La Punition

LA PUNITION

La jeune élève se présenta à la porte du bureau directorial.
La secrétaire qui, vue l’heure tardive, s’apprêtait à quitter
son travail, ouvrit la porte et fit entrer la jeune élève. Le
directeur était occupé à écrire. Il leva la tête et regarda
l’élève quelque temps sans rien dire. La jeune élève restait
debout devant lui, intimidée, mal à l’aise. La petite jupe
légère qu’elle portait ce jour-là et qui lui arrivait aux genoux
lui sembla soudain de pas convenir à la sévérité du lieu et
augmenta le sentiment de gêne qu’elle éprouvait.
—Vous m’avez convoquée, Monsieur le Directeur…
Le directeur se leva silencieusement, s’avança vers elle et
la regarda avec insistance de la tête aux pieds.
— Vous êtes mademoiselle… Dorlot ?… Effectivement, je
vous avais convoquée… Quel âge avez-vous ?
— Dix-huit ans, Monsieur le Directeur. Je viens d’avoir
dix-huit ans.
— C’est l’âge où l’on devrait commencer à être raisonnable.
Or, d’après ce que j’entends dire, vous ne l’êtes guère. On
se plaint de votre manque de travail et de vos résultats
insuffisants. On se plaint, d’une manière générale, de votre
attitude, qui n’est pas celle que devrait avoir une élève de
classe terminale. Il semble que votre souci principal soit
plutôt d’attirer les regards sur votre personne.
— Oh ! non, Monsieur le Directeur…
— Pourtant vos tenues vestimentaires, si j’en juge par ce
que je vois, sont bien choisies pour attirer les regards…
Asseyez-vous. Là, sur cette chaise…
La jeune élève, en s’asseyant, prit conscience que sa jupe
décidément était un peu trop courte et qu’elle couvrait mal
ses genoux. Instinctivement elle serra ses jambes l’une
contre l’autre, comme pour éviter que le regard du directeur
pût se glisser entre ses cuisses nues.
— Croyez-vous que ce soit là une tenue bien décente pour
une élève ?… Quand vous êtes en classe, je ne suis pas
sûr que songiez à serrer constamment vos jambes l’une
contre l’autre comme vous le faites en ce moment.

Cela ne
vous gêne apparemment pas qu’on puisse découvrir ainsi
l’intérieur de vos cuisses, et peut-être même… pourquoi
pas… qu’on puisse entrevoir votre petite culotte !
— Oh ! non, Monsieur le directeur, jamais je ne fais cela, je
fais toujours bien attention…
— En tout cas, votre absence de travail et votre manque de
tenue m’obligent à prendre des sanctions à votre endroit. Je
vais devoir vous traduire devant le Conseil de discipline, qui
peut très bien décider de vous exclure purement et
simplement de l’établissement. Je suis obligé d’avertir vos
parents.
—Ne faites pas cela, Monsieur le directeur, je vous en
supplie ! Je vous jure que je vais m’améliorer. Je ferai tout
ce que vous exigerez de moi, je vous le promets. Je vous
promets de vous obéir. Dites-moi tout ce que je dois faire et
je le ferai.
— Voilà un engagement bien téméraire. Du reste, je me
demande quel crédit je peux accorder à vos promesses. Il
est facile de promettre n’importe quoi quand on se sent en
danger.
— Je vous en supplie, Monsieur le Directeur. Laissez-moi
encore une chance. Une dernière chance. Je vous jure que
vous ne le regretterez pas.
— De toute façon, vous serez punie. Vous le méritez. La
seule chose que je peux faire en votre faveur, c’est de vous
donner le choix entre deux punitions. Mon indulgence n’ira
pas plus loin. Je vous donne le choix entre le Conseil de
discipline et une autre punition, une punition sévère,
humiliante, mais que je ne divulguerai pas et qui restera
entre nous.
— Ah ! merci, Monsieur le Directeur. Punissez-moi et n’en
dites rien à personne. Je vous promets…
— Alors que les choses soient bien claires. Ou bien je vous
donne aujourd’hui la fessée, ou bien demain, c’est le
Conseil de discipline.
— Donnez-moi la fessée, comme je l’ai mérité, Monsieur le
Directeur.
Je vous jure que vous ne le regretterez pas. Je
vous promets d’être une élève toujours docile et qui vous
obéira en toutes choses.
— Je vous préviens qu’une fessée bien administrée peut
faire mal. Vous n’avez pas peur que je vous fasse très mal
?
— Si, Monsieur le Directeur, j’ai peur, mais je mérite que
vous me punissiez.
— Une fessée, c’est également très humiliant. Vous n’avez
pas peur d’être humiliée ?
— Je veux bien être humiliée par vous. Seulement par vous,
et que personne ne le sache. Je sais que je mérite d’être
humiliée et battue par vous.
— Eh bien déshabillez-vous.
— Me déshabiller ?
— Bien sûr, vous devez vous déshabiller ! Si vous gardiez
vos vêtements, ma fessée ne vous ferait pas grand mal. Il
faut que ma main cingle vos fesses toutes nues pour
qu’elles deviennent bien rouges. Sinon, ce ne serait pas
une punition.
— J’ai honte de me déshabiller devant vous, monsieur le
Directeur.
— Il est normal que vous ayez honte. Cela fait partie de la
punition. Il faut que vous soyez humiliée. Et vous vous
sentirez très humiliée si vous vous déshabillez devant moi
et que je vous regarde, et que je vous voie enfin toute nue
dans ce bureau. N’ai-je pas raison ?
— Si, Monsieur le Directeur, vous avez raison. Je vais me
mettre toute nue devant vous, et vous me regarderez pour
que j’aie honte.
La jeune élève déboutonna timidement son chemisier et
s’en débarrassa en rougissant. Elle balbutia, comme pour
s’excuser :
— Je n’avais pas de soutien-gorge…
Le directeur la regardait en silence. Elle avait de jolis seins,
peu volumineux mais adorablement dessinés.
Ensuite elle entreprit de dégrafer sa jupe, qui tomba à ses
pieds. Elle resta un moment, comme figée, debout devant
le directeur, ses seins, son ventre, ses cuisses, toute sa
personne offerte au regard, vêtue seulement de sa petite
culotte blanche, bombée à l’endroit du pubis et laissant
deviner par transparence l’ombre noire de sa jolie touffe.

