Le Voltaire

LE VOLTAIRE

La pièce était vaste et longue. Il s’agissait d’une pièce aveugle qui ne comportait que trois portes. Pour s’assurer d’un confort et d’une insonorisation impeccables, ces portes, toutes fermées, étaient matelassées avec un cuir épais et rouge carmin façon Chesterfield.
Tranquillement installés au sein de cette grande pièce, près de la première porte qui était double et imposante par sa hauteur, plusieurs couples dînaient aux chandelles autour de tables rondes. Affichant une certaine classe, les hommes étaient vêtus de smoking et les femmes portaient des robes de soirée. Ces dernières, particulièrement élégantes, laissaient deviner un pouvoir d’achat certain et un niveau social élevé. L’intimité était parfaite et les invités, pour pimenter un peu la soirée, portaient tous un masque vénitien, conformément à l’usage qui avait court dans cette salle. La seconde porte était placée à l’autre bout de la pièce, en vis à vis, et donnait sur les servitudes. La dernière, assez proche de la précédente était  placée dans un angle. Elle  permettait d’accéder aux appartements privés de la propriétaire. Le luxe était discret mais présent en chaque chose. Le sol était parqueté en style Versailles et recouvert en grande partie par un immense tapis d’époque médiévale. Les hauts murs étaient couverts de tentures représentant d’anciennes scènes de chasse et le plafond mouluré. Placée au centre, ouvrant son énorme foyer, une imposante cheminée vaste et très ancienne chauffait la pièce et l’éclairait faiblement. Les ombres des convives dansaient furtivement sur les murs. Seuls le crépitement des braises, le bruit des couverts et les conversations feutrées  troublaient l’atmosphère. Assez proche des deux portes voisines et face à l’antichambre, un fauteuil voltaire, recouvert de velours noir et piqueté de petites fleurs de lys dorées, trônait en évidence au centre de la pièce. A quelques centimètres du siège, on distinguait un petit guéridon sur lequel était posée une clochette.

Juste à coté, à même le sol, se trouvait un petit coussin en velours bleu. Immobiles et placés en avant, de part et d’autre du voltaire, deux colosses noirs en smoking campaient les bras croisés. Imposant par leur taille et leur musculature qui tendait le tissus de leur smoking aussi bien au niveau des bras que des cuisses, ils étaient impressionnants et plutôt antipathiques.

Près de là, derrière la première porte, se trouvait une antichambre richement ornée ou un groupe d’une vingtaine d’hommes ayant à peu près tous entre trente et quarante ans attendait. Elégants, d’allure sportive et soigneusement habillés, ils étaient confortablement assis sur des banquettes en velours rouge et faisaient connaissance en buvant quelques coupes de champagne. Le contenu de leurs conversations laissait penser qu’ils appartenaient à un milieu aisé.
Placé juste à côté de la porte de service, Karl, le maître d’hôtel, attendait, figé. La quarantaine, mince, son allure était stricte et il occupait cette fonction depuis de nombreuses années. Organisé et efficace, il préparait toujours avec soin les soirées et les divertissements de la propriétaire. Cette dernière était particulièrement exigeante, aussi bien sur l’organisation que sur le choix des personnes qui participaient à ses soirées et elle n’hésitait pas à lui faire des remarques parfois cinglantes devant ses invités. Pour ce soir, madame avait choisi un de ses scénarios préférés et Karl savait exactement ce qu’il avait à faire. Respectant scrupuleusement les directives qui lui avaient été données, il avait sélectionné les invités avec un soin tout particulier. La variété, la puissance et le nombre des convives étaient les principaux critères de sélection pour ce soir. Pour quelques uns, il avait du la consulter. Elle en avait refusé très peu, mais comme à l’accoutumé, elle lui avait fait remarquer sa vision trop restrictive dans le domaine et invité à faire preuve de plus d’imagination et d’initiative.

Rompant l’apparente tranquillité qui régnait dans cette pièce, la porte d’accès aux appartements s’ouvrit.
