De La Relation Professionnelle

Depuis quelques temps, j'ai trouvé un job afin de financer mes études. Ma supérieure hiérarchique s'appelle Laure, elle est âgée de trente-cinq ans, soit de treize ans mon aînée. Beaucoup de mes collègues ne l'aiment pas, ils la trouvent trop sévère, trop autoritaire, pourtant moi, c'est précisément ce qui m'attire chez elle.
Elle est petite et plutôt dodue, à peine un mètre soixante, mais se tient très droite en permanence, ce qui lui donne tout de même des airs de grandeur et d'autorité. Sa chevelure brune est souvent attachée, telle une matriarche. Elle a de grands yeux marrons, mis en valeur par son maquillage, ainsi qu'un nez légèrement allongé.
Elle porte en général des chemisiers et des pantalons très moulants ainsi que des talons très hauts, sûrement pour pallier à sa petite taille. Cet accoutrement souligne à merveille le galbe de ses fesses rebondies ainsi que sa poitrine conséquente.

C'est une Femme. Une Femme Autoritaire même.

Au travail, elle est du genre à donner des directives strictes, sèches, qu'il faut appliquer directement. Cela ne plaît pas du tout à mes collègues, mais moi, de nature soumise et à l'esprit pervers, j'adore ça. Il m'arrive très souvent en effet, de m'imaginer son esclave. De prendre la moindre chose qui sort de sa bouche pour un ordre qu'il me faudrait exécuter scrupuleusement sous peine de recevoir une punition e-xem-plaire.
Je peux vous assurer que cela pimente mes soirées de travail. Il m'arrive assez souvent de me retrouver à lui obéir en essayant de dissimuler l'érection qui se dresse timidement dans mon pantalon.

Parfois, je rêvasse, je m'imagine qu'à la fin du travail, elle me convoque dans son bureau.

" - Tu as été très bien aujourd'hui. Tu as obéi à mes ordres avec une docilité exemplaire, alors tu vas avoir droit à une récompense !"

Alors je suis le plus heureux des employés. Et je me dis que les autres feraient mieux de faire comme moi, au lieu de râler.


Elle me fait signe de me mettre à genoux devant elle, puis m'enfile un collier en cuir. Elle tire sur le collier et me dépose un léger baiser sur les lèvres. Je suis aux anges.

Puis elle m'ordonne de la suivre. Nous montons dans sa voiture, et elle m'emmène chez elle. Dans la voiture je ne suis pas assis évidemment, je monte dans le coffre.
Une fois arrivés, elle m'ordonne de me déshabiller et de me mettre à genoux devant elle. Quelle plaisir d'exécuter ses ordres. Malheureusement je ne peux retenir mon érection, et elle s'en rend compte.
Elle me saisit les tétons, et les tourne en me fixant droit dans les yeux. Son regard est sévère, froid. Rien à voir avec celui dont elle me gratifiait dans son bureau.

" - Qu'est-ce que c'est que ça ? Tu bandes ? Je ne t'y ai pas autorisé ! Montre-moi ton cul."

Elle effectue une ultime torsion de mes tétons, puis les lâche. Et moi, je lui tends mon cul. Elle commence à me fesser.
De plus en plus fort. Les claques sont sèches, nettes, dures. Une fesse, puis l'autre.
Mes fesses commencent à brûler. Je les sens rougir en temps réel.

" - Ça me fait mal, pitié, arrêtez !
- Arrêtez qui ?
- Arrêtez, Laure, je vous en supplie !"

Une claque beaucoup plus violente que les autres me signale que j'ai fait une bêtise.

" - On dit Maîtresse Laure !
- Pardonnez-moi Maîtresse Laure ! Je vous en supplie, arrêtez Maîtresse Laure."

Pendant ce temps, elle continue à me fesser de plus belle.

" - J'arrêterai quand je le voudrai !"

Et elle continue... encore... encore... Je sens les larmes qui commencent à monter. Elle atteint mes limites, et les repousse.
Et lorsque je sens que je n'en peux plus, à ce moment précis, le châtiment cesse. Net, précis, comme il a commencé. La douleur laisse place à la chaleur.
Une douce caresse de Maîtresse Laure sur mes fesses me pousse même à dire :

" - Je vous remercie Maîtresse Laure.
"

Elle sourit. Elle sait que j'ai compris la leçon.

" - Suis-moi. À quatre pattes."

Je la suis jusqu'à sa chambre. Je jubile, elle m'offre l'insigne honneur de pénétrer dans sa chambre ! Quelle récompense !

