Le Libraire

Une rencontre pas très originale, après avoir renseigné mon profil sur un site de rencontres gay. J’avais posté quelques photos de moi sans visage mais habillé de lingerie fine et dans des poses suggestives, et une dizaine de mecs étaient intéressés. J’ai une belle collection de lingerie pour homme mais de style féminin, en dentelle, soie, nylon ou satin, ce qu’on retrouve sur le Net sous le vocable de lingerie sissy. Elle met bien en valeur mes formes, notamment mes fesses rondes et musclées, tout en étant très agréable au toucher et à porter tous les jours. Cela fait des années que je mène une vie d’apparence 100% hétéro avec des dessous qui feraient jalouser plus d’une femme. J’ai fini par admettre que je suis bi, à force de collectionner les rencontres et les fantasmes gay à côté de ma vie d’hétéro bien rangé. Je sais que quand pendant plusieurs jours je ne pense plus qu’à ça, que je m’excite tout seul à piocher et faire des essayages de lingerie, mater des vidéos et utiliser des godes, c’est que j’ai le feu au cul et que j’ai besoin de me donner à un homme.
Le gars avec lequel j’ai le plus accroché au chat s’appelait Eric, et il tenait un commerce dans la même ville que moi. Rendez vous a été pris une après midi de novembre, juste avant la fermeture. Le signe de reconnaissance était basé sur ma tenue, un pantalon moulant en simili cuir et un blouson en daim avec un pull gris à col roulé dessous. Il m’a repéré du coin de l’œil quand je suis entré dans sa librairie. Deux clientes finissaient de feuilleter quelques livres avant de se décider. J’ai fait de même dans mon coin, attendant qu’elles partent. Deux minutes après leur départ, Eric est allé verrouiller la porte et baisser le rideau sans un mot. Puis il s’est approché derrière moi, toujours dans mon rayon avec un livre à la main, et j’ai senti sa paume caresser mes fesses avec douceur. Premier contact très agréable, j’ai reposé le livre et attendu qu’il poursuive ses investigations.

Il s’est approché plus près et j’ai senti son souffle chaud dans mon cou tandis que sa main droite palpait ma fesse et que la gauche remontait le long de mon ventre, par dessus mon pull jusqu’à effleurer mon sein gauche, avant de remonter vers ma joue pour tourner ma tête vers lui doucement mais fermement. Toujours à demi derrière moi, ses lèvres se sont approchées des miennes avant de m’embrasser longuement et fougueusement. Puis il a reculé son visage et me regardant dans les yeux m’a simplement dit ‘viens’. Mon cœur s’était déjà largement accéléré, et mon corps était déjà frémissant, le sang battant dans mes tempes, déjà consentant devant l’assurance de cet homme.
Sa main dans le creux de mes reins, il me poussa vers le fond de la boutique où un escalier menait à l’étage. Je montais les marches en colimaçon pendant qu’une main baladeuse me caressait les fesses. La pièce du haut devait être la garçonnière de monsieur, un grand canapé, quelques étagères avec livres et objets, une chaine hifi et une table basse en bois d’aspect solide. Il entra derrière moi et ses mains attrapèrent mon blouson pour me l’ôter et le poser sur un fauteuil. En passant sur mes épaules, ses doigts effleurèrent les bretelles de la brassière sous mon pull. Il dût s’en apercevoir car l’instant d’après j’entendis ‘Enlève ton pull et montres moi.’ J’obtempérai sans discuter, sa manière à la fois douce et autoritaire de faire et de dire les choses m’intimidait un peu. Mon pull enlevé, je sentis ses mains passer sur mon ventre et remonter lentement du bout des doigts que je sentais à travers la dentelle de ma longue brassière, avant d’atteindre mes tétons cachés sous le satin. Je sentais son corps juste derrière le mien, son souffle dans ma nuque, et ses doigts qui effleuraient doucement mes seins à travers le satin. Etant très sensible de ce côté, mon souffle accéléra tandis que je cambrais instinctivement les reins en fermant les yeux avec un soupir de plaisir. Devant ma réaction d’abandon, il approcha encore et je sentis sa queue déjà dure frotter contre mes fesses pendant que sa bouche m’embrassait dans le cou, ses mains caressant toujours mes seins dont les tétons pointaient de plus en plus.