Une femme apparut. Agée d’une trentaine d’années, belle et sensuelle, elle portait une cape satinée bleu nuit,  des bas sombres et des mules noires à talons aiguilles relativement hauts. Un petit chapeau et une voilette en résille masquaient à peine son visage. Riche, propriétaire des lieux, elle vivait de ses rentes et affichait un train de vie somptueux. Vis-à-vis de son entourage et de son voisinage, elle était respectée et appréciée pour son comportement exemplaire. Les habitants du quartier la connaissaient bien et pour eux, madame était un modèle de droiture et de vertu. Sans un bruit, elle referma la porte et s’avança vers le fauteuil voltaire. Arrivée à proximité du siège, elle laissa sa cape tomber lentement sur le tapis. D’un pas lent et raide, Karl se porta à sa hauteur, ramassa le vêtement et le mis sur un cintre dans une penderie cachée dans le mur, derrière une tenture. Elle ne portait pas de culotte mais était uniquement vêtue d’un corset noir qui mettait sa poitrine ferme et généreuse en valeur. Elle pris place dans le voltaire et croisa les jambes. D’un geste, elle ordonna à Karl d’ouvrir la porte donnant sur l’antichambre et d’inviter ses hôtes à entrer. Ce dernier se rendit dans la pièce adjacente. Les conversations cessèrent et les regards des hommes se tournèrent aussitôt vers lui quand il entra. Il s’adressa alors aux invités en employant un ton qui laissait deviner une habitude certaine et une parfaite connaissance de ce qu’il avait à dire:
« Bonsoir messieurs. Madame vous souhaite la bienvenue en ces lieux. Avant d’entrer dans la salle, je me dois de vous faire quelques recommandations spécialement demandées par la propriétaire des lieux. Madame vous rappelle que le silence est de rigueur et qu’il vous faudra obéir à toutes ses demandes sous peine d’être exclu de la pièce. Il vous est de même strictement interdit de prendre une quelconque initiative ou de lui demander quoique ce soit. Madame déteste attendre et elle ne supporte pas qu’on lui résiste.
Pendant le temps ou vous serez à sa disposition, vous perdrez votre libre arbitre. Elle insiste sur le fait que, dès que vous passerez la porte, elle se réserve le droit, en cas de non respect des directives qu’elle vous donne par mon intermédiaire, de sanctionner immédiatement tout défaut de comportement de la façon qu’elle voudra. L’ensemble de cette soirée étant exclusivement privé, il vous sera, si vous franchissez cette porte, demandé de garder le secret absolu sur tout ce qui se sera passé dans la pièce. En dernier lieu, madame vous fait dire que, si vous le désirez, il vous est toutefois toujours possible de repartir. Le temps étant compté, les éventuels refus doivent m’être signalés de suite. Quelqu’un veux-t-il repartir ? »
Karl attendit quelques instants pour laisser les invités réfléchir et éventuellement renoncer pendant qu’il en était encore temps. Scrutant l’assemblée et constatant qu’il n’y avait aucune objection, il reprit la parole.
«Parfait. Madame va donc vous recevoir. Si vous voulez bien vous déshabillez, cela permettrait à madame de faire rapidement son choix et de définir ses priorités dès que vous rentrerez dans la pièce. Madame vous attend et vous souhaite, par avance, une bonne soirée au château ».
Répondant par un sourire de politesse, parfois figé, aux recommandations du serviteur, ils se déshabillèrent en silence et posèrent leurs vêtements dans la penderie murale. Quand tout le monde fut nu, Karl ouvrit la porte et invita le groupe à entrer dans la salle. Gênés par le manque de lumière ils se massèrent le long du mur, face à la femme.
Les convives qui dînaient cessèrent leurs discussions et observèrent le groupe d’hommes qui venait d’entrer dans la salle. Rapidement quelques commentaires faits à voix basse se firent entendre.
Discrètement et d’une voix posée, le majordome referma la porte derrière le dernier homme et se tourna vers la propriétaire qui lui fit un signe de la main. Habitué, Karl s’adressa alors aux hommes :
« Madame insiste pour, qu’en aucun cas, vous ne cherchiez à savoir qui elle a invité pour dîner ».

Karl connaissait parfaitement les goûts de sa maîtresse et les choix qu’il avait opérés ce soir pour elle la satisfaisait.
Confortablement installée dans cette pièce silencieuse, close et éclairée par un feu de cheminé ainsi que quelques chandelles, elle dévisageait les hommes un par un. Tous ces hommes lui étaient complètement inconnus mais ils attendaient debout et alignés à quelques pas devant elle. Ils avaient tous été soigneusement sélectionnés sur des critères esthétiques et intellectuels drastiques et madame mettait toujours la barre assez haut. Elle détestait la médiocrité, partant du principe que pour apprécier ce qu’elle faisait, il fallait un niveau suffisant pour apprécier et comprendre. Elle savait par expérience que ce groupe d’hommes athlétiques était impressionné et en même temps fasciné par la situation Le sentiment de puissance qu’elle éprouvait l’excitait et elle sentit le désir monter en elle. Sa poitrine, magnifique, affichait une certaine arrogance. Ses jambes, légèrement mais volontairement écartées depuis qu’elle les avait vu entrer, laissaient entrevoir son sexe.
