Leslie Re08

Leslie RE08 – Rêves.
Noir désir

Ils nous arrivent de rêver, des rêves troublants parfois, des rêves d’un érotisme fou ou des rêves remplis de situations que nous aurions peut-être aimer vivre, comme des situations impossibles tellement elles sont folles…
Ces rêves nous laissent un goût amer au petit matin, celui de se réveiller et de s’apercevoir que ce n’était en fait qu’un rêve, mais que nous aurions aimé que ce soit la réalité.
Dans ces moment-là, je me réveille avec le sexe bandé, raide avec le gland et la couche souillés de mon plaisir nocturne inconscient et la furieuse envie de me branler, d’assouvir cette frustration qui est en moi.
Ou, simplement de trouver rapidement une aventure et vivre un instant de sexe pur, mais que de sexe sans sentiments et, parfois c’est Laure qui ne comprenant pas très bien de ce qui lui arrive fait les frais de ce désir incontrôlable et me découvre le membre raide et lui saute dessus comme une forcenée pour lui faire l’amour.
Et j’avoue que jamais elle s’en est plainte…

Je me rappelle ce rêve que j’ai fait il n’y a pas si longtemps, un rêve d’un érotisme fou, une situation peu probable, mais qui m’a laissé dans un état second…
« Etant provisoirement sans logement, j’ai accepté d’être hébergée par Line, une collègue de travail, qui vivant en couple avec un Camerounais, Djal. Ils disposaient d’une chambre d’amis dans mes combles de leur maison en région parisienne et trop heureuse de trouver un toit, j’ai accepté.
Mon installation fut rapide et rapidement je me suis sentie à l’aise chez ce couple, libres et ouverts, ils ne faisaient pas de manière et mon hébergement s’annonçait des plus sympathiques.
Les deux premiers soirs furent chaleureux et sitôt le diner terminé, je montais dans ma chambre pour aller dormir, trop crevée pour passer une soirée auprès de ce couple si sympathique…
La deuxième nuit, je fus réveillée par des gémissements et des cris de plaisir, je me dis dans mon demi-sommeil que Djal était en train d’honorer Line et qu’il devait l’emmener dans les terres du plaisir.

Il faut dire que Djal, avec sa carrure d’athlète, son corps musclé et son mètre quatre-vingt-dix était un bel éphèbe noir et si son membre était en harmonie avec son corps, il devait avoir un sacré engin…
Ce qui expliquerait les hurlements de Line, douleurs ou contentements…

Le lendemain, samedi, le week-end était là, le petit-déjeuner fut somptueux, Line ayant été cherché les croissants et le café préparé par Djal était excellent.
Line avait l’air fatigué et des cernes bordaient ses yeux, elle avait dû en prendre une sacre dose cette nuit, ce qui expliquait les gémissements et les cris entendus.
La conversation se tourna sur la vie, les coutumes et les habitudes du pays de Djal, de leur rencontre avec Line lors d’un voyage là-bas, puis la conversation à dévié sur les femmes, et sur la sexualité féminine noire. Djal ne cacha pas son attirance pour les femmes blanches, plus libérées à son goût et plus enclines à donner du plaisir à leur homme et surtout la liberté que donnait l’occident, c’est ainsi que j’appris qu’ils étaient échangistes et pratiquaient volontiers l’amour libre.
Line, cramoisie, les pupilles dilatées et la bouche ouverte, buvait les paroles de son homme et elle dit d’une petite voix :
- Tu sais, Leslie, peut-être que tu m’as entendue hurler cette nuit, Djal est un amant formidable et parfois il utilise des trucs de chez lui et cela me met dans tous mes états, d’ailleurs en club, il a beaucoup de succès et cela me repose un peu…
- D’ailleurs si vous voulez voir ce que c’est, nous pouvons dès maintenant vous montrer ?.
- Pourquoi pas, dis-je dans un souffle.

Djal monta dans sa chambre, je vis Line ouvrir son peignoir sous lequel elle était nue, son corps avait des courbes harmonieuses, sans trop, juste ce qu’il faut et une merveilleuse poitrine aux larges aréoles claires, et un pubis entièrement glabre aux lèvres proéminentes et bien dessinées.
Elle commença à se masser le bas ventre, juste avant que Djal ne revienne avec un joli coffret en bois noir, comme un coffret de voyage, il l’ouvrit et je vis, dans la première partie, de nombreuses petites fioles contenant diverses substances et dans l’autre partie des objets dont je pouvais deviner facilement l’utilisation, des godemichés de différentes tailles surtout un très gros tout en bois sculpté même avec les veines apparentes et le gland très suggestif.
Il le prit, le donna à Line qui après un mouvement de recul le soupesa et eu un sourire radieux.
Je ne peux retenir ma remarque en disant :
- Waouh ! Si tu es monté comme ça, je plains ou j’envie Line, elle doit être souvent à la fête !
- Tu ne peux pas si bien dire, me répondit Djal.
Cette conversation était devenue surréaliste, Line, femme si réservée au travail, s’exhibait devant moi et allait me faire une démonstration des bienfaits de la boîte à plaisir.
Djal sortit un flacon et le tendit à Line en disant :
- C’est très naturel, préparé par les femmes du village, cette crème se met aux endroits sensibles, comme le bout des seins, le clitoris ou autour du sexe, cette crème décuple le plaisir et Line en est maintenant complètement accroc…
Djal commença à enduire les seins de Line de crème, puis ce fut son ex et son clitoris qui furent à leurs tours enduits, la crème devait faire son effet car je voyais Line respirer de façon saccadée, elle ferma les yeux et poussa de petits soupirs.

