarder son pantalon. Une bosse impressionnante apparait. Il semble gêné, engoncé dans son boxer. Je croise et décroise les jambes afin de faire remonter ma robe. Ma gorge est sèche. La sienne aussi, sûrement, car nous finissons d'un coup nos verres.
- Au fait, nous ne nous sommes pas présentés. Je m'appelle Lise. Je suis mariée. J'ai trois s. Je travaille pour une société de marketing. J'habite Lyon.
- Je m'appelle Vincent. J'ai 41 ans. Je suis divorcé. J'ai deux s.
Je travaille pour une centrale d'achat alimentaire. Je fais la tournée des fromageries alpines.
- Vous me faites découvrir les bords du lac ?
- Avec plaisir me dit-il en se levant et en me prenant la main.
Sa main me brûle. Je sens mon ventre se contracter. Mes jambes flageolent…
Après quelques pas, Vincent se rapproche de moi et me prend par la taille. Je me serre contre lui. Nos pas nous emmènent près d'un ponton en bois. Vincent m'entraîne près de la barrière. Nous sommes entourés d'eau. Le soleil donne ses derniers rayons de soleil. Je m'appuie contre la rambarde. Vincent vient contre mon dos. Je sens sa queue contre mes fesses. Je me sens devenir pivoine. Il me serre dans ses bras. Je sens sa bouche qui m'embrasse sur ma nuque. Ses mains remontent vers mes seins qu'il empaume. En deux secondes il m'a déboutonné le haut de ma robe. Mes seins sont libres. Je sens sa queue encore plus dure. Je balance délicatement les hanches. Il joue avec mes tétons durcis par le désir. D'un coup, il me retourne et m'embrasse. Sa langue m'envahit. Ses mains découvrent mon corps. Son baiser est fougueux. Je perds pied. Je me sens perdue, prête à toutes les folies. Je me sens soumise à ses désirs. Ma culotte est trempée. Ma main descend pour évaluer la queue de Vincent. Je le sens également gémir.
D'un coup je le repousse. Vincent me regarde surpris.
- Mon cher Vincent, prenons notre temps, sinon je sens que vous allez me prendre là maintenant et j'ai peur de ne pas pouvoir refuser votre élan.
- Venez là près de moi. Nous allons faire une photo de nous deux.
Un peu surpris, Vincent vient se placer à côté de moi et je fais un selfie de nous deux, les seins découverts.
- Vous voyez Vincent, je vais envoyer cette photo maintenant à mon mari. Il est permissif, mais il veut tout savoir. C'est ma première incartade et je fais bien attention. Ce n'est pas évident pour moi.
"Arthur, je suis avec Vincent l'homme dont je t'ai parlé. Tu es bien sûr d’être partant ?... Avec la personne avec qui je suis en ce moment ? Je t'aime".
Aussitôt Arthur me répondit "Oui mon cœur. Fais-toi et fais-moi plaisir. Vincent est chanceux. N'oublie pas d'envoyer des images de vos ébats… Je t'aime."
- Voilà Vincent. C'est réglé. Je vais vous demander de lui envoyer une photo depuis votre téléphone si vous voulez bien. Voilà. Je vais ouvrir totalement ma robe pour que mon mari me voit toute offerte à vous. Vous lui enverrez avec un petit commentaire."
Vincent prit plusieurs photos. Sur les dernières, j'enlevais ma culotte, dernière barrière face à mon amant d'un soir.
Je communiquai le numéro d'Arthur à Vincent qui envoya les photos accompagnées d'un commentaire : "Moment magique avec Lise. Merci beaucoup pour le partage. Vincent."
Quelques instants plus tard, Arthur répondit "Merci pour ces belles photos de ma femme, j’espère en avoir d’autres au cours de la soirée."