Lovée dans son fauteuil, elle tendit le bras, saisit la clochette posée sur le guéridon et la fit tinter calmement à deux reprises.
Aux ordres, son maître d’hôtel particulier, impassible, s’approcha d’elle.
« Madame désire ? »
Sans le regarder, tout en observant le groupe, elle lui commanda un verre de champagne.
« Apportez-moi une coupe et pas une flûte. Je n’aime pas, ce n’est pas pratique », lui précisa-t-elle.
Le serviteur s’absenta quelques instants et revint avec sa coupe remplie. Arrivé à sa hauteur, il se pencha légèrement et lui présenta le verre posé sur un plateau.
« Madame n’a pas précisé si elle prenait avec ou sans liqueur »
« Avec, Karl. Et vous le savez très bien ! », lui répondit-elle plutôt sèchement.
Sans perdre des yeux le groupe d’hommes nus, elle saisit délicatement la coupe et la plaça à quelques centimètres devant la braguette du maître d’hôtel.
Sans dire un mot, Karl descendit sa fermeture éclair et sorti son sexe. Rapidement, sous les regards de l’assemblé, il se masturba au-dessus du verre qu’elle lui tendait. Après quelques instants, le visage fermé, il pointa son gland dilaté vers le centre de la coupe et éjacula en silence, laissant son sperme se répandre en volutes dans le champagne. Une fois fait, il referma sa braguette, posa son plateau sur le guéridon et se tint à sa disposition dans l’ombre, au coin de la pièce. Sûre de son effet, elle regardait, sa coupe à la main, les hommes médusés par son audace et sa perversité. Elle aimait ça, être là, observée et désirée à n’en plus pouvoir par ce groupe de mâles. Elle jouissait de sentir ces regards chargés de fantasmes, des fantasmes dont elle était l’objet et la maîtresse à la fois. Elle voulait les voir jouir, obsédés par son corps et soumis à ses moindres désirs. Croisant les jambes, elle porta la coupe à ses lèvres, en bu lentement le contenu par petites gorgées comme on déguste un bon vin et posa le verre vide sur le plateau.
Quelques hommes, excités par la scène, étaient en érection. Amusée par leur inconfort, elle écarta les jambes, se caressa les seins et le sexe puis, après les avoir longuement observé, elle désigna un homme avec son index et lui fit signe d’approcher
Grand, brun et d’allure sportive, il s’avança vers elle. Alors qu’il arrivait à sa hauteur, elle l’arrêta net en pointant son pied encore chaussé vers son sexe en érection. Doucement, elle posa sa mule sur le sexe en érection et, appuyant dessus, elle le fit mettre à genoux à ses pieds. Là, calme et hautaine, elle s’adressa à lui :
« Je ne te connais pas et d’ailleurs, peu m’importe qui tu es. Je vais te faire jouir pour le seul plaisir de te voir éjaculer en silence à mes pieds ».
Lentement, elle retira son pied droit de sa mule effilée, le passa sur les lèvres de l’inconnu, caressa son torse et son bas ventre avant de le poser à plat sur son sexe tendu. Cherchant l’homme du regard, elle fit aller et venir son pied sur toute la longueur de la verge. Le prépuce, qu’elle faisait rouler, dégageait régulièrement le gland sous son talon. Calmement, elle masturba l’inconnu immobile pendant quelques minutes. Sentant l’homme prêt à jouir, elle s’arrêta de suite. Elle demanda alors à son maître d’hôtel de s’approcher.
« Karl ? »
« Madame ?
« Retirez-moi mon bas »
Karl s’exécuta et mit un genou au sol. Sans quitter son invité du regard, elle posa son pied sur la cuisse du maître d’hôtel. Aussitôt, ce dernier fit rouler doucement le bas le long de la jambe, le retira en soulevant délicatement le pied et retourna près de la porte.
Silencieusement, les yeux fixés de façon provocante sur cet homme musclé, à genoux à ses pieds, elle repris, avec son pied désormais nu, la lente masturbation qu’elle avait entreprise auparavant. Les ongles vernis de ses orteils rendaient son geste plus visible sur la peau pâle du sexe. Comprenant qu’il allait jouir, elle continua calmement, appuya sur son sexe pour amener le gland au-dessus de sa mule et fit éjaculer l’homme sous son pied.
