Punition

Une paire de gifles pour me faire taire, une autre pour que je me mette à genoux, enfin deux claques sonores sur les fesses.
La prochaine se sera sur les seins.
Elle tient encore dans sa main gauche une cravache souple pour bien me faire comprendre que je dois obéir.
Ce qui me surprend c'est la présence de son amant qui me regarde d'un air satisfait. Je sens que lui aussi va agir. Qu'il soit nu ne m'étonne pas, qu'il bande non plus, par contre qu'il envie son amie m'est insupportable. Après tout c'est lui qui m'a levée ? C'est lui qui m'a promis une baise d'enfer dont je me souviendrai toujours. De ce coté là il a eu raison : je m'en souviendrai longtemps.
Quand nous sommes arrivés chez lui, il m'a embrassée, caressée, donné envie de baiser. J'étais trempée. Il m'a branlée un instant, jusqu'à ce qu'elle arrive nue d'une chambre. J'allais jouir en plus quand elle m'a embrassée sur la bouche. J'ai répondu au baiser et j'ai joui.
C'est à la suite de ça qu'elle m'a lié les mains derrière le dos, les chevilles attachées également. Lui regardait avec plaisir ce qui m'arrivait. Il l'encourageait même en l'embrassant sur les seins. Il lui donnait ses doigts à lécher, ils étaient plein de ma cyprine. Elle a tout léché pour finir par dire que je sentais mauvais et que j'avais goût à des chiottes. Bref j'étais une moins que rien.
C'est là que j'ai protesté : j'en disais trop !!!
Elle a eu envie de se faire mettre. Elle s'est mise sur moi, sur ma tête, m'a renversé sur le sol :
- Regardes ce que je vais recevoir dans le ventre, salope.
Lui est venu derrière moi, a avancé son bas ventre, la queue bien bandée.
je voyais approcher une belle bite vers un sexe de femme fondue de débauches qui
me frappait quand elle le désirait. Au début voir cette bite entrer dans ce ventre me dégoûtait. Elle poussait des cris de plaisir. A force de voir entrer et sortir la bite commençait à m'exciter : je sentais que je mouillais sans pouvoir rien faire pour me satisfaire.


Elle criait maintenant comme une bête qu'on égorge : elle jouissait. En se retirant la bite laissait tomber sur moi des gouttes de sperme. Voyant la perte de semence, elle se penchait sur moi, avec la langue elle enlevait les traces de semence de son amant.
Je recevais encore une calotte pour avoir gardé ce sperme qui était le sien. Lui, devant moi avait la quéquette en petite forme. Je pensais tant mieux.
Maintenant il fallait que je sois sage pour la récompense. Je ne savais pas du tout de quoi il s'agissait. J'ai vite compris quand elle s'est allongée dur le lit, les jambes bien ouvertes sur son sexe glabre.
C'est lui qui m'a posée entre ses jambes, la tête tournée vers la chatte exposée.
- Suce moi, salope, et bien, fais moi jouir.
- Suce là bien, ajoute l'amant qui profite de la situation pour passer une main entre mes fesses bien exposées. Sa bite a repris sa vigueur, il me semble même qu'il bande plus que tout à l'heure. Je pose comme je peux ma bouche sur le sexe baveux. Je lèche comme une chienne, je suis une chienne, dommage que je n'ai pas de canines pour la mordre au sang. Elle frémit de mes caresses. Elle en jouit même.
Lui ne se gêne pas pour venir sur mon anus, le forcer pour entrer d'un seul coup trois doigts.
Il me fait mal, le salaud, très mal même. Il est content de lui : il me fait mal et je fais du bien à sa chérie. Soudain la douleur cesse pour se transformer en plaisir diffus au départ et puissant ensuite. Je sais que je tends mon cul vers sa main :
- Tu te rends compte, elle me donne son cul, elle va jouir la garce !
- Fais la jouir un peu, encule là même si tu veux.
- C'est vrai je peux l'enculer ?
- Bien sur elle est pour nous deux.
Il vient sur moi, cette fois il enfonce son chibre dans mon vagin bien mouillé. Il ne m'a pas baisé longtemps, il venait faire prendre son bain à popaul. Avant de venir dans le cul. Il a fait attention dès le début. Il est entrer lentement, j'ai jouis presque de suite, j'ai joui encore quand il me la mise à fond.
Il ne faisait pas de mouvement trop amples pour que ma bouche ne bouge pas trop sur la chatte de sa compagne. Quand elle a jouit, j'ai reçu un jet de cyprine sur le visage. Ils m'ont faite descendre du lit, m’ont attachée par les bras en l'air au bord du lit pendant qu'ils baisaient.
J'avais encore envie de me faire mettre. C'est elle qui a eu l'idée, j'étais debout, les jambes pliées, elle est venue loger sa tête entre mes cuisses. La langue était délicieuse sur ma chatte. J'ai joui longuement plusieurs fois. Vers le matin ils m'ont libérée. Je partais sans regret mais à peine passe l'angle de la rue, je revenais, j'avais besoin encore d'une correction avant de jouir. Depuis j'ai appris à apprécier les châtiments que je méritais et les jouissances qu'ils me donnaient. Je ne sais plus jouir comme les autres. Souvent c'est moi qui les punis : c'est agréable de lacérer une fesse avec la cravache. C'est comme disent les hommes : c'est bandant.

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