Candauliste Ou Cocu ?

A la suite d’un premier récit (Un vendredi à Toulouse), je reprends le clavier pour raconter notre cheminement vers le candaulisme. Comme l’a dit un premier ministre : « la route est droite mais la pente est forte». A travers ce texte je vais narrer près de deux années de notre vie, une première phase candauliste et une seconde adultérine. Les faits sont réels, l’histoire est vrai, seul le récit est romancé mais sans trahir la vérité.

Mon épouse, Marie, avait connu son premier amant, dans le cadre d’une relation candauliste. C’était l’animateur d’un club de gym volontaire. Il jouait les petits coqs auprès de ses dames. Mon épouse, venue me chercher à la descente d’un avion, me racontât qu’à la fin de la dernère séance, ils avaient discuté dans sa voiture. Il lui avait proposé, alors, de devenir sa maîtresse. Elle refusa, arguant être mariée et fidèle. Je ne sais s’il y eut un quelconque attouchement, une quelconque caresse ou le moindre bisou. Mon épouse fit preuve d’une grande discrétion et d’un esprit de synthèse certain pour me décrire les faits. Toutefois son émotion était palpable, elle avait été choisie par celui qu’elle me décrivait comme ayant de nombreuses qualités. Je sentis qu’elle avait été proche de succomber si elle n’avait pas succombé. Elle me conta que pendant les exercices, souvent il venait la corriger. Ces mains très douces, non seulement se posaient sur ses bras, ses jambes, ses cuisses, son ventre mais elles s’aventuraient, sans qu’elle n’osa rien dire, sur son sexe. Ces attouchements étaient rapides mais fermes. Elle reconnu y trouver un certain plaisir. Elle ne savait pourquoi, l’interdit, la peur d’être surprise ou... Personne ne les voyait car il savait profiter pour la « corriger » des moments de relaxation lorsque la lumière était moins forte et que chacun devait fermer les yeux pour se ressourcer. Cherchait-elle auprès de moi un soutien pour confirmer son refus ? Là, mes pulsions candaulistes se bousculèrent dans mon esprit.

Je ne savais plus réfléchir et avec une naïveté non feinte, je crus en sa présentation de la situation. L’idée qu’elle puisse me mentir ne m’effleura même pas. C’est aujourd’hui, plus de vingt ans après, en relatant ce moment que l’idée me vient. Aussi, je ne posais aucune question quand au déroulement de cette discussion. Trop heureux de la sentir réceptives, je lui avouais mes fantasmes :
• J’ai envie que tu lui dises oui.
• Mais…
• Heu, tu lui dis qu’à la fin de la séance tu as envie de lui parler.
• Et je lui dis quoi ?
• Que tu as réfléchi et que tu es d’accord.
Elle accepta, son visage se détendit.

J’attendis alors avec impatience et fébrilité, le mardi suivant.

Je dois vous présenter mon épouse. Elle était au début de la trentaine, ces cheveux sont roux ou blond vénitien. Elle mesurait un mètre soixante-et-un pour cinquante-huit kilos. Sa poitrine bien que moyenne tient bien et est agrémentée de petites aréoles sensibles. Son cul joliment rond attirait au minimum le regard, malgré quelques années de plus il est toujours aussi attirant. Elle a un très joli visage éclairé par de superbes yeux verts.

Nous étions convenus qu’elle serait libre de le voir quand elle le voudrait. Ils pourraient satisfaire tous leurs fantasmes et envies, je ne jugerais pas et ne ferais aucune remarque. Leur relation devait n’être que sexuelle et exclure tout sentiment. En échange, je ne voulais pas de mensonge et je souhaitais qu’elle me raconta tout avec des détails. Je ne souhaitais pas un récit travaillé comme ici mais, seulement, la description franche, sans artifice de leurs jeux et de ses sensations. Je souhaitais n’être que le confident à qui elle s’ouvrirait textuellement et sexuellement. Je lui laissais la plus grande liberté dans ses propos. Je compris rapidement qu’elle ne tiendrait pas ses engagements. Elle m’objecta tout de suite que :
• Vous, les hommes, vous pouvez faire l’amour comme ça.
Pour une femme, il faut un minimum de sentiments.
J’aurais du me méfier, le coup d’« un minimum de sentiments », je ne l’avais pas vu venir. De plus ce « pour une femme » pourrait être traduit à l’aune des évènement qui suivirent par « j’ai envie de faire l’amour avec lui, car je ne suis pas insensible à son charme ».