Je sentis à ce moment que mon cerveau switchait, abandonnant mon côté masculin pour basculer à cent pour cent dans ma féminité. Plus envie de penser comme un homme, mon sexe devenait secondaire, les zones érogènes de mes seins et de mes fesses devenant mes nouveaux lieux de plaisir. Désormais femelle, les yeux toujours fermés, je savourai cet instant, la poitrine en avant et le bassin ondulant pour se frotter à la bosse qui déformait le pantalon de l’homme derrière moi.
Après m’avoir bien excitée, il enleva son T shirt avant de me retourner pour m’embrasser goulûment à nouveau. Puis, les yeux dans les miens, ses deux mains appuyèrent sur mes épaules. Le message était clair, à moi de libérer la bête et de lui offrir ma bouche. Je déboutonnai son jean, avant d’abaisser son caleçon, et une tige épaisse d’une vingtaine de centimètres se dressa devant moi. Regardant l’homme dans les yeux en penchant ma tête en arrière, je commençai à lécher cette queue, avant de gober le gland que je titillai avec la langue, les yeux toujours rivés aux siens en marque de soumission. Puis je commençai mes va et viens, l’engloutissant toujours plus loin, au risque de m’en . Sa main caressait mes cheveux pendant qu’il poussait de petits soupirs de satisfaction et ondulait du bassin. Je continuai à le sucer plusieurs minutes, alternant les coups de langue et la gorge profonde, ma main lui caressant les bourses en même temps. Il se retira pour aller s’asseoir sur le canapé et finir de se déshabiller, me demandant de faire pareil. Je m’assis sur la table basse dos à lui pour enlever mes chaussures et je me relevai, me penchant en avant pour enlever mon pantalon et lui montrer ma croupe, avant de me retrouver devant lui dans mes sous-vêtements : brassière noire en dentelle et satin, culotte haute assortie et des bas noirs autofixants. Lui, assis les jambes écartées, la queue fièrement dressée, matait le spectacle en attendant que je vienne à nouveau le sucer. Je me mis à genoux devant le canapé entre ses jambes et ma bouche recommença les préliminaires.
Je savais qu’il avait une vue imprenable sur mon dos et mon cul cambré habillé de dentelle noire. ‘Tu es une belle salope, j’aime ça. Je vais bien m’occuper de toi.’
Me relevant, il me demanda de me mettre à genoux à côté de lui sur le canapé en continuant à le sucer. Maintenant de côté, une de ses mains me caressait l’intérieur des cuisses, remontant le long des bas, caressant ma queue déjà humide à travers la culotte, et flattant ma croupe en longues caresses sur les globes pour finir par passer les doigts dans ma raie. J’avais exactement ce dont je rêvais de cette rencontre, un homme qui me recevait comme la femme que j’aspirais à être à cet instant, à la fois caressant, viril et dominant. Je bougeai mon cul avec délice sous ses caresses, pour montrer mon envie. Sa main droite passa sous la dentelle de ma culotte pour venir caresser ma raie et commencer à élargir mon petit trou. Il mouilla son doigt de salive à plusieurs reprises et l’enfonça doucement pour m’ouvrir. Je me cambrai pour le recevoir, sentant ses va et viens et m’activai encore plus sur sa queue. Mon cœur battait vite, la chaleur montait et un délicieux frisson parcourait le creux de mes reins. Une fois encore, il releva ma tête et me dit d’enlever ma culotte avant de me mettre à genoux sur le canapé, la tête appuyée sur le dossier. Je me mis en position, offrant indécemment ma croupe à son regard et à tout ce qui allait suivre. Je l’entendis se lever du canapé et attr quelque chose sur l’étagère, une capote à en juger par le bruit de déchirure du sachet. Une pression sur ce qui devait être du gel et quelques secondes après, je sentis ses mains prendre mes hanches tandis que sa grosse queue se frottait contre mes fesses. Je n’en pouvais plus, j’ondulais du cul pour lui montrer mon désir, devenu totalement femelle dans ma tête, avec une seule obsession, se faire féconder par le mâle. Mais devant mes avances, sa réaction ne fût pas celle que j’attendais. Deux belles claques sur mes fesses en me disant ‘calmes toi pétasse, et arrêtes de bouger.