Emporté par la jouissance, l’homme ferma à moitié les yeux et laissa échapper un râle de plaisir. Elle ne modifia pas son rythme. Elle laissa simplement gicler le sperme sous son pied et s’étaler de ses orteils à son talon. La semence tombait au sol et parfois dans sa mule.
Elle n’arrêta que lorsqu’elle vit que l’éjaculation était bien terminée et que le sexe ramollissait sous son pied. Satisfaite de cette première étape, elle enfila son pied enduit de semence dans sa mule et s’adressa à l’homme.
«Vas, maintenant tu peux rejoindre les autres ».
Elle attendit qu’il rejoigne le groupe et observa la réaction de ses invités. Des commentaires à peine audibles se firent entendre mais le silence revint rapidement.
Elle désigna ensuite un deuxième homme et lui demanda d’approcher.
« Toi aussi, je vais t’utiliser. Oui, c’est bien cela, c’est exactement le terme qui convient. Je vais t’utiliser uniquement pour mon plaisir. Comme l’autre, tu vas me servir pour exciter un peu plus les hommes qui regardent et attendent leur tour. Tu es un moyen d’arriver à mes fins, qui est, en l’occurrence, mon simple plaisir. Enlève-moi mon bas ».
L’homme retira doucement le deuxième bas et le tendit au maître d’hôtel qui s’avança vers lui pour le récupérer. Debout, intimidé par cette maîtresse femme, il attendait que son sort soit fixé. Après l’avoir longuement observé, elle rompit le silence et lui parla :
«Tu vas te mettre à genoux, je vais te caresser puis, quand je te le dirai, tu te masturberas sur mon pied. Enfin, et seulement si j’en ai envie, je te ferai jouir ».
Alors, elle déchaussa son pied gauche et commença à caresser le gland de l’inconnu avec ses orteils. Immobile et impatient, l’homme attendait le probable dénouement sans savoir comment elle allait procéder. Au bout de quelques instants, comme elle l’avait prévu, elle posa son pied sur le talon de sa mule et demanda à l’homme de se masturber sur ses orteils. L’inconnu s’exécuta, posa son gland sur les orteils vernis et commença à se masturber ainsi. Quand elle vit qu’il allait jouir, elle lui fit aussitôt signe de s’arrêter, retira son pied mais lui demanda de laisser son gland sur le talon de sa mule. Elle posa ensuite son pied sur le sexe de l’inconnu et attendit quelques instants pour que le doute s’insinue dans l’esprit de l’homme. Après un moment d’observation, impassible, elle masturba lentement le gland de l’homme, comprimé entre son pied et sa mule. Le prépuce roulait sur la semelle. Le visage crispé, l’inconnu éjacula sous ses orteils, laissant le sperme couler dans sa mule. Quand le sexe fut inerte et ramolli sous son pied, elle remit sa mule. Sans égard pour l’inconnu, estimant que la provocation était satisfaisante, elle le renvoya. A quelques pas, dans la pénombre, excités par ce spectacle, les autres hommes attendaient leur tour. Jouant du temps, elle les fit patienter pour mieux les surprendre. Maîtresse du jeu, elle imposait ses règles, choisissait qui elle voulait, la façon et le moment.
Après cette phase d’observation, elle appela son maître d’hôtel. Elle lui demanda d’aller voir ses invités et de lui ramener deux hommes de son choix, dont un noir, mais tous les deux fortement membrés. Le serviteur  s’exécuta de suite et revint avec deux hommes. Calmement mais posément il leur expliqua les désirs de madame :
« Madame vous demande de vous mettre de part et d’autre du voltaire, le sexe à hauteur de son visage pour qu’elle puisse vous masturber. Ensuite, elle vous fera une fellation, puis, elle vous fera jouir sur ses seins. Entre temps, elle utilisera vos sexes comme bon lui semblera ».
Sur ces mots, le serviteur retourna attendre près de sa porte.
Elle leur fit alors signe d’approcher et de se mettre de part et d’autre du fauteuil, les sexes à hauteur de son visage et les glands placés devant sa bouche, au plus près de ses lèvres. Calmement, elle prit une verge dans chaque main et commença à les caresser très lentement.