Ses récits furent brefs. En fait de détail, c’était plutôt dans un style télégraphique :
« On s’est retrouvé dans sa voiture, on s’est embrassé, il m’a caressé, je l’ai pris dans bouche et il m’a prise. »
Elle ne disait ni « sucé », ni « baisée », c’était bien trop vulgaire. Pour, au minimum, une heure de papouilles, on ne pouvait que la féliciter pour son sens de la concision. Cela ressemblait plus à un pensum qu’à une confidence amoureuse. Ni ma curiosité, ni mes fantasmes candaulistes n’étaient satisfaits. Je lui expliquais que cette situation était à sens unique. Je n’obtenais rien et je restais sur ma faim alors qu’elle profitait d’une totale liberté. Vous serez d’accord avec moi, pour un candauliste ou tout autre d’ailleurs, ce type de récit ne pouvait même pas provoquer un début de d’excitation. Ce cocufiage voulu ne déclenchait rien, ni un pincement au cœur, ni le plaisir que son propre plaisir engendrerait, ni la joie d’offrir celle que j’aimais. J’irais jusqu’à dire que ses propos trop minimalistes accentuaient mes doutes et ne calmaient aucun de mes soupçons. Oui, je devenais suspicieux ne trouvant en ses réponses que de nouvelles questions. Si elle me cachait leurs ébats qui pour, moi, candauliste n’était pas un sujet de jalousie mais une preuve de son amour, que me cachait-elle d’autre ? Si la vérité est parfois difficile, tant à dire qu’à entendre, elle permet de rétablir la confiance. Un candauliste est heureux lorsque son épouse est très coquine, qu’elle se lâche dans les bras de son amant et qu’elle revient contre sa poitrine pour lui conter, avec fierté, ses exploits. Il peut, alors, par des gestes aimants lui montrer son amour et la couvrir de « je t’aime » ou « comme tu es belle ».
Certains candaulistes apprécient comme dans la chanson, « Je te partage » de Serge Lama, lécher avec leur bouche les endroits que les autres touchent. J’expliquais ma vision à mon épouse, elle qui est pour le dialogue dans le couple, stoppait court à la discussion par un :
• Je ne suis pas ton jouet !
Elle n’était pas mon jouet. Etant libérée des chaînes du mariage, elle était libre de succomber à ses envies et à ses fantasmes. Je voulais seulement profiter de cette preuve de son amour, je n’avais aucune autre exigence. Je lui demandais juste de profiter des moments passés avec son amant et de m’en faire son confident. Qu’avait-elle à cacher pour me taire ses aventures ? Voulez-t-elle me punir ? Qu’avait-elle à me reprocher ? Si les reproches étaient si forts pourquoi restait-elle avec moi ? Vous imaginez la pagaille dans ma tête ! Je ne demandais qu’un récit détaillée, je la laissais libre de ses propos avec son amant. Elle ne parlait jamais des mots doux qu’ils utilisaient entre eux. Je ne la questionnais pas, je considérais que c’était en quelque sorte son jardin secret. Elle me demandait parfois l’autorisation de lui répondre « moi aussi » quant il lui disait « je t’aime », enfin elle disait « ça ne te dérange pas si... ». Elle savait me dire qu’ils avaient parlé de leur journée, de leurs problèmes au travail, du temps… mais oubliait tout ce qui m’intéressait, le sexe, leurs envies coquines ou s’il avait des exigences envers elle comme porter une tenue spécifique. Avait-elle peur de se trahir ? Ou qu’à travers les actes ou les mots pour les raconter je devine ses sentiments et sache la vérité ? Lassé par ses promesses jamais tenues de m’en dire plus et d’ajouter les détails qui auraient conforté mes sentiments envers elle, je lui demandais de mettre un terme à cette relation. Lors d’une ultime discussion, elle m’assura qu’elle tiendrait enfin ses engagements. Elle se conduisit comme une chatte pour me convaincre de sa bonne foi. Elle se collait contre moi, son corps épousant mon corps, sa bouche cherchant mes lèvres.
Ses mains douces et coquines s’égaraient sur mon corps voulant dénouer mes muscles. Elle retrouva la mémoire pour me conter, par exemple, qu’elle s’était déshabillée dans les phares de sa voiture. Le récit fut très bref comme il se doit et si je me hasardais à poser une question, il ne me fut rien répondu. Ce qui me laissait supposer qu’il y avait beaucoup de choses qu’elle taisait... Je restais inébranlable et nous, enfin surtout moi, fûmes d’accord pour qu’elle cesse sa relation.