Djal se plaçât à genoux devant elle, entre ses jambes écartées et commença à lui caresser les genoux, puis lentement ses mains remontèrent doucement le long des cuisses de Line, qui eut un sursaut et tout de suite écarta encore plus les jambes.
Dans une complète soumission, Line se laissa enlever son peignoir et se retrouva toute nue. Elle était complètement aux exigences de son homme, Djal reprit ses caresses et du bout des doigts entrouvrit les lèvres intimes de sa femme, Line eut encore un sursaut et laissa échapper des petits cris, maintenant je bandais à mort.
Mais quand ses grands doigts entrèrent profondément dans le vagin de Line, celle-ci se tendit comme un arc et se mit à crier comme dans la nuit dernière.
Djal doucement, la fit se coucher sur le dos, sur le tapis du salon et prit un coussin qu’il lui passa sous ses fesses, ce qui eut pour effet de soulever son pubis, il lui écarta les cuisses et je vis le sexe de Line tout trempé, son sexe tout poli et luisant était une atteinte à la pudeur et un appel au sexe…
Surtout qu’en plus, son clitoris dressé et sortant de ses grandes lèvres avait l’ait d’attendre qu’un doigt ne vienne le caresser…
Mais le pire, c’est que Line ne pouvait plus se contenir, je ne l’avais jamais vue dans un état pareil, elle caressait son clitoris érigé et certainement dur en réclamant et en disant des mots obscènes :
- Ta grosse queue, je veux ta grosse queue, fourres moi maintenant !
Il recommença à la caresser en lui passant la main sur son sexe et sur le clito, mettant carrément trois doigts dans son vagin, sous mes yeux complètement ahuris, il tourna autour de l’anus qui se resserra de lui-même, puis il reprit de la crème et en mit sur son œillet rose avec l’index il la pénétra d’un seul coup, elle sursauta, et me demanda de lui triturer les seins, ce que je fis sur-le-champ.

Djal avait l’index planté dans la cul de Line et le pouce sur son clito, il bougeait sa main dans tous les sens. Elle ne savait plus où elle était, elle recommençait à pousser des cris et réclamer sa grosse queue.
- Tu vois, me dit Djal, l’effet que ça lui fait et ce n’est pas encore fini, ce n’est que le début…

Il saisit dans sa boite le gros godemiché que nous avions vu au début de la soirée, mit au milieu du faux membre en ébène une bague de poil de bête, l’enduisit de la pommade et lui introduisit tout doucement dans le vagin.
Line se mit à crier, pas des cris de douleur mais des cris de jouissance extrême, je compris l’utilité de la bague à chaque mouvement de pénétration en même temps que le godemiché buttait au fond du vagin, la bague aux poils drus se frottait sur le clitoris, l’excitait encore plus.
Il laissa le gros gode en place au fond de sa chatte et la retourna sur le ventre, avec un coussin sous son ventre, la faisant cambrer et s’offrir impudiquement. Dans l’état où était Line peu lui importait désormais, elle réclamait toujours d’être fourrée…

Djal se déshabilla et se retrouva rapidement nu et je pu admirer son sexe noir au bout rose, bandé et qui n’avait rien à envier au gode planté dans la chatte de Line, il s’enduisit le membre de crème, puis il se mit derrière Line, toujours couchée sur le ventre, mit son sexe dressé entre les fesses de Line et introduisit doucement son membre dans l’anus de sa femme.
Cela donnait une image très cochonne de la situation, d’autant que Line activait le gode au fond de sa chatte, pendant que Djal faisait du va-et-vient dans son cul.
Je ne tenais plus, mon sexe était énorme, alors j’ai commencé à ma branler devant cette scène hors du commun.
Line eut des gestes brusques, des propos incohérents, se tendit comme un arc et fut emporter dans un orgasme de folie…
- Tu sais me dit Djal, avec le traitement que je viens de lui faire subir elle peut avoir au moins une vingtaine d’orgasmes consécutifs, mais il ne faut pas lui faire cela tous les jours.

Il me regarda et regarda mon sexe dressé, Line ne bougeait plus, son souffle étant lent comme si elle dormait et avait un sourire radieux sur ses lèvres. Djal me dit :
- Je vais l’emporter dans la chambre !
Elle n’eut aucun geste quand Djal la souleva et l’emporta, pas plus quand il la posa sur le lit, elle se mit en chien de fusil, le cul offert à son homme au bord du lit.
- Attends, me dit-il, juste une petite formalité…
Djal se mit derrière Line et plia légèrement les genoux afin de mettre son membre à la hauteur du cul de sa femme et lui pénétra de nouveau l’anus, la faisant crier dans sa semi-inconscience.
Il entra sans problème tellement elle était ouverte et Djal bougea lentement, Line ne disait rien, il la limait consciencieusement, il la ceintura et avec ses doigts longs et calleux lui pinça les seins, lui caressa le ventre, puis le clito.
Il se masturbait en elle plus qu’il ne lui donnait du plaisir, puis il se cabra et se mit à décharger profondément dans son cul.
Il se leva et me dit :
- Si tu veux en profiter, je pense qu’elle ne verra aucun inconvénient que tu la pénètre, en attendant je vais aller me doucher et je reviens vers toi… »

A suivre…

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