Je vais te donner ce que tu attends mais quand je le voudrai. C’est moi le maître ici.’
J’arrêtai de bouger mon cul, toujours tendu et cambré, cette fois en attente. Il attrapa mes fesses à pleines mains avant de les écarter. Je sentis sa queue lubrifier ma raie en frottant de bas en haut, puis son gland pointer à l’entrée de mon petit trou tandis que ses mains agrippaient mes hanches à nouveau. Je me détendis au maximum, pour ne pas offrir de résistance à la pénétration et je le sentis glisser centimètre par centimètre. Bon sang que sa queue était grosse, je me sentais écartelé. Je gémissais à la fois de plaisir et de douleur mais le cérébral est le plus fort et la sensation d’être une femelle offerte me comblait littéralement. M’imaginant la croupe en l’air, le mâle derrière moi me fourrant avec sa queue pour m’arracher des gémissements et bientôt des orgasmes me rendait folle. Folle, parce qu’à cet instant, je n’étais plus qu’une femelle en rut, pensant comme une femme, offrant mon intimité à un étalon viril dont chaque coup de reins me rapprochait de la jouissance, prête à me faire monter encore et encore en m’abandonnant totalement à ce membre. Mes gémissements de plaisir excitaient mon amant qui me baisait maintenant avec ardeur à grands coups de reins, me claquant les fesses de temps en temps. Il accéléra et je sentis monter mon premier orgasme. Ma prostate bien excitée, sa queue qui me transformait en putain gémissante, visualisant dans ma tête la spectacle que l’on offrait, je partis en poussant des grognements puis des cris, ne me contrôlant plus, femelle avide et désormais soumise entièrement au mâle qui la possédait.
Mes halètements et cris de plaisir ainsi que mes mains qui s’agrippaient fébrilement au dossier du canapé ne laissaient aucun doute sur ma jouissance. Encouragé dans sa besogne, Eric continua de me pilonner, en m’arrachant des cris, ses va et viens ponctués de temps en temps par une claque sur les fesses ou un commentaire du genre ‘Tu couines bien ma salope, tu aimes la queue de ton maitre. Je vais faire de toi une bonne chienne accro à la bite, ensuite tu seras à moi où et quand je le voudrai.’
Les reins en feu, vaincue, comblée, soumise, excitée par ses paroles, je ressentis à ce moment ce que j’imaginais être les pensées d’une femme quand un homme la comble, la domine avec sa queue, et qu’elle est prête à se donner encore et encore pour ressentir à nouveau ce plaisir. Prête à tout pour le satisfaire, pour en avoir encore, pour cesser de penser à quoi que ce soit sauf à cette possession physique de la pénétration et des sensations qui l’accompagnent. Une autre accélération de ses coups de reins et je repartis de plus belle, poussant des râles d’extase, le corps en feu. J’étais à lui, femelle soumise et docile, maintenant prête à baiser n’importe où, juste pour le sentir encore me posséder. Il sortit entièrement son sexe de mon orifice, avant de le rentrer d’un seul coup de reins, me faisant pousser un cri de plaisir et douleur mélangé. Il recommença trois fois ce manège sans résistance ni plainte de ma part, montrant sa domination. A la quatrième fois, il se retira et s’assit sur le canapé, la queue toujours dressée en me demandant de venir m’empaler dessus. Je me relevai péniblement, les reins en compote, et m’agenouillant au-dessus de lui, je guidai sa grosse bite vers mon trou désormais aussi ouvert et mouillé qu’une chatte, avant de m’asseoir sans difficultés malgré la taille de l’engin. Je passai les bras autour de son cou et l’embrassai pendant que mes hanches ondulaient lentement. Ses mains caressaient mes fesses, mes seins dressés, ma queue à demi bandée posée sur son bas ventre. Je me sentais femme, faisant l’amour à mon homme, sachant à la puissance de son érection qui emplissait ma chatte que je l’excitais, et j’aimais ça. Prenant appui sur mes cuisses, je commençai à aller et venir sur son membre dressé, redressant mon bassin à la montée, et le cambrant au maximum en redescendant sur cette colonne de chair pour amplifier ses sensations. ‘C’est bien ma chérie, continue comme ça, bouges moi bien ce joli cul’ Comment résister à une telle injonction ? Je m’activai de plus belle pour lui plaire, ressentant de mon côté moins d’effet dans cette position, mais juste l’agréable sensation de monter et descendre pour me sentir remplie par ce pieu de plaisir. Mon homme semblait apprécier le spectacle, et probablement le pouvoir qu’il avait. Venir de mon plein gré m’enfiler sur son membre, m’activer dessus en bougeant bien ma croupe pour lui donner d’agréables sensations, l’enlacer et l’embrasser en même temps, il me dominait complètement, j’étais à lui, femelle consciente et consentante à la fois.