" - Mets-toi à genoux, les mains dans le dos, le torse bien droit. Tu me regarde bien attentivement, tu n'as pas le droit de détourner le regard, cela fait partie de ta récompense."

Je m'exécute sans attendre. Elle me regarde dans les yeux, et esquisse un sourire satisfait et légèrement hautain. Un sourire de conquérante. Puis elle commence à déboutonner son chemisier blanc, libérant ainsi sa proéminente poitrine de la prison bien trop étroite qui l'enserrait. Elle ôte ses chaussures, puis se retourne. Elle baisse tout doucement son pantalon. L'étroitesse de ce dernier l'oblige à dandiner légèrement son sublime postérieur. Stupeur ! Maîtresse Laure ne porte pas de sous-vêtements ! J'ai l'occasion de contempler ses magnifiques fesses bombées. Quel honneur.
Elle dégrafe son soutien gorge, me laissant une inénarrable vue sur son sublime dos nu.
Je n'en peux plus, c'est trop pour moi, mon sexe se dresse comme jamais. Il semble même vouloir grossir plus encore qu'il ne lui est physiquement possible de le faire. Au bout de mon gland, quelques gouttes perlent.

Elle se penche pour fouiller dans son armoire, puis att quelque chose, je ne peux distinguer quoi, et se retourne.
À ce moment précis, je vois un de mes rêves de réaliser. Sa poitrine se dresse devant moi. Gonflée, s'il en était besoin, par la cambrure de son dos et par son torse bombé. Sa silhouette toute entière n'est que droiture et fierté. Ses deux magnifiques seins, si divins que les comparer à une chose terrestre serait un blasphème, surmontés de deux sublimes tétons roses pointant au loin, me font face.

Mon regard se détache au prix d'un effort digne de Stakhanov, pour se poser sur l'objet qu'elle a tiré de son armoire.


Je tressaille, submergé de bonheur.
Voilà donc ma récompense ! Quelle divine récompense ! Quel honneur me fait-elle !

L'objet qu'elle tient dans sa main, c'est un godemiché doté un harnais.
Sans perdre de temps, elle l'enfile. Les lanières qui fixent son membre artificiel à son pubis enserrent et soulignent son fessier.
Elle pose ses mains sur ses hanches, puis me regarde. Un sourire de triomphe se peint sur son magnifique visage.
Son galbe est divin. Elle se dresse devant moi, agenouillé. Elle a l'air plus fier que jamais, le menton bien haut. L'énorme phallus noir qu'elle vient d'enfiler lui descend jusqu'à mi-cuisse. Elle me toise d'en haut, et elle sait que ce qu'elle s'apprête à m'offrir va me combler au plus haut point, dans tous les sens du terme.

" - Tourne-toi. Tête au sol, cul tendu. Bien cambré."

Ses ordres claquent dans l'air, comme autant de coups de fouets qui s'abattent sur mon pauvre esprit délirant de plaisir.

Elle s'approche, et me saisit le fessier à pleines mains. Ni une, ni deux, elle me badigeonne le trou de gel, puis en force l'entrée. La progression est lente et difficile. Chaque millimètre résonne dans mon corps, irradié de plaisir.
Lorsque finalement, son pubis se colle à mes fesses, elle commence la marche inverse. Lentement, très lentement, elle ressort son gigantesque pénis de mon fondement.
Alors que son gland est sur le point de sortir de moi, elle change à nouveau de sens, pour reprendre l'insertion. Plus vite cette fois.
Ainsi elle commence son travail de ponçage. Plus vite. Encore plus vite.
Chaque coup de bite me fait gémir de bonheur, de plaisir, d'excitation. J'imagine l'ondulation de son fessier à elle, entraîné par ses coups de reins, cela ajoute encore à la scène.

Elle décroche une de ses mains de mon fessier, et la dirige lentement vers mon sexe à moi.
Elle me branle, tout doucement d'abord. Puis de plus en plus vite.
Et, enfin, en cadence avec ses assauts à elle.

Plus vite. Encore plus vite.
La pression monte dans tout mon corps. Elle me pilonne littéralement l'anus.
Elle monte encore d'un cran.

Je boue. Ma vue se trouble. Je ne vois plus rien. Je sens que je jouis. Abondamment.

" - Tu m'entends ? Je t'ai demandé quelque chose, alors dépêche-toi de le faire."

Je regarde autour de moi. Je suis de nouveau au travail. Maîtresse Laure m'a tiré de ma torpeur.
Je souris, la regarde, et réponds tendrement :

" - Oui Maît... euh... Laure. J'y vais tout de suite !"

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