Nous fîmes demi-tour. Je me reboutonnais, puis vins me coller contre Vincent pour revenir à l'hôtel. Nous poursuivîmes notre conversation. Je confiais à Vincent que mon mari m’encourageait récemment à plaire aux autres hommes pour renforcer la confiance en moi. Arthur faisait partie de ces hommes qui aiment voir leur femme plaire et procurer du plaisir à quelqu’un d’autre. Cette pratique porte un nom, le candaulisme.
Tout en marchant, je sentais la main de Vincent me caresser les fesses. Le fin tissu de ma robe en soie ne constituait pas un frein, mais une invitation à la caresse. Je me laissais porter….

- Je passe dans ma chambre pour me rafraichir et je vous rejoins d’ici 30min. Vous pourriez peut-être faire monter quelque chose à grignoter…

De retour dans ma chambre, je prends mon téléphone et je vois six SMS d'Arthur. Je les lis rapidement. Je sens son excitation mêlée d'inquiétude. D'autant plus que je n'avais pas répondu à ses messages.
J'enlève ma robe et nue je me dirige vers le balcon avec mon téléphone et je l'appelle en Face Time.
- Coucou mon cœur. Me voilà de retour dans ma chambre. Regarde-moi. Je suis nue sur le balcon de l'hôtel. La soirée est douce. Tu m'aimes ? Je vais me préparer avant de rejoindre Vincent. Es-tu fière de moi ?
- Oh oui ma puce. Je suis tout excité. Regarde ma queue bien dure. J'ai hâte de la suite. Je ne t'ai jamais vue aussi dévergondée. Nue sur le ponton avec ton ami. Nue maintenant sur le balcon de l'hôtel…. Je suis rassuré. J'étais inquiet car je n'avais plus de nouvelles depuis une demi-heure... Et c'est la première fois que tu t'abandonnes au cou d'un homme loin de moi.
- Ne t'inquiète pas. Je m'amuse bien. Vincent est un homme bien. Je sens que je vais bien profiter de ma soirée, et toi aussi mon coquin. Je t'aime.
- Moi aussi je t'aime.
Aussitôt la connexion interrompue j'envoie une photo de moi nue sur le balcon à Arthur et j'en profite pour lui demander le numéro de Vincent auquel je vais envoyer la même photo… Avec "Un peu de patience…", en commentaire.

Je prends une bonne douche et m'apprête pour mon amant d'un soir. J'espère que je serai à la hauteur. Je n'ai plus tellement de référence, cela fait si longtemps que nous sommes en couple avec Arthur….

J'enfile ma petite nuisette en soie bleue foncée avec des fleurs blanches. Elle cache à peine me seins qui pointent… Pas besoin de sous-vêtements. J'enfile une paire d'escarpins avec des talons de dix centimètres. Un petit coup de rouge à lèvre et me voilà prête. Je prends la clef de ma chambre et mon téléphone… C'est parti.

Je frappe à la porte de la chambre de Vincent. J'ai le trac. Vais-je être à la hauteur…?

Vincent m'ouvre et m'offre son plus grand sourire. Il s'est changé. Il a un pantalon noir et une chemise blanche au col largement ouvert.
- Lise vous êtes ravissante et tellement sexy.
- Merci Vincent, je vous retourne le compliment.
Vincent fait rapidement une photo qu'il envoie à mon mari : "Lise est avec moi. Elle est magiquement belle et si sexy….".
Dès le message envoyé, Vincent me serre dans ses bras et m'embrasse passionnément. Ses mains soulèvent ma petite nuisette pour prendre possession de mes fesses.
Nos bouches toujours soudées, je défais les boutons encore fermés de sa chemise pour lui caresser son torse, ses tétons. Je quitte sa bouche impétueuse pour m'enivrer de son odeur. Vincent soulève ma nuisette et la passe au-dessus de ma tête. Je me trouve nue devant lui quelque peu intimidée.
Ne voulant pas être de reste, j'entreprends de défaire sa ceinture pour faire tomber son pantalon. Vincent m'aide et se débarrasse de son pantalon et de son boxer. Je lui enlève sa chemise et nous voilà enfin nus face à face. Je prends en main sa queue gonflée de désir qui bande pour moi (je suis si fière !). Je la caresse lentement et malaxe ses bourses gonflées et dures comme des oranges. Je me mets à genoux pour le prendre en bouche. Son sexe est tendu. Son gland est rouge violacé. Je prends plaisir à le caresser, puis à le prendre en bouche. Sa peau est douce. Je le sors de ma bouche pour le lécher sur toute la longueur. Vincent est crispé. Il halète. Je me débrouille pas trop mal finalement (!).