Après quelques mouvements, elle regarda les hommes restés en face d’elle. Elle passa chacun de ses bras entre les cuisses des inconnus, posa ses mains sur leurs fesses et appuya sur leurs bassins pour s’introduire les sexes en érection dans sa bouche. Ensuite, imposant son rythme en appuyant régulièrement sur leurs reins, elle mit alternativement les deux verges dans sa bouche et entama une longue double fellation. Elle prit son temps. Bien que son visage soit en partie masqué par sa voilette, elle la releva légèrement pour que le reste du groupe voie ses lèvres aller et venir sur ces deux verges. Elle voulait qu’ils ne perdent pas une miette du gonflement de ses joues sous la poussée successive des deux glands. Parfois, elle s’arrêtait, ouvrait la bouche, posait le gland rose et  turgescent de l’imposante verge noire sur sa langue qu’elle avait à peine sortie puis, comme pour donner le coup de grâce, elle le masturbait très vite, la bouche ouverte. Se jouant de l’autre homme, elle l’obligeait parfois à frotter son sexe sur ses lèvres fermées et à se masturber, le gland au contact de son visage. Les amenant au bord de la jouissance, elle pointa les deux verges vers ses superbes seins et mis leurs glands au contact de ses pointes. Rapidement, sans un mot, elle les masturba et les fit abondamment éjaculer sur ses seins. Afin d’exciter davantage le groupe d’hommes qui l’observait, elle se caressa les seins avec leurs glands pour étaler le sperme sur sa peau. La poitrine luisante de leur jouissance, elle lâcha les deux verges ramollies, renvoya les deux hommes et se leva.
Chaussée de ses mules, elle s’approcha au plus près du groupe d’hommes, frôla leurs corps avec ses fesses pour mieux les exciter et leur montrer ses seins maculés de sperme
Quand elle se fut suffisamment exhibée et après avoir soigneusement passé en revue et caressé l’ensemble des sexes de ces inconnus elle porta son regard sur les couples qui étaient attablés.
Parmi les hommes qui dînaient, certains avaient reculé leur chaise et se masturbaient assis en la regardant pendant que quelques femmes se caressaient. Elle s’en aperçu, s’approcha d’un d’entre eux, écarta ses jambes et se mit à genoux, la poitrine au niveau de son sexe. Là, elle regarda l’homme masqué, plongea son regard droit dans ses yeux et se caressa la poitrine en étalant le sperme des deux hommes qui avaient joui précédemment. Consciente de l’effet qu’elle lui faisait, elle lui parla.
« Ca te plait de voir mes seins couverts de sperme ? Tu aimes ça n’est ce pas ? Tu en as envie ? Alors regarde bien et ne dis rien ».
Excité, le visage caché derrière son masque, l’homme se masturbait en regardant ses seins luisants des précédentes éjaculations. Passant aux actes, elle mit le sexe de l’inconnu en smoking entre ses seins et commença à le masturber ainsi. Assis, le gland prisonnier de cette poitrine, l’homme sentit la jouissance venir rapidement. Observant les mouvements désordonnés de son bassin, elle devina que l’éjaculation était imminente et ne fit rien pour changer le cours des évènements. Elle approcha alors simplement son visage et ouvrit la bouche juste au-dessus du gland en regardant fixement l’homme derrière sa voilette. Tout en se léchant les lèvres, elle accéléra sa masturbation et le fit éjaculer entre ses seins. De nombreuses et abondantes giclées de sperme jaillissaient du gland quand il apparaissait, éclaboussant parfois son menton et sa bouche. Elle continua ainsi quelques instants et, quand la verge perdit de sa raideur, elle se lécha les lèvres se releva et s’assit sur les genoux de son invité, la poitrine à hauteur de son visage. De longues coulées de sperme brillaient sur son corps et s’étalaient de sa poitrine à son ventre. Sans dire un mot, elle prit la main de l’homme et passa ses doigts sur ses seins maculés de semence. Ensuite, méthodiquement, elle lécha les doigts de son invité. A l’issue, sans une parole, elle retourna s’asseoir sur le voltaire.
Décidée à s’offrir un petit plaisir, elle leur tourna le dos et se mit à genoux sur le fauteuil. Pour mieux s’exhiber, elle posa ses mains sur le dossier, se cambra et offrit ses fesses au regard des inconnus. Une fois en position, elle tourna la tête pour les voir, passa une main entre ses cuisses et commença à se caresser. Excitée, elle jeta son dévolu sur un des hommes et lui fit signe d’approcher. Elle lui demanda de s’asseoir au pied du voltaire, face au groupe et de poser sa nuque sur l’assise. Une fois l’homme installé, elle fit descendre son bassin sur la bouche de l’inconnu. Elle s’adressa alors à lui :
« Ne bouge pas et lèche moi ».