C’est à cette époque, au début du printemps, que mon épouse se prit de passion pour le vélo. Il faut bien dire passion, la géographie locale propose des obstacles à cette pratique sportive et se lancer dans des sorties même de type promenade d’un minimum de deux heures demande beaucoup de volonté. Ainsi le dimanche matin, dès que le temps le permettait, elle enfourchait son vélo pour parcourir les routes environnantes. Moi j’allais boire un café agrémenté d’un croissant, j’étais accompagné de notre fille. J’appris quelques temps après, que le vélo la « transportait » vers son amant. Ils roulaient jusqu’à des coins de nature calme pour des relations champêtres et érotiques. Il faut dire que, de par son travail, il connaissait bien la région. Après moultes questions, elle finit par me raconter ses aventures vélocipédiques :
• On se retrouvait à la sortie du bourg, pour aller dans un coin tranquille. Là, on descendait de vélo, je le suçait et il me prenait.
Si comme nous en étions convenu sa relation avait cessé, les horaires de gym ne changèrent pas, elle revenait toujours aussi tard. Rapidement, je me questionnais : Que faisait-elle ? Elle qui était si jalouse lorsqu’il corrigeait une autre femme, ces « salopes » qui se laissaient tripoter, avec qui parlait-elle ? Evidemment un autre question suivait : A-t-elle réellement mis un terme à sa relation ? Et pour finir : suis-je cocu ? « En ces temps là », pas de téléphone portable, pas d’ordinateur pour espionner son ou sa partenaire, je pouvais juste vérifier les kilomètres qu’elle avait parcourus avec notre voiture mais à quoi bon, qu’aurais-je appris ? De plus, comme nous avions le bonheur d’être les heureux parents d’une charmante fillette de deux ans, il fallait que je m’occupe d’elle lorsque mon épouse allait à la « gym ». Il était hors de question que je puisse l’espionner. Les soirs de gym, maintenant, le mardi et le jeudi de 20h à 22h, je restais devant la télévision avec mes angoisses et mes doutes. Parfois, je guettais à la fenêtre pour voir son retour dans notre voiture au rond-point en contre-bas et diminuer mon angoisse.

Un mardi, je devais participer à une réunion professionnelle à Toulouse. Voulant profiter de la situation, je décidais de mentir :
• Je ne pourrais rentrer avant 22h. Il est prévu que la dernière intervention finisse au plus tôt à 19h 30.
Pour ne pas rater son « cours de gym », elle décida :
• Je laisserais notre fille chez la nounou, j’irais la cherche à mon retour.
Tout était pour le mieux dans le meilleur des mondes, la fille chez la nounou et le mari sur la route. Je partis donc le matin bien décidé à revenir pour une filature dès son départ pour la gym. Elle ne connaissait pas la voiture professionnelle que j’utilisais.

Avant 20h. je me postais discrètement dans une rue perpendiculaire à la notre. 19H 45, elle passa devant moi. Je la suivis sans problème. La circulation était fluide et mon épouse manquait d’habitude dans l’adultère. Le gym était proche, en moins de dix minutes, elle rangeait notre voiture près de la salle. Je repérais le véhicule de l’animateur, que nous appellerons Bernard, non loin du notre. Je la regardais fermer notre véhicule et entrer dans la salle. Elle était ravissante. Je patientais deux heures dans la voiture. Par chance à la radio, un multiplex football m’empêcha de trop réfléchir.

Vers 22h, je vis une volée de femmes quitter la salle, il faut dire que seulement deux hommes participaient au cours de Bernard. Marie fut, cela va de soi, la dernière. Un leggings moulait parfaitement ses fesses et les séparait de manière presque indécente. Elle attendit une petite minute que Bernard sorte. Une légère bise sans tape sur les fesses et elle monta dans notre voiture pour prendre le chemin du retour. Déçu et heureux à la fois, j’allumais ma voiture. Il fut le premier à quitter la place. Elle me passa devant et... surprise tourna à droite le suivant vers ce qui n’était pas notre maison. Ils prirent une petite rue pour aller, cinq cents mètres plus loin, sur le parking de la salle des fêtes. Je les suivit sans allumer mes phares, ruse de détective privé. Entouré de pins ou assimilés, ce parking avait comme qualité de n’offrir aucun point de vue même s’il était légèrement éclairé. De plus en ce début de printemps et en cette période scolaire, il était désert. Ils rangèrent leur voiture. Moi, je me stationnais derrière la haie tout en gardant un angle de vue sur le parking.

