Initiation Professionnelle (Suite)

Première partie

Il fallait que je raconte à quelqu’un mon aventure survenue au bureau.
C’est à ma belle-mère que j’ai fait cette confidence, car depuis le jour où nous nous sommes connues, une grande complicité s’est établi entre nous.
Jeune veuve de 45 ans, matériellement très à l’aise grâce à la très belle assurance vie de son mari,
Anne-Marie (elle voulait que je l’appelle par son prénom) est une très belle femme.
D’origine corse, brune aux longs cheveux et aux yeux noirs, elle possède un corps splendide d’ex danseuse classique.
Toujours très élégante et plutôt BCBG, elle attire le regard de tous, hommes et femmes, car sa poitrine somptueuse et ses fesses cambrées sur des jambes parfaites, ne peuvent passer inaperçues.

Je pousse donc la grille de sa villa, puis traversant le jardin, je sonne à la porte.
Un long moment s’écoule qui me surprend un peu, et Anne-Marie m’ouvre.
Devant ma présence, je ressens une gêne qui assombrit son visage.
-Je dérange ?
-Non Non ! dit-elle
Je suis surprise de la trouver en déshabillé à 16 h, elle qui est toujours tiré à quatre épingles, et d’autant plus surprise qu’elle est entièrement nue sous ce léger vêtement de satin blanc.
Dans le salon où nous prenons place sur le canapé de cuir vert, elle me prend la main et se penchant vers mon visage elle me souffle à l’oreille
-Je ne suis pas seule, un ami est dans la chambre
Surprise et légèrement décontenancée car je n’ai jamais soupçonné que ma belle-mère avait une liaison, je me suis levée en disant
-Excusez-moi, je ne savais pas, je vous laisse
-Mais non Christine, il fallait bien qu’un jour tu l’apprennes, c’est tout récent tu sais !
-Est-ce que votre fils est au courant ?
-Oh non, c’est trop tôt, et surtout ne lui dis rien, promis ?
-Promis bien sur, comptez sur moi
-Tu sais, cela fait maintenant deux ans que je suis veuve et seule, et je suis une femme encore jeune !
dit-elle avec un petit sourire coquin
-Quel est le but de ta visite ?

Je commence alors le récit de mon aventure, et après une quinzaine de minutes, Anne-Marie m’interrompt et me dit
-C’est très surprenant et excitant, je vais chercher Jacques le pauvre, seul dans la chambre il doit s’ennuyer, je vais te le présenter

Sitôt dit sitôt fait, et l’homme apparaît dans un peignoir de bain immaculé.


La soixantaine, cheveux grisonnants, un bon mètre quatre-vingts, yeux bleus et bronzé comme un marin.
Je me lève et il me fait un baise-mains plein d’élégance en se présentant
-Jacques, ravi de vous connaître !
-Christine, également ravie !

Cet homme est splendide et d’une classe incroyable.
Ma belle-mère lui expose le but de ma visite, et après avoir servi le thé et échangé quelques banalité, elle me demande de continuer mon récit.
-Ah non ! pas devant Monsieur
-Mais oui, n’ai pas honte, ton histoire est très amusante et coquine, et Jacques est un gentleman très compréhensif !
-Vous pouvez compter sur ma discrétion ! dit Jacques
-Bien, puisque vous insistez
Et j’ai repris mon histoire depuis le début.


Deuxième partie

Assise dans un profond fauteuil, face au couple qui se tenait sur le canapé, j’ai débuté mon récit, fréquemment interrompue par ma belle-mère qui me demandait plus de détails précis.
Elle semblait très intéressée par les passages torrides de mon aventure.
Plus ma narration avançait, plus elle prenait une pose alanguie, étroitement collée à son ami.
Ce dernier avait passé son bras gauche autour du cou d’Anne-Marie, et de sa main il enveloppait un sein qu’il caressait par-dessus le déshabillé de satin.

Je m’interromps un instant pour prendre un verre d’eau sur la table basse. En me levant du profond fauteuil j’aperçois par les pans écartés de son peignoir de bain qu’il présente une belle érection.
Nos regards se croisent et nous échangeons un sourire qui n’échappe pas à ma belle-mère.
-Quoi Christine, tu n’as jamais vu un homme bander ? C’est toi qui nous excite petite cochonne !
Et joignant le geste à la parole, elle ouvre largement le peignoir de Jacques, le faisant apparaître complètement nu.
-Il est beau n’est-ce pas ? Regarde comme il bande bien !
Décontenancée par l’attitude et les paroles de ma belle-mère, auxquelles elle ne m’avait pas habituée, je n’ai pu que répondre par un rire bête qui marquait tout mon trouble et mon émoi.