Il savait qu’il ne devait pas bouger s’il ne voulait pas être exclu de la pièce, mais seulement pointer sa langue vers le sexe entrouvert.
Dans cette position, elle pouvait se servir à sa guise de cette bouche en y frottant ses parties intimes comme bon lui semblait. Décidée à ne pas jouir de suite, elle arrêta, demanda à l’homme de se mettre debout au pied du fauteuil. Elle fit glisser son sexe et son bas ventre sur la verge tendue de l’homme en le regardant mais elle ne l’autorisa pas à la pénétrer ni à jouir de suite. Sentant l’inconnu au bord de la jouissance, elle demanda aux autres hommes de s’approcher pour qu’ils puissent voir la scène au plus près. Elle s’assit ensuite sur le voltaire, avança son visage et s’introduisit rapidement la verge dans la bouche. Choisissant la méthode, elle prit aussitôt le bassin de l’inconnu entre ses mains aux ongles finement vernis et lui imprima elle-même un mouvement de va et vient frénétique. La tête immobile, elle faisait coulisser de plus en plus vite le sexe raide entre ses lèvres. Formant un cercle autour d’elle, les autres hommes se masturbaient. Le tressaillement du gland sur sa langue lui annonça l’imminence de l’éjaculation. Alors, les yeux mi clos et tournés vers l’homme, elle pencha légèrement la tête en arrière, releva complètement sa voilette, ouvrit la bouche et sorti sa langue. Afin que personne n’en perde une goutte de vue, elle mit le gland à quelques centimètres de ses lèvres et masturba rapidement la verge. Elle lui dit alors :
« Allez, décharge moi tout ton foutre sur la langue que je puisse le boire jusqu’à la dernière goutte »
Le traitement impitoyable eu aussitôt raison de l’homme. Une première giclée de sperme s’abattit sur sa langue, d’autres jets, mal maîtrisés en raison de la masturbation qu’elle lui infligeait, éclaboussèrent ses lèvres, ses joues et son menton. Imperturbable, elle continua et se frotta le gland enduit de sperme sur le visage. Voyant que l’éjaculation était terminée, elle pressa la colonne de chair en tirant le prépuce vers elle, fit sortir quelques gouttes de semence qui s étirèrent en un mince filet et s’introduisit une dernière fois le gland dans la  bouche. Quand la verge de l’inconnu fut inerte et molle, elle se lécha les lèvres, recueillit le sperme qui maculait son visage avec ses doigts en regardant les hommes autour d’elle puis, elle les lécha. Une fois fait, elle renvoya tout le monde au bout de la pièce. Satisfaite, elle fit signe à son maître d’hôtel et lui demanda de lui ramener une petite serviette pour s’essuyer le visage. Se dernier s’exécuta. Il  lui ramena la serviette, la lui tendit et se tint près d’elle pendant qu’elle s’essuyait. Une fois fait elle remit la serviette humide de semence au maître d’hôtel ainsi que son chapeau et sa voilette puis, elle le congédia.
Estimant que les jeux avaient assez duré, elle décida d’en finir avec un certain nombre de ceux qui restaient et de se satisfaire en même temps. Elle demanda à deux hommes de s’approcher. Elle fit asseoir le premier sur le voltaire et lui tourna le dos. Ensuite, posant son anus sur son gland elle se fit lentement sodomiser en descendant elle-même son bassin. Une fois prise, elle s’allongea sur l’inconnu et demanda au second de la pénétrer. L’homme s’introduisit au plus profond de son vagin.  Là, prise en sandwich, elle fit venir quatre hommes, deux noirs et deux blancs. Quand ils approchèrent elle leur demanda de se placer par deux, de part et d’autre du dossier du voltaire, à hauteur de son visage et de ses seins. Avant de commencer, elle fit venir les autres inconnus et leur demanda de masturber autour d’elle. Saisissant les deux sexes noirs, elle se caressa le visage avec et ordonna à ceux qui la prenaient en sandwich de commencer. Tous ses orifices étaient pris. Sa bouche s’activait sur les deux sexes noirs pendant qu’elle masturbait les deux autres restés pointés vers sa poitrine. Les glands, turgescents et imposants, se succédaient dans sa bouche. Les verges des deux noirs étaient dilatées à l’extrême, annonçant une fin proche. Elle décida d’en finir tout de suite avec eux. Elle ouvrit les lèvres, sorti sa langue et y posa les deux glands circoncis l’un contre l’autre. Là, surexcitée, elle les masturba tous les deux pour les faire  éjaculer en même temps. Les glands des deux noirs s’entrechoquaient  sur sa langue. La vitesse de ses  mouvements s’accéléra,  elle pencha la tête légèrement en arrière et observa effrontément les deux inconnus en s’adressant à eux :
« Je veux que vous jouissiez tous les deux en même temps, allez, envoyez moi tout votre foutre dans la bouche, j’en ai envie ».