Je me relève. Je l'embrasse. Sa langue m'envahit, me pénètre impétueusement. Elle aspire ma langue et s'enroule autour… Je serre les cuisses et… j'atteins mon premier orgasme. Celui-ci me prend au dépourvu. Il fut si soudain. Mes jambes flageolent…. Vincent s'écarte de moi et me regarde avec un grand sourire.
- Ne bouge pas me dit-il.
Il prend son téléphone et me filme. Il me trouve si belle après ce premier orgasme. Il me tend son appareil pour que le filme aussi.
- On va envoyer cette première vidéo à ton mari : "Regarde, ta femme vient d'avoir son premier orgasme et je ne l'ai pas encore touchée… Imagine la suite…"
-
Je prends mon téléphone que je pose sur la commode en mode vidéo en appel Face Time et je m'allonge.
- Vincent, j'aimerais que vous me léchiez, que vous me fassiez jouir avec votre langue…
Vincent ne se fit pas prier. Toujours en érection, je le vis se mettre à genoux au bord du lit. Il me tira vers lui. Sa bouche vint enfin au contact de mon sexe détrempé. Il commença par me boire, méticuleusement, puis sa bouche et sa langue s'attaquèrent à mon clitoris tout gonflé et dur comme une amande. Je pris sa tête entre les mains et l'appuyais contre mon sexe endiablé. Vincent était très doué. Ses coups de langue firent monter mon plaisir par vagues successives jusqu'à l'explosion de ma jouissance. Je me contractais, m'arc-boutais pour atteindre cette jouissance longue, profonde, intense et dévastatrice.
Vincent vint s'allonger à côté de moi pour me laisser le temps de reprendre mes esprits. Je le vis faire un clin d'œil au téléphone qui avait filmé toute la scène.
Après m'avoir caressé les seins et embrassé encore et encore, il me demanda de me retourner pour une levrette.
Allais-je tenir longtemps à ce rythme ?
Je me retourne et me positionne, bien cambrée, mon cul surélevé.
- Vincent, allez-y, prenez-moi fort !
Celui-ci ne se fait pas prier. Juste le temps de positionner son gland à l'entrée de mon sexe détrempé qu'il s'enfonce d'un coup comme un sauvage.
- Han !!
Sa queue me perfore. Il s'enfonce au plus profond de moi.
- Ahhh
Un premier cri de surprise face à cet assaut puissant, rapidement suivi de petits cris de plaisir.
- Oui, oui, encore, encore, oui, Vincent bourrez moi. Plus fort. Encore. Ouiiiii
La puissance de Vincent me transperce. Je suis perforée. Sa queue me remplit. Je sens qu'elle grossit encore. Je sens une claque puis deux sur mes fesses. Je perds pied. Un doigt inquisiteur ouvre mes fesses. Je n'en peux plus. Je sens Vincent s'agiter. Mon plaisir monte à chaque nouveau coup de reins. Un nouvel orgasme me submerge. Au même instant, Vincent se manifeste…
- Je vais bientôt gicler ma belle, dit-il en se retirant.
Aussitôt je me retourne et le prends en bouche pour accueillir sa semence qui m'inonde. Plusieurs jets épais et puissants que je sens partir au fond de ma gorge.
Je garde son sexe en bouche pour profiter de chaque goutte de sa crème.
Vincent est debout, contracté, tendu, les yeux fermés. Moi assise au bord du lit je le regarde et sourit lorsque ses yeux s'ouvrent. Son sourire me réconforte. Je sens que j'ai réussi l'examen !!!!
Je garde encore son gland encore dur dans ma bouche, puis je le sors pour le lécher, le sucer, l'embrasser, jusqu'à plus soif. Quel bonheur... Merci mon Arthur pensais-je à cet instant.