Il me releva avant de me faire allonger sur le canapé, se plaçant face à moi, il commença à me sucer, tout en caressant mon entrejambe et en titillant ma raie avec ses doigts. Enfonçant son index et son majeur dans ma fente, je sentis ses doigts aller et venir en moi pendant que sa bouche s’activait sur ma queue déjà raide, un délice. Je ne tardai pas à venir et alors qu’à plusieurs reprises pendant la séance ma queue avait déjà coulé toute seule, je partis en une gerbe de foutre qui atteignit mon visage et se répandit sur ma brassière et sur mon ventre en poussant un cri de jouissance.
Je vis son sourire à la fois satisfait de mon plaisir et avec un petit rictus en coin qui s’accompagna d’un ‘A mon tour maintenant ma belle, ton homme aussi va se laisser aller..’
Mettant ses mains sur mes cuisses pour me relever la croupe, il s’approcha, sa queue glissant entre mes fesses, frottant mon anus devenu chatte pour lui, avant de positionner le gland et de m’enculer d’un seul coup de reins. Basculant la tête en arrière, un long cri s’échappa de ma gorge quand son mandrin s’enfonça jusqu’à la garde. Il resta immobile ainsi quelques secondes en moi, je me détendis, je la sentais palpiter à l’intérieur, il commença doucement ses aller-retours, me faisant gémir de bonheur. Les yeux fermés pour profiter au maximum des sensations, il m’ordonna de les ouvrir pour le regarder. ‘A présent, ma petite salope, je veux que tu me regardes pendant que je te baise. Je veux que tes yeux voient le mâle qui te possède, que tu saches que tu es seulement une femelle, et qu’en plus tu aimes ça. Plus je vais te baiser, moins tu pourras te passer de ma queue. Je fais faire de toi ma petite pute, toujours prête à écarter les cuisses pour se faire monter par son étalon.’ Tout en parlant, ses va et viens de plus en plus forts et rapides me rendaient folle, me faisant pousser des cris et gémissements comme jamais avec un autre amant. Oui, j’étais sa femelle, oui j’en voulais encore, oui je lui offrirais mon petit trou à chaque occasion, ici ou ailleurs. Je voulais juste le sentir me dominer et me monter comme une jument en chaleur qui agite sa croupe devant un étalon. Ses mains attrapèrent mes chevilles, remontant mes jambes jusqu’à mes oreilles, et s’accroupissant au dessus de moi, j’eus la vision de sa grosse bite allant et venant dans ma chatte béante, jusqu’à le sentir s’enfoncer un dernier grand coup en poussant des cris de jouissance à son tour. Relâchant mes jambes, mais toujours planté en moi, il s’écroula sur mon corps en sueur, reprenant son souffle. Je caressai sa tête et son dos, comme une femme reconnaissante comblée par son amant. Je savais que cet homme allait profiter à fond de ma part de féminité, avec un total consentement de ma part.

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