Les glands se dilatèrent, les giclés de sperme se télescopèrent et fusèrent sur sa langue. De longues coulées de semence tombaient dans sa bouche et coulaient sur ses lèvres. Totalement maître de la situation, elle absorba consciencieusement le sperme des deux hommes.
Elle aimait ça, sucer était un plaisir qu’elle ne se refusait jamais, surtout quand elle avait plusieurs sexes à sa disposition. Un de ses jeux favoris était de s’asseoir sur un tabouret pivotant et de faire venir autant d’hommes que possible autour d’elle. Quand elle mettait en oeuvre ce scénario, qu’elle affectionnait particulièrement, elle se faisait bander les yeux. Une fois prête, elle suçait alternativement tous les sexes qui se présentaient à sa bouche en demandant à Karl de faire régulièrement pivoter le tabouret. Pendant que sa langue s’activait avec ardeur et passion, elle masturbait deux autres sexes avec ses mains. Pour les hommes réunis en cercle autour d’elle, le contrat était simple, ils ne devaient pas la toucher, il n’avaient pas le doit de se masturber et ne  pouvaient jouir que dans sa bouche. Cette situation l’excitait au plus haut point et elle ne s’arrêtait que lorsque le dernier homme lui avait éjaculé dans la bouche.
Bien qu’elle ait fait jouir les deux noirs, elle fit durer le jeu, conserva les deux verges encore dures dans ses mains et se caressa le visage avec leurs glands étalant ainsi le sperme sur sa bouche et son visage. Vidés, les deux noirs se retirèrent. Voyant que les deux autres hommes qui se masturbaient près de ses seins étaient sur le point de jouir, elle s’adressa à son maître d’hôtel :
« Karl, amenez-moi tout de suite une coupe de champagne pour que je puisse faire jouir ces messieurs ».
 Le serviteur en redingote obéit aussitôt et revint avec sa coupe remplie. A sa disposition, il lui présenta le plateau sur lequel il avait soigneusement posé la coupe ainsi qu’une bouteille.
« Madame est servie ».
Elle pris le verre, le mit à proximité des verges des deux inconnus qui se masturbaient, retira leurs mains de leurs sexes et les fit éjaculer elle-même en les masturbant l’un après l’autre au dessus du verre. Pointant les glands vers la coupe, elle laissa le sperme tomber et se répandre en grande quantité dans le verre. Là, entourée par une dizaine d’inconnus qui se masturbaient autour d’elle, prise en sandwich, elle pris son temps et bu tout le contenu de la coupe. Quand le verre fut vide elle le redonna à son maître d’hôtel. Elle se redressa ensuite, posa ses mains sur les accoudoirs et avec son bassin, imprima un rapide mouvement aux deux inconnus qui la prenaient en sandwich. La bouche et le visage luisants des précédentes éjaculations, elle chercha du regard l’homme qui la pénétrait. Ses yeux plongés dans les siens, elle lui dit :
« Je vais te faire jouir comme tu ne l’a jamais imaginé. Regarde, cet homme va se branler devant moi, et quand je lui dirai, il m’inondera le visage de son sperme. Regarde, tu vas être aux premières loges ».
Elle demanda alors à un des hommes qui se caressait à côté d’elle d’approcher et s’adressa à lui :
« Toi, branle-toi et décharge tout ton foutre sur mon visage ».
L’homme s’exécuta, il approcha son gland à quelques centimètres  de son visage et jouit ainsi sans qu’elle le touche. Imperturbable, elle continuait à regarder celui qui la pénétrait alors que les jets de sperme fusaient sur sa bouche et son visage. Surexcité par cette vision, l’homme jouit en elle pendant qu’elle le regardait en se léchant les lèvres. Satisfaite de son effet, elle le repoussa et s’activa sur celui qui la sodomisait. Juste avant qu’il ne jouisse, elle se retira, s’assit sur ses cuisses au contact de ses testicules et le fit éjaculer en le masturbant sur ses fesses.