Je me relève pour atteindre mon téléphone et avant de l'éteindre, je dis à mon mari : "Alors tu as aimé mon chéri ? Tu as apprécié ta petite femme en pleine action ?"

- Vincent, je vais me rafraichir dans la salle de bains.
- Ok ma belle. Cela vous dérange si je fume ?
- Non, je vais venir vous rejoindre.

Après m'être passée un peu d'eau sur le visage, je retrouvais Vincent, nu sur le balcon, une cigarette à la main.
- Je peux ? lui demandais-je en lui prenant sa cigarette ?
- Vous fumez ?
- Mon mari me l’interdit en général, mais cette fois je veux profiter de ma soirée.

Je me serrai contre Vincent car la nuit commençait se rafraîchir. Mes tétons pointaient. Vincent s'en aperçut et vint les titiller avec sa langue.
- J'adore vos tétons. Votre poitrine m'enivre ajouta-t-il en plaçant sa tête entre mes seins…
J'étais bien. Le temps passait lentement, mais en regardant la pendule dans la chambre, je vis qu'il était déjà près de vingt-trois heures…
- Vincent, si nous allions manger un petit quelque chose. Je commence à avoir faim.
- Oui, mais avant, je vais faire une photo pour votre mari.
Vincent revint avec son téléphone. Il me photographia sous plusieurs angles avec ma cigarette à la main ou à la bouche…
- Voilà. Je vais envoyer ces photos à votre mari : "Voici ta femme nue sur mon balcon. Ne remarques-tu rien ?"
Visiblement marqué par ces photos, il répondit du tac-au-tac : « ah ben voilà qu’elle fume ! Elle a vraiment décidé de s’amuser ».

Vincent avait regroupé le buffet froid qu'il avait commandé sur la table basse face au canapé. Vincent s'assit et je m'allongeais assise contre lui. Une de ses mains continuait à jouer avec mes mamelons. L'autre m'alimentait. Du champagne nous rafraichissait. Il avait bien fait les choses.

En mangeant, je m'évadais en pensée. Etait-ce moi, Lise, là, allongée contre un homme que je ne connaissais pas encore il y a quelques heures et avec qui j'ai pris autant de plaisir. Je me sentais si bien. Pourquoi n'ai-je pas écouté plus tôt les encouragements d'Arthur. La vie offre tellement de possibilités. Le temps passe et il ne faut pas gâcher toutes les opportunités génératrices de plaisir et de jouissance. Je ne pourrai jamais assez remercier mon mari pour la liberté qu'il m'offre.

Un pincement un peu plus appuyé sur mon téton me sortit de mes réflexions. Une nouvelle coupe de champagne me rafraichit et je sentis les bulles me monter à la tête. Je basculais pour placer ma tête sur les cuisses de Vincent et retrouver sa jolie queue qui avait retrouvé sa vigueur. Je la pris en bouche en alternant avec des lapées de champagne. Le jeu eût faire de l'effet sur Vincent qui gémissait. Il attrapa son téléphone pour immortaliser la scène. Le champagne petit à petit me montait à la tête.
- J'adore votre queue. Qu'elle est bonne à sucer et à lécher !
Je me voyais sur l'écran du téléphone. Je me sentais soumise à cette queue et en même temps à mon Arthur qui verrait plus tard ces instants de dépravation de la mère de ses s… Je le suçais avec force bruits de succion et de délectation. J'enroulais bien ma langue autour de son gland violacé d'excitation. Et je fixais l'écran, comme si Arthur me regardait.
Ce fut Vincent qui me sortit de mon jeu coquin.
- Ma jolie chérie, nous allons passer aux choses sérieuses car sinon je ne réponds plus de moi et je vais lâcher toute ma crème. Ce serait dommage. Nous avons encore tant à faire.
Vincent envoya la petite vidéo à Arthur : "Elle suce bien ta salope... et toi tu es cocu !".