Marie sortit de notre voiture et montât côté passager dans celle de son amant. Dès qu’elle se fut installée, je quittais mon poste d’observation pour m’approcher des amants. Je voyais leurs têtes proches, ils discutaient. Rapidement, la tête de mon épouse disparut. Je m’approchais, tel un sioux. Il avait les yeux fermés, son visage reflétait la relaxation. Le corps de mon épouse était penché vers son ventre. Sa tête montait et descendait sur son sexe. Sa main gauche passée sous son sweat, elle caressait sa poitrine, jouant avec ses tétons. D’une main, tendrement posée sur sa tête, il accompagnait la succion de mon épouse. Son autre main, sur son dos, descendit vers ses fesses. Avec des mouvements amples, elle les caressait, semblant les apprivoiser. Puis elle se faufila sous la ceinture de son leggings. Elle prit possession de son cul. Je voyais ses doigts pétrir les fesses dont je connaissait la douceur. Petit à petit, le pantalon glissa sur ses cuisses laissant apparaître le string. Les soupirs de mon épouse montraient son plaisir tant du sexe dans sa bouche que des caresses sur ses fesses. Elle leva son cul, s’agenouillant pour mieux le prendre en bouche. La main en profita pour libérer son cul du leggings et du string. Toujours discret, tel le serpent guettant sa proie, je me glissais de l’autre côté. Les fesses étaient maintenant écartées, la main glissait sur sa fente allant de son clitoris à son anus. Il donnait de légers coups du bout de ses doigts sur le clitoris de Marie. Elle réagissait par des petits cris à chaque frappe, s’il avait continué, je pense qu’elle aurait joui. Puis, son majeur s’introduisit dans son sexe, si j’en crois le soupir de mon épouse, pour son plus grand plaisir. Son autre main quitta sa tête pour s’approprier sa poitrine. Le tee-shirt ne fut qu’un faible obstacle. La pression se fit forte sur ses seins. Il me semblait que ses doigts les pinçaient, les tordaient. Je ne savais pas que ma femme était aussi sensible des seins. Je n’aurais pas imaginé, non plus, qu’elle puisse extérioriser aussi bruyamment son plaisir. J’appris plus tard que quand elle avait du plaisir elle aimait faire du bruit et que plus elle faisait du bruit plus elle avait du plaisir, cercle vicieux ou cercle vertueux ? Heureusement, j’étais le seul et ils ne m’avaient pas encore découvert. Ils ne le feraient pas, surtout, si je me calmais et j’arrêtais de me toucher par dessus mon jean.