Proche de la jouissance, elle se leva et alla s’allonger sur le tapis face aux couples qui dînaient tout en observant la scène. Elle demanda alors aux derniers hommes de se mettre à genoux de chaque côté de son corps. Elle appela son serviteur et lui fit signe d’amener le petit coussin bleu. Karl s’approcha et lui glissa le coussin sous la nuque. Lentement, elle commença à se masturber en regardant les couples et les hommes aux sexes tendus autours d’elle. Voyant que les hommes se masturbaient en observant son manège, elle saisit deux verges dans ses mains et approcha les glands de sa bouche. Pour un autre, elle lui demanda de la pénétrer puis, elle ordonna à deux autres de se mettre derrière sa tête et de se masturber au dessus de son visage.
Quant aux derniers elle leur demanda de se masturber sur ses seins, son ventre ou la partie de son corps qui les faisait fantasmer. Elle leur laissait, pour la fin uniquement, une liberté de choix qu’ils n’attendaient pas. Excités et impatients, les hommes se répartirent autour de son corps. Certains se plaçaient à hauteur de ses seins ou de son ventre. D’autres prirent ses pieds pour se masturber.  Tout le monde était en place. Elle ordonna que la scène commence et chacun s’activa. Les couples étaient médusés et s’approchaient au plus près pour regarder cette femme insatiable qui orchestrait cette scène avec une lubricité hors du commun. Voyant les mains des inconnus accélérer leurs mouvements, elle serra ses seins l’un contre l’autre et avança sa bouche vers les sexes gonflés et tendus qui dansaient au dessus de son visage. Comprenant l’invitation, plusieurs hommes approchèrent leurs glands et laissèrent jaillir leur sperme. Rapidement un déluge de semence s’abattit sur ses seins et son visage. N’y tenant plus, elle demanda à l’inconnu qui la pénétrait de la prendre fort et elle se masturba en même temps. Chacun leur tour, les hommes se rapprochaient et se masturbaient au dessus de son visage ou de ses seins. Les éjaculations se succédèrent et de long filets de sperme lui tombaient parfois directement dans la bouche. Insatiable, elle léchait et suçait les verges enduites de sperme qui se présentait au dessus de sa bouche. Le dernier jouit en s’introduisant profondément en elle. Satisfaite, elle se releva, le corps et le visage inondés de sperme, elle observa quelques instants les couples devant elle et repartit s’asseoir sur son voltaire. Le jeu étant terminé elle demanda à son maître d’hôtel de raccompagner, dans l’antichambre, les hommes et les couples qui avaient fini leur dîner. Le serviteur acquiesça et s’exécuta :
« Madame désire continuer sa soirée dans un autre lieu et avec une autre compagnie. Si vous voulez bien vous retirer ».
Dès qu’il eut fermé la porte et que la pièce fut vide, elle lui fit signe d’approcher. D’une voix calme, elle lui demanda si tout ceci l’avait excité :
« Dîtes-moi Karl, comment c’est déroulée cette soirée ? »
« Madame a été parfaitement efficace de bout en bout si je puis dire »
« juste un petit reproche, Karl. La prochaine fois, sauf si je vous le demande ou si je vous y autorise au préalable, je ne veux pas que vous ayez eu de relations sexuelles avant mes soirées. Vous comprenez bien que si je vous demande ma liqueur pour mon apéritif, il est hors de question que votre éjaculation soit insuffisante. Il y va d’abord de mon plaisir personnel et ensuite de celui de mes invités qui regardent.
L’employé grommela quelques mots incompréhensibles en guise de réponse. Fixant avec insistance la bosse sous son pantalon, elle s’avança vers lui, lui montra son buste, ses lèvres et son visage maculés de sperme. Puis, d’un regard appuyé et provocant, elle lui caressa le sexe à travers le pantalon. Debout face à lui, elle le regardait avec arrogance tout en lui disant qu’elle avait aimé le goût du sperme de ses invités et notamment des deux noirs qui, eux, lui avaient rempli la bouche de leur sperme crémeux et épais. Excité par son manège, le serviteur jouit en silence dans son pantalon. Sa besogne terminée, elle lui tourna le dos et demanda aux deux colosses noirs de la suivre.

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