L’homme se lève alors, retire complètement son vêtement, s’approche du visage de ma belle-mère toujours assise, et me regardant bien droit dans les yeux me dit
-Regardez petite Madame comme elle aime çà !
en présentant son sexe à la bouche de ma belle-mère qui l’engloutit aussitôt

Assise dans mon fauteuil, les yeux écarquillés par la stupeur et la tournure des évènements, je regarde la mère de mon mari se comporter comme une vraie salope, qui plus est devant sa belle-fille.
Son peignoir de satin maintenant à ses pieds, elle suce goulûment ce sexe pendant que Jacques lui agace un téton de sa main.
Pour la première fois de ma vie, je vois le sexe d’Anne-Marie et j’en suis interloquée. C’est une forêt noire tellement son système pileux est abondant et non taillé.
Elle me jette un regard trouble, et abandonnant son mâle, elle se lève, s’approche de moi, me prend par les épaules et me regarde droit dans les yeux
-Oui ma petite, j’aime le sexe et j’en suis privée depuis deux ans, alors j’ai du plaisir à rattr ! Tu t’es bien amusée au bureau toi aussi !
-Mais c’était un accident Anne-Marie !
-Accident, accident, mais tu t’es quand même bien régalée sans rien dire à mon fils !
-Ce n’était qu’un jeu et je ne tiens pas à lui faire du mal ! Tu ne lui diras rien n’est-ce pas ?
Elle échange un regard avec Jacques, s’approche de lui et lui murmure quelque chose à l’oreille qui déclenche chez lui un acquiescement de la tête
-Tu as ma parole ! me dit-elle, mais j’y mets une condition pour que toi aussi tu respectes le silence
-C’est à dire ?
-Tu vas venir jouer avec nous !

Troisième partie

J’étais prise au piège, et ne me laissant pas le temps de réfléchir, ma belle-mère fait glisser ma mini-robe et, me laisse en string et seins nus
Jacques regarde la scène, assis sur le canapé, se masturbant lentement
-Regarde ce morceau de Roi, elle est magnifique ma belle-fille !
dit Anne-Marie en me faisant tourner sur moi-même
puis me poussant vers son amant, elle me dit
-Suce-le
A genoux devant l’homme qui a bien ouvert ses jambes, je prends son sexe dans la main et le porte à ma bouche pour une fellation
-va lentement, plus lentement, me dit Anne-Marie
Et, montant debout sur le canapé, elle enjambe le torse de Jacques plaçant ses jambes fuselées de part et d’autre de sa tête, offrant ainsi son sexe velu à la langue de son amant.


La prenant par les fesses, il la plaque sur son visage tout en faisant circuler son majeur droit du haut en bas de son sillon
Ma belle-mère, telle une furie, se malaxe les seins et tire sur ses tétons en poussant des cris de plaisir.
Pour ma part, j’avoue honteusement que je prends un plaisir surprenant à sucer le sexe de cet homme.
Je suce, j’aspire, j’enroule ma langue tout autour, je titille le gland, je le masturbe entre mes seins, et n’ai qu’un désir, celui de le faire jouir.
Mais l’homme est résistant, et après de longues minutes, il nous fait cesser notre collaboration.
Il se lève, enlève mon string, et c’est à ce moment qu’il découvre mon sexe épilé.
-Ah çà alors, quelle bonne surprise ! dit-il à ma belle-mère
Cette dernière, tout aussi surprise, mais de plus en plus excitée, s’empresse d’y porter la main en disant
-Quel beau minou tout rose, çà donne envie !
Jacques me fait asseoir sur le canapé, relève mes jambes et place mes pieds sur le siège, à hauteur de mon bassin.
Je suis ouverte, presque écartelée, et ils s’aperçoivent que je suis toute mouillée.
S’adressant à Anne-Marie, il lui ordonne
-A genoux et lèche-la puisque tu en as envie
Puis il se place derrière elle, ajuste son sexe, et la pénètre en levrette par de lents mouvements du bassin.
Tout en me fouillant de sa langue, ma belle-mère introduit un doigt dans mon anus. Je sens bien qu’elle l’a lubrifié car il glisse bien, et son mouvement de va et vient me procure des frissons de plaisir. Je ne vois que sa belle chevelure noire qui couvre mon sexe et une partie de mon ventre.
Jacques m’observe tout en la limant lentement et me fait un clin d’œil complice.
Il introduit son pouce droit dans sa bouche, le couvre abondamment de salive, et écartant les fesses d’Anne-Marie, il l’introduit dans son plus petit orifice.
Ma belle-mère est pénétrée par les deux trous.
Après de longues minutes, et alors que je ne cesse de regarder le sexe de Jacques aller et venir, il se retire me faisant de nouveau un clin d’œil, place son sexe tendu à la place de son pouce, et d’un seul coup de rein puissant il l’enfonce, arrachant un hurlement à Anne-Marie.

Elle cesse de me lécher et mord l’un de ses poings, puis ce sont des cris
-oui, oui, continue, continue, plus vite !
Elle s’agrippe à mes cuisses et très rapidement s’envole en un orgasme somptueux dans un feulement bruyant.
L’homme se retire alors, sans avoir joui, et abandonne ma belle-mère qui s’écroule sur la moquette du salon.
-A ton tour ! me dit-il, viens conclure avec moi !
Il sait que j’en ai une envie folle
Il m’allonge sur la moquette, se met à genoux entre mes jambes qu’il place sur ses épaules, caresse délicatement mon sexe de sa main et y introduit le sien bien à fond, mais très délicatement.
Je sens ce membre brûlant envahir mon ventre et j’en éprouve un plaisir immense. Je crois bien que je suis tombée amoureuse de cet homme. Sous ses assauts, le plaisir arrive rapidement, il le sent, alors il s’allonge sur moi, me couvre de son corps, et nos langues se mélangent.
Mon orgasme arrive en même temps que ses trois longs jets saccadés et nous nous écroulons, l’un sur l’autre enlacés.
Il a été mon amant pendant deux ans (sans que ma belle-mère le sache bien sur)

FIN




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