Leslie Re05

Leslie RE05 – Les récits érotiques
Les moments d’égarement de Shanna - Seule, chez Serge et Carla

Très tôt le lendemain matin, lundi, nous avons pris tous ensemble le petit déjeuner.
Pendant que nous prenons la collation, Christina me dit :
- Avec Max nous allons partir, pourquoi ne resterais-tu pas un peu chez Serge et tu pourrais te reposer et profiter un peu.
- Ce serait une superbe idée, rajouta Serge.
Je ne sentais pas cette perspective, j’avais envie surtout envie d’être seule et j’ai eu envie de décliner cette invitation, mais Carla rajouta :
- Deux trois jours, juste pour te reposer…
Après un instant d’hésitation, j’acceptais, bien que j’eusse le sentiment de faire le mauvais choix…

Christine et Max sont partis me laissant seule continuer mon périple et rester encore un peu chez Serge et Carla, un peu plus tard, je me sens bien et profite des instants qui me sont accordés sans ma poser de question, je me sens en confiance…
Même si dans ma tête la phrase de Christine tourne en boucle depuis son départ :
- Tu vas voir, Serge et Carla sont pleins de surprises, mais surtout très spéciaux !
Que voulait-elle me dire ? Que dois-je comprendre ? Perplexe et perdue je ne trouve aucune réponse, enfin je verrais bien…
En fin d’après-midi, je me dis que dans deux jours je serais partie et en attendant j’avais juste à me reposer…
Repos toute la journée, Serge et Carla m’ayant laissé seule, après le diner, je suis allée me coucher quelque peu éreintée des derniers jours passés, qui je dois l’avouer n’ont pas été de tout repos, mais remplis de plaisirs charnels intenses, j’espère que les jours à venir vont me permettre de me reposer avant de repartir et continuer mon périple...

Il faisait bon en ce début de nuit, allongée nue sur les draps de mon lit, je me mis à penser à ma vie et de ce que j’étais devenue depuis le moment où je m’étais sentie femme et avoir eu l’envie de devenir transsexuelle…
« J’avais découvert ma féminité très tôt et aujourd’hui je me sens femme en vivant comme telle, alors à l’aube de la trentaine, je pense qu’il est maintenant temps de me calmer et passer à autre chose, j’ai l’impression que ma vie n’est remplie que d’expériences sexuelles transformant le timide jeune-homme en transsexuelle avide de sexe.

J’ai été confronté à des expériences diverses avec des hommes et des femmes qui ont laissées en moi des impressions parfois troublantes…
Une petite voix me dit que si je continue ainsi, je ne tarderais pas à toucher le fond et qu’il est peut-être temps d’arrêter… »

Mes pensées vont et viennent et le doute s’installe en moi, je suis déchirée entre continuer et aller au bout de toutes les expériences possibles ou bien de tout arrêter, là maintenant, mais comment ne pas me souvenir de certaines réflexions sur moi entendues lors de certaines soirées :
« Cette salope taille des pipes comme une reine et en plus elle aime ça, sous ses airs prudes d’effarouchée elle suce comme une damnée, cette petite trans a le feu au cul. »
J’avoue aimer le sexe et aussi me faire sodomiser, mais ce n’est pas pour cela qu’il faut me traiter de salope ou de trainée, mais c’est peut-être l’image que donne une transsexuelle qui aime le sexe…
La journée du lendemain fut calme, je la passais au bord de la piscine à me baigner et à me faire bronzer, puis après le diner, comme la veille, je suis montée dans ma chambre préparer mes bagages pour partir dès le lendemain.

En faisant mes bagages, je m’aperçus de la disparition de mon sac à main, qui contenait mes papiers, mon argent, et mes clés de voiture, trop pressée de me coucher je me dis que je regardais au rez-de-chaussée demain matin et, éventuellement, je poserais la question à Serge et Carla pour savoir s’ils ne l’avaient pas vu.

Je commençais à m’endormir, quand soudain Carla est entrée dans ma chambre, sans même frappée, je me suis redressée sur mon lit en la regardant d’un air étonné. Carla était habillée tout de noir, une combinaison vinyle au décolleté plongeant et une fermeture éclair partant du nombril et remontant derrière jusqu'en haut de ses fesses.
Elle porte des gants allant jusqu’au milieu des bras, eux aussi en vinyle, et est juchée sur des escarpins plateforme noirs, vernis avec des talons de quatorze centimètres, ils sont tenus aux chevilles par deux fines lanières-boucles entourant celles-ci.
En la voyant, je lui fais part de mon étonnement de la voir ainsi entrer dans ma chambre sans vraiment y être conviée et dans une tenue qui fait penser à une tenue de bondage :
- Carla, mais…
Je n’ai même pas le temps de terminer ma phrase que Carla est près de moi et debout au pied du lit elle dit d’une voix autoritaire :
- A partir de maintenant tu ne pause plus une seule question, tu te tais et tu obéis !
C’est à cet instant que Serge apparait à l’entrée de la chambre et dit :
- Allons, commençons pour qu’elle comprenne !

Sans un mot il contemple Carla qui après avoir récupérer dans le tiroir de la commode des menottes, s’approche du lit et m’entrave à l’aide de ces menottes aux barreaux du lit.
Je n’ai même pas eu le temps de réagir tellement tout cela a été vite, mais je suis maintenant complètement attachée au lit de ma chambre, sur le ventre les chevilles et les poignets maintenus par les menottes aux barreaux du lit, nue et ne pouvant pas bouger je suis à la merci des volontés de Carla…
Je la sens monter sur le lit et se mettre entre mes jambes écartées, j’entends dans mon dos le bruit d’un zip, puis elle écarte mes fesses à deux mains et, du bout des doigts s’applique à ouvrir mon anus, quelques secondes plus tard je sens un doigt pénétrer mon anneau et se planter au plus profond de moi, puis Carla se décide de m’enculer, sans prendre la précaution de m’enduire la rondelle de gel, elle monte sur moi, m’enjambe et plante sa queue dans mon anus ouvert mais tout sec.
Elle me pilonne ainsi pendant plusieurs minutes, puis, d’un coup, elle se retire et de longues giclées de sperme épais arrosent soudain mon anus dilaté et se répandent entre mes cuisses.
Puis elle se redresse, descend du lit et c’est le tour de Serge de prendre sa place entre mes cuisses, à son tour il m’encule, mais lui jusqu’à jouir au fond de mes entrailles…

Ils partent, me laissant nue sur le lit et sur le ventre, les membres attachés par des menottes aux barreaux du lit me maintenant en croix et le corps souillé du sperme de Carla qui va sécher sur ma peau et celui de serge qui commence à s’écouler de mon anus, mais avant de partir ils prennent tous mes effets personnels, vêtements et mon sac où je tenais mesa rechanges et me font promettre de ne pas tenter de m’échapper, comment le pourrais-je nue et sans aucun effet…
Serge dit :
- Nous avons déjà ton portefeuille, tes papiers et tes clés de voiture, enfin tout te privant ainsi de ton identité, tu n’es plus rien,
Je comprends à cet instant que je suis désormais à leur merci, contrainte à leur volonté et qu’ils peuvent disposer de moi comme ils veulent.
Puis ils disparaissent et j’entends la porte se fermer et un tour de clé dans la serrure.

J’ai passé le reste de la nuit ainsi, tentant de dormir un peu, mais la-plus part du temps réveillé par le moindre bruit et me demandant ce que mon futur proche serait…

A suivre…