Je repris mon observation. Son index maintenant tournait autour de son petit trou, replongeant de moment en moment dans son vagin pour s’humidifier. Le traitement semblait porter ses fruits, son anus s’assouplissait. Un feulement de bonheur répondit à la pénétration de son fondement. Le doigt tournait. J’imaginai qu’il élargissait son petit trou pour préparer une proche sodomie. Mon épouse répondait à la caresse, son cul s’avançait vers la main pour une pénétration plus profonde. Il enfonça son majeur dans son sexe, pour une double pénétration. La main montait et descendait rapidement. J’entendais le bruit de la main tapant les fesses et trempant dans la mouille de son vagin. Après quelques minutes de ce traitement et beaucoup de gémissements, elle se redressa quittant son sexe. Aurait-elle eu un orgasme ? Je reculais pour ne pas être vu. Elle s’agitait pour se débarrasser de leggings et du string. La situation était incommode. Ils passèrent au-dessus des sièges avant pour profiter de la banquette arrière. Il s’assit, son pantalon sur les chevilles. Elle le reprit en bouche pour affermir sa bandaison. Elle s’assit dos à lui, frottant son cul plusieurs fois de sa poitrine à son ventre. Elle glissa sa main sous son ventre pour saisir le sexe de Bernard et le guider vers son anus. Mon intuition était la bonne, pourtant je ne savais pas ma femme friande de la sodomie. Sa bouche s’ouvrit lorsque le sexe s’enfonça en elle. Très doucement, il prit possession de son cul. Ils s’immobilisèrent quelques secondes pour que son sphincter s’habitue. Lentement elle entreprit un va-et-vient, montant et descendant. Elle s’appuya sur le dossier des sièges avant pour faciliter ses mouvements. Son mouvement s’accéléra tout comme sa respiration. Sa bouche ouverte laissait s’échappait des soupirs de plus en plus profonds. Ses yeux se fermèrent, le plaisir la faisait rayonner. Il avait glissé ses mains sous le tee-shirt qui maintenant n’était plus qu’un bandeau au dessus de ses seins. Il défit le soutien-gorge qui glissa, libérant ainsi sa poitrine. Il appuyait les seins l’un contre l’autre, les serrant fortement. Ses doigts pinçaient et tiraient les tétons. Plaisir, douleurs, je ne savais reconnaître les soupirs de ma femme. Je ne la reconnaissait pas elle non plus, jamais je ne l’avais vu si jolie. Etait-ce seulement l’excitation comme devant un bon film porno ? Non c’était le bonheur de la voir heureuse dans les bras de son amant. Ses mouvements plus rapides, plus nerveux montraient qu’elle voulait provoquer son plaisir, obtenir la jouissance qu’elle était venu cherchait. Soudain elle se bloqua, les yeux clos, submergée par un orgasme. Je faillit tout lâcher dans mon pantalon, tant elle était belle et excitante.

Doucement, elle se dégagea du sexe qui lui avait donné tant de plaisir. Elle approcha ses lèvres des siennes, leurs langues jouèrent avec douceur, le baiser fut long et tendre. Elle s’accroupit, son cul face à moi. Elle le prit en bouche pour lui rendre le plaisir qu’il lui avait donné. Je fis le tour de la voiture pour être face à elle et tant pis s’ils me découvraient, mon excitation était trop grande. Je voulais le voir jouir dans sa bouche.

Sa bite était de taille normale quoique assez large. La lumière lointaine d’un lampadaire brillait sur le gland humide de la salive de ma femme. Sa langue montait le long de la hampe et tentait de s’introduire dans le méat. Sa bouche avala le gland, ses joues se creusèrent aspirant le sexe. Elle montrait une technique éprouvée que je ne lui connaissais pas. Il est vrai qu’il y avait longtemps qu’elle ne m’avait sucé avec une telle envie plutôt avec une telle passion ! Sa main caressait doucement les boules. Elle fut remplacée par sa bouche et sa langue, arrachant des soupirs de satisfaction à son amant. Elle aspirait chaque boule dans sa bouche, sa langue s’égarant parfois en dessous. L’heureux sucé avait repris les caresses sur son cul, allant même jusqu’à des petites tapes. La bouche de mon épouse avait maintenant englouti le sexe et s’activait vivement sur lui. Ses mains tournaient autour de la hampe que la bouche libérait. Il soupirait de plus en plus fort. La délivrance était proche ! Son autre main l’attrapa par les cheveux pour accompagner sa succion. Il accélérerait les mouvements de mon épouse, guidant sa bouche pour mieux obtenir son plaisir. Il se raidit, sa main appuya la tête de Marie contre son ventre. Je comptais au moins quatre jets. A chaque fois, il lançait son ventre vers la bouche accueillante. Je ne vis pas une goutte sur son visage lorsque ma femme se montra involontairement en le regardant. Ses yeux brillaient, ils montraient sa fierté d’avoir tout avalé. Il lâcha ses cheveux lui caressant la joue. Il lui embrassa le front en guise de remerciement. Elle reposa sa bouche sur son sexe et sa langue nettoya le gland. Sa bouche glissait sur la hampe, maintenant, assoupie aspirant les dernières gouttes de sperme. Le visage de Bernard rayonnait de plaisir. Ils se dirent quelques mots tout en se rhabillant. Je ne sais pourquoi je ne voulus pas me montrer et partis avec la plus grande discrétion. Aujourd’hui je me demande pourquoi je n’ai pas « volé » la voiture que mon épouse avait désertée. Comment aurait-elle expliqué le vol ?

J’étais installé devant la télévision quand mon épouse rentra avec notre fille. Allez-je lui dire que je l’avais surprise avec son amant ?

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