Replaçant mon téléphone sur la commode, je déclenchais un appel Face Time en vidéo pour que mon époux puisse voir la suite en direct. Je m'allongeais sur le lit.
- Voilà, Vincent, je suis prête à tous vos fantasmes. Je suis toute à vous.
Je sens Vincent un peu étonné par mes mots. Je ferme les yeux…
- Léchez-moi partout !
- Partout ?
- Partout !!!
Vincent att mon pied, qui porte toujours mon escarpin. Me l'enlève puis il commence à me lécher délicatement mes orteils.
- Hummm, oui c’est parfait, continuez ! »
Il remonte doucement le mollet, le genou, la cuisse...
- Hummm vous vous rapprochez de la cible...
- Ouiiiiiii, c’est trop bon.
Je l'accueille en écartant bien les cuisses.
- Oh putain ! C’est bon. Encore !!!
J’écarte mes lèvres pour mieux le guider jusqu’à son clitoris, puis d’un mouvement de bassin je lui offre ma chatte ruisselante de désir. Je sens que mon amant déguste mon jus avec passion, ratt ce qui coule plus bas. Lorsque je lève mon bassin pour lui faciliter la tâche, je sens sa langue qui se faufile jusqu'à mon petit trou, je lève encore davantage mon bassin pour l’y accueillir.
- Hummm que vous me faites du bien Vincent. Encore, ne vous arrêtez pas.
Vincent relève d'un coup la tête et je constate qu'il se tourne vers mon téléphone.
- Tu vois comme je donne du plaisir à ta femme. Je vais la baiser toute la nuit. Elle est trop bonne.
Puis Vincent revient plaquer sa bouche sur mon sexe qu'il continue à lécher, de plus en plus passionnément. Je sens maintenant ses doigts qui me pénètrent. Je mouille de plaisir. Ses allers-retours provoquent des clapotis. J'ai honte de me laisser aller ainsi. Je sens alors un de ses doigts pénétrer ma rondelle. C'en est trop.
- Oh oui c’est trop bon ! Je vais jouir !
Mes cuisses se resserrent autour de sa tête. Je me cabre, je me tends et j'explose à nouveau…
Vincent se redresse pour m’observer. Il regarde mon visage serein, son sourire coquin me fait craquer…
Vincent att son téléphone pour prendre quelques photos qu'il envoie aussitôt à Arthur : "Ta femme après l’orgasme".

La session Face Time tourne toujours j'aperçois la vignette avec le visage d'Arthur. Je lui fais un petit coucou, le pouce levé !!!!

