Ce Fut Merveilleux

C’était le début de l’été, la fête nationale battait son plein dans toute la ville. Avec mon ami nous décidâmes de sortir fêter ce 14 juillet lui de son côté avec des amis et moi du mien. Tout ce passait bien, La fête foraine qui se déroule près de chez moi était pleine à craquer. Vers 3h du matin je disais au revoir à mes amies et décidait de faire un petit tour dans le parc public qui se trouve non loin de là.
Je portais une robe d’été bleu ciel très moulante dans le haut et évasé dans le bas qui m’arrivait au niveau de mes genoux, des bas blanc et des chaussures blanches.
Bref je décidai de m’arrêter près du lac pour admirer les petites vagues et les reflets de la lune sur l’eau, ce paysage était enchanté. Je décidai de m’asseoir sur le banc le plus proche de moi. Il n’y avait personne que moi et ce lac si calme. Puis je commençai à fermer les yeux comme pour garder ce paysage graver dans ma mémoire.
Soudain, je sentis tes mains se mettre sur mes yeux, tes mains couvraient aussi légèrement mon nez. Cette odeur je la connaissais. Une odeur enivrante. Puis tu passas un foulard devant mes yeux puis le serra derrière ma tête. Tu pris ma main et m’emmena non loin de là. J’entendis des bras d’arbre s’ouvrir devant moi et se fermer derrière moi. Tu me parlais et me disais : « Ca a toujours été un de tes fantasmes, c’est l’occasion ». C’était mon ami.
Tu te tenais derrière moi et continuai de m’embrassais. Tu commençais à m’embrasser dans le cou puis passais tes mains entre mes cuisses et touchai mon string qui était déjà tout mouiller. Une de tes mains remonta vers le haut de ma robe et tu commenças à me dégrafer ma robe pour laisser entrevoir mes seins. Tu décidas de te mettre devant moi et de me regarder. Je me demandai ce qu’il se passait. Puis tu m’as demandé de me déshabiller tout doucement, ce que je fis cela m’excitait énormément. Puis je t’entendis me dire de mettre à genoux ce que je fis immédiatement.
Je sentis ta présence près de moi puis tu me dis de déboutonner ton pantalon, de faire glisser ta fermeture éclaire et de le baisser.

Tu me dis d’ouvrir la bouche. Et là je sentis ton gland entrait en moi et je le fis glisser dans ma bouche. Plusieurs va et viens s’en suivit, je t’entendais gémir et dire que c’était bon. Au bout d’un moment tu te retiras et fis basculer en arrière. Je me suis retrouvée allongée nue sur la couverture que tu avais préparé. Tu commençais par m’embrasser et descendais vers mes seins pour les lécher, je me mis à gémir et à me raidir et à me cambrer. Ce qui t’excita car je senti tes baisers plus intenses. Puis, je te sentis écarter mes jambes et mettre ta tête entre mes cuisses. Tu commençais à me lécher le bas du ventre, puis tu descendis vers mon clitoris. Ce qui me fis perdre pied et crier de plaisir. Je sentis un liquide coulait le long de ma cuisse. Je sentis que tu te relevais puis te rapprocher de plus en plus. Et soudain tu étais en moi. Ce qui me procura une émotion intense. Et tu commença à faire des va et viens c’étais bon. A chaque mouvement que tu faisais je gémissais. Et tu m’as dit de me retourner, de me mettre à quatre pattes t’offrant ainsi une vue imprenable sur mon anus rosé et mon vagin encore dilaté par tes coups de butoir. Je sentis ta langue mouiller ma rosette et s’enfoncer un peu dans mon anus. Tu mis un doigt puis deux. Tu me sentis de plus en plus dilaté et c’est à ce moment la que tu as décider de me sodomiser, ce qui me fit mal au premier abord mais cette souffrance se transforma en jouissance, je sentis ton membre me déformer. Tu fis des va et viens pendant un moment. Tu te retiras pour me retourner et m’enlever le foulard et là je te vis te branler et me demander où je souhaitais que tu éjacules. Je répondis dans ma bouche ce que tu fis. Je sentis ton foutre chaud dans ma bouche, que j’avalai goulûment. Puis je me relève face à toi pour t’embrasser. Ce fut le plus long et le plus merveilleux baiser que tu m’aies donné. Nous nous reposâmes un petit moment puis il devait être environ six heures du matin car le soleil commençait à se lever. Nous décidâmes de nous rhabiller et de rentrer chez nous.
Ce fut le plus merveilleux souvenir que j’ai vécu.
J’espère que cette histoire vous a plu.

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