Elle se sentait à la merci de cet homme sévère, elle se
sentait mangée du regard. Elle éprouvait un sentiment
bizarre, se sentant à la fois humiliée, ridicule et
appétissante. Elle balbutia :
— Je n’ose pas retirer ma petite culotte devant vous, j’ai
honte...
— Il faut pourtant la retirer. A moins que vous préfériez que
je vous la retire moi-même !
— Je préfère que ce soit vous qui me l’ôtiez. Jamais je
n’oserais le faire moi-même.
Le directeur s’approcha, s’accroupit légèrement devant elle,
et commença à faire glisser la petite culotte, très lentement.
Elle eut un frisson quand elle sentit les mains larges,
douces et tièdes du directeur qui glissaient le long de ses
hanches, découvrant peu à peu le bas du ventre et la touffe
de poils à travers laquelle se dessinait la fente du sexe,
avec un bout de ses petites lèvres fripées qui dépassait
légèrement.
— Cette fois-ci, dit le directeur, vous ne pouvez plus me
cacher grand chose ! Retournez-vous un peu, que je voie
vos fesses… Vous avez assurément de jolies fesses.
Pleines, fermes, bien potelées… J’espère que vous vous
sentez humiliée que je puisse les regarder à mon aise…
Et, disant cela, il passait doucement un doigt le long de la
raie tiède, l’enfonçait légèrement dans le sillon. A un
moment elle sursauta quand elle sentit le doigt
s’immobiliser sur le trou de son derrière et appuyer un peu.
Elle éprouvait une sorte de plaisir étrange à être ainsi à sa
merci, toute pudeur abandonnée, prête à subir n’importe
quoi.
Alors le directeur commença à fesser la jeune élève. De
grandes claques qui lui cinglaient les fesses. La jeune
élève, curieusement, sentait une agréable chaleur l’envahir.
Elle aurait voulu que le directeur la frappât encore plus
rudement. Elle aurait voulu avoir plus mal encore, tellement
ce mal lui causait de trouble et lui donnait une chaude
impression de bien être.

— Je constate que je ne vous fais pas assez mal. Il faut que
je frappe un endroit plus sensible de votre corps, petite
dévergondée. Je vais m’asseoir sur cette chaise et vous
vous mettrez sur mes genoux. Oui, comme cela… C’est
l’intérieur de vos cuisses que je vais claquer. C’est un
endroit très sensible, vous allez voir. Écartez bien les
cuisses. Mieux que cela. Je veux vous voir entièrement
ouverte. Ah ! je constate que cela vous fait honte, n’est-ce
pas, d’ouvrir ainsi les cuisses devant moi et de m’exhiber
votre vulve.
Et il donna une grande claque sur les cuisses de l’élève,
puis une autre, et une autre encore. Les cuisses de l’élève
devenaient toutes rouges et commençaient à lui brûler. Ses
yeux se remplissaient de larmes.
— Je vous fais mal, n’est-ce pas ?
— Oh ! oui, monsieur le directeur, vous me faites très mal.
Parfois le directeur s’arrêtait de frapper pour passer ses
mains sur les cuisses endolories. Il les caressait, en
remontant peu à peu vers le sexe. Ses doigts effleurèrent
les lèvres.
— Oh ! oui, Monsieur le Directeur, oui, oui…
Punissez-moi… Excitez mon sexe… Monsieur le directeur..
Le doigt maintenant allait et venait le long de la fente,
s’attardait parfois sur le clitoris, puis reprenait sa
promenade au milieu des poils, parfois s’enfonçait dans le
sexe mouillé de l’élève, puis redescendait jusqu’au
derrière, s’enfonçait dans le sillon, touchait l’anus.
— J’espère que je vous fais bien mal, petite cochonne !
— Oui, Monsieur le directeur… Vous me faites très mal… Et
j’ai peur que vous enfonciez votre doigt dans mon derrière
et que ça me fasse encore plus mal…
Elle avait bien raison d’avoir peur, car le directeur
finalement enfonça son doigt dans son anus, tout au fond
du ventre, pendant que sa main laissée libre se saisissait
des seins pour les pétrir et pour en pincer très fort les
tétons. La jeune élève étaient envahie par d’énormes
frissons qui secouaient tout son corps. Elle gémissait,
parfois elle criait quand le plaisir était trop fort.
—Vous me faites jouir, Monsieur le Directeur…
—Vous êtes une petite salope. Voilà ce que vous êtes. Vous
prenez plaisir à m’exciter et à me faire bander. Ouvrez donc
ma braguette !… Allez! Qu’est-ce que vous attendez ?…
Vous la voyez, ma bite, maintenant ? Vous voyez comme
elle est grosse et tendue ? Prenez-la donc dans vos
mains… Vous voyez bien que ma bite a besoin de votre
main. Vous allez devoir mettre ma verge dans votre petite
bouche. Vous allez devoir me sucer… A moins que vous
préfériez que j’éjacule dans votre cul ? Allez ! Sucez-moi !
Avalez-moi ! Je veux remplir votre petite bouche de mon
sperme, petite salope !










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