Vincent revient sur moi. Sa bouche remonte. Je sens sa langue qui me lèche partout. Il relève mes jambes et continue de progresser. Je sens son gland qui vient frotter ma chatte. Il s'amuse à faire des allers-retours de mon clito à mon petit trou, puis s'enfonce d'un coup.
- Han !!
Sa queue me pénètre. Il s'enfonce au plus profond de moi.
- Ahhh
Un premier cri de surprise face à cet assaut puissant, rapidement suivi de cris de plaisir.
- Oui, oui, encore, Vincent. Plus fort. Encore. Ouiiiii
Vincent tient toujours mes jambes relevées. Je me sens indécente et si bien, envahie de plaisir.
Une main empaume mes seins, deux doigts enserrent mon téton, tandis que l'autre caresse mon clitoris. Je sens ma tête qui tangue de gauche à droite. Tous mes sens sont exacerbés.
- Oui, encore, encore…
Vincent est un véritable métronome. Un vrai bûcheron. J'adore.
Un cri me surprend. Je me tétanise. J'éjacule. Une lame de jouissance me submerge. Je perds pied. Je me sens défaillir !!! Je jouiiiiiiiiiiiiiiis à en perdre connaissance.
Vincent resta en moi, sans bouger. Je revenais à moi lentement. J'ouvris les yeux… Vincent me regardait. Il m'embrassa tendrement. Nous restâmes un petit moment ainsi, puis Vincent descendit pour me mordre un téton.
- Aïe !!!!
Il revint m'embrasser. Un baiser plus puissant cette fois qui me fit réagir. Il n'avait pas encore joui et je voulais le voir encore éjaculer. Mon bassin ondula lentement. Sa queue était toujours aussi dure. Mon sexe était détrempé. Vincent sortit et vint frotter son gland contre mon clitoris. Je continuais à onduler. De son côté il promenait son gland de mon clitoris à mon anus. J'exultais. Il rentra de nouveau dans mon vagin avant de ressortir. Il fait ainsi quelques allers-retours avant de positionner son gland devant mon petit trou. Il attendit. Comprenant ce qu'il attendait de moi, je baissais mon bassin pour lui offrir mon cul. Ma rondelle s'ouvrit naturellement pour l'accueillir sans appréhension… Je vis le sourire de Vincent s'élargir. Il me laissait faire….
- Hummm…
Je continue à onduler mon bassin sur sa queue. Lentement, je m'empale sur son pieu encore plus dur d'excitation. Je le sens gros, énorme. Je fais une pause, puis je reprends le mouvement jusqu'à sentir ses bourses contre mes fesses. Je ferme les yeux. Je me laisse aller à cette sodomie profonde. Je m'offre totalement à Vincent. Je caresse mon clitoris en même temps.
Vincent se tourne vers le téléphone et s'adresse à Arthur : "Regarde comment ta femme vient s'enculer sur ma bite. Regarde ce que j'en ai fait. Une femme soumise à ma queue !!!"
Alors, encouragé par ses paroles crues, il commence à prendre la main. Il bouge, ondule, accélère le mouvement. En réaction, je me masturbe encore plus vite. Vincent aussi. Il me pilonne fort. Il me défonce littéralement le cul. Je le sens grossir. Je sais qu'il va venir très rapidement et cela accélère ma jouissance. Je secoue ma tête de part et d'autre.
- Ouiiiiii… Je jouiiiiiis…
Vincent ralentit la cadence pour me permettre de profiter de ma jouissance, puis sort pour revenir plus fort dans mon vagin. Mes sens sont usés. Je suis perdue. Je n'en peux plus.
Vincent se retire alors pour m'offrir sa queue prête à lâcher sa crème. Une queue que j'avale goulûment dans l'attente de ses jets de sperme. Son gland est odorant de tous mes sucs. Ma langue titille son méat qui s'ouvre et plusieurs giclées m'inondent la bouche. Je m'étouffe en avalant son sperme. Vincent est souriant comme un bienheureux.
Tandis que je lèche sa queue, aspire les dernières gouttes de son nectar, Vincent, tout fier se tourne vers Arthur : "Tu as vu comme j'ai bien baisé ta femme par tous les trous. J'espère que tu t'es bien branlé !"
Vincent reprend son téléphone pour faire quelques photos qu'il enverra à Arthur et qu'il gardera en souvenir d'une journée d'exception.

Moi, je me sens courbaturée. Vincent m'a cassé. J'ai trop joui. Je n'ai plus de jambes…
Je me relève, m'approche de mon téléphone où Face Time est toujours actif : "J'espère que tu as aimé mon cœur. Je t'aime. Belle nuit".

Vincent se rapprocha de moi.
- Une petite cigarette après l'amour ?
- Oui, avec plaisir.
Nous allâmes fumer sur le balcon. Vincent me serrait dans ses bras.
- Merci beaucoup Lise pour ce moment d'amour. Il restera gravé dans mon cœur.
- Moi aussi Vincent. J'ai adoré m'offrir.
Le temps passait. Nous rentrâmes. J'enfilais ma chemise de nuit toute froissée, pris mes chaussures à la main, récupérais le téléphone et la clef de ma chambre.
A la porte, j'embrassais une dernière fois Vincent.
- Maintenant, vous avez nos numéros de téléphone… Si vous passez un jour près de Lyon, Arthur et moi serons contents de vous revoir…. Belle nuit.

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